Coordonnateur de la Convergence des Jeunesse Républicaines (Cojer), Moussa Sow salue la teneur du Conseil présidentiel sur l’insertion et l’emploi des jeunes. Il estime que toutes les conditions sont réunies pour une gestion équitable des fonds mis à la disposition du programme Xeyou Ndaw Yi.

Par Mohamed NDJIM

Quelle lecture faites-vous du Conseil présidentiel sur l’insertion et l’emploi des jeunes ?

Toute la jeunesse sénégalaise félicite son Excellence le Président Macky Sall pour la réussite du conseil présidentiel pour l’insertion et l’emploi des jeunes. C’est un conseil présidentiel inédit et historique car ayant pris en compte les aspirations des jeunes des différents territoires. Le président a instauré un langage direct avec les jeunes et a écouté toutes les catégories socio-professionnelles. Les différentes décisions prises répondent aux aspirations de financement, de formation et d’emploi des jeunes. Nous sommes très satisfaits de ce conseil présidentiel.

Toutes les conditions sont-elles réunies pour que les 450 milliards du programme Xeyou Ndaw yi ne soient pas gérés de manière partisane ?

Écoutez, reconnaissez d’abord que le Président a, depuis son accession à la magistrature suprême, mis en place des mécanismes et programmes pertinents qui ont donné des résultats probants. Ce programme d’Urgence obéit une logique de continuité avec des réformes institutionnelles et opérationnelles. Déjà, la mise en place d’un guichet unique Pole emploi et Entrepreneuriat des jeunes dans les 45 départements prouve à suffisance que la problématique est prise de façon holistique. Il n’y a pas place à la partisanerie car le Président de la République est le père de la nation et travaille sans cesse pour l’épanouissement de toute la jeunesse Sénégalaise.

Au-delà des dynamiques entrepreneuriales ou salariales on peut noter une faible représentation des jeunes au niveau des instances de décision. N’est-ce pas problématique ?

La participation des jeunes aux instances de prise de décision est un souhait ardent des jeunes du Sénégal. Le Président a fait d’énormes efforts pour résoudre cette problématique. Le souhait est que cette dynamique soit soutenue et que les jeunes puissent apporter leur fraîcheur, leur dynamisme et leur savoir-faire. Nous avons la chance de disposer d’une ressource humaine de qualité qui participera à la construction du Sénégal de demain derrière le Président Macky Sall.

La Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) se réjouit de l’implication personnelle du Président Macky Sall pour une gestion efficiente de la crise malienne. Le coordonanateur Moussa Sow et ses camarades laissent entendre que “depuis la présence des terroristes au nord de ce pays frère, le Sénégal a déployé des moyens diplomatiques et militaires pour endiguer la progression néfaste de ces barbares identitaires qui menacent la paix dans tout le Sahel”. Selon la Cojer il est donc “naturel que les forces vives de la République sœur du Mali acceptent la médiation du Président Macky Sall pour une solution consensuelle et durable, sous l’égide de la Cedeao”. De la même manière, Moussa Sow et ses camarades condamnent la déclaration des membres du Crd. C’est une déclaration illégitime et irresponsable estime la Convergence des Jeunesses Républicaines qui dénonce une tentative de saborder l’excellent travail du Président Macky Sall. “Cette bande de néo politiciens aura mieux à faire en apportant leur contribution citoyenne dans la lutte contre la Covid-19 au lieu de chercher des défaites imaginaires dans les actions de gouvernance du Président Macky Sall. Tous les patriotes devaient se féliciter de l’engagement du Sénégal dans la gestion concertée de la situation du Mali car nous partageons et l’histoire et la géographie avec le Mali. Ainsi, la Cojer soutient sans réserve les initiatives présidentielles et invite toutes les forces vives à prêcher la paix et la concorde dans notre sous région.

Responsable de l’Alliance pour la République au niveau du département de Dakar, Abdoulaye Doumbia est de ceux qui prédisent une victoire au premier pour le président Macky Sall en février 2019. Une victoire que le susnommé devrait essentiellement à un bilan positif, mais aussi à sa  «largeur de vues vis-à-vis du champ politique sénégalais».

«Nous nous acheminons vers des élections complexes mais nous avons un candidat qui a ses réelles chances en 2019. Je pense tout haut que le président de la République fait des réalisations remarquables pour ce pays depuis son accession à la magistrature suprême en 2012. Il y a des avancées significatives dans tous les secteurs d’activité malgré les remous.  J’ai l’habitude de dire qu’un bilan, aussi positif soit-il, ne permet pas de réélire, à lui tout seul, un président de la République. La réélection est aussi tributaire d’un bon management du personnel politique ; et je pense que, dans les deux cas de figure, le président est en train de tirer son épingle du jeu malgré les remous. D’autant plus que c’est la première fois dans l’histoire politique du Sénégal qu’une aussi grande coalition que la coalition Benno Bokk Yaakaar porte une candidature. Il faudrait cependant, au plan communicationnel, rectifier le tir pour permettre à la population dans sa globalité de s’approprier les réalisations du président Macky Sall. Surtout les primo votants. Car le bien-fondé de l’action du chef de l’Etat est parfois chahuté, à tort, par des manquements à ce niveau» laisse entendre Abdoulaye Doumbia.

Poussant l’analyse, le chargé de la communication de la Convergence des jeunesses  républicaines (Cojer) Yoff  estime notamment que «le  président de la République doit être positionné comme un produit marketing, avec une segmentation et un message en phase avec  les différentes couches de la population : les jeunes, les femmes, le monde rural, les intellectuels… Au-delà de relayer les informations sur son agenda, il faut établir toute une organisation proactive pour ne pas diluer l’essentiel dans des arguties politiciennes et contreproductives en faisant le jeu de l’opposition. De la même manière, en terme d’image de marque, le chef de l’Etat devrait être davantage préparé pour que ses prises de parole publiques ne donnent lieu à des interprétations qui éloignent le débat public de sa vocation première» ajoute Abdoulaye Doumbia.

La Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) a attendu le limogeage samedi du recteur de l’Ugb et du Directeur du Crous par le président de la République pour réagir à la mort de l’étudiant Mohamed Fallou Sène.

Les jeunes du parti au pouvoir ont cru bon de rappeler aux Sénégalais (qui n’ont jamais dit qu’ils avaient oublié) les nombreux drames survenus sous le magistère du Président Abdoulaye Wade. Comme pour minimiser la tragédie survenue mardi à Saint-Louis et dire c’est rien par rapport à ce qui s’est passé sous le régime précédent.
“Nous, Jeunesses Républicaines, déplorons jusqu’à la dernière énergie, les malheureuses sorties de certains responsables de l’opposition pourchassés par une détresse psychologique qui, les pousse jusqu’à vouloir naviguer dans les éthers de l’imagination”, peut-on lire dans le communiqué parvenu à la rédaction de PressAfrik avant de s’adonner à un exercice de rappel sinistre : “Abdoulaye Wade, ce vieux décati ,qui rumine mal sa raclée homérique de 2012 et qui a les mains souillées de sang( l’étudiant Balla Gaye en 2001 ; le naufrage du Bateau le «Joola» en 2002 ; la mort de Malick Ba de Sangalkam ; le meurtre de Fanaye Walo en 2011 ; le jeune Abdoulaye Wade à Thiaroye ; le jeune Mamadou Diop de Mbour à la veille de la Présidentielle de 2012, les morts du 23 juin 2011 etc ), n’a vraiment pas de leçon de morale á donner à personne”.

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Le Coordonnateur de l’Apr à Pikine, Abdoulaye Timbo, a du pain sur la planche. À moins d’un an de la présidentielle de 2019, la division mine profondément les rangs de la jeunesse de l’Apr à Pikine. Hier, des jeunes venus des 16 communes ont mis en place la Cojer des moins de 35 ans. Ils ont mis en garde les «jeunes vieux» qui parlent au nom de la Cojer, notamment Issakha Diop, Baye Diop, Massaër Djité, El H. Malal Diallo etc. «Nous sommes la Cojer légitime.

La Cojer -35 ans est la seule interlocutrice valable des jeunes de l’Apr, auprès des responsables du parti», souligne Bassirou Nouhoum Ly, membre du comité d’initiative. Lors d’un point de presse, tenu au siège Wagane Ndiaye, ils ont appelé leurs grands frères à s’effacer et céder la place aux plus jeunes. «Ils ont fait leur temps, mais notre heure a sonné. C’est nous qui allons réélire le Président Sall avec plus de 65% en 2019», ajoute Abdourahmane Sène. Reste à savoir comment les «jeunes vieux» vont réagir ?

Marième Thiam Babou est de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer). En ce 8 mars, Mame Mbaye Ndiaye l’a invité sur Fair-play. Prompte à défendre la politique du chef de l’Etat, elle explique ici pourquoi elle se fait de plus en plus rare au devant de la scène. Et elle n’a pas manqué aussi de revenir sur les principes de son combat contre la coordonnatrice de la Cojer, Thérèse Faye Diouf. Abordant des questions d’actualité, Marième Thiam Babou a parlé de l’opposition, du débat sur le choix du ministre de l’Intérieur, des frustrés de l’Apr, etc.

A peine mis sur pied, le Mouvement Initiative 2035 (I35) déclenche au sein de l’Apr une chienlit sur fond de querelles de ménage. La Cojer monte au créneau pour défendre Mame Mbaye Niang et Cie.

Ceux qui s’attaquent au mouvement Initiative 2035 se trompent de cible et d’ennemi. La précision est faite par la Cojer qui estime que  l’heure est à la mobilisation de toutes les forces, à l’intérieur comme à l’extérieur du parti, pour bien entamer la bataille présidentielle de 2019. En effet, les jeunesses républicaines authentiques se sont indignées de la récente sortie de jeunes du parti se réclamant d’Initiative 2019, qui s’en sont pris aux responsables d’Initiative 2035.

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En conférence de presse, la Convergence des Jeunesses républicaines (Cojer) de Diourbel s’est prononcée sur le débat sur l’accès de l’eau potable dans la ville sainte de Touba, soulevé récemment à l’Assemblée nationale… Lire la suite sur rewmi.com

Une nouvelle structure de jeunes républicains entend relever le double défi de la massification et de la réélection du président de la République, en 2019 se met en place. Dénommée : «Cojer nationale nouvelle dynamique» cette structure portée sur les fonts baptismaux, au lendemain de la démission de Thérèse Faye Diouf qui était la coordinatrice de la Cojer, regroupe des responsables issus des 45 départements. Ses initiateurs se disent opposés aux «orientations» et à la «léthargie» de l’ancienne direction. Pour rectifier le tir, les initiateurs de la «Cojer nationale nouvelle dynamique» ne cachent pas leur volonté de changer la manière de fonctionner de la Cojer, en associant tous les jeunes du parti en vue d’atteindre l’objectif de réélection du chef de l’Etat, Macky Sall».

Par ailleurs, dans un communiqué, la Cojer nationale nouvelle dynamique félicite  le président de la République pour son discours de haute facture à portée universelle à la 72^ème Assemblée générale des Nations Unies. «Ce discours montre amplement que le président République est très attaché aux droits de l’homme, au développement durable et à la promotion de la paix dans le monde», lit-on.

En outre, la Cojer nationale nouvelle dynamique remercie le Président de la République pour la décision majeure prise lors du Conseil des ministres du 13 septembre 2017 de faire de l’année 2018, une année sociale consacrée dédiée aux jeunes, aux femmes, aux enfants, aux personnes âgées et celles vivant avec un handicap. «En décidant de mettre en place les MILE (Missions locales pour l’Emploi et l’Entreprenariats des jeunes) et la DER/FJ (Délégation générale pour l’Entreprenariat Rapide des femmes et des jeunes) après la création de l’ANPEJ, du PRODAC et du PAPEJF, le Président Macky Sall montre encore une fois la place importante qu’il accorde à la jeunesse dans la marche vers l’émergence de notre pays», précise la même source, invitant toute la jeunesse à s’approprier de ces nouveaux mécanismes d’accompagnement des jeunes.

La Cojer nationale nouvelle dynamique se réjouit de la reconduction de Mahammed Boune Abdallah Dionne et de la nomination de Pape Gorgui Ndong au ministère de la Jeunesse, de la Construction Citoyenne et de la Promotion du Volontariat.

Le journal Libération, lu par Actunet.net, informe que si Thérèse faye a démissionné de son poste de Coordonatrice de la Cojer, c’est parce qu’elle est frustrée par la nomination de Gorgui Ndong. Comparer à elle, le nouveau ministre de la Jeunesse n’aurait pas un bon niveau académique.

Le journal indique, par ailleurs, que la démission de Thérèse n’est que le début d’une rébellion.

Une partie de la Cojer du département de Rufisque est en colère contre le président Macky Sall. Il l’accuse de manquer  de considération vis-à-vis d’eux et de leur localité. Lors d’un point de presse, explique le journal Zoom Infos, lu par actunet.net, les jeunes « Apéristes » ont exigé de leur chef de parti, en plus d’une audience, des postes de responsabilité. A défaut de quoi, le mot d’ordre sera le gel de toutes leurs activités.

Des proches de Thérèse Faye démentent l’information selon laquelle elle aurait démissionné de la Convergence des jeunesses républicaines pour exprimer son désaveu suite au remaniement ministériel. Elle a mandaté des membres de son entourage proche pour faire la précision, alors que d’aucuns supputaient en affirmant qu’elle avait démissionné pour  marquer son désaveu car elle s’attendait à gagner du galon en devenant ministre à part entière dans le nouvel attelage gouvernemental.