Dans le classement des pays qui fournissent Daesh en combattants, le Sénégal occupe la 8e place. C’est le résultat de l’enquête d’Aaron Zelin, un chercheur américain associé au Washington Institute. Selon Les Échos, qui donne l’information, l’enquête couvre la période 2011-2017.

Aaron Zelin indique que, d’après les chiffres gouvernementaux, les Sénégalais enrôlés par l’État islamique sont environ une trentaine. Mais, souligne-t-il, des sources libyennes situent leur nombre entre 50 et 100.

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Dans le classement des pays qui fournissent Daesh en combattants, le Sénégal occupe la 8e place. C’est le résultat de l’enquête d’Aaron Zelin, un chercheur américain associé au Washington Institute. Selon Les Échos, qui donne l’information, l’enquête couvre la période 2011-2017.

Aaron Zelin indique que, d’après les chiffres gouvernementaux, les Sénégalais enrôlés par l’État islamique sont environ une trentaine. Mais, souligne-t-il, des sources libyennes situent leur nombre entre 50 et 100.

Toutefois le classement du chercheur américain est dirigé par la Tunisie (625). Elle est suivie de l’Algérie (130) et de l’Égypte (112). La France, avec 66 combattants, est 6e.

Matar Diokhané, est présenté comme le cerveau de la bande à l’imam Alioune Ndao, jugé pour terrorisme. Dans un document publié par Libération, on y apprend le projet d’attentat qui visait Dakar.

Makhtar Diokhané, Oumar Yaffa, Ibrahima Diallo et Cheikh Ibrahima Ba, expulsés du Niger le 3 mai 2016, voulaient instaurer un Etat islamique en Afrique de l’Ouest entre le Sénégal, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau et la Gambie.

Leur mouvement conçu par Daesh voulait profiter du coup de force qui se profilait en Gambie, fin 2016 pour frapper Dakar. Leurs cibles prioritaires : les Français et les confréries, cite le document exploité par Libération.

Selon l’ordonnance du Doyen des juges, « il ne peut être contesté que les inculpés ont planifié ensemble et de concert  chacun en ce qui le concerne l’instauration d’un Etat islamique en Casamance ou Kédougou sous la bannière de Daesh à l’image des Shebab du Somalie qui par essence serait une atteinte à l’intégrité nationale et aux infractions contre l’autorité de l’Etat du Sénégal et engloberait les deux Guinée, le Sénégal et la Gambie, avec comme point de départ ce dernier pays où les chefs de file à savoir Makhtar Diokhané, Mouhamed Ndiaye, Lamine Coulibaly, Abou Diallo, Mouhamadou Lamine Mballo avaient prévu de comploter un coup d’Etat ».

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Matar Diokhané, est présenté comme le cerveau de la bande à l’imam Alioune Ndao, jugé pour terrorisme. Dans un document publié par Libération, on y apprend le projet d’attentat qui visait Dakar.

Makhtar Diokhané, Oumar Yaffa, Ibrahima Diallo et Cheikh Ibrahima Ba, expulsés du Niger le 3 mai 2016, voulaient instaurer un Etat islamique en Afrique de l’Ouest entre le Sénégal, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau et la Gambie.

Leur mouvement conçu par Daesh voulait profiter du coup de force qui se profilait en Gambie, fin 2016 pour frapper Dakar. Leurs cibles prioritaires : les Français et les confréries, cite le document exploité par Libération.

Selon l’ordonnance du Doyen des juges, « il ne peut être contesté que les inculpés ont planifié ensemble et de concert  chacun en ce qui le concerne l’instauration d’un Etat islamique en Casamance ou Kédougou sous la bannière de Daesh à l’image des Shebab du Somalie qui par essence serait une atteinte à l’intégrité nationale et aux infractions contre l’autorité de l’Etat du Sénégal et engloberait les deux Guinée, le Sénégal et la Gambie, avec comme point de départ ce dernier pays où les chefs de file à savoir Makhtar Diokhané, Mouhamed Ndiaye, Lamine Coulibaly, Abou Diallo, Mouhamadou Lamine Mballo avaient prévu de comploter un coup d’Etat ».

Qui cite : « Il est ressorti de leurs auditions que le projet devrait être financé par Daesh et les cibles prioritaires envisagées seraient les Français, les différentes confréries du Sénégal, les bâtiments administratifs entre autres à travers 3 méthodes ».

Le procès de l’attentat du nouvel an en Turquie qui s’est ouvert le 11 décembre dernier va reprendre le 26 mars prochain. Téné Traoré, 24 ans, une franco-sénégalaise, est dans le box des accusés. Elle est soupçonnée d’avoir activement participé à la tuerie qui a fait 39 morts dans une discothèque d’Istanbul… lire la suite sur seneweb

Star planétaire, Lionel Messi a une aura qui dépasse largement le périmètre du football et n’échappe donc pas à la récupération de son image. Ainsi, Daesh a diffusé via Wafa Madia Foundation, un de ses canaux de propagande, un photomontage mettant en scène l’Argentin derrière des barreaux, un oeil en sang.

Cette affiche a été repérée par SITE Intelligence Group Enterprise, une entreprise américaine spécialisée sur la veille des vidéos propagées par les groupes terroristes islamistes. Selon SITE, à travers Lionel Messi, Daesh adresse une menace sur la prochaine Coupe du monde en Russie.

L’Etat «islamique» n’a plus de territoire en Syrie. La coalition internationale amenée par la Russie avec l’aide de la Turquie est venue à bout des combattants de Daesh. Ce mardi, après d’intenses combats qui ont fait plus de 3000 morts dont plus d’un millier de civils, l’EI n’existe plus. Il a en tout cas a été rayé de la carte de la Syrie. Raqqa “sa capitale”, a  été débarrassée de la racaille terroriste qui semait la terreur dans cette partie du monde. Maintenant que l’”EI” n’existe plus en Syrie, ses combattants vont tenter d’infiltrer les autres pays pour des actions isolées. C’est pour l’avoir compris ainsi que la Coalition anti Daesh et tous ceux qui sont contre le terrorisme et ses méfaits en appellent  aux Etats afin qu’ils renforcent les contrôles aux niveaux de leurs aéroports, ports et frontières terrestres.

Les noctambules et autres habitués des nuits chaudes de la capitale sénégalaise sont tombés le week end dernier sur des policiers et gendarmes visiblement armés jusqu’aux dents. Inopinée, l’opération a toutefois été soigneusement peaufinée par les forces de l’ordre qui ont procédé à des jalonnements, patrouilles motorisés et pédestres et autres contrôles de routine. A l’occasion, gendarmes et policiers ont passé au peigne fin les véhicules de transport urbain. La police a réussi à mettre la main sur deux combattants aguerris et surentraînés de l’organisation islamiste «Daesh» selon L’Observateur, lu par Actunet.

L’organisation terroriste Daesh encourage ses membres à commettre un tout nouveau type d’acte de terreur.

L’information choquante a été dévoilée après que la ville de Mosul en Iraq ait été libérée des griffes des terroristes.

Selon l’agence de presse italienne ANSA, il serait très envisageable que cette méthode qui consiste à empoisonner des aliments sur les rayons des supermarchés pourrait se propager dans les pays ciblés par l’EI.

Rappelons qu’au cours des derniers mois, de nombreuses attaques terroristes ont été revendiquées par l’EI.

L’attentat qui est survenu récemment à Barcelone aurait notamment été encouragé par l’EI qui aurait influencé ses membres à utiliser des véhicules afin de répandre la terreur.