Bougane Guèye Dany, propriétaire du groupe Dmédia et président du mouvement Gueum sa bopp s’est confié à nos confrères de Walf TV, 7TV et Sen TV. Dans l’entretien qu’il leur a accordé, le leader de Gueum sa bopp a expliqué la philosophie de son mouvement tout en maintenant le suspense sur son éventuelle candidature à la présidentielle de 2019.

«Tous ceux qui ont assisté à mes différentes rencontres savent qu’il n’y pas eu de discours politique à aucun moment. Tous mes propos tournent autour des actions qu’il faut poser pour le développement, d’abord pour la personne, ensuite pour la nation. Donc, tous ceux qui participent à nos rencontres ont constaté qu’il n’y a pas de discours politique», a soutenu M. Bougane Guèye. Qui poursuit plus belle : «Mais ce qui est important dans cet entretien, c’est d’abord de remercier tous ceux qui, depuis plus de cinq mois, nous accompagnent dans les tournées que nous faisons dans l’intérieur du pays pour échanger avec les populations. On a parcouru plus de 37mille kilomètres», a renseigné le patron de Gueum sa Bopp.

Dans le même sillage, il ajoute : «On aurait pu pourtant rester dans nos bureaux…, mais vous savez moi, je suis un homme d’action, un chef d’entreprise. Quand je dois me prononcer sur une chose, j’attends d’abord d’avoir tous les éléments… J’aurai pu rester dans mon bureau et attendre que l’on me donne la température du pays, mais j’ai envie, mon équipe et moi, d’aller à la rencontre des Sénégalais, de nos concitoyens, où qu’ils se trouvent dans leurs villages, dans les coins et recoins du pays, pour nous rendre compte de visu de leur vécu quotidien. Cela s‘explique par le fait qu’il est important dans un pays que chacun sache qu’il a une part de responsabilités».

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Le Mouvement Guem Sa Bopp a effectué fait cape sur les zones économiques de Joal, Mbour et Sébikotane. Durant ses discussions avec les populations, le lerders du mouvement, Bougane Gueye Dany, a fait état de la nécessité de développer le pays par les vertus du  travail.

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Se présentant comme un produit et partenaire du système éducatif sénégalais, Bougane Guèye Dany était hier au chevet des enseignants. Après avoir discuté plusieurs tours d’horloge avec les responsables du mouvement syndical, il s’est engagé à peser de tout son poids dans une perspective de sortie de crise. Notamment en démarchant une rencontre entre le chef de l’Etat et ses partenaires sociaux susnommés.

Alors que les négociations entre l’Etat et les syndicats d’enseignants n’ont de cesse d’achopper sur une impasse, le président directeur général du groupe Boygues a offert hier ses bons offices en vue d’aboutir à une solution durable de sortie de crise. Bougane Guèye Dany, qui était en conclave avec les syndicalistes, s’est montré sensible à leurs revendications. Il a, dans le même temps, déploré les dommages collatéraux subis par les élèves ainsi que la déliquescence actuelle d’un système éducatif dont il se présente comme un pur produit.

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Le mouvement Gueum Sa Bopp de Bougane Gueye Dany était ce dimanche à Darou Mousty et à Pekesse. Dans les deux communes, le Président Bougane Gueye a été accueilli par les maires Biteye pour Darou et Djibo pour Pekesse.

Selon le journal Libération, la tournée Geum Sa Bopp se poursuit à travers le Sénégal pour informer sur les motivations du mouvement. Le Président et sa délégation était ce vendredi à Kébémer.

Hier, Bambey et Diourbel ont reçu Gueum Sa Bopp. D’ailleurs à Mbacké, le Président Bougane a rencontré Serigne Gallas Kaltoum qui a déposé ses baluchons chez Idrissa Seck.
Le patron du Groupe Bouygues serait-il intéressé par le dignitaire mouride?

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Meurtre de sénégalais à l’étranger : Les vérités crues de Bougane Gueye Dany suivez sur Actunet.net

Il est réputé pour son caractère trempé, rigoureux, mais aussi pour son sens des affaires. Bougane Guèye Dany a commencé sa carrière avec un salaire de 50 000 F CFA dans une petite station radio à Saint-Louis avant de devenir, en peu de temps, l’un des plus importants patrons de presse du Sénégal.

D-Media, son groupe de presse, qui comprend une radio (Zik Fm), une chaîne de télé (SenTv) et un quotidien (La Tribune), s’est imposé comme le deuxième groupe de presse privé du pays, après le groupe Futurs médias propriété de Youssou Ndour.

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Le patron de D-Media est très actif depuis quelque temps sur les réseaux sociaux. Il a choisi comme modèle de communication d’œuvrer dans le social, avec la création d’un mouvement dénommé « Gueum Sa Bopp ».

Il reçoit des jeunes de tous bords, montre ses différentes réalisations, parraine des événements dans la banlieue, supporte financièrement à travers des téléthons les populations d’ici ou d’ailleurs en difficulté. Mais jamais dans sa bouche n’est sortie le mot candidat à une quelconque élection. Et pourtant toute sa démarche prête à croire qu’in fine, le patron de presse défiera Macky Sall en 2019.

La nature n’aime pas le vide, et le Sénégal vit une de ses plus difficiles périodes sous Macky Sall, alors est-il un délit de se présenter à la prochaine présidentielle face à Macky Sall, même si ce dernier en tant que poids lourd a décidé de n’affronter que des poids légers, puisque ayant muselé presque tous ses adversaires poids lourds ?

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À nos soeurs et jeunes frères qui bravent toutes sortes d’humiliations dans les campus rien que pour avoir l’opportunité de servir leur pays.

Omar PÉNE a raison de dire « KOU MEUNTEU MOUGNE MEUNOKO DONE« .

Bravo à nos vaillants étudiants, qui en dépit des conditions inhumaines, sont toujours à la quête du savoir avec une détermination sans faille enrobée d’un courage indéfectible.

Ce samedi à la tombée de la nuit j’ai rendu visite à nos sœurs de la chambre 28 du pavillon des mariés victimes d’incendie. Elles ont tout perdu, mais elles restent dignes. Bravo, rien que pour le savoir elles acceptent d’être 18 dans une chambre, acceptent de dormir dans des conditions pas loin du paketass donc semblables aux pires conditions des détenus de reubeuss.

Nos étudiants méritent respect et considération. Mais au-delà, pensons à leurs conditions en lieu et place des grenades lacrymogènes. Les photos choquantes des objets calcinés ont fini de faire le tour de la toile et jusqu’ici aucune réaction, pas moins des excuses des autorités.

Le développement ce n’est pas seulement des infrastructures, un capital financier ou physique, mais plutôt l’investissement dans le capital humain c’est-à-dire l’éducation dans son ensemble (enseignants, élèves, étudiants…).

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