Un cadre de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) aurait été épinglé pour un détournement de 300 millions de francs Cfa. Ces fonds représenteraient, selon Dakar Times, qui donne l’information, des frais de redevance FIR (Région d’information de vol).

Le mode opératoire consistait, selon le journal, à s’introduire frauduleusement dans le système informatique de comptabilité en confectionnant de fausses factures. L’argent encaissé, il fallait faire disparaître les factures, les références des vols et les traces des bases de données de l’informatique.

Les codes d’accès d’agents dépendant de son service, auraient été utilisés par le mis en cause. Celui-ci a été relevé de ses fonctions.

En réponse à un courrier adressé au DG de l’ARMP par l’actuel Ministre en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent intitulé « Réponse à vos commentaires sur le rapport 2016 des marchés publics du PAD » en date du 14 mars, le DG de l’ARMP indique qu’ « En tout état de cause, le Port autonome de Dakar a de bons spécialistes en marchés publics. Ce qui lui avait d’ailleurs permis d’être positivement apprécié par les auditeurs durant les années passées. » Une réponse qui sonne comme un démenti à la cabale orchestrée depuis un certain contre la personne du Dr Cheikh Kanté et de sa gestion à la tête du PAD pendant cinq ans.

Voilà que l’ARMP vient ainsi clore un débat charrié par des ennemis et des comploteurs qui sont aiguillonnés par des forces tapies dans l’ombre dans le seul but est de porter atteinte à l’honorabilité d’un homme qui a réalisé des performes à tous les niveaux lors de son passage au Port autonome de Dakar.

Le Dr Cheikh Kanté a ainsi tenu à servir un droit de réponse à l’endroit du Directeur de publication de Dakar Times pour lui permettre de rétablir les faits face au commentaire grossier tendant à faire croire que l’ex DG du Port a « été épinglé dans un marché de 2 milliards ».

Des personnes ont marché, dimanche, à travers les artères de la commune de Kafountine (Bignona, sud), pour dénoncer des “malversations financières” à la municipalité dirigé par Nfansou Victor Diatta, qui a annoncé une plainte contre les manifestants.

Portant des brassards rouges et scandant des slogans hostiles à l’édile de la commune de Kafountine, les marcheurs sont partis de la place publique au quai de pêche de cette station balnéaire. Ils sont ensuite allés remettre un mémorandum au sous-préfet de Diouloulou.

Les manifestants dénoncent le fait que le maire de la commune fait confectionner de “fausses quittances de recouvrement des taxes municipales” et procéder à “la récupération directe et illégale de la redevance du quai de pêche sans les reverser au Trésor public“.

“Toutes ces recettes qui proviennent de fausses quittances n’ont jamais fait l’objet d’une autorisation spéciale lors des différentes sessions de la municipalité. Les montants illégalement recouvrés depuis 2014, sont estimés à plus de 100 millions de francs CFA“, a accusé Ismaïla Dramé, conseiller municipal à Kafountine et porte-parole des manifestants.

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Le 5 décembre dernier, un homme a surpris sa femme au lit avec son élève au domicile familial situé à Springfield, dans l’Oregon (Etats-Unis)…lire la suite sur faitsdivers

Un dirigeant du constructeur automobile allemand Volkswagen, arrêté en début d’année aux Etats-Unis dans le cadre de l’affaire du “dieselgate”, a été condamné à sept ans de prison par un tribunal américain mercredi…lire la suite sur lefigaro

Entre le maire des Hlm, Babacar Sadikh Seck, et des membres de la municipalité, le courant ne passe plus. Et pour cause, un trou de 345 millions Fcfa dont la destination est sujette à caution est à l’origine du malaise, constate Libération, lu par Actunet.

A en croire nos confrères, tout a commencé le 10 août 2014. Juste après son élection à la suite des Locales de la même année, le maire des Hlm de Dakar a demandé à voter, en procédure d’urgence, un projet de délibération devant l’autoriser à signer une convention entre la commune des Hlm et les Etablissements Dame Kâ.

Ladite convention, avait pour but, la fourniture et la pose de pavés sur une superficie de 3600m² allant du Poste de Police des Hlm aux allées Thierno Mountaga Tall.

Hélas. Le 10 avril 2017 soit près de 4 ans plus tard alors que des conseillers exigeaient des études techniques, le vote a été “forcé” au même titre que le réexamen de la convention. Suffisant pour que des conseillers réunis au sein d’un collectif, publient un mémorandum pour dénoncer les actes commis par le Maire Babacar Sadikh Seck dans cette affaire pas tout à fait catholique et qui sent le parfum d’un deal.

Toutes les personnes inculpées dans le détournement présumé survenu à l’Alliance de crédit et d’épargne pour la production (Acep) ont été envoyées en prison, à l’exception de deux d’entre elles qui ont bénéficié d’une liberté provisoire.

En vertu de l’article 152 du code pénal, Walf Quotidien, lu par Actunet, révèle que les personnes incriminées, si elles sont déclarées coupables à l’issue d’un procès, encourent jusqu’à 5 ans d’emprisonnement dans cette affaire dont la somme évoquée avoisine les 77 millions Fcfa.

Pas moins de quinze personnes sont actuellement en garde à vue suite à la lumière faite sur un énorme détournement de fonds à l’Alliance de crédit et d’épargne pour la production (Acep). Ainsi, renseigne Libération, lu par Actunet, c’est grâce à des dossiers de prêts que plusieurs millions ont été grugés.

Afin d’élucider l’affaire, le quotidien informe que le ministère des Finances a ouvert une enquête administrative sur ce détournement qui met sous les projecteurs une institution qui est dirigée par la même personne depuis 29 longues années.

Un papa a amené le petit ami de sa fille âgée de 16 ans au Tribunal. Il poursuit le jeune homme de 23 ans pour détournement de mineur. Cependant, sa fille a indiqué au Juge qu’elle file le parfait amour avec son copain.

Elle témoigne : “J’allais souvent chez lui. Le 19 septembre, j’étais chez lui jusqu’à 21 heures. Pourtant, il avait insisté pour que je rentre. Chez moi, ma mère m’a jetée dehors et je suis partie chez un cousin à Dial Diop jusqu’au 25 septembre. Entretemps, j’ai dormi chez Charles, un tatoueur. Ce n’était pas la première fois que j’entretenais une relation sexuelle avec un homme. J’ai commencé à le faire à l’âge de 13 ans”, a-t-elle déclaré à la barre.

Agé de 23 ans, le prévenu lui aussi ne nie pas avoir entretenu des rapports sexuel avec son amie.”Je l’ai connue dans le quartier grâce à Charles. Trois semaines après, on a entretenu des relations sexuelles chez moi. Elle m’a dit qu’elle avait 19 ans et que ce n’était pas sa première fois”.

Le Papa, lui, est surtout préoccupé par le fait que sa fille soit en train de filer du mauvais coton. En classe de Seconde, le père indique qu’elle obtient néanmoins de bon résultats scolaires. Mais tout ce qu’il désire, dit-il, c’est la séparation des deux tourtereaux.

C’est une affaire de détournement de plus de 34 millions Fcfa que Mankeur Ndiaye a laissée derrière lui au ministère des Affaires Etrangères.

Le journal le Quotidien avait révélé cette affaire en septembre 2013. Période à laquelle la suspecte, A. Wone, avait été placée sous mandat de dépôt. C’est hier jeudi 14 septembre 2017 que l’affaire devait être jugée à la deuxième chambre correctionnelle, mais le procès a été reporté, a livré le journal Libération, lu par Actunet.net

Ledit journal révèle que “c’est à la suite d’une minutieuse instruction que le Juge du deuxième cabinet a renvoyé devant le Tribunal correctionnel de Dakar A. Wone, ex coordonnatrice du Bureau d’accueil et d’orientation social (Baos) du ministère des Affaires Etrangères. Cette dernière est mise en examen pour détournement de deniers publics, conformément  au réquisitoire du Ministère public”.

Cette dernière est accusée par la chancellerie d’avoir fait main basse sur 34 millions 858 mille 893 Franc Cfa. Un argent destiné à venir en appui aux immigrés.

“Des accusations qu’A. Wone conteste mais que l’accusation a maintenues après instruction. D’ailleurs, l’affaire était programmée hier, pour jugement devant la deuxième chambre correctionnelle, avant d’être reportée”, a indiqué le canard.

Pour autant, l’agent judiciaire de l’Etat, qui est à l’origine de la plainte, s’est constitué partie civile dans cette affaire très délicate.

Le Baos est chargé de faciliter aux Sénégalais vivant à l’étranger une insertion harmonieuse dans leur communauté d’accueil et une réinsertion socio-économique réussie une fois de retour au Sénégal.