Il a promis il a fait !!!!! Maire Palla Samb Maire de la commune de Fann-Point E-Amitié offre un bus neuf et climatise a l’ecole

A l’occasion de la Journée sans Tabac qui sera célébrée le 31 mai, le président de la Ligue Sénégalais contre le tabac s’est rendu au lycée Mame Cheikh Mbaye pour sensibiliser  les élèves sur les danger du tabac. En effet, selon le cancérologue, 92% des fumeurs ont commencé à consommer le tabac à l’école secondaire.

L’application de la loi interdisant la vente de Tabac et de la cigarette à 200 mètres des établissements  scolaires laisse à désirer. C’est pourquoi, le Pr Abdoul Aziz Kassé demande aux proviseurs et à l’administration de prendre les dispositions pour interdire l’utilisation de tabac dans les écoles.

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En moins de 14 mois après son investiture, le Président Adama Barrow est en train de poser les mêmes actes que son prédécesseur. Le locataire de la State House a réussi la prouesse de transformer son village natal, jadis un bled perdu, en une véritable ville. Mankamang Kunda est devenue en l’espace de quelques mois, une cité plus reluisante que Kanilai, le village natal de l’ancien dictateur. Transformer son village a été la seule réussite du moment pour le chef de la coalition qui avait promis monts et merveilles aux gambiens.

C’est quelques jours avant son voyage pour la Belgique en vue de rencontrer les principaux donateurs que le nouveau président gambien Adama Barrow a inauguré sa nouvelle maison. A l’occasion, il y séjournera en compagnie de ses deux épouses pendant deux semaines. Le président élu, en l’espace d’un an et demi, à sa présidence, a réussi à transformer son ancien hameau en une ville moderne avec un cout estimé à près de deux millions de dollars.

Hormis l’imposante villa de plusieurs pièces, Mankamang Kunda compte un bon réseau routier et électrique, des lampadaires, un accès à l’eau potable et d’un assainissement dont ne dispose pas encore les grandes villes comme Banjul,Sérékunda ou Bakau.

A la question de savoir où le Président Barrow a pu trouver près de deux millions de dollars pour construire une nouvelle ville, la State House dégage en touche en accusant l’opposition de faire un mauvais procès au Président Adama Barrow. Pourtant, les arguments de l’opposition ne manquent pas, surtout quand ils sortent le salaire mensuel du président qui tourne autour de 4500 dollars alors que les investissements faits dans son village avoisinent les deux millions de dollars américains.

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L’inspecteur d’Académie (IA) de Dakar a décidé de fermer les écoles aujourd’hui. “Tous les cours vaqueront le jeudi 19 avril 2018 dans toutes les écoles, tous les établissements scolaires et tous les centres de formation professionnelle et technique publics et privés de l’IEF (Inspection de l’éducation et de la formation) de Dakar-Plateau”, annonce-t-il ans une note marquée “Confidentiel” consultée par Seneweb.

L’IA n’a pas donné les raisons de sa décision. Mais tout porte à croire que celle-ci est liée aux risques d’affrontements qui planent sur le centre-ville, ce jeudi, avec les manifestations annoncées devant l’Assemblée nationale contre le projet de loi instaurant le parrainage aux élections.

125 élèves dont 15 évacués à l’hôpital Grand Mbour sont pris en charge par les Sapeurs pompiers. C’est l’effet des lacrymogènes lancés par les policiers en confrontation avec les chauffeurs de taxi clando.

Les bisbilles entre le Maire et les chauffeurs sont à l’origine de ces désagréments. Il y a eu un blessé et une trentaine d’arrestations du côté des chauffeurs qui campent sur leur position de refus de payer la taxe municipale instituée par la municipalité.

XALIMANEWS- Une journée de panique a eu lieu hier, à l’école Adja Mame Yacine Diagne, sise à la rue de Thionk. Le directeur de l’établissement scolaire a déclaré aujourd’hui qu’il y’a eu des jets de grenades à l’intérieur de son école et qu’il y’a eu même deux évacuations de ses élèves. Mais la police se défend d’avoir envoyé une grenade lacrymogène dans ladite école. Apportant sa réplique, de petite taille, des lunettes médicales sur son visage, Mamadou Thioune persiste et signe avec des preuves sur son portable que des grenades lacrymogène ont atterri dans des salles de classe. Il a photographié les débris. « J’ai dit ce que j’ai ressenti. Les enfants pleuraient devant moi, les images étaient choquantes. Je ne suis dans aucun parti politique mais j’ai eu honte hier car, un pays qui se réclame démocrate jette des grenades dans un lieu de culte occupé par des enfants qui sont âgés au maximum de 14 ans, il y’a de quoi à être vraiment paniqué. Les enfants ne méritent pas ça », a révélé le directeur de l’École Mame Yacine Diagne.

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Le projet Formation-Ecole-Entreprise a été lancé officiellement hier par le chef de l’Etat. Macky Sall veut s’attaquer à la question de l’employabilité des jeunes, sachant qu’au  Sénégal, 5% des jeunes de la tranche d’âge de 15 à 24 sont en formation formelle.

‘’Sur environ 8,5 millions de personnes en âge de travailler, 6% seulement ont un diplôme ou la  qualification professionnelle qu’il faut ; et un peu plus de 5% des jeunes de la tranche d’âge de 15 à 24 ans sont dans des structures de formation professionnelle et technique’’. Ces statistiques livrées par le président de la République lui-même montrent à suffisance les ‘’faiblesses structurelles’’ du système éducatif sénégalais  en matière de formation professionnelle. En lançant hier le projet de Formation-Ecole-Entreprise, le chef de l’Etat compte s’attaquer à l’épineux problème de l’adéquation entre les profils offerts par l’école sénégalaise et les besoins du marché de l’emploi. Le projet en question vise, dans sa phase pilote de  3 ans, à former 25 000 jeunes. Ils vont passer 80% de leur temps de formation à l’entreprise contre 20% dans les salles de classe. L’Etat prendra en charge les frais de formation de manière dégressive. De 40 000 F Cfa par an par étudiant à verser aux entreprises concernées en première année, on passe de manière successive à 20 000 F puis à 10 000 en deuxième et troisième. L’une des sources de financement est la Contribution forfaitaire à la charge de l’employeur (CFCE) affectée à 75% en 2018, avant de passer à l’intégralité de la somme en 2019.

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Serges Malou a offert hier des fournitures scolaire (cahiers, règles, stylos, crayon, craie…)  à l’école élémentaire Liberté 1 où il a fait ses premiers pas.

Un geste félicité par le directeur de l’école, Mr Diop, instituteur de Malou en classe de CM2. Les enseignants se sont dits fières de cet acte de reconnaissance. Néanmoins, ils listent leurs maux à Serge Malou et espère que ce dernier fera part de leurs problèmes aux autorités

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Le groupe d’écoles internationales africaines Enko Education a annoncé l’acquisition de l’école West African College of the Atlantic (WACA) basée à Dakar au Sénégal.

Une acquisition qui marque un tournant dans le développement d’Enko Education fondé par Cyrille Nkontchou et Eric Pignot.

« De nombreux propriétaires d’écoles souhaitent assurer la pérennité de leur établissement. Enko Education peut aujourd’hui accueillir en son sein les écoles désirant offrir une éducation internationale et partageant nos valeurs », explique Eric Pignot, directeur général et fondateur du groupe.

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Victorieux aux élections à la représentativité syndicale, le Grand cadre des syndicats de l’enseignement (Gcse), qui regroupe les syndicats de l’enseignement et le Cusems, se sont radicalisés dans leur volonté de faire appliquer les accords signés avec le gouvernement. La centrale qui a décrété ce mercredi 24 janvier journée de grève totale a réuni ses différents leaders hier.

Souleymane  Diallo du Sels,  Abdou Faty du Sels A, Awa Wade de l’ Uden, Abdoulaye Ndoye du Cusems, Saourou Sène du Saems, Soniane du Snelas/Fc, les arabisants et l’inspecteur de l’éducation ont dit leur détermination à aller jusqu’au bout du combat qu’il mènent pour le respect des accords signés avec le gouvernement.

Lors de la rencontre d’évaluation de la plénière PM-syndicats représentatifs, ils ont décrété le mardi 23 janvier 2018, jour de débrayage  suivi d’une assemblée générale d’évaluation  et d’une conférence de presse des Secrétaire généraux à  la cité Soprim au siège du Cusems.

Ce mercredi 24 janvier, c’est la grève totale. pour démontrer que  la séance de négociations tenue entre le Grand cadre des syndicats de l’enseignement (Gcse), le Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen-secondaire (Cusems) et le gouvernement  représenté par le Premier Ministre, Mohamed Boun Abdallah Dionne, n’a pas répondu à leur attente. Les différents leaders syndicaux en question vont recueillir les avis de leurs militants pour suite. Malgré la radicalisation, les enseignants ne ferment pas la porte des négociations avec Mohammed Dionne qui devraient reprendre dans les prochains jours.  Pour rappel, sur les doléances, des directives primatoriales ont été données

Les blocages les plus ardus se notent au niveau de la question de l’indemnité de logement où il n’y a pas  d’accord entre les leaders syndicaux et le gouvernement,la non application du protocole d’accord signé avec le gouvernement en février 2014 est restée en travers de la gorge des enseignants qui  ont abandonné leur plan d’action l’année dernière à la suite de l’intervention des chefs religieux.

Au moins 9 personnes ont été tuées et des dizaines d’autres blessées, ce vendredi, au cours d’une attaque de talibans armés contre une école de Peshawar, dans le nord-ouest du Pakistan, ont déclaré les autorités.
«Nous avons recueilli les corps de six personnes ainsi que 18 blessés, dont deux dans un état critique», a indiqué à l’AFP une porte-parole du complexe médical de Hayatabad.

Une autre structure sanitaire publique, le complexe médical Kyber, a déclaré avoir accueilli vingt (20) blessés et reçu les dépouilles de 3 personnes.

Les abris provisoires constituent un réel problème dans le secteur de l’éducation certes mais quand les écoles sont fermées pour fautes d’enseignants c’est encore grave et honteux pour un pays en voie de développement.

L’émergence dont nous pompe l’actuel régime est une grosse chimère en réalité. Des écoles publiques sont fermées pour faute d’enseignants. Et c’est Serigne Mbaye Thiam, le ministère de l’Education nationale, qui a osé donner l’information. En manque d’argument, le gouvernement soutient que des efforts de rationalisation de la gestion du personnel sont entrepris depuis 2012.

Malgré tout, ces déséquilibres persistent, note le ministre. «Il y a des régions qui sont des régions à fort départ d’enseignants comme Matam, Sédhiou, Kédougou, Tambacounda, entre autres. A côté, il y a des régions prisées par les enseignants, il faut s’arrêter parce que nous avons au niveau du gouvernement, le devoir d’assurer une éducation de qualité à tous les enfants du Sénégal. Pour ce faire, nous consultons aujourd’hui les partenaires dans cet atelier inclusif avant de prendre de décisions», a encore déclaré Serigne Mbaye Thiam.

Le ministre précise : «Les gens préfèrent aller dans les centres urbains. A côté des départs qui relèvent du mouvement national, il y a des départs qui relèvent d’interventions multiples des responsables à tous les niveaux. Mais, c’est notre responsabilité de faire pour que tous les enfants du Sénégal puissent avoir des enseignants en quantité et en qualité.»

Un fait qui n’est pas aujourd’hui sans conséquence, car la plupart des enseignants sont concentrés à Dakar. «On voit des villages où des écoles sont fermées, faute d’enseignants, ou bien on organise des classes multigrades ou des classes à double-flux parce qu’on n’a pas d’enseignants. On voit aussi des lycées où on nomme des censeurs ou des proviseurs dans ces régions qui n’ont pas le profil pour l’être. Parce que tout simplement on n’a pas des enseignants expérimentés, parce que ces derniers préfèrent venir au niveau des centres urbains», constate le ministre.

Il note toutefois que «c’est une situation qui ne peut pas continuer. Les professeurs d’enseignement secondaire, ce sont les professeurs les plus qualifiés au niveau de l’enseignement moyen secondaire. Quand on fait le ratio professeurs d’enseignement secondaire et surnombre d’élèves, on est à 1 professeur d’enseignement secondaire pour 34 élèves à Dakar. On est à 1 professeur d’enseignement secondaire pour 139 élèves à Sédhiou, alors que les enfants de Sédhiou et les enfants de Dakar sont sur un pied d’égalité en ce qui concerne l’éducation et de ce que l’Etat doit faire pour eux».

La Première Dame, Marième Faye Sall, a offert la somme de 5 millions Fcfa à Cheikh Tidiane Diagne, un maître coranique en détresse.

Ne disposant pas d’assez de revenus, même si les héritiers ne lui ont demandé que 3 millions Fcfa, Cheikh Tidiane avait pris contact avec la Fondation Thiès Solidarité, qui va lancer un appel à travers une vidéo.

Un appel qui finira par tomber dans les oreilles de la Première dame, qui déboursera la bagatelle de 5 millions Fcfa, pour sauver les pensionnaires du Daara, établi à Cité Niakh.

Marième Faye Sall n’en est pas à sa première, car avec sa fondation «Servir le Sénégal», elle multiplie les actions de bienfaisance.

Voici une histoire dont plusieurs médias aux Etats-unis en parlent en ce moment. Selon les informations relayées par ces médias, Pamela Stigger, 33 ans, a été surprise par un agent de la police locale en plein ébat sexuel avec son ancien élève sur la banquette arrière de sa voiture, il y a quelques jours en Floride.

Plusieurs sources concordantes indiquent que la trentenaire était en train de pratiquer une fellation sur le jeune homme de 15 ans aux environs de 2h du matin lorsqu’elle a été surprise par l’agent de police.

Alors que “le jeune homme était consentant et s’épanouissait” dans cette expérience, les autorités ont plutôt estimé qu’il s’agit d’une agression sexuelle, parce que l’ex-élève de la dame est âgé de 15 ans. Dès lors, il s’agit selon les autorités d’un abus sexuel sur mineur.

L’enseignante a donc été mise en examen pour avoir eu un rapport sexuel avec son ancien élève. Les deux protagonistes de l’histoire ont chacun apporté une version des faits différente. La prof a nié avoir eu un contact sexuel avec le jeune homme. Elle a affirmé que celui-ci était en train de «tenter de la séduire» lorsque le policier est arrivé, relate NBC Miami. L’accusée a déclaré qu’elle essayait juste de lui «donner des conseils», selon le rapport de police.

Les écoles Yavuz Sélim sont définitivement fermées. Le président du Conseil d’administration, Madiambal Diagne, semble avoir déjà digéré la situation. En effet, il a annoncé que les parents d’élèves, qui ont déjà inscrit leur enfant, seront remboursés.

“Nous ne nous attendions pas à connaître cette situation. Nous avons comptabilisé les réinscriptions. Si l’école ferme, et c’est le cas aujourd’hui, les parents seront remboursés naturellement. Je ne peux pas dire qu’on va le faire tout de suite. On essaie de mobiliser les ressources et organiser les remboursements”.

Sur les 46 établissements scolaires du moyen et du secondaire, onze sont menacés de fermeture à cause d’un état de délabrement très avancé, annonce L’As, lu par Actunet.

Des centaines d’élèves risquent d’être sans école dans la capitale du nord, puisque selon la recommandation de la commission de la Protection civile, les onze écoles qui se trouvent dans un état de délabrement très avancé à Saint-Louis, sont menacées de fermeture.

«Saint-Louis a été le centre névralgique de l’administration et des infrastructures scolaires, mais depuis des années, la quasi-totalité des écoles sont en décadence. Cette ville ne mérite pas ces écoles», se désole Siaka Goudiaby, l’Inspecteur de l’éducation et de la formation (Ief) de Saint-Louis.

Selon lui, «il faut un plan architectural dans le cadre d’un vaste programme de réhabilitation et de reconstruction des écoles».