On en sait un peu plus sur la manifestation des potaches de Thiomby, Ngothie et Gandiaye. En effet, bloquant ce matin la route nationale numéro 1 pour fustiger les grèves répétitives notées dans l’enseignement, ces derniers en sont venus aux mains avec les gendarmes qui s’étaient mobilisés pour disperser la foule.

Au finish, la marche s’est transformée en véritable intifada avec des séries de jets de pierre. Ainsi, le bilan global a fait état d’une vingtaine de blessés parmi les élèves, ainsi que 2 arrestations. Du côté des gendarmes, le bilan reste inchangé, avec 3 gendarmes blessés par jet de pierre.

Dans la soirée, la situation est revenue à la normale. D’ailleurs, les deux élèves arrêtés, ont été finalement libérés à la suite de la médiation des autorités locales. Mais, la mairie elle s’est complètement métamorphosée du fait du saccage dont elle a fait l’objet ce matin par des potaches ” ivres” de reprendre le chemin de l’école.

Le Secrétaire général du Cusems, Abdoulaye Ndoye, s’est rendu, ce mercredi 25 avril, au chevet des élèves blessés de Thiès. L’enseignant membre du G6, demande leur évacuation rapide. Il exige également la prise en charge intégrale des frais médicaux par le gouvernement, sur Walf fm.

“Nous sommes venus à Thiès notamment à l’hôpital Amadou Sakhir Ndiéguène pour nous enquérir de l’état de santé des élèves qui ont été blessés. L’un d’eux a perdu l’œil et l’autre a été gravement blessé au  visage plus précisément au nez,  déclare Abdoulaye Ndoye. Leur état de santé est très inquiétant. Il nécessite une évacuation d’urgence pour un traitement diligent mais surtout une prise en charge des frais médicaux par les autorités de ce pays.”

À l’en croire, “on ne peut plus attendre parce que la situation est très difficile”.

Pour Abdoulaye Ndoye, “les autorités de ce pays doivent aussi apporter un soutien aux parents des élèves (qu’il a trouvé sur place) parce que c’est terrible, c’est triste.”

“Il faut que cette affaire soit tirée au clair parce que je ne pense pas qu’on puisse tirer des grenades lacrymogènes sur des élèves qui veulent retourner dans leurs salles de classes à juste titre. Mais aujourd’hui, c’est au gouvernement du Sénégal surtout au président Macky Sall de comprendre la gravité de la situation, faire un dépassement comme le président Alpha Condé l’a fait en Guinée et le président Ouattara, en Côte d’Ivoire”, soutient-il.

Ça chauffe actuellement à Ziguinchor. Les élèves du Lycée Djignabo sont dans la rue. Ils ont délogé les CEM et Lycées du publique comme du privé catholique ou laïc.

Une confrontation en entre élèves et GMI, qui utilisent des bombes lacrymogènes, séme la désordre dans les rues de cette région. Les élèves ripostent par des jets de pierres et des pneus brûlés sur certains points stratégiques de la ville.

À Yeumbeul, la grève des élèves des lycées et des collèges a pris une tournure déplorable. De violents affrontements ont opposé les élèves du public à leurs camarades du privé. Les pensionnaires du Cem Momar Marième Diop à Yeumbeul Nord, qui sont descendus dans la rue pour dénoncer les grèves répétées des enseignants, ont délogé les élèves des écoles privées qui suivaient tranquillement leurs cours. Mais au niveau de l’école privée Seydi Djamil, la situation a débordé. Les élèves de cet établissement ont apporté la riposte à leurs camarades.

S’en sont suivis des échanges de jets de pierre. Le bilan fait état d’un blessé grave. Il s’agit d’une femme qui officierait à l’école privée, qui a été blessée. «J’ai vu une dame blessée. Elle saignait. Elle a été conduite à l’hôpital de Pikine», explique notre informateur. Pendant une vingtaine de minutes les potaches ont semé panique et confusion à Yeumbeul, barrant la route de Boune, précisément à hauteur du célèbre arrêt «Diouma Peulh Fouta». Les affrontements ont aussi occasionné des dégâts matériels énormes. La toiture d’une maison en ardoise a été complètement endommagée par les jets de pierre.

Dans la foulée, l’un des meneurs de la grève du Cem Momar Marième Diop a passé un sale quart d’heure au niveau de l’école privée Seydi Djamil. Il a été tabassé par ses camarades. «Il a été pris à partie par les élèves de Seydi Djamil. Ils l’ont bien corrigé car il avait refusé de prendre la fuite», ajoute notre source.

L’INSPECTION D’ACADEMIE DE PIKINE GUEDIAWAYE, SOUS HAUTE SURVEILLANCE POLICIERE

Les élèves des Cem et des lycées de la banlieue ont déserté les classes hier. Ils sont descendus dans les rues pour organiser des marches de protestation. Ceux du lycée de Mbao et des Cem de Tivaouane Diacksao n’ont pas été en reste. Ils voulaient envahir l’Inspection d’Académie de Pikine Guédiawaye, pour déverser leur colère. Cependant, sur place, il y avait un impressionnant dispositif de sécurité. Les hommes du commissaire Khadidiatou Sarr de la police de Thiaroye veillaient au grain.

Finalement, les élèves ont poursuivi leur marche jusqu’au lycée Seydina Limamou Laye. «Nous voulons étudier. L’État doit respecter ses engagements qu’il a signés avec les enseignants. Les examens du Bac sont prévus à partir du 06 juin, avec l’anticipée de Philosophie. Or, nous n’avons même pas fini les premiers chapitres. L’État est en train de nous sacrifier», déplore Cheikh Diaw élève en classe de Terminale au lycée de Mbao. Sa camarade, fatiguée par la longue marche mais très outrée, ajoute ceci : «Le Président Macky Sall parle tout le temps de Sénégal émergent. Mais comment peut-on émerger si les enfants n’apprennent pas à l’école ?», s’interroge Fatou Ndiaye, en posant la question au Président Macky Sall….

Une jeune élève vient d’être mortellement fauchée par un car Ndiaga Ndiaye sur la VDN à hauteur de la SDE.

Selon le reporter de Teledakar, le chauffard qui conduisait le car Ndiaga Ndiaye faisait la course avec un autre, au moment où la victime traversait.

La violence du choc a été telle que la fille est morte sur le coup.

Malick Gakou, président du Grand parti (Gp) était hier dans les locaux du lycée Limamoulaye. C’était pour procéder à la remise du prix «Seydina Limamoulaye» sous la présence du proviseur Mandaw Mbaye, des membres de l’administration du lycée et de certains membres du Gouvernement scolaire.

C’est ce que renseigne un communiqué qui indique que «ce prix annuel a été initié il y a quatre ans par Malick Gakou pour récompenser et soutenir les meilleurs élèves de la terminale de son ancien Lycée, afin qu’ils puissent poursuivre leurs études au Sénégal ou à l’étranger après le Baccalauréat».

A karang la situation est plus que critique, les élèves qui ont décidé de passer outre la décision du l’autorité d’organiser les évaluations dans leurs professeurs,ont passé la vitesse à la vitesse supérieur en brûlant leurs blouses.

Sous le couvert de l’anonymat un des professeurs est revenu avec dakarmatin sur les faits…..

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Suite a la situation scolaire qui a prévalu à Karang ces derniers jours, les élèves ont brûlé leurs blouses devant l’administration.
Pour rappel, le proviseur avait tenté un coup de force pour organiser des compositions. Il avait appelé les gendarmes et les avait donnés des blouses pour qu’ils se fondent dans la masse des élèves afin de les attraper. Seize élèves ont été capturés, torturés et ont été acheminés au tribunal de Fatik le lendemain.
Les élèves, considérant que leurs blouses étaient souillées, ont décidé de ne plus les porter…

Source: SAEMSS Fatick
Le SNPC du SAEMSS

Deux élèves qui partaient à l’école, hier mardi 13 février, à bord d’une  moto Jakarta ont trouvés la mort en chemin. A hauteur d’un virage, un bus qui évitait un chien errant est entré en collision avec la moto Jakarta des deux jeunes qui sont mort sur le coup.

Ces derniers roulaient dans le sens inverse du bus, qui était sur le sens de Tanaff vers Ziguinchor. Les traumatismes crâniens et les blessures ouvertes démontrent la gravité  de l’accident. La maman de l’une des victimes a perdu connaissance et s’est effondrée en voyant le corps inerte de son fils.

Les Gendarmes de la brigade de Samine se sont déployés sur les lieux, pour constater les faits et ouvrir une enquête. Le conducteur du bus est entre les mains des Gendarmes.

Macron – Depuis quand vous êtes 28…? Ecoutez la réponse des élèves

Regardez la vidéo sur Actunet.net

Relation entre prof et élève : « Comment arrivent-ils à coucher avec leur victime »

Triste histoire de l’élève N. Ndiaye en classe de 4 e au Cem Massamba Diouf de Louga. Elle n’oubliera jamais sa mésaventure du mardi 2 janvier 2018. En effet, allant acheter du pain, à 6 heures du matin, N. Ndiaye a été interceptée  par un homme qui lui tendant un sac quelle a pris sans méfiance. Ce dernier, l’ordonna de donner le sac à son ami qui était dans un véhicule non loin de la boutique. Et c’est le début du calvaire pour N. Ndiaye.

Mise dans la voiture, elle a été amène en brousse par ses deux kidnappeurs. Réveillée, elle était dans la panique totale. Mais sans défense, les deux hommes l’ont ordonné de se déshabiller pour lui administrer des bains mystiques voir même une scène de rituel. D’abord, ils lui lavent ses parties intimes avant de continuer avec des séries de bain durant toute la journée de ce fameux mardi.

Ces ravisseurs lui ont assuré qu’elle n’allait ni être violée, ni être tuée, après l’accomplissement de leur travail. Les deux hommes laissent ensuite la fille seule dans la brousse, mais lui annoncent sa mort  qui devrait survenir d’ici deux mois. Aidée par un charretier, qui l’a retrouvé le lendemain matin dans un état lamentable, elle est déposée à Géoule. N.ndiaye, sous le choc et la souffrance, a été récupérée par son frère à la gare routière de Dakar. De l’amertume et de la peur, c’est ce que ressent sa famille qui restera dans le doute d’ici deux mois, attendant que leur fille soit morte comme promis par les ravisseurs.

Mohamed S. Camara, Djibril Ibrahima Kane et Amadou Samb aiment croquer la vie à belles dents. Mais au lieu d’étudier pour gagner leur vie à la sueur de leur front, ces jeunes élèves en classe de terminale ont plutôt opté pour la facilité. Pour faire la bamboula, Mohamed Camara et ses amis ont volé 5 millions Cfa appartenant à sa mère adoptive. Le Procureur a requis une peine de 6 mois ferme.

La plaignante Ndèye Coumba Camara explique que c’est à son retour de voyage en France qu’elle a constaté des mouvements opérationnels dans le compte de son entreprise. Les chèques utilisés pour ces opérations portent sa signature. Pourtant, il n’y a que ses nièces et ses collègues qui connaissent l’existence de ces chèques. Après des enquêtes, la banque révèle qu’un certain Amadou Samb veut faire un retrait sur son compte. Alpagué, Mohamed Camara a reconnu sans ambages le vol des chèques. Le délibéré est fixé le 16 octobre prochain.

L’élève candidat au baccalauréat a joint l’acte à la parole. Un candidat au bac, qui avait menacé de se donner la mort en cas d’échec, s’est suicidé dimanche à Gandiaye, dans le département de Fatick.

Selon Sud Fm, qui a donné l’information dans son édition de 6h30 ce mardi, l’élève âgé de 18 ans, s’est pendu à un arbre chez lui.

Il a échoué au bac à deux reprises. Depuis son deuxième ratage, ses parents le surveillaient comme du lait sur le feu. En vain.