La rencontre avec les acteurs des médias est prévue au restaurant Fun city de la résidence Mamoune, sur la VDN, à Dakar.
La semaine nationale de la Petite enfance et de la Case des tout-petits sera l’occasion pour  la Directrice générale de l’Agence nationale de la Petite enfance et de la Case des tout-petits d’évaluer les progrès enregistrés relativement à la situation des petits enfants.

Thérèse Faye Diouf est consciente de l’énormité des défis, car “beaucoup d’enfants ne profitent pas du paquet de services.”

Ker ImagiNation: Lauréat 2019 du

‘Meilleur musée pour enfants’

CONTEXTE

Kër ImagiNation, le principal centre d’apprentissage et de culture pour les enfants au Sénégal a remporté le prestigieux prix du «Meilleur musée pour enfants » décerné par Hands On International et l’Académie Européen des musées. Ce prix, crée en 2011, reconnait l’excellence dans le secteur spécifique des musées internationaux pour enfants. Ker ImagiNation a été primé parmi plus de 80 entrants du monde entier. Les journalistes sont invités à une conférence de presse sur le thème: “La culture comme levier de développement” lors de la journée mondiale de l’enfance.

A propos de l’exposition- Imaginer Dakar : la ville par ses enfants citoyens

En collaboration avec l’architecte Carole Diop et le photographe Ibrahima Pouye

IMAGINER DAKAR : LA VILLE PAR SES ENFANTS CITOYENS” est la première exposition réalisée par et pour les enfants de Dakar. L’exposition a été lancée lors de la 7e édition du Partcours, un événement culturel d’envergure qui se tient à Dakar chaque année. Cette exposition multimédia a offert aux visiteurs l’occasion de vivre l’expérience de Dakar à travers le regard de ses plus jeunes citoyens – les enfants. L’exposition comprenait deux espaces interactifs ; la première – une mini ville où enfants et adultes ont été invités à s’immerger dans une expérience passionnante afin de reconstruire leur ville et la deuxième – des photos et vidéos prises par les enfants en tant que réflexion critique sur leur ville. L’exposition est l’aboutissement d’un travail collaboratif de deux mois avec les enfants de Yoff, le quartier où Ker Imagination est basé. Pendant deux mois, 30 enfants de Yoff ont bénéficié de 15 ateliers sur les thèmes du multimédia, de la ville, de l’art et de la culture, de l’urbanisme et d’architecture, et ont mené des conversations au sujet de leur ville, de leur quartier et de l’efficacité des services publics. Parmi les questions que les enfants ont soulevées et explorées étaient : l’absence d’espaces publics (de jeux), les problèmes de déchets et la sécurité dans leur quartier. Ces questions étaient alors plus examinées en profondeur par les enfants à travers la photographie, des vidéo et des entrevues avec la famille et des voisins. Afin de vraiment permettre aux visiteurs de voir la ville à travers les yeux d’un enfant les enfants ont construit 3 périscopes que les adultes ont  utilisé pour visiter l’exposition à partir de la taille moyenne d’un enfant de 3, 7 et 11 ans.

Impact sur les enfants :

• Les enfants ont acquis des compétences en multimédia, notamment la photographie, la réalisation de vidéos, et le montage vidéo/photo et son

• Les enfants  ont pris connaissances des notions de science, technologie, ingénierie, et mathématiques par l’entremise du construction des périscopes

• Les enfants étaient engagés dans l’analyse, les réflexions critiques,  et  la résolution des problèmes en utilisant leur créativité

• Les enfants ont mené une réflexion sur les questions sociopolitiques dans leur ville et leur quartier à travers des entrevues et l’engagement communautaire

• Les enfants ont été plongés dans des activités préprofessionnelles, notamment dans les secteurs de l’architecture et l’urbanisme.

MESSAGES CLES

Kër ImagiNation, lauréat 2019 « meilleur musée pour enfants »

#meilleurmuséepourenfants 

• 85 % de la maturation du cerveau se fait avant l’âge de 5 ans et l’environnement joue un rôle primordial dans le bon développement de l’enfant, c’est une source de stimulation et l’éveil.

• Dakar compte un seul jardin, air de jeux ou parc pour chaque 82000 habitants dans la ville.

• « Article 31 – Droits des enfants: 1. Les États parties reconnaissent à l’enfant le droit au repos et aux loisirs, de se livrer au jeu et à des activités récréatives propres à son âge, et de participer librement à la vie culturelle et artistique.

• 2. Les États parties respectent et favorisent le droit de l’enfant de participer pleinement à la vie culturelle et artistique, et encouragent l’organisation à son intention de moyens appropriés de loisirs et d’activités récréatives, artistiques et culturelles, dans des conditions d’égalité. »

• Le Senegal, et pas seulement l’état a une obligation d’agir maintenant sur l’environnement pour les enfants quand on prend en compte les compétences dont ils auront besoin dans le 21eme siècle, telles que : la capacité à résoudre des problèmes et la créativité, ainsi que des valeurs de vie en société comme le respect des autres et des règles, la camaraderie, le travail en équipe.

• Nous devons comprendre les bienfaits des jeux pour l’éducation et le développement du cerveau de l’enfant, y compris les enfants en situation d’handicap ou les enfants qui ont vécu des traumatismes.

• Il nous faut la participation de tout le monde pour créer un espace digne de nos enfants et nos aspirations pour leur avenir. Nous pouvons et devons créer des lieux qui permettent aux enfants de vivre leur plein potentiel.

• Ker ImagiNation a réussi à gagner un prix mondial avec 30 enfants de Yoff et des moyens réduits, quels seront les possibilités avec plus de moyens et l’accessibilité pour plus d’enfants ?

Lettre du jury- Prix pour le meilleur musée pour enfants

“Qu’est-ce qu’un musée de nos jours ? La question a été abordée par des professionnels des musées venus du monde entier lors de l’assemblée générale de l’ICOM à Kyoto en septembre dernier. Au fur et à mesure que le rôle de l’institution évolue, on a estimé qu’il était temps de revoir la définition de “musée”, une definition vieille de 50 ans.

Le jury a été unanime dans sa décision de faire de Kër ImagiNation le lauréat du prix “Enfants dans les musées” 2019. Premier lieu dédié à l’apprentissage créatif au Sénégal, Kër ImagiNation a été reconnu comme un espace culturel novateur et innovant, non seulement à Dakar, mais dans toute l’Afrique de l’Ouest.

Décrivant Kër ImagiNation comme un exemple de la définition la plus récente des musées, Margherita Sani, présidente du jury, a déclaré que ” Kër ImagiNation est un espace démocratisant, polyphonique et inclusif qui encourage et nourrit une culture basée sur la réflexion critique, où les enfants sont invités à observer, explorer et rechercher dans leur environnement et le monde extérieur afin de l’améliorer et de contribuer à un meilleur avenir pour tous.

Ker Imagination doit être salué pour sa vision et son ambition de créer une nouvelle génération de dirigeants africains qui réfléchissent autrement sur ce qui est possible pour l’Afrique et le monde.

Ker Imagination peut inspirer d’autres musées à concevoir des programmes pour améliorer la condition des enfants et, pour nous tous, il offre un exemple de ce qui peut être réalisé avec peu de moyens et un budget modeste.

La culture comme levier du développement

La culture sous ses multiples formes est essentielle pour relever les défis mondiaux : essentielle en tant que facteur de croissance économique et de développement humain, en tant que réserve de connaissances relatives à l’environnement, en tant que force symbolique capable d’apporter la stabilité et la sécurité aux enfants et de leur donner une place dans le monde. Les principes d’inclusivité et d’éthique mondiale permettent à tous les individus et à tous les groupes, même les enfants qui sont souvent marginalisés, de participer aux processus de développement et d’en profiter.

La présence plus visible et effective de la culture dans les programmes de développement aux niveaux local, national, et international est indispensable au développement durable. C’est le meilleur moyen de préparer les enfants à aller à la rencontre des autres et à avoir la capacité de créer, imaginer et innover dans son propre environnement.

https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000189382_fre

A PROPOS D’IMAGINATION AFRIKA

ImagiNation Afrika œuvre pour le développement positif de l’enfant en créant des espaces publics centrés sur l’enfant, en s’associant à des institutions qui accompagnent les enfants et en soutenant les parents et les communautés. Tout cela en vue de créer un écosystème permettant aux enfants de s’épanouir et de devenir des changemakers capables d’avoir un impact sur le continent africain au 21eme siècle.

Ker ImagiNation est le hub d’apprentissage et d’innovation d’ImagiNation Afrika, le premier espace dédié à l’apprentissage par le jeu en Afrique de l’Ouest et le lauréat 2019 du prix « Meilleur musée pour enfants » décerné par Hands On International et l’Academie Européenne des musées.

LIEN VERS LES IMAGES ET LES PHOTOS DE L’EXPOSITION « IMAGINER  DAKAR : LA VILLE PAR SES ENFANTS CITOYENS »

Photos de l’exposition:

 https://drive.google.com/drive/folders/1XVdy1uJNXhPgjXyGAymbS1F1ojF1eTmD 

V idéos qui montrent la création de l’exposition et des interviews fait par les  enfants:

https://www.youtube.com/watch?v=WtcfhqbjwI8

https://www.facebook.com/watch/?v=349596939153671&external_log_id=5e0d220f8fdae424e083878f70765c4f&q=ker%20imagination%20partcours

NOS PANELISTS

Karima Grant- Fondatrice/Directrice, ImagiNation Afrika

Aicha Dior Diagne –Directrice des Opérations, ImagiNation Afrika

Sophie Le Hire- Artiste en residence, Ker ImagiNation

Karima Grant :

Karima Grant a fondé ImagiNation Afrika en 2011 au Sénégal. Elle travaille avec son équipe à la création d’un programme éducatif et innovant. Il a pour but de développer la pensée créative et critique des enfants en intégrant la culture locale, le jeu et l’apprentissage à travers des expériences.

Aicha Dior Diagne:

Aicha Dior Diagne est la directrice des opérations pour ImagiNation Afrika. Elle cumule plus d’une dizaine d’années dans le management et l’entrepreneuriat. Aicha est la co-fondatrice de la crèche Ker ImagiNation Playschools basée à Dakar.

Sophie Le Hire :

Sophie Le Hire est l’artiste en résidence chez Kër ImagiNation pour la saison 2019-2020. Artiste plasticienne, la démarche artistique de Sophie Le Hire s’axe autour de la place de l’être humain dans le monde, d’un point de vue social, organique, spirituel et psychique. Sophie est artiste pédagogue avec plus de 13 années d’expérience en tant que conceptrice et réalisatrice d’ateliers d’art pour les enfants.

St-Denis | Une femme de 74 ans, a créé toute une commotion, hier, en allaitant son fils de 43 ans au milieu d’un restaurant de la chaîne de restauration rapide Quick. De nombreux clients de l’établissement se seraient plaint de leur comportement et auraient invectivé Line Lamoureux et son fils, Marc Delisle, qui ont finalement été expulsés du commerce. Cet épisode inusité a provoqué de vives réactions sur les médias sociaux et a suscité un véritable débat sur les limites du droit à l’allaitement dans les lieux publics, alors que plusieurs clients du restaurant semblent y avoir vu un geste à caractère sexuel et incestueux, plutôt qu’un geste d’attention maternelle.

« C’était vraiment dégueulasse! » affirme Yves Tanguay, un client qui a assisté à toute la scène. « Je n’ai rien contre l’allaitement en temps normal, mais là, c’était vraiment n’importe quoi. On aurait cru un porno fétichiste! Il faut vraiment être malade mentale pour allaiter son enfant jusqu’à cet âge-là! Ils auraient carrément dû être arrêté pour « grossière indécence » au lieu d’être juste expulsé! » Devant la controverse provoquée par l’incident, le président et chef de la direction de Quick, Robert Dépatie, a rapidement réagi. Il a tenu à présenter ses excuses à Madame Lamoureux et à son fils pour le « malencontreux épisode » , et à condamner la décision du gérant de les expulser.

Line Lamoureux et son fils ont confirmé qu’ils avaient l’intention de poursuivre la chaîne pour le « traitement injuste » dont ils ont été victimes. « C’est mon droit en tant que mère d’allaiter mon fils » affirme Madame Lamoureux. « Si les gens ne sont pas d’accord avec ma manière d’élever mon fils, c’est leur problème. J’ai élevé un bon garçon, beau, grand et fort, qui vit encore avec moi et qui passe toutes ses journées avec moi. Je crois que j’ai très bien réussi dans mon rôle de mère, et je ne veux pas me faire insulter et expulser d’un commerce parce que j’ai décidé d’allaiter mon fils pendant quelques années de plus que les autres mères. » Les chances de gagner de la septuagénaire seraient excellentes, selon de nombreux experts juridiques. Depuis 1977, la Charte des droits de la personne  empêche toute discrimination à l’égard des femmes, si bien qu’à plusieurs reprises, des commerçants ont été condamnés à payer des sommes assez importantes pour avoir demandé à des femmes de cesser d’allaiter leur enfant ou avoir refusé de les tolérer dans leur commerce.

« Il vit en France avec ce petit garçon de 4 ans et demi, alors que la mère est restée sur l’île de la Réunion avec l’autre partie de la famille, il était parti faire les courses, mais il a un peu à tarder à rentrer parce qu’en sortant du magasin, il s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go », a précisé François Molins, procureur de la République de Paris à propos du père de l’enfant suspendu dans le vide et dont le sauveur été reçu ce lundi à l’Élysée.

Le père du garçon sauvé par Mamoudou Gassama l’avait laissé seul pour aller faire des courses. Puis il « s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go ». Lire la suite de l’article sur Actunet.net

« Il vit en France avec ce petit garçon de 4 ans et demi, alors que la mère est restée sur l’île de la Réunion avec l’autre partie de la famille, il était parti faire les courses, mais il a un peu à tarder à rentrer parce qu’en sortant du magasin, il s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go », a précisé François Molins, procureur de la République de Paris à propos du père de l’enfant suspendu dans le vide et dont le sauveur été reçu ce lundi à l’Élysée.

Le père du garçon sauvé par Mamoudou Gassama l’avait laissé seul pour aller faire des courses. Puis il « s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go ».
Le père de l’enfant de 4 ans et demi qui s’est retrouvé suspendu dans le vide au 4e étage d’un immeuble du 18e arrondissement à Paris connaîtra son sort en septembre prochain.

Cet homme né en 1981, sans antécédents judiciaires, avait été placé en garde à vue dimanche soir pour avoir laissé son enfant seul sans surveillance dans l’appartement familial. Résultat, le petit garçon s’est retrouvé suspendu dans le vide, accroché à un balcon, avant d’être sauvé par Mamoudou Gassama, jeune Malien sans papiers de 22 ans, qui a escaladé la façade à mains nues en quelques secondes.

Si le jeune héros a été reçu ce lundi par Emmanuel Macron, qui l’a félicité et lui a annoncé qu’il allait être naturalisé français, le père de l’enfant, lui, a dû s’expliquer.

« Il s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go »
Selon le procureur de la République de Paris François Molins, cet homme vit seul avec l’enfant tandis que la mère est restée sur l’île de la Réunion avec l’autre partie de la famille ». Au moment de l’incident, « il était parti faire des courses », explique le procureur sur BFMTV.

« Le problème c’est qu’il a un peu tardé à rentrer à la maison, tout simplement parce qu’en sortant du magasin où il avait fait ses courses, il s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go. Ce qui a pris un plus de temps et a retardé d’autant son retour. Son comportement est constitutif d’une infraction qui est la soustraction à des obligations parentales »
« Il est effondré »
Selon François Molins, le père du petit garçon « est effondré », car « il se rend compte des conséquences dramatiques que cela aurait pu avoir ». En attendant sa convocation au tribunal en septembre prochain, il a été remis en liberté. Il risque deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.

Son fils a quant à lui été placé dans une structure d’accueil sur décision du parquet.

La scène est aussi terrifiante que spectaculaire. Ce samedi soir, un homme est rapidement monté, depuis le trottoir, au cinquième étage d’un immeuble du 18e arrondissement de Paris, pour porter secours à un enfant de 4 ans, suspendu dans le vide. lire la suite sur teledakar.net

Les populations de la banlieue de Dakar vivent un début de ramadan triste. Le bilan macabre est lourd. Mardi dernier un gendarme âgé de 55 ans, en service mais, malade, s’est suicidé à la Cité Sotida à Pikine, en se mettant une balle sur la tête. Jeudi (avant-hier), Sangoné Sow, âgé de 44 ans, chauffeur de son état, s’est lui aussi suicidé avec une corde dans les filaos, à Guédiawaye. Hier un enfant de 12 ans est mort de façon triste à Thiaroye sur mer (Pikine, Banlieue de Dakar). Il s’appelait Habib Diène et était âgé de 12 ans. Actunet fait savoir qu’Habib était en classe de CM1 dans une école à Thiaroye sur mer. Habib et un des amis étaient partis à la recherche du polystyrène. Une matière que les enfants lébous utilisent pour nager à la mer. Arrivés dans une maison abandonnée, ils ont commencé à tirer des barres de fer. Mais malheureusement pour Habib, un pan du mur a cédé et lui est tombé dessus. Il est mort sur le coup. Son camarade a eu plus de chance que lui. Les faits se sont déroulés au quartier Abdou Guèye, face à la cotonnière aux environs de 17 heures.

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Les populations de la banlieue de Dakar vivent un début de ramadan triste. Le bilan macabre est lourd. Mardi dernier un gendarme âgé de 55 ans, en service mais, malade, s’est suicidé à la Cité Sotida à Pikine, en se mettant une balle sur la tête. Jeudi (avant-hier), Sangoné Sow, âgé de 44 ans, chauffeur de son état, s’est lui aussi suicidé avec une corde dans les filaos, à Guédiawaye. Hier un enfant de 12 ans est mort de façon triste à Thiaroye sur mer (Pikine, Banlieue de Dakar). Il s’appelait Habib Diène et était âgé de 12 ans. Actunet fait savoir qu’Habib était en classe de CM1 dans une école à Thiaroye sur mer. Habib et un des amis étaient partis à la recherche du polystyrène. Une matière que les enfants lébous utilisent pour nager à la mer. Arrivés dans une maison abandonnée, ils ont commencé à tirer des barres de fer. Mais malheureusement pour Habib, un pan du mur a cédé et lui est tombé dessus. Il est mort sur le coup. Son camarade a eu plus de chance que lui. Les faits se sont déroulés au quartier Abdou Guèye, face à la cotonnière aux environs de 17 heures.

Le corps de la victime a été acheminé à l’hôpital par les sapeurs-pompiers. La gendarmerie a ouvert une enquête. Cet accident a plongé les populations de Thiaroye sur mer dans l’émoi et la consternation.

Urgent. Drame au quartier Abdou Guèye à Thiaroye sur Mer. Un mur d’une maison abandonnée s’affaisse sur un enfant. Il meurt sur le coup. L’enfant était à la recherche de la ferraille. Nous y reviendrons avec notre correspondant en banlieue Younoussa Baldé.

Une voiture a écrasé un enfant de trois ans ce jeudi vers 17 heures. La scène d’horreur s’est déroulée à la rue 7 angle 8 de la Médina, selon Vox populi. Qui précise que sous l’effet du choc, l’enfant a eu la tête arrachée et les bras écrabouillés. La police et les sapeurs-pompiers se sont rendus sur les lieux.

Le comédien Abdoulaye Ndiaye dit Ndiaye sera jugé ce matin au tribunal départemental de Pikine. Il avait fauché mortellement avec sa voiture un enfant à Pikine, samedi dernier.

Le démarrage de son procès est attendu d’un moment à l’autre. L’agent de la Tfm est poursuivi pour homicide involontaire et défaut de visite technique. Il sera défendu par Me Aboubacry Barro.

Le comédien Ndiaye est effondré. “Ma vie est complètement bouleversée, j’ai envie de mourir”, souffle-t-il d’une voix triste, ce dimanche, alors qu’il est en garde à vue au commissariat de police de Pikine pour avoir fauché mortellement un enfant avec sa voiture.

Le drame a eu lieu hier, samedi 5 mai, à Pikine. Selon le récit de Ndiaye, c’est en voulant éviter de s’enliser dans le sable qu’il a appuyé sur l’accélérateur et heurté le garçon de 3 ans dont le nom, Abdoulaye, revient en boucle dans la tête du comédien.

“Il était trop petit. Je ne l’avais pas vu, se confond-t-il en remords. Depuis hier, je n’ai pas dormi. Je ne retrouve pas le sommeil. Je revois toujours les derniers instants de bébé Abdoulaye.”

La victime s’appelait Abdoulaye Diallo. Lorsque Ndiaye l’a heurté, il n’est pas mort sur le coup. S’engage juste après une course contre la montre qui a mené le comédien, qui s’est chargé de l’évacuer lui-même, d’abord à l’hôpital de Pikine et ensuite à Le Dantec où il reçoit les premiers soins. C’est au cours du transfert de l’enfant à l’hôpital de Fann qu’il décède.

“Sur le chemin, il a appelé plusieurs fois sa maman. Il a aussi demandé de l’eau à boire”, se rappelle Ndiaye. Qui assure être bien traité au commissariat de Pikine où il s’est rendu de son propre chef. Il est en garde à vue, mais pas en cellule. Et il reçoit beaucoup de soutiens.

“Youssou Ndour m’a appelé et a envoyé une forte délégation pour me soutenir. Mes amis, mes parents, mes fans et même le père du petit Abdoulaye est venu me témoigner de son soutien”, confie Ndiaye

Après les deux enfants de Yeumbeul, un autre garçon a été retrouvé le sexe coupé à Thiès au quartier Hersent. Selon L’AS, qui a recueilli les témoignages du père de l’enfant, qui est âgé de 5 ans, l’auteur du forfait aurait attiré la victime loin des regards indiscrets avant de lui trancher le sexe à l’aide d’une lame.

Ensuite, détaille le journal, reprenant la même source, l’individu a sorti un mouchoir pour recueillir le sang avant de s’enfuir.

L’enfant a été admis au poste de santé de Méouane pour les premiers soins, rapporte Libération. Qui ajoute qu’il est hors de danger.

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Après les deux enfants de Yeumbeul, un autre garçon a été retrouvé le sexe coupé à Thiès au quartier Hersent. Selon L’AS, qui a recueilli les témoignages du père de l’enfant, qui est âgé de 5 ans, l’auteur du forfait aurait attiré la victime loin des regards indiscrets avant de lui trancher le sexe à l’aide d’une lame.

Ensuite, détaille le journal, reprenant la même source, l’individu a sorti un mouchoir pour recueillir le sang avant de s’enfuir.

L’enfant a été admis au poste de santé de Méouane pour les premiers soins, rapporte Libération. Qui ajoute qu’il est hors de danger.

Rebondissement dans l’affaire des deux enfants retrouvés le sexe mutilé dans une maison abandonnée à Yeumbeul. Interpellé par la police, le mis en cause, âgé de 1 5 ans, a reconnu les faits. Mais il a déclaré qu’il s’amusait à couper le sexe des enfants, en compagnie de son complice. Ce dernier est activement recherché par la police.

Un des délinquants qui a amputé le sexe des enfants 5 et 3 ans a été arrête par la police de yeumbeul. Il est âgé de 15 ans et n’a pas nié les faits en question. Confronté aux victimes, ces dernières l’ont reconnu. Actunet y reviendra avec Younoussa Baldé, notre correspondant au niveau de la banlieue, pour de plus amples informations.

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Un des délinquants qui a amputé le sexe des enfants 5 et 3 ans a été arrête par la police de yeumbeul. Il est âgé de 15 ans et n’a pas nié les faits en question. Confronté aux victimes, ces dernières l’ont reconnu. Actunet y reviendra avec Younoussa Baldé, notre correspondant au niveau de la banlieue, pour de plus amples informations.

Retour sur les faits… (audio)

Le vote en force du projet de loi sur le parrainage, jeudi dernier, à L’Assemblée nationale, a fait des «dégâts» incommensurables à Yeumbeul Sud, banlieue de Dakar. Alors que tous les esprits étaient concentrés sur cette affaire, un individu mal intentionné débarque au populeux quartier Bolé Mbaye. Il piège deux enfants, les traîne dans une maison abandonnée et coupe leurs sexes. À quelle fin ? Mystère et boule de gomme.

AWA GOUDIABY, MÈRE DE K.SANÉ, ÂGÉ DE 4 ANS«SI J’AVAIS VU LE DÉLINQUANT, J’AURAI PU LE TUER»

La tristesse se lit sur le visage d’Awa Goudiaby. Elle est assise sur un petit banc, devant sa chambre. Son regard est lointain. À gauche, il y a deux voisines. À droite, une autre dame qui s’affaire au repas. Seul le bruit sonore d’une radio perturbe l’atmosphère, très lourde. «Ce jour (Ndlr, jeudi), j’étais partie au marché Thiaroye pour chercher des affaires et des habits pour mon fils, C. Sané. C’est de là-bas que mon frère m’a appelé pour me demander de revenir dare dare car les enfants ont eu un accident. J’ai loué une calèche à 500 F pour me ramener. À mon arrivée, les enfants étaient déjà acheminés à l’hôpital. C’est le lendemain (Ndlr, vendredi) que je suis partie à l’hôpital pour les voir. J’étais sidérée. J’ai beaucoup pleuré. Le délinquant a carrément coupé le sexe démon enfant. Il ne lui reste rien. Les infirmiers lui ont mis un petit racole, pour l’aider à uriner. Sa vie est gâchée», lâche-t-elle, sur un air triste. Elle ajoute ceci : «Si j’avais vu le délinquant, je vous assure que je l’aurai tué. Aujourd’hui, c’est qui est sûr, il serait en prison. Ce qu’il a fait aux enfants est un acte inhumain.»

TOUTY BODIAN, MAMAN DE C. CISS, ÂGÉ DE 3 ANS«CE QUE MON FILS M’A DIT…»

Sané (4 ans) et C. Ciss (3 ans) étaient ce jour devant leur maison, en train de jouer. Loin des regards des adultes, concentrés sur le vote du projet de loi sur le parrainage, un individu débarque sur les lieux. Il piège les deux enfants et parvient à les entraîner au dehors, direction une maison abandonnée en démolition. «Mon fils m’a dit que lorsqu’ils sont arrivés, ils ont trouvé un autre jeune sur place. Ils ont voulu attacher leurs bouches, mais les enfants ont refusé. Ils ont commencé à les frapper. Ils les ont blessés sur la tête avec un coupe-coupe. “Ils ont coupé le sexe de K. Sané”, m’a dit mon fils sur son lit d’hôpital», explique Touty. Très choquée, elle n’a jamais imaginé qu’un individu puisse faire preuve de tant d’acharnement sur des enfants. «J’ai mal dans ma chair. Ils ont gâché la vie de K. Sané. Nous demandons aux autorités de nous aider, car nous sommes des personnes démunies. Nos époux n’ont pas les moyens. Les ordonnances ne sont toujours pas achetées», implore Mme Ciss.

LA THESE DU SACRIFICEAVANCEE

Les habitants des quartiers Waly Faye et Bolé Mbaye, à Yeumbeul Sud, n’en reviennent toujours pas. Plusieurs questions se bousculent dans leurs têtes: notamment les motivations de cet acte ignoble. Le sexe de K. Sané, carrément amputé, a été emporté par les délinquants. À quelle fin ? «Personne ne sait pour le moment. Mais à coup sûr, cela ne peut être que pour des motifs de sacrifices. Après le phénomène d’enlèvement des enfants, on ampute maintenant les sexes des enfants», se désole Ansou Sagna, oncle de K. Sané (4 ans).

L’horreur a été découverte jeudi 19 avril au quartier Afia de Bolé Mbaye de Yeumbeul Sud. Deux enfants ont été retrouvés le sexe mutilé. Selon Les Échos, l’un, K. Ciss, 3 ans, a perdu le prépuce et l’autre, A. Sané, 4 ans, a eu le pénis complètement sectionné.

Les deux garçons avaient aussi le visage lacéré à plusieurs endroits, selon le journal. Qui ajoute que le prépuce du premier a été retrouvé sur les lieux du drame tandis que le sexe du second a disparu.

Les deux victimes sont hospitalisées à l’Hôpital général de Grand-Yoff (Hoggy).

Les supputations vont bon train. Les enfants jouaient-ils à se faire circoncire ou sont-ils victimes de pratiques occultes ? L’enquête ouverte par le commissariat de Yeumbeul permettra peut-être d’en savoir plus.

Lire la suite de l’article sur Seneweb.com

IGFM-La police des Parcelles assainies a ouvert une enquête ce samedi après la découverte, dans un véhicule, du cadavre d’un enfant. Un autre a été retrouvé dans un état critique.  Modou Sané (en bleu) et Amadou Sall (en beige) ont été retrouvés dans une voiture garée non loin de leur domicile. Amadou Sall est décédé tandis que Modou Sané lutte contre la mort.

Les faits se sont déroulés à l’unité 14 des Parcelles Assainies, derrière la pharmacie “La Parcelloise”, notent des sources de IGFM.

Selon les premiers éléments de l’enquête, les deux enfants avaient disparu depuis le mardi 10 avril 2018. Ils habitent à l’unité 13 des Parcelles Assainies. Ils auraient trompé la vigilance de leurs parents pour s’emprisonner dans ce véhicule dont le propriétaire ne vient que les week-end.

Les sapeurs-pompiers, réquisitionnés, ont transporté à l’hôpital le garçon qui lutte contre la mort et le cadavre d’un des gamins.

Lire la suite sur Igfm.com