entreprenariat – Actunet.net https://actunet.net Les dessous de l'actualité Tue, 06 Feb 2018 06:52:15 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.2.5 https://actunet.net/wp-content/uploads/2017/08/cropped-actunet_logo_01-300x90-1-32x32.png entreprenariat – Actunet.net https://actunet.net 32 32 69362583 Business – Baba Danpullo : « Ceux qui restent en Afrique gagneront » https://actunet.net/actu_express/business-baba-danpullo-restent-afrique-gagneront/ https://actunet.net/actu_express/business-baba-danpullo-restent-afrique-gagneront/#comments Tue, 06 Feb 2018 06:52:15 +0000 http://actunet.net/?p=108500 ENTRETIEN. À la tête de l’empire Baba Ahmadou Group, l’homme d’affaires le plus riche de l’Afrique francophone subsaharienne appelle les jeunes à croire en leur continent. Jusqu’en 2015, Baba Ahmadou Danpullo, dit « Baba Danpullo » (fils de Peul), 68 ans, était inconnu. Et il adorait ça. Ce milliardaire à la tête d’un conglomérat florissant, Baba Ahmadou […]]]>

ENTRETIEN. À la tête de l’empire Baba Ahmadou Group, l’homme d’affaires le plus riche de l’Afrique francophone subsaharienne appelle les jeunes à croire en leur continent.

Jusqu’en 2015, Baba Ahmadou Danpullo, dit « Baba Danpullo » (fils de Peul), 68 ans, était inconnu. Et il adorait ça. Ce milliardaire à la tête d’un conglomérat florissant, Baba Ahmadou Group, n’aime pas la lumière. La version africaine francophone du magazine américain Forbes a pourtant révélé l’étendue de sa fortune. Elle n’a pas d’équivalent dans toute l’Afrique francophone subsaharienne. Son parcours est un roman : son père vient du Nigeria, lui est né au Cameroun en 1950, avant d’être envoyé à l’âge de 5 ans à Kano, la deuxième plus grande ville du Nigeria, une région à la longue tradition commerçante – où sévit la secte terroriste Boko Haram –, afin de parfaire son éducation musulmane auprès de sa famille paternelle. De l’agro-industrie à la téléphonie, l’immobilier ou encore les médias, cet ambitieux entrepreneur qu’on appelle désormais « Al-hadji » – titre honorifique donné aux anciens qui ont fait le hadj, le pèlerinage à La Mecque – étend son empire.

Le Point Afrique : Vous êtes dans les affaires depuis plus de quarante ans. Comment avez-vous débuté ?

Baba Ahmadou Danpullo : Je suis fils de paysan peul, produit d’une longue tradition d’éleveurs. J’ai hérité de mon père la passion de l’élevage du bétail, en particulier les bœufs et les chevaux. C’est uniquement quand je suis allé en ville que j’ai découvert qu’il y avait d’autres façons de faire des affaires. Mais le chemin vers la réussite n’a jamais été facile.

Quelle a été votre recette ?

Je suis né en Afrique, j’y ai grandi, j’y ai travaillé et implanté mes sociétés. L’unique chose qui m’a fait tenir, c’est le travail et la persévérance dans l’effort. On peut tout obtenir pourvu qu’on le veuille et qu’on soit patient. Rien ne peut s’obtenir sans effort ! Mon implication dans l’immobilier date de plusieurs années. S’agissant de la téléphonie mobile, cela fait près de quinze ans que j’ai commencé à y réfléchir. Depuis cette époque, je me suis mis à la recherche de partenaires stratégiques pour chacun de ces secteurs.

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Start-up : identifier les futurs leaders, un sacré défi ! https://actunet.net/actu_express/start-up-identifier-futurs-leaders-sacre-defi/ https://actunet.net/actu_express/start-up-identifier-futurs-leaders-sacre-defi/#comments Wed, 31 Jan 2018 01:46:06 +0000 http://actunet.net/?p=107426 TRIBUNE. La formidable fièvre d’entreprendre qui s’est emparée des Africains conduit les organismes de financement à s’assurer de choisir les projets pertinents. Et ce n’est pas simple. Une population de plus en plus jeune et en augmentation, une faible offre d’emploi : il n’en faut pas plus pour arriver à cette réalité que parmi les 50 % de la population […]]]>

TRIBUNE. La formidable fièvre d’entreprendre qui s’est emparée des Africains conduit les organismes de financement à s’assurer de choisir les projets pertinents. Et ce n’est pas simple.

Une population de plus en plus jeune et en augmentation, une faible offre d’emploi : il n’en faut pas plus pour arriver à cette réalité que parmi les 50 % de la population qui ont moins de 18 ans le désir de se lancer dans l’auto-emploi va grandissant. Mais l’environnement du monde de l’entreprise reste toujours marqué par une constante : le manque de financement. Une récente étude publiée par le fonds de capital-risque Partech Venture fait état d’un volume annuel d’investissement de l’ordre de 370 millions d’euros auprès des start-up africaines sur l’année 2016, alors que l’année précédente quelque 15,72 milliards de dollars ont été investis dans les start-up américaines sur un trimestre.

Le constat d’un paradoxe

Un paradoxe apparaît donc : d’un côté, il y a un potentiel de création d’entreprises très fort sur le continent, mais ce potentiel ne parvient pas à s’exprimer dans la mesure où il ne rencontre pas l’investissement nécessaire. Est-ce un problème de ressources ? Non, je fais ici l’hypothèse qu’il s’agit plutôt d’un problème de notoriété. Les « jeunes pousses » africaines à fort potentiel ne sont pas connues ou difficilement identifiables par ceux qui les cherchent. Comment trouver ces start-up innovantes et comment créer cette relation de confiance avec les investisseurs ?

Une équation à résoudre : augmenter la visibilité des start-up africaines

On observe une véritable inflation d’événements et divers concours de créations de start-up dans une majorité de pays africains. L’un des principaux problèmes est le manque de stratégie de communication. Les outils et les méthodes ne sont pas maîtrisés par tous les entrepreneurs. Aux États-Unis ou en Europe, avoir des articles dans la presse est un précieux sésame. En Afrique, les médias traitent peu des innovations en vigueur.

Deux solutions pour accroître la visibilité des « jeunes-pousses » africaines m’apparaissent :

–   d’abord, concentrer les pépites de demain en faisant une pré-sélection suivant des critères uniformisés permettant d’installer un sentiment de confiance chez les potentiels investisseurs ;

–   ensuite, créer un véritable écosystème qui permette d’accompagner les startupers dans leur levée de fonds. Les Business Angels, rouages essentiels et bienveillants dans le financement de la phase d’amorçage d’un projet, sont plus que jamais intéressés par l’Afrique. Par exemple, Tony Elumelu, entrepreneur nigérian fortuné, a doté sa fondation de 100 millions de dollars pour encourager 10 000 jeunes Africains à créer leur entreprise sur une période de 10 ans. Seulement, il faut à ces investisseurs un tiers de confiance.

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Politique de Entrepreneuriat : Le Centre des jeunes dirigeants sénégalais booste la jeunesse https://actunet.net/actu_express/politique-de-entrepreneuriat-centre-jeunes-dirigeants-senegalais-booste-jeunesse/ https://actunet.net/actu_express/politique-de-entrepreneuriat-centre-jeunes-dirigeants-senegalais-booste-jeunesse/#comments Sun, 14 Jan 2018 20:51:39 +0000 http://actunet.net/?p=105101 REWMI.COM- Aider les jeunes à travers l’entrepreneuriat. Tel est l’objectif du Centre des Jeunes Dirigeants, installés partout à travers le monde (Libreville, Tunisie, Paris Bruxelle, Tunis, Kigaly, Conakry, Wagadougou, Yaounde…). Ainsi, lors du Hub Africa, qui procède à des sélections de projets, le Cgd Sénégal qui regroupe de jeunes entrepreuneurs, de jeunes dirigeants, accompagne les […]]]>

REWMI.COM- Aider les jeunes à travers l’entrepreneuriat. Tel est l’objectif du Centre des Jeunes Dirigeants, installés partout à travers le monde (Libreville, Tunisie, Paris Bruxelle, Tunis, Kigaly, Conakry, Wagadougou, Yaounde…). Ainsi, lors du Hub Africa, qui procède à des sélections de projets, le Cgd Sénégal qui regroupe de jeunes entrepreuneurs, de jeunes dirigeants, accompagne les jeunes dans la formation des projets à travers une caravane dénommée saga africa, qui aura lieu au Maroc le mois de mai prochain pour une durée de 3 jours, avec 6 villes à visiter. Lors du hub africa, dix personnes ont présenté des projets portants sur la transformation d’aliment, l’esthétique, la consultance, la construction, le pavage, la gestion des ordures entre autre projets, devant un jury composé d’experts comptable et de chefs d’entreprises venus du Maroc. Sur les dix sélectionnées, 4 lauréats bénéficieront de la largesse et du soutien du Cgd qui les accompagnera tout le long de la caravane qui désignera le meilleur entrepreneur africain. Pour cette édition du hub africa, le jeune Alioune Badara Mbengue qui a présenté le projet portant sur la gestion des ordures, avec un système de tri et qui a remporté la première place, représentera le Sénégal au Maroc.

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