En milieu de semaine, Le Sergent Doudou Fall s’est bagarré avec son frère cadet B Sall au quartier Oumar Mbow de la commune de Guinaw Rail Sud. Les deux frangins se disputaient atour du patrimoine légué par leurs défunts parents avant d’en venir aux mains.

Malheureusement, le soldat gravement blessé au crane par son frérot qui a été appuyé en cela par son épouse et son fils, a succombé à ses blessures, hier à l’hôpital Principal où il était interné.

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Que le recteur de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis ” au firmament de sa carrière ” ait été limogé suite à la mort de l’étudiant Fallou Sène, chagrine  hautement Malick Fall. Le Secrétaire Général du SAES , invité du Grand Jury de ce dimanche,  trouve quand même que  ce ” limogeage entre dans l’ordre normal des choses ”. Pour lui, ” c’est une erreur d’appréciation qu’il a faite de bonne foi. C’est une chaine de responsabilité, et chacune des personnes impliquées dans cette chaîne devrait en répondre. ” Le syndicaliste de se désoler. ” La question des bourses est récurrente. Il ne se passe pas une année sans des retards qui obligent les étudiants à sortir dans la rue. Ces situations ne doivent plus se reproduire. Combien d’étudiants sont tués ou handicapés à vie à cause des bavures … Même les rats, quand ils ont faim, ils ont besoin de sortir de leurs terriers. ”

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Lors de la cérémonie haute en couleur tenue le 9 mai 2018 au théâtre Daniel Sorano, le maire de la Médina Bamba Fall a été honoré de recevoir le prix Ragné du leader politique. Une consécration qui fait écho à l’engagement du lieutenant Bamba Fall qui fait bonne figure dans les rangs de l’opposition.

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Les interventions de Ousmane Sonko dénonçant l’exonération fiscale dont bénéficiaient les députés a eu un impact positif. Car, a déclaré Dr Hamid Fall qui a présenté vendredi, son ouvrage sur la fiscalité. Selon lui, les sorties de M. Sonko ont fait que les salaires sont désormais taxés.

Les salaires des députés sont désormais fiscalisés. Ils échappaient à l’impôt. C’était un manquement », a déclaré Docteur Hamid Fall. Cet inspecteur des Impôts et Domaines qui présentait vendredi son livre «La fiscalité dans tous ses états», s’est réjoui de ce retour à l’orthodoxie qui permet au Trésor d’engranger des sommes importantes.

Dr Fall de poursuivre : «Désormais, ils sont fiscalisés. On retient des impôts à la source correctement suivant l’existence d’un barème légal et reversé».

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Bamba Fall est rouge de colère. Lui et ses partisans de la Médina ont organisé un point de presse le mercredi 09 mai, pour descendre le sous-préfet de Dakar-Plateau. Pour cause, ce dernier refuse de délibérer en sa faveur, en ce qui concerne l’adoption du budget de sa mairie. Bamba Fall s’est dit convaincu que Djiby Diallo travaille pour l’Alliance pour la République (Apr).

« Il s’est ligué avec le responsable de l’Apr Seydou Guéye pour empêcher le vote de mon budget », a dénoncé Fall. Il a révélé que le sous-préfet a retenu son dossier durant plus de deux mois et demi pour délibérer sur l’adoption de son budget. Dans un autre registre, il Bamba Fall a fustigé le comportement Djiby Diallo durant les manifestations qu’initie l’opposition. « Il est toujours devant et c’est lui qui ordonne les tirs sur les opposants. C’est honteux, il va jusqu’à se faire appeler Jack Bauer », interpelle le Maire de la Medina.

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Bamba Fall accuse le Sous-préfet de la Médina et le ministre Seydou Guèye d’être derrière le saccage de la Mairie de la Médina dans la journée du 1er mai. Selon Bamba Fall, des nervis ont été payés pour saccager la mairie pendant que lui et ses collaborateurs étaient occupés par la journée du 1er mai.

Devant cette situation, Bamba Fall dit déclarer la guerre à Macky Sall. Et la responsabilité de cette donne incombe à Seydou Guèye et au Sous-préfet Djiby Diallo.

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La loi instituant parrainage sera certainement votée dans quelques heures par les députés de la majorité. Déjà, le Garde des Sceaux, ministre de la justice, Ismaïla Madior Fall a estimé sur le plateau spécial à la Rts à cet effet, ce mercredi que “si la loi instituant parrainage est votée, ce sera une réforme la plus importante de l’histoire démocratique du Sénégal”.

” Quand le président de la République m’a demandé de choisir une réforme dans notre système démocratique qui parait la plus importante, j’ai choisi le parrainage car le système du parrainage assainit notre démocratie”, a, d’emblée, révélé le ministre de la Justice.
Les raisons, a-t-il expliqué, “avec la multiplication des candidatures dans les élections, on assiste de plus en plus au recul démocratique”, avant de s’en convaincre, “la loi sur le parrainage une fois votée, sera la réforme “consolidante” la plus importante de l’histoire démocratique du Sénégal”.
Il rejette par ailleurs, la thèse de la discrimination entre les candidats et soutient que “la démocratie s’accompagne avec le filtrage”.

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selon le ministre de la justice, Ismaila Madior Fall, invité de l’émission Grand Jury, de la Rfm, ” le régime ne protégera personne”
Il en veut pour preuve l’ensemble des dossiers en instructions et qui concernent des proches du régime: meurtre de Fatoumata Matar Ndiaye, affaire Cosec, Artp, Port …

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D’après le Professeur de Droit pénal, Ndiack Fall, rien n’empêche Karim Wade de se présenter à la prochaine élection présidentielle de 2019. En effet, dans un entretien téléphonique accordé à SourceA, l’Enseignant à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar a indiqué que la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite(CREI), qui a condamné le fils de l’ancien président libéral Abdoulaye Wade à une peine de 6 ans et à une amende de 138 milliards de nos francs, ne l’a pas privé de ses droits civique, civil et politique. Dès lors, précise notre interlocuteur, le candidat du Parti démocratique sénégalais est éligible, même si quelques dispositions du Code électoral s’opposent à cette candidature.

Abordant le cas Khalifa Sall, condamné en première instance à 5 ans de prison, le pénaliste soutient que celui-ci reste, aux yeux de la loi, électeur et éligible. Ce, dit Ndiack Fall, même en restant sous les verrous. Car, assume le Professeur, «tant que les voies de recours ne sont pas épuisées, khalifa Sall bénéficie de la présomption d’innocence». Ce qui fait de lui un citoyen comme les autres.

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Militant de la première heure de l’Alliance pour la République, Adama Fall ne reconnait plus le parti présidentiel. Le président du Collectif des Enseignants pour la Réélection de Macky (Cerma), non moins porte-parole du réseau national du réseau national des enseignants républicains ne manie pas la langue de bois. Il fait, au contraire, feu de tout bois sur certaines dérives et invite, dans cet entretien paru dans Tribune, le chef de l’Etat à revoir sa copie pour ne pas être sanctionné par le peuple souverain en 2019. 

La mouvance présidentielle fête les six ans de l’accession au pouvoir de Macky Sall sur un air jubilatoire, dans un contexte marqué par un front social en pleine ébullition. N’est ce pas déplacé ?

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Après dix ans d’absence, la pionnière de la littérature africaine, Aminata Sow Fall, revient en librairie avec une nouvelle fiction intitulée «L’empire du mensonge» éditée en France par la maison du Serpent à plumes. Un livre à l’image de son œuvre ancrée dans son pays mais tournée vers l’universel. Portrait de la romancière sénégalaise de 76 ans.

lle dit être entrée en littérature par hasard. En effet, c’est à son retour, à Dakar, dans les années 1970, après ses études à Paris, qu’Aminata Sow Fall, frappée par l’évolution de la société sénégalaise, se met à écrire son premier texte. Elle y pointe les dérives de son pays. Refusé par les éditeurs, ce manuscrit considéré trop « local » finit par paraître en 1976 sous le titre Le Revenant. Très vite l’écho est favorable et Aminata Sow Fall enchaîne avec La Grève des Bàttu, couronné par le grand prix littéraire d’Afrique noire et adapté au cinéma, en 2 000, par Cheick Oumar Sissoko.
Traduite dans le monde entier, sollicitée dans de nombreuses universités – américaines en particulier -, lauréate du Grand Prix de la Francophonie, en 2015, décerné par l’Académie française, Aminata Sow Fall est également très active pour promouvoir la littérature au Sénégal. Elle a créé une Maison d’édition ainsi qu’un Centre africain d’animation et d’échanges culturels qui va prochainement être relocalisé à Saint-Louis.

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Le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall s’est prononcé sur le projet de loi relatif à la modification constitutionnelle et électorale. Selon lui, il s’agit, notamment, d’introduire un système de parrainage en vue de mettre fin à une discrimination entre les candidats, rationaliser les candidatures et faciliter l’organisation des élections

“Après la concertation avec des partis politiques sur le processus électoral, le chef de l’Etat, sur la base des conclusions du rapport qui lui a été remis par l’Ambassadeur Seydou Nourou Bâ, a procédé à un arbitrage et il a fait le choix de saisir le parlement afin d’adopter le système de parrainage”, a-t-il d’emblée, expliqué.

Selon le ministre de la Justice, ce choix du président de la République consiste à introduire un système de «parrainage citoyen” pour le renforcement de la démocratie. “Désormais, le système de parrainage va s’appliquer à tous les candidats indépendants ou des partis politiques légalement constitués”, a-t-il indiqué et il s’est empressé d’ajouter que ” cela va mettre fin à une discrimination à l’égard des candidats indépendants”.

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Le célèbre transporteur Lobatt Fall es décédé ce vendredi. L’information a été donnée par la Zik Fm.  L’ancien opérateur économique était âgé de 89 ans. Originaire de Thioubalel, village de l’arrondissement de Cas-Cas, dans le département de Podor, Lobatt Fall est l’un des plus anciens transporteurs de la gare routière dite «Pompiers».

Issu d’une famille de pêcheurs haal pulaar, il reste fidèle à ses racines et croyances.

Tout jeune, le natif de Thioubalel faisait du petit commerce avec le soutien de ses deux grands frères qui détenaient de grandes boutiques au Fouta et en Mauritanie.

Il avait promis de rendre à Macky Sall « la monnaie de sa pièce », Bamba Fall a bien débuté ceci, hier, lors de la Journée internationale de la femme. Après avoir chanté les louanges de Marième Faye Sall, il a aussi reçu les honneurs de « Buur ». Tout ceci sous l’œil attentif des pro Khalifa Sall.

Laudateur de dithyrambique envers le président de la République, Bamba Fall a tenu à remercier Macky Sall et son « auguste épouse, (s)a sœur, Marième Faye Sall qu'(il) ne cessera de remercier pour l’attention particulière qu’elle porte à (s)a modeste personne. Dieureudieuf Adja Marième ». 

Normal, diront certains, Bamba Fall recevait le président dans sa commune, toutefois, il est bon de souligner que tresser des lauriers à la Première dame est trop souvent le métier des ministres et du président. Un discours républicain était donc plus souhaitable que cette opération de charme.D’ailleurs, rien a été républicain dans la célébration d’hier. Que de la politique en vue des Présidentielles. Macky Sall l’eut compris

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Dans le cadre de son dossier consacré au 08 mars, Senego a reçu dans ses locaux Aissatou Diop Fall. La journaliste du Groupe Futurs Médias s’est dévoilée un peu plus au cours de cet entretien. Regardez la vidéo sur Actunet.net

Bamba Fall  a fait hier, une déclaration de nature à conforter les allégations, selon lesquelles il flirte avec le pouvoir du président Macky Sall, par ces temps qui courent. Le maire de la Médina a déclaré sans ambages  ni langue de bois, qu’il n’a pas de maître en politique et qu’il est libre d’aller où, il veut, sans la permission de personne.

«Ecoutez, je n’ai rien à clarifier, car personne ne m’a acheté une carte  de Parti», a-t-il lâché. Et d’ajouter : «personne n’est mon maître en politique, je ne demande rien à personne et je vais où je veux». Dans sa réponse, Bamba Fall n’a pas aussi manqué de dire que tout ce qui le lie à Khalifa Sall c’est ça libération, rien d’autre.

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«J’ai vu mon nom ce matin (Ndlr hier) dans la presse, cité parmi ceux qui comptent succéder à Khalifa à la tête de la mairie de Dakar. Mais ceux qui le pensent, perdent leur temps. Ils peuvent ôter mon nom de cette liste, car moi je ne suis pas prêt à succéder Khalifa Sall», précise Bamba Fall

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