La guéguerre qui oppose le Député Farba Ngom et Moustapha Cissé Lô n’en finit pas de faire parler d’elle. Par le biais de nos confrères de l’Observateur, Farba a indiqué vertement qu’il a envie  de porter la réplique à Cissé Lô qu’il accuse d’avoir colporté des mensonges sur sa personne.

Demandant d’abord pardon aux sénégalais pour ce qu’ils vont lire dans l’interview que lui a accordé le journal Obs, Farba Ngom est d’avis qu’il est obligé de parler à Cissé Lô dans le même ton que ce dernier. Accusant le Président du parlement de la Cedeao de l’injurier et de colporter des mensonges à son encontre, le député Farba a déclaré qu’il est fier d’être griot. « S’attaquer à un corps de métier, à des personnes qui gagnent honnêtement leur vie à la sueur de leur front, pour tenter de discréditer un frère de parti, qui vous a juste apporté une réplique, c’est vraiment dégueulasse », s’emporte-t-il. S’agissant de porter la réplique à  Cissé Lô, Farba avance : « je ne veux certes pas me rabaisser à son niveau, mais il faut que je réponde. Pour la petite histoire, Cissé Lô je l’ai connu en 2008 dans l’opposition, lors des tournées électorales avec le candidat Macky Salol pour les Locales en 2009.A l’époque, je venais d’acheter un véhicule 4×4 Prado flambant neuf à 25 millions à CFAO Sénégal, immatriculé DK 3370 AE.C’est vérifiable. Juste pour dire aux Sénégalais que Cissé Lô ment quand il dit qu’à l’époque, j’avais une carcasse de Mercedes que je voulais vendre et que c’est lui qui m’aurait prêté de l’argent. »Très remonté contre le député de la Cedeao, Farba  poursuit : « Il a déclaré que je suis courtier. Oui, je suis courtier. Et après ? N’est-ce pas mieux que de passer tout son temps à arnaquer les gens, à exercer un chantage sur les autorités.(…).

XALIMANEWS: Le Sénégal a fait un grand bon en avant dans le secteur de l’électricité. En déplacement à Médina Baye dans le cadre du Gamou de Taiba Niassene, Diéne Farba Sarr a donné quelques chiffres encourageants. « De 600 mégawatts en 2012, le Sénégal a atteint aujourd’hui une puissance à hauteur de 1400 mégawatts. Ce chiffre est illustratif du grand bond en avant accompli par le gouvernement dans tous les secteurs », a indiqué M. Sarr, dans des propos rapportés par le journal L’AS.

Lire la suite sur Xalima.com

Dans cet extrait tiré de notre entretien avec l’honorable Député Farba Ngom, le maire des Agnam n’a pas raté le patron du parti Rewmi. Selon Farba Ngom depuis 2004, Idrissa Seck n’a aucune fonction connue. Il fait des va-et-vient et bat campagne avec on ne sait quel fonds…
Le maire des Agnam de rajouter que Idrissa Seck ne fait pas peur à Macky Sall qui n’est pas son égal politiquement.

Suivez la vidéo sur Dakaractu.com 

L’honorable député Farba Ngom était ce week-end à Saly pour rencontrer les étudiants de Kanel et de Thilogne. Face à la presse, ce dernier n’a esquivé aucune question des journalistes, de la réélection du président Macky Sall, son bilan à la tête du pays, l’opposition, l’enlèvement des enfants et ses relations avec Abdoulaye Daouda Diallo, pour s’en arrêter là.

En ce qui concerne le bilan de Macky Sall, Farba Ngom n’hésitera pas à affirmer que c’est un bilan sans faute. “Le bilan de Macky, c’est un bilan de 40 ans d’exercice ” martèlera Farba Ngom.

Lire la suite sur Dakaractu.com

Le député-maire de la commune des Agnam a passé un sale quart d’heure lors de la finale du tournoi entre Agnam Ouro Ciré et le village de Golly qu’il devait présider.

La tension est montée avant même la finale. Des jeunes du diwan de Bosséa avaient lancé un slogan « ’tout sauf Farba »’. Ilsvoulaient chasser le maire à tout prix à coup de jets de pierres qui ont envahi la délégation. Les gendarmes ne pouvaient plus faire face à cette colère. Ils ont dû sauver in extrémis le griot du Président Macky Sall. Farba a pris la route du diéri en contournant le goudron pour échapper à ce soulèvement dans son fief.

Les jeunes en colère ont brûlé les maillots et les trophées du maire. Des vidéos insultantes font du Buzz dans les réseaux sociaux. Partout dans le Fouta et dans la diaspora. Dans ce contexte, il serait difficile de réconcilier les deux parties à l’approche des élections présidentielles.

Lire la suite sur Afriquemidi.com

L’unité de façade des responsables de l’Apr des Hlm, samedi dernier, a vite fait de voler en éclats. Certains d’entre eux sont en effet, frustrés par la démarche du député-maire d’Agnam Sivol, qui n’est même pas de Dakar et encore moins de leur commune. Les populations ont également vu rouge face à l’organisation de ce meeting sur cette place en pavage et qui n’est même pas encore réceptionnée.

Farba Ngom a fait son show aux Hlm samedi dernier. Un meeting qui n’a pas du tout été du goût de certains apéristes de la localité. En effet, des militants et des responsables de la première heure ne cachent pas leur frustration.

Lire la suite sur Laviesenegalaise.com

Le griot du président Macky Sall et non moins député maire des Agnams adore sont statut de polygame, et clame haut sa façon de tirer son épingle du jeu. Cela a été une des séquences fortes lors du meeting du Mouvement Sa Deug Deug, samedi aux Hlm.

Farba Ngom a voulu révéler l’entente cordiale entre ses deux épouses, en parlant des complots qu’elles montent sur son dos et qu’il parvient à déjouer. Le tonitruant homme politique révélera aussi que la fille de sa niarel, la seconde, porte le nom de la awo, la première. Pour dire que les lignes sont droites chez lui.

Lire la suite sur 221actu.com

Farba Senghor qui était l’invité de Rfm Matin a accusé Khalifa Sall et Karim Wade d’avoir commis des « erreurs de jeunesse politique ». Erreurs qui ont précipité leur descente aux enfers.

Pour Farba Senghor, Khalifa Sall aurait dû très tôt se déterminer et quitter le Parti socialiste pour avoir le temps de s’organiser et parcourir le Sénégal.  Car, insiste-t-il, il ne suffit pas d’être connu et de gagner Dakar et Guédiawaye pour être élu. Ensuite, selon le libéral, Khalifa Sall devait donner une caution dès le début de sa détention, car comme il dit, la plupart des personnes qui ont cautionné n’ont pas été poursuivies. Mieux, l’erreur de jeunesse politique de Khalifa Sall a été aussi d’avoir donné trop de confiance et de latitude aux avocats qui en ont profité pour avoir plus de « buzz » que l’incriminé lui-même. « Me Abdoulaye Wade nous disait toujours de poser des actes politiques en s’auto gérant, mais pas de donner tout à ses avocats », s’est-il souvenu. Concernant l’affaire de la caisse d’avance, Mr Senghor pense que Khalifa Sall ne s’est pas dédouané pour autant, avec comme seul argument qu’il était dans la mouvance de ses prédécesseurs, Mamadou et Pape Diop.

Quant à Karim Wade, il a comme les même erreurs que Khalifa Sall en se cloîtrant au Qatar et ne communicant que sur les réseaux sociaux dont Watshapp. « Quand on aime son pays comme on le prétend, ce n’est pas en se répandant sur les réseaux sociaux qu’on peut se faire entendre. Les actes politiques qu’il devait poser sont de contacter et de dire ce qu’il pense de sa situation, la situation politique du pays et éventuellement d’annoncer son programme, s’il veut être candidat. En le faisant, il soulage ses partisans qui ne savent pas sur quel pied danser, alors que son père s’obstine à vouloir faire de lui le candidat du parti démocratique sénégalais en 2019, ce qui n’est pas possible », a-t-il déclaré.

Lire la suite sur Actunet.net

Farba Senghor qui était l’invité de Rfm Matin a accusé Khalifa Sall et Karim Wade d’avoir commis des « erreurs de jeunesse politique ». Erreurs qui ont précipité leur descente aux enfers.

Pour Farba Senghor, Khalifa Sall aurait dû très tôt se déterminer et quitter le Parti socialiste pour avoir le temps de s’organiser et parcourir le Sénégal.  Car, insiste-t-il, il ne suffit pas d’être connu et de gagner Dakar et Guédiawaye pour être élu. Ensuite, selon le libéral, Khalifa Sall devait donner une caution dès le début de sa détention, car comme il dit, la plupart des personnes qui ont cautionné n’ont pas été poursuivies. Mieux, l’erreur de jeunesse politique de Khalifa Sall a été aussi d’avoir donné trop de confiance et de latitude aux avocats qui en ont profité pour avoir plus de « buzz » que l’incriminé lui-même. « Me Abdoulaye Wade nous disait toujours de poser des actes politiques en s’auto gérant, mais pas de donner tout à ses avocats », s’est-il souvenu. Concernant l’affaire de la caisse d’avance, Mr Senghor pense que Khalifa Sall ne s’est pas dédouané pour autant, avec comme seul argument qu’il était dans la mouvance de ses prédécesseurs, Mamadou et Pape Diop.

Quant à Karim Wade, il a comme les même erreurs que Khalifa Sall en se cloîtrant au Qatar et ne communicant que sur les réseaux sociaux dont Watshapp. « Quand on aime son pays comme on le prétend, ce n’est pas en se répandant sur les réseaux sociaux qu’on peut se faire entendre. Les actes politiques qu’il devait poser sont de contacter et de dire ce qu’il pense de sa situation, la situation politique du pays et éventuellement d’annoncer son programme, s’il veut être candidat. En le faisant, il soulage ses partisans qui ne savent pas sur quel pied danser, alors que son père s’obstine à vouloir faire de lui le candidat du parti démocratique sénégalais en 2019, ce qui n’est pas possible », a-t-il déclaré.

Poursuivant sur les erreurs de Karim, l’ancien ministre de la solidarité estime que ce dernier n’a pas montré, comme il le prétend, qu’il a été persécuté et sorti de force du Sénégal. “Ce qui est étonnant pour quelqu’un qui a été sorti de force au Sénégal. D’ailleurs, l’avion avait un plan de vol pour Paris, c’est de son propre chef qu’il a atterri au Qatar et Karim Wade en connaît les raisons. Il ne montre aucunement qu’il a envie de se battre. Personne ne l’a exilé, il s’est exilé de lui-même. Pourquoi il n’a pas mis les pieds pour rendre visite à ses enfants, pourquoi il ne vient pas au Sénégal », s’interroge Farba qui affirme que Karim doit négocier avec Macky Sall.

Au niveau du ministère du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie, tout le monde ne parle plus le même langage. En cause, un malaise général pour ne pas dire généralisé dus essentiellement à des «papys» et «mamys» émergents, à la retraite depuis plusieurs mois voire quelques années et qui sont encore maintenus. D’ailleurs, actunet a appris de sources dignes de fois, que le nommé Abdoul Aziz Diop, directeur du Cadre de vie et des espaces verts entre dans ce lot. Lui également devait quitter ses fonctions, mais a été maintenu. Les raisons sont expliquées…

Qu’est-ce qui se passe au ministère du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre Vie ? La question est posée avec acuité car, il est dit et soutenu qu’un véritable malaise interne a fini de prendre le dessus sur les «affaires courantes». Autrement dit, tout le monde ne parle plus le même langage et la frustration a fini de gagner des proportions assez inquiétantes.

En cause, nombre de difficultés internes que vit depuis plusieurs mois, le département dirigé par le Ministre Diéne Farba Sarr. En effet, c’est un secret de polichinelle qui d’affirmer que des «papys» et «mamys» émergents, frappés par la retraite, devant quitter leurs fonctions (postes), sont encore présents dans ledit ministère comme des «baobabs» indéracinables. Et, les exemples font légion.

Le premier cas n’est autre que celui de Socé Diop Dionne, directrice générale de l’agence de construction des bâtiments et édifices publics. Admise à faire valoir ses droits à une pension de retraite, elle trône encore au sommet de cette direction. Un second. Celui-là qui «dérange» plus et mieux, les différents agents, toutes catégories comprises, concerne l’actuel Directeur du Cadre de vie et des espaces verts.

Tribune ayant appris qu’Abdoul Aziz Diop, puisque c’est de lui qu’il s’agit est aussi frappé par l’âge de la retraite. Des sources bien informées et proches de la Primature, ayant fait remarquer que le «monsieur a déjà reçu depuis plusieurs mois (quatre à six mois), sa notification de la part de la Fonction publique, qui lui a fait savoir qu’il doit aller à la retraite.» Ce qui veut dire qu’il devait (normalement) être remplacé très vite par un autre cadre du ministère du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie.

Notification de son remplacement «envoyé» à la Primature et au Secrétariat général de la Présidence

Dans la même dynamique, nos sources renseignent que «sa notification de remplacement a même été envoyée à la Primature ainsi qu’au Secrétariat général de la Présidence.» En clair, poursuivent nos interlocuteurs proches de la Primature, «il devait même être remplacé lors du dernier Conseil des ministres. Mais, entre temps, sous une probable pression, le ministre de tutelle a retiré la demande de remplacement, bloquant l’autre personne qui avait été choisie et à qui l’on avait même fait une enquête de moralité.»

Faisant au passage allusion à un grand «manitou» proche du ministre du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie, considéré comme faisant partie d’un «lobby interne» qui «fait et défait», pour nos interlocuteurs, il y a autre chose dans la démarche du principal décideur qui n’est pas naturelle. Autrement dit, ils n’écartent pas l’hypothèse des «pratiques mystiques».

Il faut rappeler que lors du Conseil des ministres tenu hier, Ousmane Wade, économiste, précédemment Coordonnateur du Projet «Une Famille, Un Toit», a été nommé Directeur de la Promotion de l’Habitat social (DPHS) au ministère du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de Vie, en remplacement de Monsieur Mamadou Lamine Diouf, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. C’est le seul «papy» qui est parti.

Pression, pratiques mystiques et argent pollue l’atmosphère

S’il est dit et soutenu que les «papys» et «mamys» émergents peuvent avoir des soutiens au plus haut somme de la hiérarchie, l’hypothèse de pratiques mystiques pour contrôler le ministre de tutelle n’est pas écartée. Cela peut sembler invraisemblable voire incohérent, mais nos interlocuteurs pointent un doigt contre un jeune nommé O.N, proche du ministre, vu comme un adepte de ce genre de pratiques.

«En tout cas, nous avons entendu de la bouche de certains du côté de ce département, qu’un jeune, ancien vendeur d’habits, est devenu l’homme tout puissant, qui se targue de nommer, de faire et de défaire qui il veut. Cela peut être bizarre, mais, il y a certains comportements assez incompréhensibles d’un intellectuel. Nous sommes en Afrique, et savons pertinemment que certaines personnes ont souvent recours à ces pratiques», clament nos sources.

Non sans avancer ceci : «A vrai dire, le mystique pollue l’atmosphère et les gens ont des yeux pour voir. Certaines choses ont été vues et raconté.» De l’argent ? Nos interlocuteurs ne l’écartent pas. Il faut rappeler qu’une voix autorisée au niveau de la Fonction publique, a indiqué que le monsieur est bel et bien frappé par l’âge de la retraite. Ce qui lui a été notifié. Toutefois, elle soutient qu’il appartient au ministre de décider.

En attendant d’y revenir amplement, nos confrères de dakarposte renseignent que le nommé Birane, frère du griot du Président, Farba Ngom, est en garde à vue à la brigade de la Gendarmerie de Ngor. 

Il est détenu avec celui qui est soupçonné d’être son fournisseur de cocaïne. «Seulement, Birane Ngom a juré qu’il va sous peu humer l’air libre parce qu’il est le frère de Farba Ngom. L’affaire sera vite réglée compte tenu du statut de griot du Président Macky Sall de son grand frère», a appris une source à nos confrères. A la question de savoir le film de cette affaire, notre interlocuteur révèle que tout est parti d’une rencontre entre Birane Ngom et une copine à lui. «Au début, il s’est juste agi d’une rencontre intime entre couple dans sa maison sise aux Mamelles, mais Birane Ngom a proposé à sa copine de consommer de la drogue comme lui.

La fille a catégoriquement refusé. Il l’a bien tabassée avant de la séquestrer. La fille, qui détenait encore son téléphone portable réussit à joindre une de ses connaissances, et c’est ainsi que cette dernière alertera les gendarmes. Birane est ainsi mis aux arrêts de même que sa copine. A l’heure où je vous parle Birane Ngom et son fournisseur sont en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Ngor tandis que la fille est au frais comme vous dites à Ouakam dans la brigade. Ils devront tous être présentés lundi prochain au Procureur de la République mais le gars (Birane) a menacé la fille avant de jurer qu’il va s’en sortir, c’est à dire libéré et que seule la fille va payer les pots cassés. C’est pour cela que je vous ai joint au téléphone pour sonner l’alerte. Nous sommes dans un État de droit et la Justice devrait être impartiale. J’ai en tous cas confiance en la justice de mon pays.»

Nos tentatives de recueillir des informations auprès des pandores sont restées vaines. Une affaire à suivre…

ça chauffe du coté des Almadies. Le Député Farba Ngom y est à couteaux tirés avec son voisin le Directeur de Suma assistance, Docteur Babacar Niang. A l’origine du conflit, le griot du Président a dépêché hier (jeudi 12 octobre) la Police, pour arrêter trois ouvriers qui travaillaient sur un espace aménagé par le Docteur sur les rives de la mer de Ngor.

“C’est mon fils qui gère une structure de surf à côté de chez Farba Ngom. Avec l’avancée de la mer, il a engagé trois personnes pour renforcer la digue contre la mer. Ils n’avaient même pas de ciment. Leur travail consistait seulement à empiler des pierres. Et tout d’un coup, la Police est venue les embarquer sur instruction de Farba Ngom”, a rapporté Niang.

La réaction du Docteur ne s’est pas fait attendre. Faisant allusion à un article du journal Le Témoin, qui a révélé un trafic d’or suivi d’une arrestation à l’aéroport, Dr Niang a tout bonnement placé une pancarte devant sa demeure contigüe à celle de Farba Ngom. Sur le panneau, il explique avoir inscrit un message qui fait état de “l’impunité” dont bénéficie une haute autorité de la République, qui serait à la tête d’un système de trafic international d’or.

Ce qui est cependant bizarre, c’est que le garde-du-corps de Farba Ngom, a aussitôt réagi en allant demander au Docteur d’enlever la pancarte en question. Ce que ce dernier a catégoriquement refusé. A la seule condition de faire libérer les trois ouvriers, qui ont passé la nuit à la Gendarmerie de la Foire. “Je vais m’en occuper”, a ensuite promis le garde-du-corps au Docteur.

Dans une interview accordée au journal L’Observateur, lu par actunet.net, le griot du chef de l’Etat a brossé les différends soulevés entre l’ex secrétaire d’Etat Yakham Mbaye et la Première Dame.

C’est Yakham en personne qui a fait une sortie pour relater ce qui l’oppose à Marième Faye Sall. Une relation qui serait entravée par le nommé Aliou Fall de la fondation Servir le Sénégal, avait expliqué le journaliste Yakham Mbaye.

A cela, Farba Ngom a semblé un peu sceptique quant aux affirmations de Mbaye. “Je ne connais ni les tenants, ni les aboutissants de cette histoire. Mais je connais assez la Première dame pour savoir que quelqu’un ne peut pas la mettre en mal avec une autre personne aussi facilement. Elle n’est pas du genre à se laisser influencer par qui que ce soit”, a éclairé le griot.

Et d’ajouter que “comme tout être humain, il peut arriver qu’elle ait des problèmes avec quelqu’un, mais elle les règle directement avec cette personne. Je ne l’ai jamais vu mener un combat par procuration. Elle est du genre à affronter les choses, à assumer ses responsabilités”.

«C’est indécent d’être limogé et de se rebeller», a-t-il dénoncé, avant de jeter un coup d’œil sur le rétroviseur. «Du temps de Me Abdoulaye Wade, nous avions constaté qu’à chaque remaniement, il y a eu les mêmes réactions ; et j’avais eu la même attitude en dénonçant le comportement de ces ministres qui n’étaient pas honnêtes. On se demande même où sont les valeurs cardinales des Sénégalais. C’est même décourageant pour un président de la République de voir des ministres se retourner contre lui dès qu’ils sont limogés», a laissé entendre Farba Senghor.

Pour lui, «celui qu’on limoge doit avoir la grandeur de partir en toute dignité». L’ex-ministre assure qu’il ne fera jamais partie de ceux qui empruntent cette voie fractionniste. Même s’il rappelle que Me Wade l’avait appelé pour lui annoncer son limogeage.

Après le remaniement ministériel opéré par Macky Sall, son griot Farba Ngom a répondu à la principale critique formulée par les observateurs. Il s’agit de la composition du nouveau Gouvernement qui fait penser à une directoire de campagne politique. Voici la réponse de Farba.

“Nous n’avons pas un gouvernement exclusivement politique. Quelqu’un comme Ismaïla Madior Fall, il n’est pas politique. Et puis, Macky n’acceptera pas que les activités politiques de ses ministres prennent le dessus sur leurs activités gouvernementales. Je connais très bien le chef de l’État pour vous assurer qu’il est plus intéressé par le bien-être des Sénégalais que par sa réélection”.

Parlant de deux sortants du Gouvernement, Mankeur Ndiaye et Awa Marie Coll Seck, Farba Ngom a minimisé le fait et leur a dessiné un avenir prometteur.

“Mankeur Ndiaye est mon ami, je l’assume. Awa Marie-Coll est une sœur. Il faut que les gens comprennent qu’on ne peut pas être ministre toute sa vie. Et, comme je l’ai dit tout à l’heure, il y a des facteurs déterminants dans les choix que seul le chef de l’État maîtrise. Le Président Macky Sall est un grand homme d’État, qui place les intérêts du Sénégal au-dessus de tout. Il choisit en fonction de ses convictions et des intérêts du pays. Je sais qu’il porte Mankeur Ndiaye en estime et je ne serais pas surpris qu’il le nomme bientôt à un poste très important. L’État, c’est plusieurs stations. Et le fait de ne pas être choisi ou reconduit comme ministre ne signifie pas qu’on n’a pas ou plus la confiance du chef de l’État”.