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Pour fêter ses dix ans, le cinéma de plein air AFRIKABOK organisée par l’inusable et l’infatigable Bruno Ventura dressera son écran gonflable le long du fleuve Sénégal.

Le festival AFRIKABOK 2018 aura lieu du 17 mars à Hamady Ounaré en premier et pour finir à St Louis, le 7 avril en clôture à l’Institut Français avec un concert exceptionnel de Lamine Cissokho, auteur-compositeur, chanteur et joueur de kora, venu spécialement de la Suède.

Le festival AFRIKABOK proposera également des films de sensibilisation sur les maladies cardio-vasculaires en partenariat avec le ministère de la santé, également sur le Droit à la Nationalité, la fin de l’apatride en coordination avec le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et pour terminer une valorisation du patrimoine du cinéma africain

Touchant un large public, les séances apporteront un divertissement inédit, attendu, trop rare pour ces populations qui luttent quotidiennement pour survivre face aux aléas climatiques et à l’isolement économique.

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Le Stade Iba Mar Diop de Dakar a abrité, ce mercredi 21 février 2018 la cérémonie d’ouverture de la 5e édition du festival international soninké (FISO2018). Cette édition qui porte sur le thème : “Wagadu, 1er empire ouest-africaine, hier, aujourd’hui et demain” va se poursuivre jusqu’au 25 février. Le Président Macky Sall, parrain de la 5e édition a marqué sa présence lors de l’ouverture du festival. Il a appelé à sauvegarder nos langues maternelles.

C’est un moment fort pour la communauté Soninké d’ici et d’ailleurs lui permettant de mettre en valeur sa culture et sa contribution dans le développement socio-économique du Sénégal.

En effet, c’est par des défilés traditionnels que les Soninké ont revalorisé leur culturel devant le président de la République, qui a exprimé toute sa gratitude et sa fierté auprès de cette communauté calme, travailleuse, digne, sincère et fidèle en amitié, comme il a eu à le souligné.

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Le cinéma africain et burkinabè, en particulier, est en deuil. Idrissa Ouédrago, réalisateur et producteur burkinabè, est décédé, ce dimanche 18 février, à Ouagadougou, à l’âge de 64 ans. Auteur d’une quarantaine de films, Idrissa Ouédraogo a été récompensé dans les plus grands festivals, obtenant notamment le Grand Prix du Jury au festival de Cannes pour le film « Tilaï » en 1990. Avec sa disparition, l’Afrique perd l’un de ses plus valeureux ambassadeurs dans le domaine de la culture, selon le président Roch Marc Christian Kaboré.

Tout a commencé pour Idrissa Ouédraogo en 1977, année de son inscription à l’Institut africain d’études cinématographiques de Ouagadougou où il sort major de sa promotion. Il réalise alors son premier film, en 1981, un court métrage de fiction qui obtient le prix du meilleur court métrage au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).

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Le maire de la ville de Thiès, Talla Sylla a annoncé, mercredi, que le festival « Kaay Thiès » destiné à visiter le patrimoine de la cité du rail va être organisé du 29 au 31 décembre prochain…lire la suite sur sénégo

Préparation du Festival des ondes d’intégration

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En évoquant la fête de tamkharite (achoura), beaucoup au Sénégal ne pensent qu’au succulent couscous servi au dîner le jour et au «Tadjabone» (festival où les hommes se déguisent en femmes et vice-versa) nocturne prenant des airs de “mardi gras” avec les déguisements. Mais, il faut dire que cela s’accompagne assez souvent d’actes de vandalisme et autre délinquances.

Cette fête est célébrée le jour (10ème jour d’Achoura) et la nuit qui le précède (9ème jour). On pourrait le comparer au 31 décembre et jour de l’An dans le calendrier grégorien. La nuit et le jour de Tamkharite (achoura) regorgent de grâces et de bienfaits qu’il importe de connaître pour mieux en tirer profit en adoptant une conduite appropriée.

Lors de la fête d’achoura célébrée le samedi dernier, les Sénégalais n’ont pas manqué de la rendre belle. Face à une crise économique qui frappe le pays et où les conditions ne sont pas du tout favorables, chacun s’est débrouillé pourtant pour offrir à sa famille une nuit de joie.

Il faut dire que c’est une fête qui nécessite quelques dépenses assez importantes comme le mil, les légumes et autres condiments qui vont avec le couscous.

Certains commémorent le triste souvenir de l’extermination des descendants du prophète (PSL), et d’autres enfin aux mille «Qoul houwallahou» (sourate Likhlas) récitée par tout le monde y compris par des gens qui s’improvisent dévots, en l’espace d’une journée, chapelet à la main, parcourant les rues du quartier, prenant toute la collectivité à témoin et caressant au passage la tête d’un orphelin. Certains ne manquent pas d’effectuer le «ziar» auprès de leur guide, au moment où d’autres jeûnent.

En termes de dévotion, il est particulièrement recommandé de jeûner, de réciter le Coran, de prier, d’implorer le pardon, de faire une œuvre charitable, de se montrer solidaire avec les nécessiteux et les orphelins et de faire des largesses à l’endroit des membres de sa famille.

Par exemple, les Saint-Louisiens aiment célébrer chaque année cette fête avec des tenues en tous genres. Ce rendez-vous se déroule au niveau de la place Faidherbe avec un spectacle grandiose. Cela a été le cas cette année encore, à l’occasion de l’achoura 1439 post hégire.

Du 7 au 11 octobre 2017, se tiendra à Dakar, Thiès, Louga, Keur Momar Sarr et Saint-Louis, la 17e édition du festival de cinéma image et vie sous le thème «Cinéma et insertion professionnelle des jeunes». Ce festival itinérant qui présente plusieurs catégories de films : court, long métrage, fiction, animation et documentaire du Sénégal et d’ailleurs, participe à la vulgarisation et la promotion du cinéma et de l’audiovisuel du Sénégal, de l’Afrique et des autres peuples du monde. Il contribue à l’illustration, par l’image, de la culture, du patrimoine matériel, immatériel et des traditions positives des peuples et offre des espaces de rencontres et d’échanges entre les créateurs et le public.