Dans le cadre de la politique sociale du Président de la République pour l’atteinte des objectifs d’autonomisation des femmes, un financement a été octroyé  aux femmes du GIE des îles du Gandoune. La cérémonie de remise de financement s’est tenue ce lundi 21 janvier 2019 sous la présidence effective d’Oumar Guèye, ministre de la  Pêche et de l’Economie maritime. La cérémonie qui s’est tenue dans la Salle de conférence de son département à Diamniadio, a été une occasion pour les 21 unions locales qui composent le Gie des îles Gandounes de recevoir leurs financements. En tout, ce sont 2800 femmes qui affichent le sourire des grands jours. Il faut rappeler qu’elles s’activent dans la transformation, le mareyage, le micro-mareyage et la cueillette des fruits de mer. Un geste qui vient suite à une sollicitation faite à la première Dame Madame Marième Faye Sall,  pour un accompagnement pour leur permettre de mieux développer leurs activités génératrices de revenus. Une demande entendue par le le ministre Oumar Guèye suite à une réaction (rapide) de la première dame.

Avec l’aide du Conseil sénégalais des chargeurs (Cosec) un appui financier d’un montant de 20 millions de FCFA  leur a été alloué par chèque. La cérémonie  vu la présence de  Gorgui Ciss maire de Yéne, de  Souleymane Ndoye président du Conseil départemental de Rufisque de Ouléye Diaw responsable à Rufisque et de Diouma Dieng Diakhaté qui au cours de cette cérémonie a remis aux femmes du Gie un chèque d’un million de FCFA comme appui.

Au nom de toutes les femmes du Gie, Ndéye Thioro Bopp, membre du Haut Conseil des Collectivités Territoriales et présidente du Gie, a pris la parole pour remercier le Président Macky Sall à travers le ministre Oumar Guèye pour cet appui qui leur permettra de réhabiliter leur magasin de stockage, de labelliser leurs produits et de pouvoir accroître leurs revenus. Pour terminer le ministre Oumar Guèye a donné des instructions à Téning Séne Directrice du Centre National de Formation des Techniciens des Pêches et de l’Aquaculture (CNFPTA), pour une formation de renforcement de capacités dans ces secteurs au bénéfice des jeunes des îles du  Gandoune.

Ziad Takieddine, connu pour être un intermédiaire entre Nicolas Sarkozy et Mouammar Kadhafi s’est exprimé sur la récente garde-à-vue de Nicolas Sarkozy dans l’affaire des financements illicites de sa campagne de 2007. Il a indexé Abdoulaye Wade comme étant de mèche avec l’ancien président français dans le « meurtre » de l’ancien président libyen.

Pour Ziad Takieddine,  qui s’est confié à nos confrères de Kewoulo,«Abdoulaye Wade n’a fait que suivre son maître, Nicolas Sarkozy. C’est une mafia, ce sont les mêmes pratiques faites en Sicile, Italie. Il se rendent des services criminels pour s’exonérer de leurs actes. Abdoulaye Wade est un pion de cette mafia qui a voulu détruire l’Afrique. Il a joué ce jeu parce qu’il était le plus vieux et le plus c…que Sarkozy pouvait manipuler. C’est pour faire adouber son fils, Karim Wade. Et le faire exonérer de ses crimes économiques…Tel père, tel fils ».

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C’est le deuxième jour de la visite d’Emmanuel Macron au Sénégal. Après une journée consacrée à l’éducation, place maintenant à la question climatique. Le président français et sa femme Brigitte se rendent à Saint-Louis, la ville côtière est rongée par l’avancée de la mer. Emmanuel Macron veut à nouveau s’afficher en héraut de la lutte contre le réchauffement climatique, cette fois sur le terrain. Vendredi, c’est l’éducation qui était au cœur des discussions lors du Partenariat mondial pour l’éducation, qui bénéficiera de davantage de financements.

Plus de 2 milliards 300 millions de dollars récoltés, c’est moins qu’attendu, mais c’est plus que lors du dernier sommet. Macky Sall a lancé un nouvel appel pour atteindre les 3 milliards de dollars espérés. Le Royaume-Uni reste le principal contributeur, devant la Norvège et la Commission européenne.

La France vient ensuite : Emmanuel Macron a promis une enveloppe de 200 millions de dollars. Beaucoup plus que les 17 petits millions fournis jusqu’à présent par Paris. Une façon pour le président français de traduire en actes l’un de ses engagements de son discours de Ouagadougou : faire de l’éducation une priorité absolue.

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