À vrai dire, seules les montagnes ne se rencontrent jamais. C’est en tout cas ce que dit l’adage. Après un divorce assez douloureux, Moustapha Niasse, Secrétaire de l’Alliance des forces de progrès (Afp) et son ex numéro 2 qui n’est autre que Malick Gakou, actuel patron du Grand parti (Gp) se sont retrouvés hier. En effet, le fils est allé à la rencontre du père suite au décès d’ Adja Abyssatou Thiam, mère du dernier nommé. C’était pour présenter ses condoléances à Moustapha Niasse, par ailleurs président de l’Assemblée nationale. Malick Gakou ayant effectué le déplacement jusqu’à Keur Madiabel. La défunte était considérée comme une Grand-mère par Malick Gakou. Il faut dire qu’il était accompagné d’une forte délégation du Grand parti. autrement dit, la politique est ce qu’elle est, mais la vie est une autre affaire.

La « Caravane de l’espoir » de Maclik Gakou était à Fatick ce samedi 9 juin 2018. Une occasion qu’il a saisie pour critiquer sévèrement la politique d’emploi du président Macky Sall.  « En entrant en Fatick, l’échec de Macky Sall frappe à l’œil. Bien qu’il soit originaire de cette ville, on n’y trouve que des chantiers aux arrêts, ainsi que des jeunes et des femmes consternés. Cela est à l’image de tout le pays. Le Sénégal est fatigué », a-t-il déclaré devant la population qu’il l’a accueilli en lisse.

« Si Macky Sall avait réussi, ce n’est pas à 8 mois des élections qu’il va mettre en place une Délégation spéciale pour l’entreprenariat rapide. Un concept qui revient à dire : comment escroquer et corrompre les jeunes et les femmes du pays. Cependant, la jeunesse a dit non, on a compris ta duperie. Mais, nous allons bouffer ton argent parce que c’est l’argent du pays, et ensuite voter pour le Grand parti au soir du 24 février 2019 », indique Malick Gakou qui dit relaté les propos des jeunes de Fatick.

Reprenant ses tournées à travers le pays, le leader du Grand parti s’est rendu à Fatick ce samedi 9 juin. Accueilli en pompe par la population, Malick Gakou a tenu a convaincre cette population de l’échec de la politique du chef de l’Etat. Ce dernier, natif de Fatick, a subi un mauvais procès de Gakou, qui a jugé qu’il n’a absolument rien fait pour cette localité.

Par ailleurs, Gakou a fait des promesses à la population de Fatick. Parmi ses promesses, il indique que, une fois à la tête pays, il distribuera des primes de naissances aux enfants de 0 à 5 ans, mais aussi une somme de 120 mille Fcfa sera annuellement octroyée aux jeunes du pays.

Le président du Grand parti (Gp), Malick Gakou, était ce jeudi à Touba. Dans sa tête, la prochaine course pour la magistrature suprême.

«Je me suis rendu dans la ville sainte avec une forte délégation du Grand Parti, afin de me recueillir auprès du khalife général des mourides Serigne Mountakha Bassirou Mbacké. Nous avons sollicité ses prières pour le triomphe de ma candidature à l’élection présidentielle de 2019 et le succès de notre idéal pour le Sénégal», informe un communiqué du Gp.

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Malick Gakou compte tout faire pour apaiser la tension qui sévit dans le système éducatif. Il est d’avis que les acteurs qui encerclent se secteur doivent éviter “tout ce qui peut entacher ou menacer l’avenir des jeunes”. La solution qu’il préconise, c’est de s’assoir autour d’une table et de mener des discussions insincères, orientées vers les intérêts du pays. Il a ainsi martelé qu’il fera tout son possible pour redorer le blason du système éducatif

Le leader du Grand Parti(GP), Malick Gakou a tenu sa promesse de marcher dans les artères de la capitale avant la grande rencontre du jeudi 19 avril. Gakou et ses partisans ont battu le macadam pour montrer leur désaccord sur la loi de parrainage que les représentants du peuple vont probablement entériner. Mais ils n’ont pas pu accéder à la Place de l’Obélisque comme prévu.

Interrogé par la RFM, l’ancien ministre défie le …Macky. « personne ne peut nous empêcher de marcher à Dakar… ». Demain, Gakou et ses partisans promettent de se rassembler devant les grilles de l’Assemblée.

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Le leader du Grand Parti, El hadji Malick Gakou a procédé, ce mercredi, à la présentation de son programme de gouvernance qu’il compte soumettre aux Sénégalais en vue de la présidentielle de 2019. Il s’agit d’un condensé de sa vision en 36 points dans un programme alternatif Suxxali Sénégal (PASS).

Selon Malick Gakou, le PASS se veut “un pacte de confiance et de développement” qui va changer la vie des femmes, des jeunes, des étudiants, bref de toutes les couches de la société sénégalaise. “Avec le Programme alternative Suxxali Sénégal (PASS), nous nous sommes engagés à faire de sorte que la génération future soit fière de naître dans ce pays. C’est pour cette raison que nous allons offrir une prime de naissance de 25.000 Fcfa à chaque nouveau-né. Pour les étudiants, nous allons adopter la généralisation des bourses d’un montant de 50.000 Fcfa. Nous allons créer une banque pour la promotion de la femme qui sera dotée d’un fonds de 100 milliards de Fcfa. Pour les jeunes dont l’âge varie entre 18 et 30 ans et qui n’ont pas de travail, nous allons leur consacrer un Revenu minimum d’insertion annuel de 120.000 Fcfa”, promet-il.
De même, poursuit-il, “pour les retraités, nous allons leur réserver une Prime minimale annuelle de 600.000 Fcfa. Pour les chauffeurs, nous allons créer un fonds de solidarité de 10 milliards de Fcfa. Et pour faire plus que la couverture maladie universelle (Cmu), les soins seront gratuits pour les malades de 0 à 12 ans”.

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La condamnation du Maire de Dakar n’est pas du goût du leader du Grand Parti. Selon Malick Gakou, le verdict qui a été récemment rendu par le tribunal correctionnel de Dakar est la résultante d’un procès politique. À l’en croire, le régime en place qui n’a rien trouvé de mieux à faire que d’instrumentaliser la justice, est aujourd’hui aux abois. Dans la foulée, il a également déclaré que tous les démocrates et l’ensemble des forces vives de la nation vont se mobiliser comme un seul homme pour combattre cette forfaiture. «Debout avec le peuple sénégalais, nous mènerons la bataille pour la libération de Khalifa Ababacar Sall», a-t-il souligné.

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Les perturbations notées dans système scolaire sénégalais ne laissent pas de marbre la Convention nationale des enseignants du Grand parti. En effet, en conférence de presse hier, les enseignants du Gp ont fustigé la manière dont l’Etat du Sénégal gère la crise. Selon eux, il y a des actions de « désinformation » concoctées par le Gouvernement, pour montrer la population contre les enseignants. « Malheureusement, force est de reconnaître, pour le dénoncer, que le gouvernement ne montre pas une réelle volonté de résoudre définitivement cette crise.

À la place de la désinformation pour monter l’opinion nationale contre ces braves enseignants, à la place des intimidations, la Convention nationale des enseignants du Grand parti invite le Président Macky Sall et son gouvernement à matérialiser les accords signés avec les enseignants en laissant tomber l’argument des lenteurs administratives, et à corriger l’absence d’équité dans le traitement des agents de l’État, pour plus de justice sociale ».

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XALIMANEWS : A l’occasion d’une conférence de presse tenue hier pour se prononcer sur la crise scolaire qui paralyse l’enseignement, la Convention nationale des enseignants du Grand Parti ont décidé de porter plainte contre l’Etat du Sénégal , pour violation du droit des enfants à une éducation de qualité auprès des juridictions compétentes.

Selon eux, l’Etat a failli à ses engagements, livre l’As.
Le Grand parti demande ainsi au gouvernement de prendre ses responsabilités et de répondre à l’appel du peuple en respectant ses engagements notamment les accords matérialisés. Il trouve qu’il y a une absence d’équité qui est encore là.

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Malick Gakou, président du Grand parti (Gp) était hier dans les locaux du lycée Limamoulaye. C’était pour procéder à la remise du prix «Seydina Limamoulaye» sous la présence du proviseur Mandaw Mbaye, des membres de l’administration du lycée et de certains membres du Gouvernement scolaire.

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Malick Gakou, président du Grand parti (Gp) était hier dans les locaux du lycée Limamoulaye. C’était pour procéder à la remise du prix «Seydina Limamoulaye» sous la présence du proviseur Mandaw Mbaye, des membres de l’administration du lycée et de certains membres du Gouvernement scolaire.

C’est ce que renseigne un communiqué qui indique que «ce prix annuel a été initié il y a quatre ans par Malick Gakou pour récompenser et soutenir les meilleurs élèves de la terminale de son ancien Lycée, afin qu’ils puissent poursuivre leurs études au Sénégal ou à l’étranger après le Baccalauréat».

« Nous demandons solennellement au Président de la République de quitter avec son ministre de la Justice le Conseil supérieur de la magistrature afin de garantir une véritable expression d’une vie judiciaire en harmonie avec les principes fondateurs d’une justice de l’éthique et de la morale au nom du Peuple», ont d’emblée soutenu Malick Gakou et ses camarades du Grand parti.

Pour cela, ils demandent «au Président Macky Sall d’être en phase avec l’une des recommandations phares des Assises nationales pour la mise en place d’une Cour constitutionnelle garante deslibertés et de l’expression d’une démocratie moderne, humaniste, porteuse de progrès et de développement, au service exclusif du Peuple sénégalais». Comme preuves, ils font allusion «aux tentatives d’instrumentalisation de la justice à des fins politiques», citant le procès du maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall.

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« Nous demandons solennellement au Président de la République de quitter avec son ministre de la Justice le Conseil supérieur de la magistrature afin de garantir une véritable expression d’une vie judiciaire en harmonie avec les principes fondateurs d’une justice de l’éthique et de la morale au nom du Peuple», ont d’emblée soutenu Malick Gakou et ses camarades du Grand parti.

Pour cela, ils demandent «au Président Macky Sall d’être en phase avec l’une des recommandations phares des Assises nationales pour la mise en place d’une Cour constitutionnelle garante deslibertés et de l’expression d’une démocratie moderne, humaniste, porteuse de progrès et de développement, au service exclusif du Peuple sénégalais». Comme preuves, ils font allusion «aux tentatives d’instrumentalisation de la justice à des fins politiques», citant le procès du maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall.

C’est pourquoi, ils considèrent l’indépendance de la justice et la séparation des pouvoirs «comme des axes primordiaux du programme de réforme de la gouvernance et du développement de notre pays». Non sans dire que «la mise sous tutelle de la justice, sous le joug de l’Exécutif, constitue une entrave à l’expression vivante d’une justice au service du Peuple dans l’équité et la morale qui doivent gouverner les vertus d’une République moderne, des valeurs et du progrès».

Poursuivant, Malick Gakou et ses camarades de faire savoir à travers une déclaration que : «L’annonce par le ministre de la Justice de la mise en place d’un Comité de concertation sur la modernisation de la justice est une fourberie de plus dans l’optique de divertir l’opinion nationale et les forces vives de la Nation afin de se donner du répit et de ne rien faire dans ce domaine si vital pour la vie de la Nation, comme ce fut le cas dans les autres secteurs». Sous ce rapport, avertissent-ils, «les patriotes et les forces républicaines sont suffisamment avertis de la capacité du gouvernement à multiplier les commissions de diversion face à son incapacité à apporter des réponses concrètes et précises aux interpellations dirimantes du Peuple sénégalais.»

L’élection présidentielle de 2019 approche à grands pas et les visages et contours des différents candidats et coalitions se dessinent et commencent à se faire voir du grand public. Cependant une nouvelle donne,inédite risque de s’inviter pour les joutes de février 2019 :à savoir la posture du Vieux,Me Wade pour ne pas le nommé sera le faiseur de roi par excellence en 2019 surtout en cas de second tour. La question qui est sur toutes les lèvres des avertis de la politique au Sénégal est :qui sera le candidat de Wade si le Pds ne passe pas le premier tour?

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Membre du secrétariat exécutif du Grand Parti, Bamba Ndiaye est sorti du bois, au nom de sa formation politique pour éclairer le débat sur les candidatures de l’opposition en 2019. Et pour lui, il ne fait point de doute que le président de sa formation politique, Malick Gackou, reste le candidat qui a le meilleur profil pour battre Macky Sall.

Bamba Fall avait annoncé, il n’y a pas longtemps, que la coalition Mànkoo Taxawu Senegaal voterait Idrissa Seck pour la prochaine présidentielle de 2019, qu’en dites-vous ?
Nous avions indiqué, en son temps, que la coalition Mànkoo Taxawu Senegaal était une coalition électorale pour les législatives de juillet 2017. Pour la présidentielle de 2019, aucune décision n’a été prise dans ce sens. Selon les tendances qui semblent se dégager pour l’instant, les candidatures multiples risquent de l’emporter sur les candidatures uniques. Ce qui supposerait une liberté pour chaque entité, prise individuellement, de jeter son dévolu sur tel ou tel autre candidat. Vous avez remarqué que M. Barthélémy Dias avait rectifié son camarade de parti, en rappelant que les pro-Khalifa n’avaient qu’un seul et unique candidat. C’est Khalifa Ababacar Sall. Quant à nous, notre candidat c’est évidemment El Hadj Malick Gakou qui a été déjà investi par plusieurs structures du Grand Parti en attendant le congrès d’investiture.

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Me El Hadj Diouf est l’avocat du président du Grand parti, Malick Gackou. Il a annoncé le dépôt d’une plainte contre certains organes de presse de la place qui aurait diffamé son client.

Depuis quelques jours, des médias font état de problèmes de mœurs auxquels Malick Gackou serait confronté. D’ailleurs, ces médias avaient indiqué que l’ancien président du défunt Conseil régional de Dakar avait été arrêté et entendu par la sûreté urbaine. Des informations que le Grand parti avait démenti, sans que ces médias en prennent compte.

Pour Me El Hadj Diouf, la plainte qui sera déposée contre Pressafrik, Actusen et Source A, vise les délits de diffamation, calomnies et diffusion de fausses nouvelles. L’avocat leur demande de prouver l’existence d’une quelconque relation entre son client et la dame avec qui il aurait eu des relations et qui auraient abouti sur une grossesse non désirée.

Pour Me El Hadj Diouf, il s’agit « d’un complot contre le leader du Grand parti pour le liquider politiquement. Ils n’ont qu’à prouver « quand est-ce qu’il a été arrêté puis relâcher ».

Une information relayée par une certaine presse fait état de l’interpellation et de la garde à vue durant le week-end écoulé du Président du Grand Parti, Malick GAKOU.

Cette information est erronée et sans fondement.

Le Président Malick GAKOU était durant tout le week-end dans la ville sainte de Touba.

Le Président Malick GAKOU n’a nullement été l’objet d’aucune plainte.

D’ailleurs, il y a juste deux semaines, il lui a été attribué une troisième femme par la presse et des tentatives de cette nature ne vont certainement pas manquer pour salir son image face aux perspectives politiques du Sénégal.

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Si tout se passe comme prévu, Malick Gackou aura sa caution pour la présidentielle de 2019 avant la fin du mois de mars. Les cadres de son parti, le Grand parti (Gp), lui ont promis de rassembler les 65 millions Fcfa nécessaires au plus tard le 31 mars 2018.

Malick Gakou, indique le communiqué, « a vivement remercié les cadres tout en les exhortant à rendre encore plus visible le projet de société du Grand Parti Suxali Senegaal ».

Cette action de communication des cadres du Gp intervient au lendemain de l’annonce de possibilité pour Idrissa Seck de diriger la coalition Mankoo Taxawu Senegaal. Mais avec la mobilisation de la caution pour Malick Gakou, on peut aisément comprendre que l’ex progressiste n’est pas prêt à se plier devant Idy.

La nomination du frère du Président, Aliou Sall, élu au poste de Directeur général de la Caisse des dépôts et consignations pousse Malick Gakou à dire que c’est une déclaration de guerre contre les intérêts vitaux du Sénégal.

«Cette nomination que le président de la République a accordé à son frère nous montre comment notre République est jachère sous son magistère.

Elle montre la trajectoire si décevante et si controversée du régime du président Sall. Je suis submergé par une énorme déception face à cette volonté d’accaparer des richesses nationales : le pétrole, le gaz, la banque… et à savoir maintenant les bijoux de la famille sénégalaise», a indiqué le Président du Grand parti.

Et de poursuivre pour dire que «c’est tout simplement triste et hallucinant. Le peuple sénégalais doit maintenant s’éveiller avant qu’il ne soit trop tard. Ainsi pour ma part, je serai bien placer pour mener ce combat afin de libérer notre pays de ce fardeau qui nous encombre et nous plonge en arrière pour relever les défis de la transparence dans les gestions des affaires publiques».