La cérémonie de remise de drapeau SENFPU 1 et 2 Congo aura lieu  le jeudi 20 Aout 2020 à partir de 09 heures à la Caserne Samba Diéry Diallo de Colobane. 

Elle  sera présidée par le général de brigade Thiaca THIAW, commandant la gendarmerie Mobile en présence de plusieurs autorités civiles et militaires. Pour  rappel, le  Sénégal est un partenaire de l’Onu pour la paix  dans des endroits difficiles.

Plusieurs éléments de la gendarmerie servent la cause de la paix dans le monde aujourd’hui. Ils le font au péril de leur vie et dans des conditions difficiles. Dans des pays comme la République centrafricaine,  le Soudan du Sud, le Congo, Haîti et  au Mali , ces soldats de la paix sauvent des milliers de vies, protègent les civils contre des attaques violentes et appuient la distribution de l’aide humanitaire. 

Le Sénégal participe à des opérations de paix dans de nombreux points chauds de la planète. Actuellement, le pays est le huitième plus grand contributeur de personnel en uniforme aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, avec  des milliers de :  gendarmes , militaires et  policiers dans les missions.

Avec l’approche de la fête de la Tabaski, les agressions ont repris. C’est pour dire qu’elles sont devenues récurrentes, même si à un moment donné, il était constaté une baisse. S’il est vrai que les forces de gendarmerie et de police font des pieds et des mains pour neutraliser ces malfrats d’une lâcheté extrême, il est encore vrai qu’elles doivent multiplier les sorties. En effet, plus l’on s’approche de la fête de la Tabaski et plus les citoyens sont exposés. Car, à tous les coins de rue, des jeunes à bord de rapides scooters, guettent la moindre ”proie” et sont prêts à user de méthodes fortes pour emporter ses biens.

De quoi lancer une alerte rouge surtout à la gendarmerie parce que révèle actunet, l’axe Pont (foire) vers le supermarché ”Exclusive” en allant par les cimetières catholiques de Saint Lazare et plus haut vers le pont ”Cheikh Béthio”, les scootéristes, armés de couteaux, de coupe-coupe, règnent en maîtres. Ce qui veut dire que les contrôles, les rafles, les patrouilles, doivent véritablement être multipliés surtout à certaines heures. Vingt heures et au-delà. Il ne faut pas oublier les autres axes où ces malfrats opèrent. Il y a quelques mois, le ministère de l’Intérieur avait pris la décision de mettre des policiers au niveau de certains grands axes. Actunet rappelle qu’une telle démarche avait produit des résultats encourageants et permettre aux honnêtes citoyens de vaquer tranquillement à leurs occupations. Alors, à la gendarmerie comme à la police, poursuivez sans relâche les agresseurs partout et à chaque heure. Aux citoyens, faites attention aux conducteurs de scooters à certaines heures de la journée…

Quelque 3, 2 tonnes de chanvre indien ont été saisies à Mbour (région de Thiès) dans le cadre d’une opération de démantèlement d’un réseau international de trafic de drogue, a annoncé la gendarmerie nationale, lundi.

Il s’agit d’une des plus grosses prises faites dans la répression du trafic illicite de stupéfiants au Sénégal, soutient la gendarmerie dans un communiqué qui fait également état de l’arrestation de trois personnes dont une femme dans cette opération menée mercredi par sa section de recherches.

Les gendarmes étaient depuis 2014 aux trousses des animateurs de ce réseau international alimenté à partir d’un pays limitrophe. Le transport de la drogue se faisait notamment par le biais de camions dotés de fausses parois, selon la source.

Le réseau, dirigé par un individu de nationalité étrangère, travaillait avec plusieurs complices basés au Mali et s’appuyait sur des Sénégalais pour conduire ses activités qui l’amènaient à réexporter la drogue en Mauritanie, indique la gendarmerie.

Après une première arrestation, le chef du réseau a été libéré en 2014 puis arrêté en nouveau en avril dernier. De la prison il parvenait par des ‘’ moyens détournés à coordonner le trafic malgré les précautions rigoureuses prises par l’administration pénitentiaire’’, apprend-t-on de la même source.

L’opération ayant abouti à la saisie de cette importante quantité de drogue a été menée sur la base de renseignements faisant état de l’arrivée imminente d’une cargaison de drogue en provenance d’un pays limitrophe du Sénégal, selon le communiqué de la gendarmerie.

Le dispositif de surveillance de riposte mis en place par les hommes en bleu a, dans un premier temps, permis de mettre en filature les émissaires présumés du dealer et de les arrêter dans un bus à hauteur de la ville de Mbour.

La fouille des suspects ne permit pas aux enquêteurs de découvrir de la drogue, mais des avec enquêtes plus poussées ils apprirent l’existence d’un appartement servant de cache pour la drogue.

‘’ Les triangulations effectués par les techniciens de la plateforme numérique de lutte contre la cybercriminalité de la Gendarmerie indiquent les coordonnées d’un site localisé à Mbour 3, dans la région de Thiès’’, mentionne la source.

Elle précise que la descente des gendarmes de la section de recherches a permis de découvrir une maison dans laquelle, le dealer avait loué un appartement depuis un an mais dans lequel il ne résidait pas.

‘’A l’ouverture de la porte de l’une des chambres, les enquêteurs tombent sur un stock de 3,2 tonnes de chanvre indien(…).les trois personnes interpellées ont été ensuite acheminées sur Dakar’’, ajoute la source.

Radié des cadres d’actives des Armées à compter du 23 mai dernier pour « fautes contre la discipline découlant de sa décision de quitter l’armée pour convenances personnelles, le capitaine Mamadou Dièye du 25e Bataillon de reconnaissance et d’appui est  plus que jamais dans le collimateur des services de l’État.

Selon des sources dignes de foi de Actunet.net, c’est le ministre des Forces Armées qui a saisi le procureur de la Republique et c’est ce dernier qui a actionné à son tour la Section de Recherches de la Gendarmerie Nationale.

En ce moment, selon Actunet.net, la gendarmerie nationale serait en route vers les locaux du DMedia. Dans le cadre d’une opération servant à interdire la diffusion de l’émission Sen Jotaay dans laquelle le capitaine Mamadou Dièye n’a pas manqué de faire des révélations “explosives. La censure en marche ?

La gendarmerie vient encore de frapper un gros coup avec la saisie de thé impropre à la consommation humaine. 

Dans le cadre de la lutte pour la protection du consommateur sénégalais, la Brigade de Recherches de Dakar, en appoint à la Direction de la Protection des Consommateurs du Ministère du Commerce a procédé à la saisie de 2290 cartons de thé impropre à la consommation.

Ce produit, caché dans un entrepôt se trouvant à Guédiawaye, faisait l’objet d’une contrefaçon, mais ne disposait pas de déclaration d’importation de produit alimentaire.

Les investigations menées ont permis aux éléments de l’Adjudant-major Insa SECK, Commandant la Brigade de Recherches de Dakar, de mettre la main sur ce produit et d’interpeller le propriétaire. Ce dernier, ainsi que la marchandise, sont mis à la disposition du service de commerce de Dakar.

Suite à une série d’opérations menée à Dakar, la légion de gendarmerie Ouest vient de procéder à la saisie d’importants produits frauduleux et du chanvre indien. En effet, exploitant un renseignement relatif à un débarquement de marchandises frauduleuses au quai de prêche de Yoff, l’Adjudant chef Ousmane Sangaré, Commandant de la Brigade de Foire, a déployé dans la journée du jeudi 30 mai 2018, ses éléments qui ont interpellé trois individus à bord d’une fourgonnette avec en leur possession soixante-dix-huit (78) cartons de cigarettes de marque Oris d’une valeur financière estimée à cinquante-quatre millions six cent milles (54.6.000.000 FCFA).

Les trois contrevenants ont été arrêtés pour le délit suivant : trafic international de produits frauduleux au préjudice de la société (fait prévu et réprimé par le Code des douanes suivant l’article 2014-14, du 28 mars 2014 relatif à la fabrication, au conditionnement, à l’étiquetage, à la vente et l’usage du tabac suivant le décret 2016-1008 du 26 juillet 2016 portant l’application de la loi précitée). Le produit ainsi que les mis en cause sont mis à la disposition de la douane en attendant la suite de l’enquête.

Dans un autre registre, l’Unité scanner mobile de Diamnadio, sous la conduite du Capitaine Atou Mboup, au cours d’une inspection par rayons, a décelé trois-cent quatre (304) kilogrammes de chanvre indien dissimulés dans un camion-citerne. Les deux individus à bord ont été mis à la disposition de la Brigade recherches de la légion Ouest de Dakar pour l’exploitation éventuelle des ramifications et le suivi de l’enquête.

Il est dit et soutenu que Dakar est un nid d’agressions. Personne ne peut le nier. S’il est vrai que la Police tout comme la Gendarmerie font des pieds et des mains pour réduire le niveau d’insécurité dans la capitale, il est également avéré que chaque jour, des cas d’agressions sont signalés. En dehors de ces jeunes à bord de scooters, d’autres par contre, s’organisent en groupe, armés de couteaux et de coupe-coupe, n’hésitant pas à porter le coup fatal à leurs victimes.

Seulement, depuis quelques jours, il est noté une nouvelle race d’agresseurs. Rien à voir avec ceux cités plus haut. Actunet est en mesure de révéler que des jeunes ont trouvé une nouvelle astuce pour appâter leurs victimes. Comment ? Bonne question. Pour y répondre, actunet signale que ce sont des jeunes qui ont pris la décision de bien soigner leur apparence. Autrement dit, ils s’habillent correctement, c’est à dire, mettent de beaux habits, se coiffent bien, portent des sacs à dos. Mais, méfiez-vous. Ils portent des coupe-coupe, couteaux et autres objets tranchants. En usant d’une telle méthode, ils font croire qu’ils sont (corrects), donc pas besoin de se méfier d’eux. Mais, attention, ils n’hésiteront pas à vous dérober votre téléphone, portefeuille, etc.

Ils opèrent le plus souvent dans la soirée et marchent en groupe de deux, trois, quatre, et plus… Dans tous les cas, la Police tout comme la Gendarmerie poursuivent leurs rondes en se fixant l’objectif de faire de la question sécuritaire, une chose bien partagée chez les citoyens. La preuve, tous les jours, ces forces de sécurité démantèlent des groupes de gangs qui sèment la terreur entre Dakar et sa banlieue.

La gendarmerie qui avait ouvert une enquête après la découverte à Yoff du corps sans vie d’un ressortissant français tué et ligoté chez lui, a mis la main sur un individu considéré comme le cerveau de l’acte criminel, mais aussi sur trois autres soupçonnés d’être ses complices.

Sur l’autoroute à péage, ce sont 24 personnes qui ont été mises dans les filets de l’escadron de la circulation.

Les auteurs du dernier meurtre survenu à Yoff ont été arrêtés et déférés au parquet hier. Pour rappel, le 30 mars dernier, un ressortissant français a été retrouvé chez iui, mort avec les mains ligotées à l’aide d’une corde.

L’enquête ouverte par la gendarmerie a porté ses fruits deux semaines après. En effet, sur les traces des auteurs, les hommes du commandant Insa Seck de la brigade de recherche de Dakar instruisent par le Haut Commandement de la gendarmerie nationale a permis de mettre la main sur 4 individus.

L’un est soupçonné d’être le meurtrier direct du français tandis que les trois autres sont pris pour ses complices. Quoi qu’il en soit, la brigade de recherche de Dakar qui a mené l’enquête a présenté la bande hier au procureur de la République qui a placé tous les 4, sous mandat de dépôt.

Un cas de meurtre similaire d’un ressortissant français dans le département de Mbour est survenu vendredi. La victime a été tuée chez lui et une somme de 200 000 frs emportée. La gendarmerie ne s’est pas limitée à conduire au parquet les auteurs du meurtre de Yoff.

Dans la cadre de la lutte contre les accidents, notamment sur l’autoroute à péage, les éléments de l’escadron de la circulation de la gendarmerie nationale ont interpelé des individus en train de violer les règles de la circulation sur l’autoroute.   

Une première vague de 13 personnes a été mise dans les filets puis une autre de 11 personnes. Ce qui fait un total de 24 délinquants coincés sur le péage. L’opération de la gendarmerie vise à endiguer les accidents de la circulation.

L’opération intervient dans un moment où les pouvoirs publics s’apprêtent à appliquer les dispositions sur le permis à point. C’est d’ailleurs pour faire face aux accidents de la circulation que le Groupe Sunu Assurance de concert avec les chauffeurs et conducteurs de Jakarta a organisé hier une conférence de presse pour apporter des solutions au fléau des accidents.   La rencontre a réuni des acteurs, cardes et spécialistes de la sécurité routière.

La gendarmerie qui avait ouvert une enquête après la découverte à Yoff du corps sans vie d’un ressortissant français tué et ligoté chez lui, a mis la main sur un individu considéré comme le cerveau de l’acte criminel mais aussi sur trois autres soupçonnés d’être ses complices. Sur l’autoroute à péage, ce sont 24 personnes qui ont été mis dans les filets de l’escadron de la circulation.  

Les auteurs du dernier meurtre survenu à Yoff ont été arrêtés et déférés au parquet hier. Pour rappel,  le 30 mars dernier, un ressortissant français a été retrouvé chez lui, mort  avec les mains ligotées à l’aide d’une corde. L’enquête ouverte par la gendarmerie a porté ses fruits deux semaines après. En  effet, sur les traces des auteurs, les hommes du commandant Insa Seck de la brigade de recherche de Dakar, instruit par  le Haut Commandement de la gendarmerie nationale a permis de mettre la main sur  4 individus.  L’un est soupçonné  d’être le meurtrier direct du français tandis que les trois autres sont pris pour ses complices. Quoi qu’Il en soit, la brigade de recherche de Dakar qui a mené l’enquête a présenté la  bande hier au procureur de la République qui a placé tous les 4, sous mandat de dépôt.  Un cas de meurtre similaire d’un ressortissant français dans le département de Mbour est survenu vendredi.  La victime a été tuée chez lui  et une somme de 200 000 frs emportée. La gendarmerie ne s’est pas limitée à conduire au parquet les auteurs du meurtre de Yoff. Dans la cadre de la lutte contre les accidents, notamment sur l’autoroute à péage, les éléments de l’escadron de la circulation de la gendarmerie nationale ont interpelés des individus entrain de violer les règles de la circulation sur l’autoroute.

Une  première vague de 13 personnes a été mise dans les filets puis une autre de 11 personnes. Ce qui fait un total de 24 délinquants coincés sur le péage. L’opération de la gendarmerie vise à endiguer les accidents de la circulation. L’opération intervient dans un moment où les pouvoirs publics s’apprêtent à appliquer  les dispositions sur le permis à point. C’est d’ailleurs  pour faire face aux accidents de la circulation que  le Groupe Sunu Assurance, de concert avec les chauffeurs et conducteurs de Jakarta, a organisé, hier une conférence de presse pour apporter des  solutions au fléau des accidents.   La rencontre a  réuni des acteurs, cardes et spécialistes de la sécurité routière.

La communication de la fête de l’indépendance a été une  réussite pour le  Commandant Ibrahima Ndiaye, ci devant Chef de la  Division communication de la Gendarmerie et le Commissaire Tabara Ndiaye qui porte la parole de la Police. Ils ont en tout cas, fait ce qu’ils  avaient à faire lors du 58^ème anniversaire de l’ascension du Sénégal à l’indépendance. Le Commandant, Ibrahima Ndiaye pour la Gendarmerie  et le Commissaire Tabara Ndiaye pour la police ont réussi le pari d’expliquer aux populations et aux hôtes qui ont pris part à la fête, chacun  pour le corps qui le concerne,  ses composantes et son mode de fonctionnement.

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Une scène digne des films d’action américains s’est passée hier en fin de matinée à la sortie «A8» de l’autoroute à péage, plus précisément entre Keur Massar et Rufisque. Un détenu a failli s’échapper lors de son défèrement au tribunal de Pikine.

D’après le récit de L’Observateur, le détenu bondit de son siège placé à l’arrière du Pick-up affecté à la sous-brigade de gendarmerie de Tivaouane-Peulh. À l’aide de ses menottes, il étrangle le gendarme-conducteur, qui perd le contrôle du véhicule. Celui-ci percute les glissières, passe sur l’autre voie avant de faire plusieurs tonneaux.

Roulant dans le sens Dakar-Rufisque, une Peugeot 307 d’un certain monsieur Fall est violemment percuté par la voiture de la gendarmerie. Ce dernier meurt sur le coup.

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La brigade de recherche de Dakar a mis la main sur des aliments périmés d’une valeur de 156 millions de francs Cfa destinés à la consommation et 3600 cartons de bonbons “Balla Gaye béguë” contrefaits.

Les gendarmes ont fait cette saisie sur deux camions en provenance d’un pays limitrophe. Ces camions, selon les pandores, étaient venus pour l’écoulement de leurs produits sur le territoire national.

La division communication de la gendarmerie informe qu’en collaboration avec le service du commerce de Dakar, il a été constaté que les camions ne détenaient pas de Déclaration d’importation de produits alimentaires (Dipa), obligatoire pour l’importation de produits alimentaires au Sénégal.

L’information a fait le tour de la toile. L’ancien international de footballeur serait convoqué par la section de recherche. Ce que dément El Hadji Diouf joint par le journal Enquête lu par Senegal7. Il fait savoir qu’il n’est pas au courant de cette plainte. « C’est tout ce que je peux dire, je ne saurai dire que ce soit d’autre. Le gens peuvent dire ce qu’ils veulent », laisse-entendre Dioufy.

En effet le plaignant est Souleymane Tall, frère de la présidente du Conseil économique social et environnemental. Selon M Tall joint par Seneweb, l’ancien ballon d’or l’aurait harcelé par des appels téléphones. Il a prêté sa voiture à l’épouse du footballeur sans l’avertir. Aux dernières nouvelles, El Hadji est convoqué devant la section de recherches.

Visé par une plainte pour menaces de mort et injures publiques, l’ancien joueur de l’équipe nationale de football, El Hadji Ousseynou Diouf, fera face ce mardi 6 février 2017 à 09 heures aux enquêteurs de la Section de recherches de la gendarmerie sise à la Caserne Samba Diéry Diallo de Colobane. Il a reçu sa convocation ce lundi dans l’après-midi, a appris Seneweb.

Il sera auditionné sur les accusations formulées à son encontre par Souleymane Tall, un des frères de la présidente du Conseil économique, social et environnemental (Cese), Aminata Tall.

Les enquêteurs de la Section de recherche de la Gendarmerie ont établi un lien direct entre le journaliste René Captain Bassène, actuellement en prison dans le cadre de la tuerie de Boffa, et un haut responsable du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance  du nom d’Ousmane Tamba, membre de l’aile extérieur du Mfdc.

En effet, comme l’indique en exclusivité Libération, consulté par Actunet, c’est le téléphone de rené captain Bassène qui a « parlé ». Les Gendarmes ont découvert René a communiqué à plusieurs reprises avec Ousmane Tamba. Plusieurs communications qui ont eu lieu avant et après le carnage de Boffa.

Pour les enquêteurs, il n’y pas l’ombre d’un doute sur le fait que René Captain Bassène faisait des comptes rendus à Ousmane Tamba. De quoi et pourquoi ? Des questions sans réponse du journal. Mais en tout cas, il apparaît clair que c’est le journaliste René Bassène qui a planifié l’attaque sur les 14 bûcherons.

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Alors que l’armée intensifie les ratissages dans la forêt de Bofa-Bayote pour éradiquer les bandes armées, les gendarmes de leur côté poursuivent l’enquête sur la tuerie intervenue dans ladite forêt le 6 janvier dernier, ayant occasionnée 14 morts. C’est dans ce cadre que de nombreuses interpellations ont été effectuées par les hommes en bleu.

« Un groupe de personnes est actuellement en train d’être auditionné. Ces nouvelles interpellations entrent dans le cadre de l’enquête sur la tuerie de Boffa», a révélé une source proche de l’enquête à nos confrères de l’APS.

Selon elle, les arrestations se poursuivent ce qui fait qu’il est pratiquement impossible d’en donner le nombre exact. Mais, précise-t-elle, la gendarmerie va faire le point sur l’’enquête dans les prochains jours à travers un point de presse».

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Li Ci Rewi parle de la crise en Casamance (Video)

L’ancien chef de la section  recherche de la gendarmerie qui est passé gouverneur du palais puis général de brigade, Moussa Fall est envoyé en Casamance pour diriger la traque des tueurs de Bofa Bayotte mais également des autres exactions  commises dans cette partie du pays où sévit une crise depuis 1982.  En Casamance où le général Moussa Fall est en terrain connu,  il y retrouve ses ex éléments qui sont toujours en service à la section recherche de colobane qui a procédé à l’arrestation d’une vingtaine de meurtriers présumés en cours d’enquête sur ce qui s’est passé à Bofa.

Le journal Libération, consulté par Actunet, se pose la question de savoir si cette affaire est en rapport avec la traque déclenchée par l’Armée après la tuerie de Boffa. Il est cependant avéré qu’une personne a été tuée hier dimanche 14 janvier, à Batkamanao, à la suite d’un accrochage entre l’armée et des éléments armés.

Les forces de l’ordre ont effectué des arrestations le même jours. C’est vers 5 heures du matin que la Section de recherches, appuyée par une enquête du Groupement d’intervention de la Gendarmerie nationale (Gignac) et de la brigade locale, a frappé à Toubacouta près de Boffa Bayotte. Libération, consulté par Actunet, précise que c’est exactement 22 personnes, dont une femme, qui sont arrêtées. D’autres arrestations se profileraient également à l’horizon. Durant l’opération, des munitions ont été saisis chez l’un des suspects.

Il y a une autre interrogation liée à l’arrestation du journaliste et “analyste”, René Capain Bassène. Le moment de son arrestation a concordé avec ceux menées à Toubacouta. Libération indique que ce confrère serait lié au communiqué “incendiaire” publié par le Mfdc (Mouvement des forces démocratiques de la Casamance) suite à la tuerie.

Selon le site Journaldupays, René Capain Bassène a été arrêté dans sa maison à Ziguinchor par une douzaine de gendarmes. Ces dernier ont sauté le mur de la concession, frappé la porte d’entrée de la salle d’attente et demander à la famille d’ouvrir la porte.

Les hommes en tenue ont procédé à la fouille des chambres et ont saisi les téléphones portables de Bassène et de sa femme. Les gendarmes ont ensuite procédé à son arrestation, menottes aux poings.

Suite à l’assassinat atroce de quatorze jeunes dans la forêt de Boffa Bayotte alors qu’ils étaient partis à la recherche de bois, tout le Sénégal s’était réveillé totalement meurtri. Les cris de dénonciations n’ont pas tardé et le Président Macky Sall avait très tôt donné des instructions fermes pour mettre la main sur les assassins. Sans attendre, la Section recherches de la Gendarmerie nationale (Sr) a établi ses quartiers généraux dans la région. Menant minutieusement ses enquêtes, elle n’a trop tardé à mettre la main sur les présumés meurtriers de ces pauvres jeunes.

En effet, actunet appris de sources dignes de foi, que les hommes du Commandant Diack ont arrêté pas moins de dix-neuf (19) personnes dont une…femme. Et, ils sont surtout supposés appartenir à une faction sinon jugées très proches de César Atoute Badiate. Il faut rappeler que le Chef d’état-major des armées (Cemga) a soutenu lors d’une visite ce vendredi dans cette partie de la région naturelle de Casamance, que les meurtriers seront traqués. Ce qui a été par les éléments de la Section recherches de la Gendarmerie nationale, secondés par leurs collègues du Groupement d’intervention de la Gendarmerie nationale (Gign). Un gros ouf de soulagement, en attendant la suite de l’enquête et l’arrestation très probable d’autres personnes, supposées impliquées dans ce massacre qui a fini de faire le tour du monde. Rappelons que ces personnes ont été arrêtées dans le village de Toubacouta, à quelques kilomètres du Boffa Bayotte, non sans révéler que les rescapés du massacre ont formellement identifié leurs bourreaux.