Le Pds n’a pas apprécié la proposition de médiation d’Idrissa Seck sur le dossier Karim Wade. Le chargé des élections du Pds, Cheikh Dieng, dans L’AS, voit dans cette offre du président de Rewmi une volonté de discréditer la candidature et l’image de Karim Wade.

«Le dessein est clair et l’intention perfide : sédimenter dans l’esprit des Sénégalais que Karim doit de l’argent au peuple sénégalais en vertu d’une décision de la Crei et conforter la thèse manichéenne de son inéligibilité, et dans le même temps, se présenter comme une fée qui sauverait sa candidature, tout en sachant que cette démarche est vouée d’avance l’échec.»

Celui qui est maire de Djeddah Thiaroye Kao, estime que la sortie d’Idrissa Seck cache sa peur face au retour annoncé de Karim Wade. Il est d’avis que le président du conseil départemental de Thiès use de subterfuges pour écarter tout adversaire politique pouvant lui faire ombrage dans son éternelle quête du pouvoir.

Ousmane Faye n’y va pas du dos de la cuillère. Le Président de la Coalition Manko Wattu Sénégal qui a prié à la grande Mosquée de Pikine, après avoir souhaité ses voeux de bonne fête de EID Moubarak à l’ensemble des musulmans du Sénégal et du monde entier, s’est encore une fois prononcé sur l’actualité politique. Il a pris pour cible Idrissa Seck qui a traité Macky Sall de « Ibliss » aujourd’hui dans un message adressé après la prière de la Korité.

Sans porter de gants, M. Faye indique que le patron de rewmi « souffre terriblement de voir Macky Sall comme Président de la République du Sénégal ». Et poursuit-il dans la note qu’il a fait parvenir à Senego: « si ça continue il va se suicider en plein jour », assène t-il.

Dans la même veine le leader de Manko Wattu Sénégal déplore les méthodes de l’ex Premier Ministre « Tidiane hier, Mouride aujourd’hui et peut être chrétien demain » qui dit-il est prêt à tout pour prendre le pouvoir afin de « régler des comptes personnels comme il l’a fait durant toute sa carrière ». lire la suite sur senego.com

Le président de Rewmi a  effectué la prière de Korité à la mosquée Moussanté de Thiès. Idrissa Seck a révélé, à cette occasion, qu’un proche de Macky Sall est venu le voir, pour dit-il, “arrondir les angles” entre lui et le président Sall. Il l’a rabroué au motif que la parole de Macky Sall n’a pas une valeur d’Evangile.

Aussi a-t-il invité le chef de l’État, à travers son “émissaire”, de pacifier ses relations avec le président Wade et d’accepter le retour de Karim Wade, exilé au Qatar.

Idrissa Seck a été reçu par le Khalife général des Mourides avec qui il s’est entretenu pendant une heure de temps. Arrivé à Touba hier aux environs de 16 heures, le président du parti Rewmi a d’abord été reçu par son Guide spirituel, Serigne Moussa Nawel, avant d’être introduit chez Serigne Mountakha Bassirou Mbacké. Rien n’a pour le moment filtré de cette tête-à-tête, mais l’on nous murmure que les discussions ont été fructueuses.

Ce déplacement a été suscité par le tollé soulevé par la sortie de l’ancien Premier ministre à propos de l’origine du conflit israélo-palestinien. Propos qui lui avaient valu d’être traité de suppôt de Satan.

Après avoir effectué son petit pèlerinage à La Mecque, le président de Rewmi est de retour à Dakar depuis hier, dimanche 3 juin. Il a atterri à l’AIBD aux environs de 23 heures.

Selon L’AS, qui donne l’information, son séjour à Dakar sera de courte durée, car l’ancien Premier ministre se rend, ce matin, à Touba. Le journal croit savoir qu’il rendra visite le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké.

Objectif, selon la même source : «repréciser sa pensée» suite au tollé suscité par ses propos sur le conflit israélo-palestinien.

Après avoir pris congé du khalife, Idrissa Seck se rendra auprès de son marabout, Serigne Moussa Nawel, avant de s’envoler de nouveau pour La Mecque.

Dans l’exercice de diabolisation dont il estime être victime relativement à sa sortie sur la Mecque, le leader de Rewmi, Idrissa Seck promet de revenir à la charge pour apporter la réplique au mollah de Sacré-Cœur. Mais le climat suffisamment délétère suscité par cette affaire ne devrait-il pas le résoudre à abandonner son projet de riposte !

Si les attaques consécutives à ses propos portés sur la Mecque ont eu l’effet escompté de la part de ses détracteurs, il reste certain que l’ancien premier ministre, Idrissa Seck ne compte pas faire profil bas. Car dans cette affaire, il y va non seulement de sa crédibilité d’homme politique en bonne posture par rapport à la présidentielle de 2019, mais aussi de musulman doublé d’un talibé mouride soumis au Ndigel. Le PDG du Groupe Walfadjri l’accuse d’avoir blasphémé après que le leader de Rewmi eut suggéré que dans le Saint Coran, Dieu parle de « Baaka » et non de « Makka » pour l’emplacement de la « Kaaba ».Une précision qui lui aura valu d’être accusé d’avoir commis «un crime de lèse-majesté ». lire la suite sur senegal7.com

La polémique autour des propos d’Idrissa Seck enfle de plus en plus. Oustaz Hassane Seck, qui avait fait une première chronique sur la question, revient encore sur le sujet. Mais cette fois-ci, dit-il, c’est pour recadrer le débat, qui est sorti de son contexte. Il indique d’ailleurs avoir pardonné au leader de Rewmi, après que ce dernier ait présenté des excuses publiques.

Cependant, le chroniqueur d’Actunet, a tenu à relever quelques points « encore obscurs » dans le discours d’Idrissa Seck. Notamment lorsque qu’il dit que « les juifs sont le peuple de Dieu ». Des propos « inexacts », selon Oustaz, qu’une courant de pensée issue de l’Orient a propagé… Il invite même Idy à ne pas lire ces gens, qui maîtrisent parfaitement le Coran, mais pour le but ensuite d’induire les musulmans en erreur, en y introduisant des contrevérités.

Les jeunes de Rewmi prennent la défense de leur leader. Selon eux, Idrissa Seck n’a jamais prononcé les propos qu’on lui prête. En plus clair, il n’a jamais dit que la Mecque ne doit pas être un lieu de pèlerinage pour les musulmans. Pour preuve, révèlent les jeunes de son parti, présentement l’ancien Premier Ministre et ancien Maire de Thiès effectuent la Oumra à la Mecque. Dans la foulée, ils accusent le Palais d’avoir instrumentalisé des gens qui s’en prennent aujourd’hui à Idrissa Seck. Suivons les explications du Secrétaire National à la Jeunesse de Rewmi face à la presse hier après-midi à Thiès.

Les propos de Mory Guèye sont recueillis par Simon Faye.

Idrissa Seck est musulman ou non? C’est la question que se posent bon nombres de Sénégalais. Depuis sa mauvaise sortie sur les relations Israelo-Palestiniennes, il est victime de nombreuses attaques.

En conférence de presse ce lundi 28 mai, les jeunes de Rewmi apportant une réplique à ses détracteurs ont annoncé le départ de Idrissa Seck à la Mecque pour effectuer son pèlerinage communément appelé umrah.

Il a présenté publiquement ses excuses, mais le coup est déjà parti. Ses propos controversés sur le conflit israélo palestinien et son renoncement à la confrérie tidiane peuvent lui coûter des voix en 2019.

Les “Apéristes” sont en train certainement de rire sous cape. Ils se gardent d’entrer dans cette controverse, mais ils doivent se frotter les mains et prier pour que cette polémique née des propos d’Idrissa Seck sur l’islam dure le plus longtemps possible. Et pour cause, le leader de Rewmi est vu par de nombreux observateurs comme un sérieux prétendant à la prochaine élection présidentielle, dont le 1e tour est fixé au 24 février 2019. Mais il risque de laisser des plumes dans ce débat qui va profiter, à n’en pas douter, à son «ennemi» intime, le président de la République, candidat à sa propre succession.
En effet, en affichant ostensiblement son appartenance à la confrérie mouride, Idrissa Seck risque de se mettre à dos une bonne partie des disciples tidianes. «J’ai la volonté inébranlable de devenir un fervent musulman et le désir d’être un fidèle talibé mouride dont la soumission est agréée par Serigne Touba», a déclaré Idrissa Seck, en répondant à Sidy Lamine Niass qui l’a accusé d’avoir renié sa foi musulmane.
Certes, ce n’est pas la première fois que l’ancien maire de Thiès et actuel président du Conseil départemental de cette ville affirme sa mouridité. L’ancien Premier ministre et président de Rewmi, a renouvelé son acte d’allégeance au nouveau khalife général des mourides Serigne Mountakha Mbacké Bassirou, vendredi 12 janvier après la prière de tisbar. A la question de savoir s’il appartient bien à la confrérie mouride, «parfaitement, bu werra werr», répond l’ancien maire de Thiès cité par Dakaractu. Lequel précise que le nouveau khalife général des mourides a accepté et formulé des prières pour lui et sa délégation. «Au-delà d’être un marabout pour moi, il est un père», dira Idrissa Seck qui prie pour que Serigne Mountakha ait «un khalifat long et fructueux». Ainsi, ce qui était considéré par certains comme une rumeur, est devenu une certitude. Et des tidianes ne manqueront pas de se sentir frustrés en sachant qu’Idrissa Seck, originaire de Thiès, tout près du bastion de la confrérie tidiane leur a publiquement tourné le dos.

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Oustaz Hassane Seck explique en long et en large les zones d’ombres contenues dans la déclaration d’Idrissa Seck, qui racontait une histoire sur la religion musulmane.

En fait, Hassane remet totalement en question les connaissances religieuses du leader de Rewmi. Il lui rappel même des préceptes comme le fait que « l’islam n’est pas un jouet ». C’est-à-dire qu’il faut une certaine assise, notamment sur la langue arabe, pour s’essayer au décryptage du Coran.

Selon le chroniquer d’Actunet, Idy est victime d’une certaine influence issue de l’histoire européenne, mais qu’il a aussi tendance à surestimer sont intellect.

Sans prétendre lui faire la leçon, Oustaz Hassan éclaircit l’opinion sur toute l’histoire racontée par Idrissa Seck, tout en prenant soin de démonter les arguments avancés par ce dernier.

Le leader du Mouvement international Bamba Fepp, Bamba Partout, réagit à l’énorme polémique suscitée par la déclaration de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck sur la Mecque et sur Jérusalem. Selon Serigne Modou Kara, il n’y a rien d’offensant dans les propos du patron de Rewmi et que cela ne méritait pas tout le boucan créé par Sidy Lamine Niasse et Bamba Ndiaye.

Leader du Mouvement International Bamba Fepp, le Général Kara estime que la sortie de Monsieur Idrissa SECK concernant les relations Israelo-Palestiniennes ne mérite pas tout ce tollé. A son avis, Monsieur SECK fait très certainement allusion à une date repère dans l’hagiographie de l’Islam : le 15e jour du mois lunaire de Shaban. Date à laquelle Le Prophète de l’Islam Seydina Mohamed (PSL) reçut l’ordre de Son Seigneur de changer la direction vers laquelle doit se tourner tout fidèle pour effectuer l’un des cinq piliers de l’Islam : la prière.

En effet, c’est le 27e jour du mois de Rajab que Le Prophète Mohamed (PSL) effectua son voyage nocturne durant lequel il reçut de DIEU l’ordre d’effectuer les cinq prières quotidiennes. Les musulmans avaient alors pour direction la Mosquée sacrée Al Aqsâ de Jérusalem. C’est à partir du 15e jour du mois lunaire de Shaban, que Le Meilleur des hommes (PSL) reçut l’ordre de s’orienter dorénavant vers la Kaaba, à la Mecque.

Il s’agit donc d’une mauvaise perception de cette déclaration, qui plus est, ne touche pas directement nos proches, parents et amis. Par conséquent, cela ne doit bouleverser personne.” 

Suite à la polémique qu’il a soulevée relativement à la place de La Mecque dans l’histoire de l’Islam, Idrissa Seck, qui s’est attiré les foudres du binôme des arabisants Bamba Ndiaye-Sidy Lamine Niasse, a précisé sa pensée de Patar où il est allé, ce dimanche, compatir à la douleur de la famille de Fallou Sène, du nom de cet ex-étudiant tué dernièrement à l’université Gaston Berger de St-Louis.
Idy, rectifiant son propre tir, affirme que ses propos ont été déformés.
« J’ai appris le Coran. Je n’ai jamais dit nulle part que le mot Makka n’apparaissait pas dans le Coran », avance-t-il.
Descendant en flammes Bamba Ndiaye, il indexe une conspiration « macki…avélique ». « Je ne voudrais pas polémiquer avec l’ancien patron du journal Le Messager…que Macky Sall avait créé au palais…avec un objectif politique très précis. Ce monsieur que vous citez en faisait partie…Il est en mission. Il m’a l’air de quelqu’un qu’on a envoyé en mission », a réajusté M. Seck.
En fait, rappelle l’ancien Premier ministre, tout est parti d’une discussion intellectuelle qu’il a engagée aux Lieux Saints de l’Islam avec un érudit musulman. Idy lui a dit ceci dans le souci de réconcilier Palestiniens et Israéliens qui appartiennent à la mêm foi abrahamique : « Dans le verset où Dieu parle du temple installé, il parle de Bakka et non de Makka. C’est un lieu où Abraham s’est tenu debout. Abraham s’est tenu debout ailleurs ». Idrissa Seck, qui soutient avoir été dans une opération de séduction diplomatique au profit du Sénégal, a demandé à l’imam de venir au pays de la teranga pour se faire révéler ce qu’il considère comme un « secret ».
« Mais, c’était surtout pour l’inciter à une réflexion », renchérit le leader de Rewmi. Ajoutant, citation de Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy à l’appui de ses dires, que les petits esprits n’ont pas de siège au banquet où se tient un débat intellectuel de très haut niveau.
« La querelle israélo-palestinienne doit trouver une solution par le Sénégal et non pas par les Etats-Unis…Macky Sall est là comme un lion qui dort et il attend que Trump règle les problèmes », conclut Mara.

La Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) a attendu le limogeage samedi du recteur de l’Ugb et du Directeur du Crous par le président de la République pour réagir à la mort de l’étudiant Mohamed Fallou Sène.

Les jeunes du parti au pouvoir ont cru bon de rappeler aux Sénégalais (qui n’ont jamais dit qu’ils avaient oublié) les nombreux drames survenus sous le magistère du Président Abdoulaye Wade. Comme pour minimiser la tragédie survenue mardi à Saint-Louis et dire c’est rien par rapport à ce qui s’est passé sous le régime précédent.
“Nous, Jeunesses Républicaines, déplorons jusqu’à la dernière énergie, les malheureuses sorties de certains responsables de l’opposition pourchassés par une détresse psychologique qui, les pousse jusqu’à vouloir naviguer dans les éthers de l’imagination”, peut-on lire dans le communiqué parvenu à la rédaction de PressAfrik avant de s’adonner à un exercice de rappel sinistre : “Abdoulaye Wade, ce vieux décati ,qui rumine mal sa raclée homérique de 2012 et qui a les mains souillées de sang( l’étudiant Balla Gaye en 2001 ; le naufrage du Bateau le «Joola» en 2002 ; la mort de Malick Ba de Sangalkam ; le meurtre de Fanaye Walo en 2011 ; le jeune Abdoulaye Wade à Thiaroye ; le jeune Mamadou Diop de Mbour à la veille de la Présidentielle de 2012, les morts du 23 juin 2011 etc ), n’a vraiment pas de leçon de morale á donner à personne”.

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Le ministre du tourisme a envoyé une sommation interpellative au président de Rewmi Idrissa Seck., via son avocat, Selon Les Echos qui donne l’info, Mame Mbaye Niang l’a envoyé via son avocat Me Baboucar Cissé, qui a commis un huissier. Mais le journal croit savoir qu’il s’agit d’une mise en demeure avant poursuites. Seulement, l’huissier n’arrive pas à saisir le président de Rewmi, et pour cause. Idrissa Seck reste introuvable pour le moment.
Le directeur du Lamantin beach, qui aurait reçu une sommation du ministre du Tourisme dément un quelconque appel du ministre du tourisme.

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Mame Mbaye Niang n’a pas souhaité répondre aux accusations de Idrissa Seck. Sur Rfm, le ministre du Tourisme, a simplement informé, qu’il compte déposer  plainte contre l’ancien Premier ministre pour diffamation.

L’hôtel Palm Beach à Saly a refusé d’abriter à 48 heures de la rencontre, le séminaire des 200 cadres de Rewmi. Selon Idrissa Seck, “c’est  le ministre du Tourisme qui a appelé le directeur de l’hôtel pour lui dire que s’il reçoit le séminaire de Rewmi, il recevra le fisc”.

Le ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, serait derrière la décision de l’hôtel Palm Beach de refuser d’accueillir le séminaire des cadres de Rewmi, tenu ce weekend. “Mes avocats m’ont dit que je peux les poursuivre en justice, mais je leur ai dit que c’est juste de la politique, tempère Idrissa Seck, le président du parti, lors de la clôture de la rencontre, ce dimanche. Parce que ce qu’on m’a dit, c’est que c’est le ministre du Tourisme qui a appelé le directeur de l’hôtel, pour lui dire que s’il reçoit la rencontre de Rewmi, il recevra le fisc.”

“Tôt ou tard ils paieront…”

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Adoptant une démarche prospective et pour le moins optimiste, lors du séminaire des cadres de Rewmi qui a pris fin hier, Idrissa Seck s’est projeté à la fin de son «deuxième mandat en 2029». Il a, sous ce prisme, déroulé les grandes lignes du programme qu’il compte présenter en vue de briguer les suffrages des Sénégalais et d’ouvrir « l’ère d’une gestion juste, efficace et ambitieuse» – parce que les notions de «gouvernance sobre et vertueuse» prônées par le régime en place ne veulent rien dire à ses yeux.

Supprimer le ministère de l’Education nationale

Plaçant l’éducation au rang de secteur prioritaire de son offre programmatique, le président du conseil départemental d’assurer qu’il ne la confiera «ni à un ministre, ni à un Premier ministre». «Je mettrai en place un conseil supérieur de l’Education. On en a plus besoin que d’un conseil supérieur de la magistrature. Ce Conseil supérieur de l’éducation,   qui sera présidé par le président de la République, inclura  les meilleurs recteurs d’université, les meilleurs proviseurs de lycée, directeurs de collège, d’écoles élémentaires ou de cases des tout petits» note-t-il, non sans indiquer qu’il est «totalement inadmissible que qui que ce soit soit mieux payé  qu’un enseignant».

Sanctionner les magistrats

Pour ce qui a trait à la marche du système judiciaire sénégalais, Idrissa Seck préconise qu’il soit associé au principe d’indépendance de la magistrature le principe de responsabilité des magistrats. «Nous avons un conseil supérieur de la magistrature que j’ai décidé de ne plus présider s’il advenait que les Sénégalais me confient la responsabilité  de diriger le pays. Mais je ne veux pas non plus d’un gouvernement des juges. Je veux un Conseil supérieur de la magistrature dont la composition sera réaménagée, remaniée, les juges ne seront plus seuls entre eux parce que j’ai fait un constat, à part un seul cas, je crois celui d’une greffière, aucun magistrat n’est sanctionné» relève Idy, qui précise qu’en la matière il y a pourtant 32 dossiers de l’Ige ou des corps de contrôle en dormance.

Armer financièrement les militaires

 «Je me suis promené dans les maisons d’anciens combattants, j’ai discuté avec certains d’entre eux mais ils vivent une détresse indescriptible. Ils n’ont pas de prise en charge médicale, ou très faible. Ils passent d’un salaire à un tiers de salaire comme pension et ils continuent à prendre en charge une famille en développement» regrette Idrissa Seck. Fort de   ce constat, il promet d’augmenter les pensions des anciens combattant ainsi que le traitement médical de nos blessés de guerre, qu’il s’agisse de blessures occasionnant des handicaps temporaires ou des handicaps définitifs. «Que nos soldats sachent, que quand je passerai en revue les troupes, que mon regard croisera le leur et que je leur demanderai d’aller défendre l’honneur du Sénégal, je veillerai personnellement à ce qu’ils soient dans des conditions convenables» promet-il.

Créer un hub de production énergétique

Abordant la question énergétique, Idrissa Seck a dit son ambition de fournir un accès à l’électricité sur toute l’étendue du territoire national. «Je voudrais qu’à la fin de mon deuxième mandat en 2029, si vous m’en donnez deux, que plus personne au Sénégal ne demande de l’électricité. Et que l’accès soit universel. Aujourd’hui l’accès est de 50 à 55%. Ma priorité sera que l’accès soit total. Bien évidemment il y aura des difficultés à amener le réseau partout, il y a des zones isolées, mais fort heureusement les développements technologiques que je suis quotidiennement  autorisent  d’électrifier les zones isolées à des coûts relativement compétitifs.  Et je voudrais faire du Sénégal, puisque nous avons du pétrole et du gaz, s’il n’est pas volé par la famille Sall d’ici là,  un hub de production d’électricité. Et concernant le mix énergétique, il s’agira de  faire en sorte qu’au moins 30% de la puissance installée soit de l’énergie renouvelable» annonce-t-il.

«Tirs nourris sur le pouvoir et l’hôtel Palm Beach»

Semblant faire contre mauvaise fortune bon cœur, les cadres de Rewmi ont dû se résoudre à revoir leurs plans à la dernière minute, après que l’hôtel censé abriter leur séminaire tenu samedi et dimanche dernier s’est désisté à la dernière minute. Idrissa Seck déplore cet état de fait qu’il attribue ni plus ni moins à une tentative de sabotage émanant du pouvoir. «Les difficultés ont été aplanies afin que nous nous retrouvions ici cet après midi, quelque répulsion qu’en ait le régime de monsieur Macky Sall. Ils ont tenté d’empêcher cette réunion, ils ont exercé des  pressions sur les réceptifs hôteliers de Saly, y compris sur des propriétaires de domiciles privés que nous avions réservés pour accueillir nos hôtes étrangers et dont les contrats ont été annulés cet après midi même pour motif de travaux, alors que les maisons avaient été visitées et étaient dans un excellent état» dénonce-t-il.

«Pardonnez-moi mes offenses…»

«Je voudrais avant d’aller plus loin m’acquitter d’un devoir. Tout au long du processus de maturation qui donne accès à la sagesse, j’ai pu dans mon parcours d’homme politique et d’homme d’Etat heurter, choquer, blesser, par la parole ou par le comportement. Je voudrais aujourd’hui, avant de solliciter le suffrage des Sénégalais, les regarder dans les yeux et convoiter d’Allah qu’il me pardonne mes offenses, comme je pardonne aussi à ceux que j’ai offensés». C’est en ces termes qu’Idrissa Seck a fait amende honorable auprès des Sénégalais, pour les écarts qui ont eu à être les siens durant son parcours politique.

Idrissa Seck un homme de détails et non un homme d’Etat (Par Ibnou Diop)

Une nouvelle maison, une nouvelle voiture, ni de nouveaux vêtements ne feront pas de Idrissa Seck un Homme Saint et un Homme d’état. L’homme est tout simplement pourri jusque dans sa foi, moelle épinière et même cérébrale.Trempé qu’il dans mille et une gabégies, malversations et complots de toutes sortes, l’ex Maire de Thiès et l’ancien premier Ministre du Président Abdoulaye Wade vit l’enfer sur terre pour avoir adopté la posture de diable pendant qu’il occupait de hautes fonctions dans les arcanes de l’état.

FINIE LA PAIX! De quel Président Macky SALL se moque Ndamal cajor sur ses 1,18m? Le Président Macky SALL est un homme d’état qui ne se laissera point divertir par des sifflements d”un diable cloué sous le feu de l’enfer. Idrissa Seck n’est pas saint. Et ce n’est pas Maître Wade qui va démentir le fait. Son mentor dont il a lorgné le bulletin de santé et divulgué le secret. Les CD << Lui et Moi >> sont passés par là. Réponse á ce péché, voilà que Idy s’est retrouvé maudit. Maudit pour avoir longtemps dénigré le pape du SOPI qui lui atout donné,toujours fait confiance et confié tout ce qu’il a d’intime dans sa vie. N’est-ce pas lui Idy qui traitait du père de Karim Wade d’anciens spermatozoïdes et de futur cadavres. Il es pire. Politique mort vivant qu’il est.

Héla, la posture d’homme d’Etat dont cherche à s’arroger Idrissa Seck n’est pas taillée pour une personne aigrie qui prend les sénégalais pour des dindons de la farce pour surfer sur leur tête. Il a détourné 43 milliards dans les fameux chantiers de Thiès. C’est là où il s’est tiré la balle sur la tête. Malheur au voleur qui ne comprend pas que le bien des sénégalais qu’il a mal acquis ne saura lui profiter. Un homme d’Etat,est celui qui est discret,quand bien même il connait beaucoup de choses. C’est donc un risque mortel que de confier les destinées du Sénégal à un homme qui a servi de Vices au lieu de Vertus. Le temps passe mais les péchés d’Etat commis par Idy sont inscrits sur du marbre et résisteront á l’éternité du temps. Sincèrement, osons reconnaitre que Idrissa Seck ne plus avoir de la place sur l’espace politique ou publique.

Mais comme il refuse de se recroqueviller dans sa coquille, il fera face aux hommes de l’homme d’Etat. Faire de la politique c’est aspirer à la transformation des conditions des hommes dans la cité. Idrissa Seck qui a détourné la valeur d’un budget qu’il a gardé dans sa poche et pour sa bouche est condamné à faire le deuil de ses ambitions politique. Il n’aura pas le temps, ni la légitimité de créer un nouvel hymne national. Sacrilège de présidentiable prétentieux! Malheur à celui qui a usé du coran au bout des lévres et non dans la foi! Maudit soit celui qui expose la vie privée des sembables ou se croit plus important que les autres quand bien même c’est lui qui pêche par sa taille d’insecte. Demain fera jour.

Mais jamais le trophée de guerre politique ne pourra figurer sur le tableau de chasse du leader de REWMI dont la formation politique perd de vitesse à cause du vent de dictature interne et du climat d’enfer d’un homme qui résume l’essentiel autour de sa maigre personne. Les compatriotes pour Idy ne comptent pas. Voilà pourquoi il en veut à Macky SALL à mort. Mais c’est peine perdue. Sinon il n’a qu’à changer de pays. Son excellence reste son Président de la République. N’en déplaise au chien qui aboie et dont la voix émet dans la calomnie et le dénigrement. Pauvre Idy à cause du trop de ruse, t’as fini par te compromettre tes chances de t’ouvrir le Boulevard de la République qui conduit au Palais. Ibnou DIOP Responsable Politique APR /Guédiawaye,Parrain du RASID .