Le soi-disant « marabout » de Darou Salam est dans de sales draps. En effet, Moustapha Diakhaté qui avait posté une vidéo sur Youtube pour insulter le Khalife général des Tidianes est activement recherché par la Section de Recherches.

Selon Libération qui donne l’information, le procureur de la République a ordonné son arrestation. En voilà un qui risque le même sort que Assane Diouf.

Le Doyen des juges a pris une ordonnance pour envoyer Assane Diouf devant le tribunal correctionnel. Le magistrat suit ainsi le réquisitoire du parquet.

Assane Diouf est poursuivi pour trouble à l’ordre public, injures par le biais d’un système informatique et outrage à un ministre du culte et diffamation.

Barthélemy Dias fera face ce mardi au Procureur de la République pour les délits d’Offense au Chef de l’Etat et outrage à magistrat dont il est poursuivi. Il risque six (6) mois à deux (2) ans de prison ferme selon le spécialiste en droit, le professeur Iba Barry Camara qui s’est prononcé sur les ondes de la Rfm. 

A l’en croire, « l’article 254 qui fait allusion à l’offense à Chef de l’Etat est passible de six mois à deux ans ferme, en sus d’une amende d’un million à un million cinq cent mille francs CFA. L’autre délit le concernant pour outrage à magistrat peut lui valoir  un à six mois de prison ferme.

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(Vidéo): Siteu a-t-il insulté Gouye Gui?, Il est très en colère…

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Une émigrée venue passer ses vacances au Sénégal a été reçu pour une  demande se passeport pour sa fille mineure. Elle a été convoqué par l’agent  F. k. Wade, secrétaire à la Direction de la police et des titres de voyage.  L’émigrée ne détient cependant pas sa carte nationale d’identité, pièce qui doit figurer dans le dossier de demande. C’est sur ces faits que l’agent de Police lui explique la  procédure à suivre pour  l’obtention de passeport sans sa pièce d’identité.

Insatisfaite de cette réponse, qui la mise en colère, la femme émigrée répond à l’agent avec des propos irrespectueux et traite cette dernière de garce et de p*te. L’agent se calme et tente de contrôler la situation,  mais la dame était incontrôlable et professait des insultes à l’endroit de l’agent.

Informés, les supérieurs de l’agent ordonnent  de conduire la dame au Commissariat de Police de Dieupeul. Elle y reconnaît les faits qui lui sont reprochés et a été déférée au Parquet le 26 janvier passé, pour outrage à un agent de force publique dans l’exercice de ses fonctions, refus d’obéir et injures publiques.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, Assane Diouf s’est permis, devant les enquêteurs de la Brigade des Affaires Générales (BAG), de persister et signer avec ses fameuses injures.

Pire, il a eu l’outrecuidance de proférer des insultes au maître des poursuites (le Procureur de la République), Serigne Bassirou Guèeye, ci-devant patron des enquêteurs. Mais, les limiers de la BAG ont été très professionnels en évitant soigneusement de le brutaliser, se focalisant sur les questions et réponses aux fins de lui tirer les verres du nez, indique Dakarposte.

Les propos de Serigne Modou Mbacké Bara Dolly accusant Wade et Me Madické Niang de télécommander ”Assane l’insulteur” sont très mal perçus par Serigne Assane Mbacké. Pour le responsable politique du Pds, “Modou n’a fait que raconter des contrevérités insensées et indignes d’un chef religieux qui se respecte.”

Assane Mbacké de raconter à Dakaractu : “C’est moi, personnellement, qui suis allé présenter Assane Diouf au Président Wade. Le protocole s’était foncièrement opposé à la tenue d’une telle rencontre. J’ai dû m’employer pour que l’entretien ait lieu. Wade lui a clairement signifié sa désapprobation par rapport à la méthode utilisée pour dérouler sa communication. Il lui a dit qu’un homme sérieux et normal ne peut se permettre de distiller des insultes à tort et à travers. Et Assane avait accepté de mettre un terme à ses insanités.”

Assane Mbacké de jurer la main sur le coeur que l’ancien président de la République et l’insulteur patenté ne se sont plus revus et n’ont plus échangé de propos. Il signalera, en passant, que Me Madické Niang est tout aussi exempt de reproche dans cette affaire, selon lui. ”Me Madické Niang ne connaît pas Assane. Pour rien au monde, il ne ferait proférer des insultes à l’encontre d’un descendant de Serigne Touba.”  Lire la suite sur dakaractu.com,

Le sieur Assane Diouf n’est pas encore sorti de l’auberge. Le bonhomme a bénéficié d’un retour de parquet. Il avait été déféré hier au terme de son délai légal de garde-à-vue. Le célèbre “insulteur” du Web avait été arrêté par la Dic sur ordre du maître des poursuites.

C’était le vendredi dernier pour les faits  d’injures par le biais d’un système informatique, outrage à un ministre du culte, diffamation et trouble à l’ordre public.  Selon des sources concordantes, une information judiciaire pourrait être ouverte à son encontre.

Et ce, après son face à face avec le procureur de la République. Assane Diouf est dans de sales draps depuis sa sortie au vitriol contre le porte-parole du Khalife général des Mourides. Son domicile sis à Guédiawaye avait été attaqué par des individus en guise de protestation. Il n’a dû son salut que grâce à une intervention rapide des forces de l’ordre.

Assane Diouf peut compter sur le soutien l’imam Khalifa Ababacar Ndiaye de Sicap Baobab. En effet, ce dernier a déclaré dans le journal le Quotidien, que le Président Macky Sall qui a couvert des insulteurs qu’il a nommés ministres, diplomates, doit s’estimer heureux que ce soit une seule personne qui l’insulte.

L’imam Khalifa Ababacar Ndiaye n’a pas mâché ses mots pour exprimer son point de vue sur le cas Assane Diouf, l’”insulteur public” qui déverse sa bile sur les autorités et sur les marabouts de ce pays. Lire la suite sur Senego.com,

De nombreux Sénégalais vont enfin pousser un ouf de soulagement en apprenant que la Direction des investigations criminelles a cueilli ce vendredi Assane Diouf, qui a failli passer l’arme à gauche hier, après que des talibés mourides ont voulu lui faire la fête.

Pour rappel, l’insulteur public numéro 1, qui a fait plusieurs émules à travers les réseaux sociaux, a récemment débité des insanités contre l’une des plus hautes autorités de Touba. L’homme avait le don de regarder par le trou de serrure pour se mêler de la vie privée d’honnêtes citoyens ; dont le seul tort est, pour l’essentiel, de s’être retrouvés, par hasard, sur le chemin des commanditaires de ses attaques incendiaires. Lire la suite sur Dakaractu.com

Assane Diouf n’est pas seulement fort en insulte. Il a savamment échappé, hier jeudi 23 novembre, à des jeunes en furie contre lui. Ces derniers ont voulu avoir sa peau à cause de ses attaques contre le porte-parole du Khalife des Mourides. Le Facebooker n’a pas trouvé meilleure stratégie que de détaler jusqu’à la Police. C’est le Journal Libération, lu par Actunet, qui raconte la scène.

“Des jeunes révoltés par ses lâches attaques contre Cheikh Bass Abdou Khadre, porte-parole du Khalife des Mourides, ont pris d’assaut son domicile pour lui faire la fête. Et bien Assane Diouf a fait le mur de chez lui avant d’aller se réfugier à la Police”.

Alors que l’on croyait que les insultes et autres propos frivoles et indécents distillés sur le net allaient finir avec les cas Assane Diouf, Amy Collé Dieng et Penda Bâ, ça reprend de plus belle sur les réseaux sociaux. Des personnes non encore identifiées basées aussi bien au Sénégal qu’à l’étranger s’y mettent à leur tour, en toute impunité. De quoi susciter l’indignation du Khalife général des Layènes, El Hadj Abdoulaye Thiaw Laye.

Indignation. Déception. Préoccupation. Consternation. Aucun mot n’est de trop pour s’offusquer des insultes, des injures et des autres propos indécents distillés sur la toile. Une situation en passe de devenir un phénomène de société, depuis quelque temps, au point de mobiliser un fort audimat. C’est l’amer constat de la communauté Layène qui suscite l’indignation et la mise en garde du Khalife général, El Hadj Abdoulaye Thiaw Laye, par le biais du porte-parole de la famille Layène.

«Nous avons des modèles d’hommes et de femmes. Nous ne connaissons pas les insultes. Ce n’est pas dans la culture du Sénégalais d’insulter, de médire à tout bout de champ. On peut régler des situations sans se battre ou se disputer ou insulter. Ce sont ces valeurs que nous ne voulons pas voir disparaître. On demande à tous les Sénégalais d’arrêter d’insulter. On n’aime pas cela. Le Khalife a vu que les enfants, chacun, a son portable pour écouter des insultes à travers les rues. Il a été choqué quand il a entendu ces insultes. Il souhaiterait ne plus en entendre au Sénégal», a rapporté Ibrahima Laye Thiaw.

L’appel a été lancé vendredi, en marge de la commémoration des 16 ans de la disparition de feu Alassane Laye, quatrième Khalife général de Seydina Limamou Laye.

Incroyable, mais vrai ! Abdoulaye Sidibé alias Abdoulaye Cissé s’est déshabillé devant la barre de la chambre criminelle de Dakar. Tout nu, il a déversé sa bile et des insanités à l’encontre du juge. Poursuivi pour assassinat, faux et usage de faux dans un document administratif, il a perturbé toutes les audiences du jour dans la salle 4 du Palais de Justice Lat Dior, hier. Tantôt, il s’attaque aux gendarmes, tantôt aux juges. «Je n’ai pas peur de vous, je sais que vous voulez me tuer, raison pour laquelle vous me faites des injections, mais sachez que je suis résistant et fort. Toi, le gendarme, je n’ai pas peur de toi», a asséné l’accusé. «M. le juge, vous voulez me tuer, mais je ne l’accepterai pas», a-t-il crié à l’endroit  du juge. Par la suite, les gendarmes l’ont forcé à se rhabiller. A la suite de cet incident, l’affaire a été renvoyée au 5 décembre prochain à la demande des avocats de la défense pour la production du  dossier médical de l’accusé qui, apparemment, ne jouit pas de toutes ses facultés, et devrait bénéficier de ‘article 50 du code pénal qui stipule : “il n’y a ni crime ni délit lorsque le prévenu était en état d démence au temps de l’action ou lorsqu’il a été contraint par une force à laquelle il n’a pu résister”, ont plaidé les avocats  et l’ASRED (Association pour le soutien et la réinsertion sociale des détenus, selon le quotidien Enquête.

La femme d’Assane Diouf quitte le Sénégal et remercie pour son peuple pour son hospitalité. La dulcinée du “plus grand insulteur du pays” Assane Diouf, à qui elle va certainement manquer, confie avoir acquis une “expérience incroyable sur la terre mère Afrique”

Suite à l’incident survenu avec Assane Diouf à Khelcom, l’artiste chanteur Pape Diouf a profité de sa venue à Colobane commune, située dans le département de Gossas, pour regretter ce qui s’est passé vendredi dernier dans les champs de Serigne Saliou Mbacké. Par cette même occasion, il a présenté des excuses au Khalife général et à toute la communauté mouride. Revenant sur les raisons de son clash, il indique avoir agi sous le coup de la colère. Mais que si c’était à refaire, il ne céderait pas aux tentations du diable.

Ça a chauffé entre Pape Diouf et Assane Diouf, tous les deux présents à Khelcom. Le leader de la «Génération Consciente», entouré par ses gardes rapprochés, est allé retrouver Assane Diouf pour un règlement de compte. Assane Diouf, selon notre source, a été bousculé par l’un des gardes de Pape Diouf avant que le chanteur, himself, ne couvre d’insultes «l’insulteur de la République».

Si ce n’était la vigilance de ceux qui veillent sur la sécurité de Cheikh Amar, Pape Diouf et Assane se seraient battus sur les terres de Khelcom.

Pour rappel, Assane Diouf, quand il était encore aux Etats-Unis, avait taxé de tous les noms d’oiseau Pape Diouf, allant jusqu’à dire que le chanteur lui doit beaucoup d’argent.

Le lieu est tout de même très mal choisi pour des querelles quand on sait combien Khelcom comptait pour le saint homme Serigne Saliou Mbacké.

Nous y reviendrons…

Mouhamadou Lô, expert en Droit du numérique estime que la Loi a prévu des dispositions pour l’expansion de l’internet surtout pour éviter certains comportements, notamment tous ceux qui tournent autour de l’utilisation des réseaux sociaux .Pour cet expert, au Sénégal, il n’y a pas de vide juridique. Tous les comportements sont impactés par les dispositions actuelles. «Si je prends l’exemple des injures, il y a une disposition qui réprime l’injure classique mais également l’injure sur les réseaux sociaux.

Mouhamadou Lô souligne que celui qui insulte sur internet risque des sanctions pénales. «Pour ces sanctions, le juriste pense que c’est à l’Etat de prendre des dispositions réglementaires pour réprimer les comportement.

En effet, le Pr Abdoulaye Sakho animait une conférence sur le thème : «Les médias dans la tourmente du numérique : régulation ou libre expansion ?». Selon lui, actuellement, les repères de la presse sont brouillés. «On ne prend plus la peine de vérifier une information qui est véhiculée sur internet.

Auparavant, on recevait l’information par le biais des supports bien connus comme la presse écrite, la radio ou la télévision. Mais aujourd’hui, on la reçoit à travers les réseaux sociaux que noue ne maitrisons pas», explique le Pr Abdoulaye Sakho dans les colonnes du journal l’As, lu par Actunet.net.

Assane Diouf est libre de tout mouvement. Le rapatrié le plus célèbre du Sénégal vient d’être libéré sur l’instruction du procureur. Il est désormais disposé à rentrer chez lui dès cette nuit, et que toutes les charges contre lui ont été abandonnées.

M. Diouf était entendu depuis ce matin par les enquêteurs, pour injure au Chef de l’État et apologie au terrorisme.   Pour rappel, il a été rapatrié  la nuit dernière, depuis les États-Unis d’Amérique pour immigration illégale, lui et 16 autres sénégalais.