« Il vit en France avec ce petit garçon de 4 ans et demi, alors que la mère est restée sur l’île de la Réunion avec l’autre partie de la famille, il était parti faire les courses, mais il a un peu à tarder à rentrer parce qu’en sortant du magasin, il s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go », a précisé François Molins, procureur de la République de Paris à propos du père de l’enfant suspendu dans le vide et dont le sauveur été reçu ce lundi à l’Élysée.

Le père du garçon sauvé par Mamoudou Gassama l’avait laissé seul pour aller faire des courses. Puis il « s’est mis en tête de jouer à Pokémon Go ». Lire la suite de l’article sur Actunet.net

Naples s’est incliné (3-0) sur la pelouse de la Fiorentina lors de la 35e journée de Serie A italienne de football. Les Napolitains sont désormais à quatre unités de la Juventus à trois journées de la fin de la course au scudetto.

Après Sénégal-Ouzbékistan, place à Sénégal-Bosnie. Les Lions jouent ce mardi leur deuxième match de préparation de la Coupe du monde (Russie, juin-juillet 2018).

«L’objectif de ce match contre la Bosnie est de continuer à travailler, d’avoir un bon contenu», marque Aliou Cissé. Pour le sélecteur national, il s’agit également de «donner plus de temps jeu» aux joueurs qui n’en ont pas eu.

Lire la suite sur Actunet.net

Jouer à un jeu vidéo dans la salle de classe ? C’est désormais permis dans le lycée Lanxiang en Chine.

Les étudiants sont formés à devenir des potentiels professionnels du- esport, un sport électrique en plein expansion mondial.

Ce sport atypique est devenu une discipline professionnelle, avec des joueurs qui se disputent des sommes d’argent lors de tournois organisés dans des salles, voire des stades.

“C’est un hobby pour moi, j’aimais beaucoup jouer aux jeux vidéo, c’est une nouvelle profession, je crois que c’est prometteur. Je veux tenter le coup, je suis encore jeune et j’ai du temps à y dédier “ explique un étudiant.

Les études durent trois ans. Après une première année commune, avec 50% de pratique et 50% de théorie, les élèves sont séparés.

Lire la suite sur Afriquenews.com

Les éléments du commissariat central de Thiès ont réussi à mettre la main sur les membres d’un réseau de trafiquants de faux billets. Les deux faussaires en possession de petites coupures de faux billets ont été interpellés samedi dernier, puis déférés, renseigne ‘’En Quête’’.

C’est à la hauteur de la gare routière de Thiès que les nommés A.T Thièssois d’origine et A.N Dakarois âgé d’environ de 30 ans, ont été arrêtés vers les coups de 3 heures du matin. Selon notre source, les deux faussaires ont été déférés au parquet avant-hier, puis placés sous mandat de dépôt. Les deux individus ont été admis à la maison d’arrêt et de correction de Thiès. Ils détenaient la somme de 150 000 Fcfa en faux billets de 2 000 et 1 000 FCfa.

Lire la suite sur Actunet.net

A Bogal Ndiaye,la mort du berger Sadibou Sow tué à coups de coupe-coupe par son ami Adiouma Ka, est sur toutes les lèvres. Le drame est en effet survenu le dimanche 13 novembre vers les coups de 15 heures dans la brousse. Selon la gendarmerie de Yang Yang, les deux frères Sadibou Sow et Djoumory Sow étaient partis aux pâturages. A l’heure du repos, les deux frères jouaient au damier sous un arbre.

Mais quelques instants plus tard, un autre berger du nom d’Adiouma Kâ est venu les trouver en train de s’adonner à leur jeu préféré. Subitement, il leur manifeste le désir de jouer; ce que refusèrent les deux frères. Pour les contraindre à arrêter le jeu, ce dernier a fait dans la provocation en détruisant tout bonnement la tablette de jeu. C’est ainsi que les deux frères entrèrent dans une colère noire.

Une vive altercation a éclaté entre eux. Pour se défendre Adiouma Kâ a sorti son coupe-coupe et a assené un violent coup à Djoumory Kâ. En riposte, son grand frère Sadibou Sow se leva pour attaquer Adiouma Kâ et ce dernier, sans perdre de temps, lui a assené plusieurs coups de coupe-coupe, jusqu’à ce qu’il perdre connaissance. Evacué d’urgence au poste de santé de Mboula, Sadibou Sow a finalement succombé à ses blessures.

Le Pari sur les courses de chevaux était considéré comme la chasse gardée des retraités et autres personnes d’âge avancé. Mais il est aujourd’hui devenu un produit très prisé chez les élèves et étudiants.

Il est presque 11 heures, il y a une forte chaleur. Assis à l’intérieur d’un kiosque de Pmu (Pari mutuel urbain), devant une panoplie de paperasse, ce gérant de lieu de pari est en compagnie de personnes réunies autour du thé. Cela, tandis que d’autres se bousculent devant des pronostics affichés sur un carton accroché à la devanture du kiosque où se font les paris.

Parfois mal habillés, avec le visage crasseux, personne n’oserait affirmer que ces gens sont des élèves ou des étudiants. Présents en nombre important, chacun d’eux attend impatiemment son tour pour jouer sa combinaison. Mais d’autres sont moins intéressés par les courses de chevaux; leur truc à eux, c’est le Parifoot, un jeu où ont fait des pronostics sur des matchs de football du monde entier.

Dans cette foule de parieurs, Amadou, élève en classe de première, est particulièrement concentré. Il est en train de gribouiller des chiffres sur un bout de papier. Ce sont les numéros des chevaux.

Pourquoi un jeune comme lui s’intéresse autant aux jeux de hasard au lieu d’être en classe ?  Il décide de répondre à cette interrogation. Resté un bout de temps sans rien dire, avec un air pensif, Amadou se confie : «La pauvreté touche tout le monde. Sans exception. Tout le monde joue au PMU ou au pari-foot. En vérité, on n’a pas besoin d’être diplômé pour le faire. On s’attarde dans les salles de classes et on ne gagne rien, alors qu’ici si tu as la chance, tu te fais des millions.»

Non loin du kiosque, se trouve d’autres groupes de personnes. Ce sont des élèves, des étudiants et des diplômés sans emploi. Tous parlent de la course hippique du jour, le fameux «Quinté plus». Un autre élève du nom de Salif qu’Actunet a accroché, signale qu’il n’hésiterait pas une seconde à miser l’argent de sa scolarité. «J’utiliserai la somme pour jouer et fructifier mes gains ».

Les enquêtes faites par Actunet sur le terrain, montrent que les jeunes versent dans les dérives du pari. Course de chevaux ou pari-foot sont maintenant des espoirs pour devenir millionnaire et oublier des années de souffrance. Un rêve vendu par la Lonase, qui jure qu’avec 200 Francs Cfa, on peut devenir millionnaire. Mais tout cela finit par coûter cher à l’éducation des jeunes.