Les conseillers municipaux de la commune de Dabaly n’ont pas manqué d’interpeller le Président de la République, Macky Sall, pour un poste de choix de leur maire. Ce, en vue de profiter des potentialités économiques inexploitées de la zone et dit oui à un 2^ème quinquennat. Certes, si l’on se fie à leurs déclarations, les résultats engrangés par le maire en seulement 10 mois, après son élection en février 2022, sont prometteurs.

Samba Sall ne pourra pas atteindre ses vrais objectifs de relance de la zone sans d’autres responsabilités qui le lui permettent, car selon Pape Amadou Seck, deuxième adjoint au maire de Dabaly, un homme politique de cette nature mérite, selon ces populations, un appui de l’autorité suprême de ce pays, sans quoi, «les barrières qui obstruent son élan pour faire décoller la localité et ses environs, vont s’éterniser sur son chemin», a-t-il dit.

En effet, Samba Sall, pour reprendre leurs termes, est, selon les populations, «un maire qui mène une politique définie par son mentor le chef de l’État, Macky Sall. C’est pourquoi d’ailleurs, malgré ses réalisations sur tous les plans de la vie, il insiste sur un fait : «ces prouesses sont possibles grâce au patron des marrons beiges qui le soutient depuis qu’il a été porté à la tête de la municipalité», ont-elles fait savoir.

Pourquoi le maire de Dabaly, Samba Sall, doit être promu….

Seulement, il se trouve que, pour mieux lui permettre de concrétiser les projets du chef de l’État, Macky Sall, dans cette zone et fidéliser les militants, il lui faudra une position autre que celle de maire, qui lui servira de levier pour décider sans retard ni contrainte du devenir de la localité comme le souhaite son excellence le Président Macky Sall qui met les âmes de Dabaly, au centre de son plan Sénégal émergent, les collectivités territoriales, avec une faveur faite aux localités les plus démunies. «Une direction importante à défaut d’un portefeuille ministériel, c’est en réalité ce que nous réclamons, car, c’est à travers ce poste qu’il pourra mener à bien la politique de Macky Sall», a lancé. Pour les plus sceptiques, il déclare qu’un maire qui œuvre pour sa localité bien avant son élection mérite d’être promu.

En guise de rappel, il a été dit, lors de ce grand rassemblement des populations que Samba Sall est l’un des rares maires ayant anéanti l’opposition à des élections, avec un score de 84,79% pour les législatives de 2017, et 89,37% lors de la présidentielle de 2019. Et dans le registre des dernières élections locales, face à 6 listes concurrentes et pour une première participation, Samba Sall, se place en tête avec plus de 53%, sur un taux de participation de 68%. Ce n’est pas tout, puisque le maire a fait des prouesses sur le volet social, avec «une prise en charge totale des femmes enceintes, de la scolarité des élèves du primaire et du préscolaire, en plus du matériel informatique et didactique, pour toute l’année».

Pour attester de leur satisfaction des réalisations du chef de l’État Macky Sall, les populations de Dabaly et le maire Samba Sall, disent “oui” pour le deuxième quinquennat du Président Macky Sall. D’ailleurs, 2000 cartes ont été vendues depuis le lancement des opérations de vente desdites Cartes du parti au pouvoir. Une manière pour les militants et sympathisants de l’Apr de dire qu’ils sont prêts à jouer leur partition dans la course vers le fauteuil présidentiel, si toutefois leur mentor Macky Sall se décidait à briguer un deuxième quinquennat.

Dans le volet santé, éducation, les écoles coraniques sont entièrement prises en charge sans compter la réfection et la construction d’établissements scolaires parmi lesquels, le chantier de l’école primaire de Leyène qui sera livrée dans les prochains jours. Sur le volet, électrification, Samba Sall a, à son actif, l’extension et l’amélioration du réseau électrique de Kaba et de Dabaly, l’électrification effective des villages, à l’heure actuelle, il ne reste que 2 villages. Sans omettre l’acquisition de 200 lampadaires repartis dans tous les 22 villages.

Aliou Samba Ciss, maire de Diass est décédé. L’édile de cette commune du département de Mbour était malade. Récemment, il avait renoncé à ses émoluments de maire pour participer dans la lutte contre le Coronavirus. Dmedia présente ses condoléances à sa famille ainsi qu’aux populations de Diass.

Aliou Samba Ciss, maire de Diass est décédé. Il faut dire que l’édile de cette commune du département de Mbour était malade. Récemment, il avait renoncé à ses émoluments de maire pour participer dans la lutte contre le Coronavirus. Dmedia à travers actunet, présente ses sincères condoléances à sa famille et aux populations de Diass.

Toujours dans le cadre de son élan de solidarité avec les populations impactees par le covic 19 Mr le Maire  PALLA SAMB apporte son soutien aux fidèles de la grande mosquée Massalikoun Djinan et à la famille de Thierno BocarAlpha Ba de la Sicap Rue 10

On a pris les devant sur la fermeture des marchés,révélation du député et maire de bambilor.
Selon ndiagne Diop la distribution de l’assistance alimentaire dans la commune de bambilor se fera dans la transparence sans aucune coloration politique

Face gueule tapé ,la commune s’engage dans la lutte contre la pandémie.
Selon le maire Ousmane Ndoye,la mairie a pris les devant dans la distribution d’aide alimentaire

L’opposition n’existe pas a Malika a déclaré le maire talla gadiaga sur actunet.
L’insécurité dans la commune est importé par les malfaiteurs qui se cachent dans la bande de filao après avoir commis leur forfait.

Innauguration des jardins du Point E le Baye Fall de la Commune de Fann Point E Amitie Mr le Maire Palla Samb encore à l’oeuvre !!!!

Il a promis il a fait !!!!! Maire Palla Samb Maire de la commune de Fann-Point E-Amitié offre un bus neuf et climatise a l’ecole

La commune de Fann/Point E/Amitiés a abrité, ce jeudi 08 novembre, une cérémonie de remise d’attestations de permis de conduire à l’initiative du maire.

Aprés les bourses scolaires d’une valeur de 75 millions, la mairie de Fann/Point E/Amitiés a encore débloqué 10 millions de fcfa pour ainsi faire bénéficier à 150 jeunes d’obtenir un permis de conduire.

Permettant aux jeunes de la localité de bénéficier de ces permis, Palla Samb d’expliquer l’importance de cette cérémonie. Il s’agit là, dit-il, d’une promesse électorale.  » Nous avions un programme qui démarre ce vendredi, un jeune, un permis, aujourd’hui, nous sommes là réunis par la grace de Dieu pour son lancement », a-t-il préciser. Avant d’ajouter que  » l’argent de la commune appartient à ses habitants. Lors de la campagne électorale, nous en avions fait une promesse, et nous voulons respecter nos promeses ».

Il s’y ajoute, selon le pro-khalifa sall,  » lorsque, nous avions pris la commune en 2014, on avait trouvé un budjet de 300 millions; maintenant avec une bonne politique de recouvrement, nous en sommes à prés de 2 milliards de fcfa. Raison pour laquelle, cette augmentation doit être sentie par les populations à travers les réalisations, les lieux de culte, les Asc… ».

Alioune Badara Gueye, manager général permis pour Étudiant, par ailleurs coordonnateur du programme qui vise à aider les jeunes pour qu’ils aient le permis de conduire à moindre coût. Appréciant le geste du maire, M. Gueye dira que le but est que les jeunes puissent être bien formés et au final avoir leur permis.

Sale temps pour certains maires du Sénégal. Après l’édile de Sangalkam et celui de la commune de Bambali, à Sédhiou, le maire de Ouakam Samba Bathily, vient, à son tour, d’être inculpé pour escroquerie foncière présumé. Selon Libération, il  a été mis en examen hier par le doyen des juges. Mais, informe le journal, il a pu bénéficier d’une liberté provisoire.

Il y a de cela quelques jours, le maire de Malika a annoncé après une audience au palais de la République, son intention de rejoindre l’Apr. L’édile de cette localité depuis 2002, Talla Gadiaga, a fait cette annonce dans un contexte bien particulier. Le 22 mai dernier, il était dans le bureau du doyen des juges de Dakar pour être interrogé dans le fond en qualité d’inculpé.

Libération révèle que depuis le 25 février 2016 mis en examen pour association de malfaiteurs et conclusion d’une convention ayant pour objet un terrain immatriculé de l’état et blanchiment de capitaux. Il a été placé sous contrôle judiciaire en même temps qu’Oumar Sall inculpé courant avril 2018, Birane Sylla et Libasse Sow.

Modou Ndiaye, maire de la commune de Bambali (Sédhiou), son deuxième adjoint, Niky Ficou ainsi le secrétaire municipal, Mohamed Tamba sont entre les mains de la justice. Ils ont été arrêtés puis déférés, ce vendredi, au parquet de Kolda. Ils sont poursuivis pour escroquerie foncière, faux et usage de faux, détournement de biens publics.

Modou Ndiaye, selon les avocats des plaignants, aurait recruté un comptable qui gérait une quarantaine de parcelles fictives sur un lotissement irrégulier en date de 2016. Il revendait ces parcelles à usage d’habitation à 50.000 FCFA l’unité et parfois plus, sans jamais octroyer des attributions aux ayants droits. Plus grave, il ne reversait pas les recettes au Trésor public et les détournait à des fins personnels

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Les mouvements concernés sont Jeunesses socialistes, And Dollel Khalifa (Adk), Fal Khalifa, Khalifa Président, du Rassemblement pour la solidarité et l’unité de la république (Rassure), de Convergence socialiste, du Collectif des mille jeunes et du Mouvement des arabisants socialistes. En effet, réunis dans le cadre d’une journée de réflexion et d’études pour «mettre sur pied une plateforme unitaire dynamique et opérationnelle afin de porter Khalifa Ababacar Sall à la magistrature suprême au soir du 24 février de l’élection présidentielle de 2019», ils ont profité de cette occasion pour investir leur mentor. Dans leur résolution finale, les membres de ces différentes organisations font savoir ceci : «Nous investissons officiellement le Député-Maire Khalifa Ababacar Sall comme notre candidat à l’élection présidentielle de février 2019.»

Une décision prise après avoir fait plusieurs remarques. D’ailleurs, ils signalent que «le contexte politique marqué par l’incarcération arbitraire et injustifiée des camarades Khalifa Ababcar Sall et Barthélémy Dias. La dictature debout et non rampante que nous imposent Macky Sall et son gouvernement sans parler de la mal gouvernance.» Poursuivant, ils défendent également qu’il existe sous nos tropiques «la dilapidation des ressources gazières, pétrolières et minières, l’échec de la politique d’emploi des jeunes, la désacralisation de nos institutions publiques notamment l’Assemblée Nationale et la justice.» Mais aussi, «les violations récurrentes de la constitution et la répétition des réformes constitutionnelles déconsolidantes (Acte 3, Référendum, Parrainage), la préférence incommensurable des entreprises étrangères au détriment des entreprises nationales.»

Indiquant qu’il urge «d’unir nos forces pour faire face aux innombrables dérives du régime Faye-Sall-Thimbo», selon eux, «le leadership incontesté et incontestable du Député-Maire Khalifa Ababacar Sall sur le plan national et international fait de lui le meilleur profil qui répond mieux aux attentes des Sénégalais.»

IGFM – (Dakar)  « Le nouveau phénomène qu’on a constaté ces derniers jours et qui a consisté au dynamitage du Pont de Niambalang, c’est une nouvelle forme de violence dans le déroulement de ce conflit » a déclaré ce dimanche le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé lors du lancement de la Coalition « CAD/DISSO » à Dakar.

Cela appelle, selon M. Baldé, une introspection. « Y’en a qui disent que ce n’est pas le Mfdc. Y’en a qui disent que ce sont des terroristes. Faisons une analyse approfondie de la situation pour appréhender l’ensemble des aspects du problème pour pouvoir prendre une solution vitale pour l’ensemble de notre pays. Tant qu’il n’y aura pas de paix en Casamance, il n’y a pas de paix au Sénégal. Notre coalition exige que tous les candidats à la présidentielle y compris le nôtre inscrivent cette question au cœur de leurs programmes », a déclaré celui dont la coalition s’était classée en 5e position aux Législatives de juillet 2017. Il croit savoir que Disso, une fois au pouvoir, mettra un terme à ce conflit qui dure depuis 30 ans.

« Il faut faire un bilan de ce qui s’est passé depuis 1982 », interpelle, en outre, le maire de Ziguinchor. Il a aussi mis le curseur sur la nécessaire « préservation de l’unité nationale » et sur « l’ancrage dans l’unité africaine » dit-il.

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Maire de la commune des Sicap-Liberté, Santi Sène Agne balaie d’un revers de la main l’idée selon laquelle, l’Alliance des forces de progrès (Afp), en perte de vitesse, est plutôt devenue un mouvement de soutien au profit du Président Macky Sall. Dans cet entretien accordé à Tribune, ce lieutenant de Moustapha Niasse dément et explique l’objectif clair de leur formation politique. il est également revenu sur la gestion de son commune, son bilan à mi-mandat, la situation politique nationale et bien entendu le parrainage qui est encore au sommet des débats.

Par Abdoulaye MBOW

Ce 1^er mai a été célébré la fête internationale du travail. Pensez-vous que les travailleurs de votre mairie sont satisfaits ?

À l’origine, le 1^er mai n’était pas une fête. C’était plutôt l’aboutissement de luttes pluriannuelles des relations de travail entre employés et employeurs. Aujourd’hui, nous sommes dans des démocraties majeures où le dialogue occupe une place importante. Dans la commune des Sicap-Liberté, nous sommes en dialogue permanent et les éventuelles tensions sont réglées avant même le 1^er mai. Il vous suffit de faire un micro-trottoir pour vous rendre compte que nous sommes plus une famille qu’une armée en guerre. Donc, ici, les travailleurs sont sereins puisqu’ils ont l’écoute du maire, de l’administration et des plus proches collaborateurs. Les problèmes posés sont réglés au fur et à mesure que nous avançons.

Qu’en est-il chez les populations de votre commune ?

Nous avons un mandat et nous avons soumis aux populations par écrit, par contact direct, nos réalisations et nous avons eu un quitus car, nous avons été réélus. Ce qui veut dire que n’avons pas inventé notre bilan. Maintenant, il y a des secteurs qui marchent mieux que les autres. Ce qui est tout à fait normal. Mais, notre credo est d’améliorer les conditions de travail des travailleurs et des populations. Donc, notre bilan est relativement positif à mi-mandat puisqu’il nous reste au moins deux ans.

Bilan positif. Est-ce à dire qu’au niveau de votre commune, vous serez le porte-étendard de votre candidat à la présidentielle qui n’est autre que Macky Sall ?

Quand je m’engage, je le fais en toute connaissance de cause. Mon engagement au niveau de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar est rationnel. C’est encore le cas derrière le candidat Macky Sall. Cela tient compte des objectifs fixés, de la feuille de route matérialisée par le Plan Sénégal émergent (Pse) et des réalisations concrètes à l’heure actuelle. Sous ce rapport, je pense que le Président Macky Sall ne m’a pas déçu. Donc, la continuité de son magistère est très normale. De ce point de vue, je serai un combattant acharné pour sa réélection. Je ferai tout mon possible pour que les Sicapois votent pour lui. Mais, faites la différence entre le travail du maire et du Président. Une présidentielle, est la rencontre d’un homme et de son peuple. Cet homme, c’est Macky Sall. C’est lui qui a le bilan. Donc, nous ferons tout pour que les populations connaissent son bilan. Ce qui me fait dire qu’à propos du parrainage, les citoyens se sont rendu compte que tout ne doit plus être comme avant. On ne peut plus tolérer autant de listes. Donc, je ne vois l’intérêt pour Macky Sall de désagréger son électorat. Il faut capitaliser son électorat. Personne n’aurait imaginé quarante-sept listes lors des législatives. Et, je rappelle que c’est l’opposition qui voulait également le parrainage. Mais, il faut que tout le monde soit au même pied d’égalité. Ce qui est sûr, le parrainage va assainir le milieu politique et d’avoir l’onction des citoyens. Dans toutes les démocraties, ce système existe. Si cela était fait par le collège électoral des élus, imaginez ce que cela aurait donné. Mais, le meilleur choix a été fait avec les citoyens qui vont qualifier ou disqualifiez.

Quand le Président Macky Sall prend une décision bonne ou moins bonne, vous applaudissez. Cela ne veut-il pas dire que des partis comme l’Alliance des forces de progrès (Afp) sont devenus des mouvements de soutien ?

L’histoire des partis politiques est claire et répond à des critères très clairs. Il né, se développe, se trouve en position de déclin puis revient à la surface. Mais, détrompez-vous si vous pensez que l’Afp est un mouvement de soutien. Nous allons tenir notre congrès au mois de décembre pour tracer la voie qui va nous mener jusqu’en 2024 et avoir un autre candidat. Un discours ne peut être plus clair et constant. En 2014, nous avions dit que nous allions soutenir le Président Macky Sall. Cela n’a pas changé. Nous avons aussi dit, qu’au-delà de 2019, nous aspirons à diriger le pays à partir de 2024. Ce discours n’a jamais changé. Nous allons en congrès pour repartir sur de nouvelles et de bonnes bases. Alors, où est le mouvement de soutien ? Nous sommes un parti organisé et structuré. Nous sommes en train de vendre nos cartes.

Mais, avec un Secrétaire général qui refusait le poste de président de l’Assemblée nationale. Ce qui avait mené à la cassure de Bennnoo Siggil Senegaal…

Vous reconstruisez l’histoire. Moustapha Niasse était un candidat déclaré. Tant que c’était le cas, le seul poste qui puisse l’intéresser est celui de Président de la République. Il y avait un pacte dans Bennoo Siggil Senegaal. Qui l’a rompu. Je ne vais pas refaire l’histoire.

Par qui ?

Vous le savez et je ne vais pas vous le dire. Maintenant, il y a un fait nouveau au Sénégal et est d’ailleurs inédit dans les démocraties modernes. C’est une coalition de coalitions dont la durabilité étonne les politistes. Une vision partagée jusqu’en 2035 et une acceptation de gagner ensemble et de gouverner ensemble. Alors, comment ne pas accepter de diriger un poste aussi important que celui de président de l’Assemblée nationale ? Moustapha Niasse est un homme raisonné et raisonnable, mais conscient de ses devoirs envers les populations. Ce qui gêne l’opposition est que la coalition présidentielle continue de durer. À la tête de cette coalition, il y a des gens qui ont une haute idée de la gestion d’un Etat pour conduire le pays dans la stabilité. Ce qui a d’ailleurs conduit à la levée du mot d’ordre de grève des enseignants qui avait des soubassements politiques. Mais, heureusement que nous avons un pays apaisé. Cela déplait à l’opposition.

Quel est le message que vous lancez aux Sicapois et aux populations de manière générale ?

Je lance un appel à la paix sociale entre travailleurs et employeurs. Entre travailleurs et l’Etat du Sénégal. Je voudrai aussi dire que le Président Macky Sall a initié un certain nombre de politiques vis-à-vis des jeunes et des femmes pour justement régler le problème de l’emploi. Alors, j’invite tous les jeunes et toutes les femmes de la Sicap, à se rapprocher de la mairie – non pas par soutien – mais, parce que nous y avons mis un dispositif pouvant leur permettre d’avoir accès à ces sources de financements, de formations ou d’emplois. Nous avons commis un cabinet qui est en permanence à la mairie. Je lance aussi un appel à mes amis politiques de la Sicap, dans une année préélectorale, pour leur dire que la paix qui a toujours prévalu dans notre commune, malgré les divergences