Mohamadou Ndiaye Doss dit ce qu’il sait des récentes déclarations d’Idrissa Seck sur la religion musulmane.Selon lui, le patron du parti Rewmi a fauté. Mais puisqu’il a reconnu son erreur, il faut lever la sentence posée sur lui. En effet, le chroniqueur d’Actunet a largement parlé du concept de “tolérance”, démontrant que cela est “un mot vain” chez nous.

Mais le débat autour de la déclaration d’Idrissa Seck, indique-t-il, est le fruit d’un groupe animé par des intérêts personnels. Doss reste péremptoire. Il n’y a personne qui puisse exclure Idrissa Seck de la religion musulmane.  Par ailleurs, Il a dressé une liste de points qui devraient, selon lui, faire l’objet de prêche chez nos religieux. D’ailleurs, en ce sens, il a énuméré une série de dossiers sur lesquelles il fera de graves révélations, qui risquent même de faire vaciller le régime en place.

Serigne Cheikh Khady Mbacké, troisième Khalife de Darou Mouhty s’est éteint le 5 janvier 2016 à l’âge de 96 ans. Ce digne fils de Cheikh Ibra Faty, plus connu sous le nom de Mame Thierno Birahim et successeur de Serigne Abdou Khoudouss au Khalifa, était connu pour son orthodoxie, sa sagesse et sa foi. Il laisse le souvenir de serviteur dévoué du Tout-Puissant, un disciple accompli dans la foi et ancrée dans les enseignements de Khadim Rassoul.

«Il n’avait comme préoccupation que de maintenir l’héritage de Borom Darou, de ramener les disciples à Dieu et de doter la deuxième capitale du mouridisme d’infrastructures conformes à son statut. Durant toute sa vie, il ne possédait rien et n’était possédé par rien si ce n’est Allah», a témoigné Serigne Ousmane Mbakcé, fils du défunt Khalife.

Serigne Khady Mbacké de son vrai nom Cheikh Ahmadou Bamba et affectueusement appelé Baye Cheikh a veillé sur le legs de Mame Thierno. Il a incontestablement changé le visage de Darou Mouhty grâce à sa réputation de bâtisseur. En attestent la rénovation de la mosquée et de ‘’Beyti’’ ainsi que la construction de ‘’Daray Kamil’’, du ‘’Mawlid’’ et de la résidence de “Borom Darou”.

Serigne Bass Abdou Khoudoss Mbacké, porte-parole du Khalife de Darou Mouhty indique : «Son Khalifat s’est résumé à deux choses : construire des hommes de valeurs et moderniser la cité de Borom Darou.  Il a dépensé plus de 2 milliards de francs CFA entre réfection de forages, construction d’une grande morgue, achèvement de la grande mosquée de Darou Mouhty, construction des deux demeures de Borom Darou à savoir ‘’Beyti’’ et ‘’Makaama’’ et de Daaray Kaamil. Il a aussi démarré plusieurs chantiers qui sont actuellement en passe d’être achevés par Serigne Abass Mbacké».

D’ailleurs, Sérigne Ousmane Mbacké de préciser que «lors de l’inauguration de la mosquée, il a refusé toute cérémonie. Les choses se sont déroulées dans la sobriété. Pour lui, l’essentiel est que les fidèles y prient.» D’après Sérigne Abdou Khoudouss qui fut également porte-parole du défunt khalife, ce dernier consacrait une bonne partie de ses journées à la lecture du Coran.  «Pendant les mois de Ramadan, il se ruinait financièrement pour mettre dans de bonnes conditions les 45 mosquées de Darou Moukhty. Son amour pour Serigne Touba se lisait à travers son discours, ses faits et gestes.»

SERIGNE ABDOU MBACKE, FILS DE BAYE CHEIKH

«Tout a été possible grâce à l’engagement de la famille de Borom Darou. Mon sentiment est que Baye Cheikh était porté par une énergie extraordinaire tirée de son profond attachement à Borom Darou. Son envie de servir Mame Thierno était son moteur. Voilà pourquoi il a réussi toutes ses réalisations en 13 années de Khalifa. Et le plus étonnant chez lui, c’est que lui-même qui fixait personnellement son agenda. Dès qu’il entamait un chantier, il avait déjà une idée précise de celui qui allait suivre. Mais tout cela a été possible grâce à l’engagement de toute la famille de Borom Darou.»

Un faux marabout du nom de Chérif Sow a détourné et envouté Aminata Kante, une jeune élève, avant de lui soutirer 400 mille Fcfa. Il a été jugé hier par le Tribunal des flagrants délits de Dakar. Sur ce, il a été  condamné à une peine de deux ans de prison dont six mois ferme et il paiera comme dommage et intérêt la somme de 400 mille Fcfa à sa victime.

Par le biais de sa copine Aminata Kante, la victime Aminata Kanté, fera la connaissance de Chérif  Sow qui lui proposa des bains de purification, prétextant que la fille est victime de mauvais sort. Après une série de voyance, le soit disant marabout administre à la jeune fille des bains mystiques. Pour cela, elle lui envoi des sous.

La victime réclame la somme de 400 mille, somme équivalent à la totale d’argent remis au charlatan. Ce dernier, qui nie tout en bloc, a estimé la somme à 50 mille Fcfa. Lire la suite

Pour les marabouts réunis au sein de l’Intersyndicale des marabouts sénégalais (IMS), il est inacceptable que des chinois exercent cette profession sans autorisation officielle et sans homologation de leurs compétences. Ils dénoncent une concurrence déloyale et appellent à plus de régulation dans le secteur.

À Dakar et dans le reste du pays, il est de plus en plus fréquent de tomber sur des panneaux publicitaires qui vantent les mérites de marabouts chinois.

Pour les practiciens locaux, il s’agit d’une dévalorisation de leur métier. “Ces chinois qui sont venus ici pour exécuter des projets d’infrastructures commencent à investir des secteurs stratégiques”, se plaint maître Cissé M’Béré. “Ils cassent les prix et ne respectent ni l’éthique, ni la déontologie de la profession”, ajoute-t-il.

Des accusations que rejette en bloc maître Lee Chang, marabout chinois installé depuis deux ans à Dakar.

“Les anciens marabouts ont peur de nous parce que nous avons des méthodes de travail plus modernes. Il n’y a pas besoin d’être sénégalais ou africain pour guérir les chagrins d’amour, l’éjaculation précoce ou l’impuissance sexuelle”, soutient-il.

Abdou Akim Fall, est un « grand marabout » de renom à Louga. Il s’est retrouvé à la barre après un vol commis dans une mosquée, uniquement, jure-t-il, pour découvrir les conditions de détention en prison. Son histoire insolite est relatée dans L’Observateur de ce mercredi 20 décembre.

« Je suis un grand marabout, dit-il. A Kébémer où j’exerce, je suis souvent sollicité, Dieu m’ayant donné un pouvoir ». Il rembobine : « Souvent, mes clients me sollicitent pour faire libérer des proches de prison. J’ai décidé de communiquer avec mes djins pour qu’ils me donnent un secret qui me fasse mieux aider les jeunes. Les djins m’avaient donné une seul condition : faire du tort à des gens pour aller en prison. Pour eux, je devais découvrir les conditions de vie des détenus pour que mon vœu se réalise.

Réflexion faite, j’ai décidé de commettre un vol dans un lieu de culte. Je me suis rendu dans une mosquée où j’ai volé 2 nattes et des bouilloires ». 4 jours plus tard, le « marabout » est arrêté. Pourtant à la barre, il demande la clémence des juges . « Je jure avoir commis ce vol dans l’unique but de découvrir les conditions des détenus. Je veux que le tribunal m’accorde le pardon car j’ai déjà expérimenté la vie en prison », confesse-t-il. Mais c’est sans compter sur le juge, décidé à « l’aider » à réaliser son vœu. Il a été condamné à 2 ans de prison dont 1 mois ferme.

Les propos de Serigne Ousmane Diaw font froid dans le dos. «Si l’Equipe nationale ne fait pas attention, elle risque de ne pas aller loin», affirme le président des jeunes marabouts de Fatick…

En partance pour Milan en Italie, Serigne Abdou Aziz Mbacké Khadim Awa Bâ a eu la surprise de sa vie, ce mardi. Il a été sommé par les gendarmes de vider le salon d’honneur de l’aéroport Léopold Senghor pour défaut d’autorisation ou d’absence de statut légal pour y accéder.

Ces derniers lui diront substantiellement et de manière très polie (signale-t-il) :  “Serigne -bi, nous sommes très gênés de vous le dire. Mais vous n’avez pas le droit d’accéder à ce salon. Si vous le voulez bien, merci de quitter. Encore une fois, nous sommes très peinés d’avoir à vous transmettre l’ordre que nous avons reçu et que nous ne faisons qu’appliquer”.

En guise de réponse, le petit-fils de Serigne Abdou Khadre s’exécutera sans négocier, mais se fera l’obligation d’apporter quelques précisions à l’intention des Sénégalais et des autorités. Pour lui, on a tenté de l’humilier et c’est parce qu’il fait partie de ces chefs religieux qui ne sont ni de près, ni de loin mêlés à la chose politique.  “Dieu a fait que nous avons été bien éduqués par nos parents qui nous ont très tôt amené vivre dans les champs et étudier dans les Daaras. Notre passage au niveau du Salon d’honneur n’est nullement motivé par cette quête d’avoir, justement, droit aux honneurs. Il se trouve qu’à chaque fois que nous empruntons la voie habituelle, beaucoup de Sénégalais se démènent avec leurs bagages pour venir nous saluer. Cela crée certaines perturbations et peut beaucoup gêner. Et, c’est pour épargner à tout le monde ces désagréments que nous avons discrètement tenté, comme nous le faisons depuis quelques temps, d’emprunter le salon en question. Nous sommes conscient qu’un jour, nous serons sous terre. Par conséquent, les commodités n’occupent pas chez nous une place importante  ».

Serigne Modou Mbacké Bara Dolly, président du Rassemblement des familles religieuses de Touba est très remonté contre l’ancien président de la République, Maître Abdoulaye Wade qui avait dit que certains descendants des guides religieux ne s’intéressent qu’à l’argent. Lire la suite sur Senego.com

Dans sa page Facebook «Barthélemy Dias l’officiel», le maire de Mermoz Sacré-cœur nous dévoile sa troisième série de vidéo dans laquelle il s’est réservé le devoir de répondre à la demande de Serigne Sidi Mokhtar Mbacké, Khalife général des mourides, «Yalla na fi yag té wer». «J’ai parlé, entre autres, de l’organisation du Congrès Extraordinaire du Parti socialiste et appelé à l’union de l’opposition», peut-on lire sur sa page. La vidéo à voir sur Senego.com

Un nouveau grand scandale dans le secteur de la santé à Touba… En effet, la gendarmerie de Bélél a mis la main, dans l’après-midi du vendredi,  sur deux camions remplis de médicaments. De la contrefaçon estimée financièrement à environ 1 milliard 350 millions de francs Cfa. Nos sources parlent de comprimés, pour l’essentiel faits avec une substance proche de celle qui est utilisée pour fabriquer de la craie.  Lire la suite sur Dakaractu

Sur sa route pour Touba, où il doit célébrer le Magal, Serigne Modou Kara Mbacké a fait une escale à Thiès, la cité du rail. Se rendant dans son natal, quartier “Serigne Abdoulaye Yakhine Diop”, Serigne Modou Kara y a croisé le maire de Thiès, Talla Sylla.

En usant de subterfuges et de pratiques mystiques, M. Bâ, qui se dit marabout, et ses acolytes ont réussi à empocher la somme de 1,800 millions de francs Cfa.

Informés  on ne sait comment de ce que la dame O. Mbengue gérait la tontine des femmes des Hlm Paris de Guédiawaye, ils ont trouvé le moyen de détourner l’argent.

Et pour ce faire, selon le journal Vox Populi, lu par Actunet.net, occasion ne pouvait être mieux saisie que de passer par la fille de la gérante de la tontine.

C’est par des pratiques mystiques qu’ils ont poussé la jeune fille à voler l’intégralité de la tontine de sa mère qui s’élève à près de 2 millions.

Ne se doutant de rien, la dame qui gère la tontine depuis plus de 30 ans avait mis toutes les cotisations mensuelles dans une calebasse qu’elle a ensuite dissimulée derrière sa coiffeuse, le temps d’aller verser l’argent à la banque.

Mais grande a été sa surprise quand elle a constaté le surlendemain que la calebasse était vide. Elle a interpellé sa fille qui a nié avoir pris l’argent.

Les camarades de classe de cette dernière ont vendu la mèche en lui révélant que c’est bien A. Ndiaye qui a pris l’argent pour le remettre à un marabout qui loge à la Cité Aliou Sow.

La plainte déposée au commissariat de Golf a tout de suite débouché sur l’arrestation des mis en cause. Et c’est là que la fille en classe de Première a finalement reconnu que ce sont ces derniers qui l’ont incitée à voler l’argent de sa mère.

Selon elle, depuis que le marabout lui a serré la main, elle est tombée sous son emprise.

Alors que l’on croyait que les insultes et autres propos frivoles et indécents distillés sur le net allaient finir avec les cas Assane Diouf, Amy Collé Dieng et Penda Bâ, ça reprend de plus belle sur les réseaux sociaux. Des personnes non encore identifiées basées aussi bien au Sénégal qu’à l’étranger s’y mettent à leur tour, en toute impunité. De quoi susciter l’indignation du Khalife général des Layènes, El Hadj Abdoulaye Thiaw Laye.

Indignation. Déception. Préoccupation. Consternation. Aucun mot n’est de trop pour s’offusquer des insultes, des injures et des autres propos indécents distillés sur la toile. Une situation en passe de devenir un phénomène de société, depuis quelque temps, au point de mobiliser un fort audimat. C’est l’amer constat de la communauté Layène qui suscite l’indignation et la mise en garde du Khalife général, El Hadj Abdoulaye Thiaw Laye, par le biais du porte-parole de la famille Layène.

«Nous avons des modèles d’hommes et de femmes. Nous ne connaissons pas les insultes. Ce n’est pas dans la culture du Sénégalais d’insulter, de médire à tout bout de champ. On peut régler des situations sans se battre ou se disputer ou insulter. Ce sont ces valeurs que nous ne voulons pas voir disparaître. On demande à tous les Sénégalais d’arrêter d’insulter. On n’aime pas cela. Le Khalife a vu que les enfants, chacun, a son portable pour écouter des insultes à travers les rues. Il a été choqué quand il a entendu ces insultes. Il souhaiterait ne plus en entendre au Sénégal», a rapporté Ibrahima Laye Thiaw.

L’appel a été lancé vendredi, en marge de la commémoration des 16 ans de la disparition de feu Alassane Laye, quatrième Khalife général de Seydina Limamou Laye.

La perspective d’une enquête ouverte par l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) sur les 270 millions Cfa offerts à Chekh Béthio Thioune par son épouse Aïda Diallo n’agrée pas Serigne Modou Boussou Dieng. Dans L’Observateur, lu par Actunet, le président de la Confédération internationale des familles religieuses souligne que la mission de l’Ofnac est d’enquêter sur ceux qui gèrent les deniers publics.

«La mission première de l’Ofnac, c’est de poursuivre ceux qui gèrent les deniers publics ou ayant des liens avec l’État. Et non de traquer des gens qui donnent des «adiya». Le «adiya» ce n’est pas l’affaire de l’Ofnac. Il y a beaucoup de gaspillage à coup de millions, lors des soirées au Grand-Théâtre et dans la lutte. Mais l’Ofnac n’a jamais tenté de voir l’origine de cet argent. La justice, c’est le droit. Et le droit ne sert qu’à la solution sociale. Cela passe par les «adiya». La solution ce n’est pas de traquer les religieux», a dit Serigne Modou Boussou.

Une affaire d’avortement secoue la République. Le Chef de Cabinet d’un département ministériel a été arrêté puis relâché. Selon le journal Zoom Infos, lu par Actunet.net, le Chef de cabinet a été sauvé par un patron de presse qui, au dernier moment, a revendiqué la grossesse.

En effet, dans le feu de l’installation du nouveau gouvernement, un département ministériel aurait été secoué par une histoire d’avortement clandestin qui a mal tourné. Le Chef de cabinet du ministère en question a été arrêté et placé en garde à vue dans un Commissariat, pour y subir un interrogatoire de la police judiciaire.

Au départ, c’est la fille engrossée qui est démasquée et interpellée par la Police. C’est elle qui aurait certainement fait des révélations aux enquêteurs qui ont aussitôt arrêté le Chef de cabinet. Les patates étaient presque cuites pour le Cc. Mais heureusement pour lui, un patron de presse a fait irruption dans le dossier pour revendiquer la paternité de la grossesse. Une intervention planifiée et coordonnée ? Nous donnons notre langue au chat.

En tout cas, le patron de presse a réussi à embrouiller les pistes des enquêteurs. Mais aussi, ajoute le canard, une forte pression maraboutique a pesé de tout son poids, pour arranger la situation. Il faut bien suspendre son avis à ce moment là !

Six Baye Fall sont depuis avant-hier sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt et de correction de Louga. Ils ont battu à mort un voleur. C’était le jour de la Tamkharit dans la cité religieuse de Sikory.

En effet, selon les sources du journal L’Observateur, lu par Actunet.net, il s’agit de six Baye Fall qui ont battu à mort un individu non encore identifié dans la nuit du samedi au dimanche.

Mbaye Bâ, responsable du Daara, est réveillé par un bruit étrange venant de l’enclos. Se tirant de son lit, armé d’un gourdin, il se dirige sur la pointe des pieds vers l’endroit où est attaché le cheval.

C’est là qu’il a senti la présence d’un individu dans la pénombre en train de détacher le cheval. Il assène au voleur un coup violent à la mâchoire. C’est par la suite que Mbaye Bâ va ameuter ses condisciples qui n’ont pas tardé à rappliquer.

Décidé à lui administrer une sévère correction, ces derniers ont ligoté le voleur et lui ont fait subir un supplice de tantale. Et c’est là que l’irréparable s’est produit. Le voleur sera retrouvé le lendemain sans vie.

Les disciples se résolvent à en informer leur marabout qui, à son tour avisera les éléments de la Brigade de la gendarmerie de Darou Mousty. Après le constat d’usage, les hommes en bleu ont mis aux arrêts le responsable du Daara et les cinq disciples qui ont participé à la bastonnade.

Interrogé, Mbaye Bâ a reconnu avoir donné un coup fatal au voleur, et ses condisciples aussi ont reconnu leur implication. Ils sont tous déférés et placés sous mandat de dépôt.

L’identité du défunt n’a pas encore été révélée.