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Entre autres attributaires des marchés de l’autoroute à péage: Bara Tall et sa cagnotte qu’il n’a jamais racontée aux Sénégalais

Ablaye Mbow — Sat, 26 May 2018 15:08:08 +0000

Suite à la mort accidentelle de l’artiste Papis de Gelongel, sur l’autoroute à péage, le président Directeur général de l’entreprise, Jean Lefebvre, est monté sur le ring pour catapulter dans les cordes Gérard Senac, boss de la société française, ainsi que l’Ambassadeur de la France au Sénégal.

Très offensif dans un entretien accordé à Pape Alé Niang du site Dakarmatin, Bara Tall s’était attaqué aux Français en ces termes : “Gérard Senac qui n’a dépensé que 61 milliards de Francs Cfa, a obligé le gouvernement Sénégalais à emprunter 50 milliards auprès de l’Agence française de développement (Afd) et de la Banque islamique pour le développement (Bad) et à libérer des caisses du Trésor public 37 milliards F Cfa”.

Après cette sortie au vitriol de l’homme d’affaires sénégalais, nos confrères du quotidien SourceAont pu enquêter autour des marchés qui ont été exécutés au sujet de l’autoroute à péage.

En effet, le canard de Castors/Bourguiba s’est rendu compte que Bara Tall fait partie des soumissionnaires qui ont été des plus royalement traités. Comme l’atteste le tronçon Malick Sy-Patte D’oie dont le marché a été gagné par l’entreprise Jean Lefebvre et Henan Chine, et pour lequel, Bara Tall et Cie ont empoché 23 milliards F Cfa pour 7 kilomètres de route réhabilitée.

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Répression de manifestations – Les droits-de-l’hommiste recadrent le pouvoir

Mohamed Ndjim — Fri, 13 Apr 2018 13:00:27 +0000

La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (L.S.D.H) condamne fermement la répression systématique et démesurée des marches et manifestations pacifiques organisées au Sénégal sous le prétexte d’arrêtés d’interdiction préfectoraux.

A travers un communiqué parvenu à Actunet, la Lsdh appelle de nouveau l’État du Sénégal à garantir les libertés publiques fondamentales consacrées et garanties par la Constitution et les Conventions Internationales ratifiées par le Sénégal.

La Lsdh appelle en outre les autorités administratives à se conformer aux différents arrêts rendus à ce jour par la Cour Suprême du Sénégal rappelant que l’impératif de maintien de l’ordre public doit être concilie avec l’exigence d’un respect des libertés fondamentales consacrées et garanties par la Constitution.

LE DG DE L’ARMP : ’’LA TRANSPARENCE EST DEVENUE UNE RÉALITÉ DANS LES MARCHÉS PUBLICS”

Ablaye Mbow — Thu, 08 Mar 2018 20:59:14 +0000

Dakar, 8 mars (APS) – La transparence est devenue ’’une réalité’’ dans les procédures de passation des marchés publics, affirme e directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP), faisant état d’une “grande performance” réalisée par le Sénégal dans ce domaine.

“Le Sénégal est en train d’arriver vers le changement (…), le fait d’avoir mis l’accent sur les procédures a donné des résultats. La transparence est une réalité dans les marchés publics”, a-t-il déclaré, jeudi, à Dakar.

S’exprimant lors de la présentation du rapport 2016 de l’ARMP, M. Niang a noté un “changement radical” dans la perception des marchés publics.

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Attribution de marchés – Le Président Barrow décrié

Ablaye Mbow — Tue, 23 Jan 2018 05:39:19 +0000

En Gambie où des généraux proches de l’ancien Chef de l’Etat Yaya Jammeh sont aux arrêts, la gestion de son successeur Adama Barrow est décriée dans l’attribution de deux marchés publics.

Si en Gambie, le sort des généraux Mendy et son collègue proche de Jammeh arrêtés à leur retour de la Guinée équatoriale n’est pas encore scellé, les marchés de l’extension du Port de Banjul et celle de la confection des cartes d’identités et passeports aliment le débat. Le gouvernement du Président Adama Barrow est suspecté de n’avoir pas joué la carte de la transparence dans le marché de l’extension du Port de Banjul confié à la société CRBC qui est sous le coup d’un bannissement de la Banque mondiale. L’autre marché qui défraie la chronique a trait à la confection des passeports et cartes d’identité de la Gambie. Celle-ci est filée par voie de gré à gré à l’entreprise belge Semlex qui est dans la collimateur de la justice Belge, notamment du procureur de Bruxelles qui a demandé des perquisitions contre cette société soupçonnée de corruptions de dirigeants en Afrique pour gagner des marchés.

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