Aïda Mbacké, la dame qui aurait brûlé vif son mari aux Maristes, est en garde à vue à la gendarmerie de Hann. Selon un expert ayant requis l’anonymat, elle sera soumise “à une enquête criminelle normale, quel que soit son état de santé”.

“Nous sommes devant un crime atroce. Pour la préservation de l’ordre public, elle sera placée sous mandat de dépôt, même si son avocat présente un dossier médical demandant sa mise en liberté”, indique notre interlocuteur.

Aïda Mbacké devrait donc passer par la case prison. Au lendemain du drame, elle a accouché d’une fille. Ce qui lui a valu une hospitalisation et offert d’être épargnée par les enquêteurs, qui attendaient le feu vert du médecin pour commencer son audition.

La mise en cause pourrait espérer recouvrer la liberté, provisoirement ou définitivement, lorsque l’affaire sera abordée au fond. À ce moment-là, deux pistes vers la liberté s’ouvriront devant elle : soit la défense avance que l’état de santé de l’accusée n’est pas compatible avec la détention soit qu’elle est démentielle.

“Dans le premier cas, si la thèse invoquée est avérée, Aïda Mbacké ne devra pas être placée en détention, pas même dans un centre hospitalier carcéral, indique l’avocat. Dans le second cas, s’il est vrai qu’elle ne jouit pas de toutes ses facultés mentales, elle bénéficiera de l’exonération de la responsabilité pénale ; elle devra le cas échéant être libérée.”

Notre interlocuteur a ajouté que face à un prévenu dont l’état de santé pose question, comme Aïda Mbacké, le juge d’instruction peut requérir l’avis d’un médecin de son choix. Mais, signale le spécialiste, le magistrat n’est pas lié par cet avis.

La mise en cause aurait brûlé vif son mari, Khadim Ndiaye, à la suite d’une dispute dont les raisons restent floues. La victime succombera à ses blessures à l’Hôpital général de Grand-Yoff (Hoggy) où il a été hospitalisé.

Chose inédite pour ne pas très rare. Deux sœurs qui se disputent le même homme. Pour ne pas dire, que l’une a fini de draguer le mari de l’autre. Cela se passe dans un quartier bien connu de Dakar. La grande sœur, mariée depuis deux ans à son homme, a loué un appartement dans un quartier de Dakar. Sans enfants, elle a fait appel à sa petite sœur qui vit avec elle et son mari depuis plusieurs mois.

Mais, la grande sœur ne se doutait pas que sa petite sœur “draguait” son beau-frère (ou le contraire) qui a fini de tomber dans ses bras. Alertée par une de ses amies, c’est avec patience qu’elle apprend pour ne pas dire qu’elle surprend son mari et sa petite sœur dans des positions assez intimes. Et, ce qui devait arriver arriva. La suite logique n’est autre qu’une bagarre qui a éclaté. Sans contrôle et avec la colère en bandoulière, la grande-sœur trébuche et se…casse le bras. Pas trop grave affirment des sources de actunet qui signalent avoir soufflé l’information pour alerter sur la pratique de certains hommes qui n’hésitent pas à descendre aussi bas. Mais aussi et surtout, sur le niveau de dégradation des mœurs. Comme quoi, les valeurs et les bonnes, sont presque totalement enterrées. Aux dernières nouvelles, la petite sœur “dragueuse” de mari, a pris ses bagages avant de disparaître….

Lundi, 7 mai : Cheikh Ahmadou Bamba Mbaye donne rendez-vous à son épouse Bigué Ndao, dans un parc, la roue de coups avant de la poignarder à mort. L’histoire se déroule à Edmonton au Canada.

Le couple est sénégalais. Cheikh Mbaye, 40 ans et Bigué Ndao, 33 ans, mariés depuis 10 ans, sont parents deux filles, 10 ans et 5 ans. Émigrés au Canada, les deux, des cousins, filent le parfait amour  jusqu’au jour où le mari décide de rentrer au Sénégal pour s’y installer définitivement.

Pour contraindre sa famille à rester auprès de lui, Cheikh Mbaye confisque le passeport de son épouse et ceux de ses enfants. Et propose à son épouse d’être son assistante dans l’entreprise qu’il dirige à Dakar. Ce que Bigué Ndao refuse.

Pour la mettre au pied du mur, Cheikh Mbaye prend une seconde épouse. En colère, la jeune femme de 33 ans, récupère ses papiers et repart au Canada avec ses enfants.

Quelques temps plus tard,  Cheikh Mbaye repart au Canada à la recherche de son épouse. Après des investigations, il obtient les coordonnées de son épouse au Canada et lui parvient à lui fixer un rendez-vous dans une place publique de Edmonton. Au cours de leur entrevue, une dispute éclate. Cheikh Mbaye la roue de coups avant de la poignarder, raconte un proche de la victime, qui s’est confiée à Seneweb. Bigué Ndao décède sur le coup.

Cheikh Mbaye est arrêté par la police canadienne. Et est placé en garde à vue. Selon les proches de la victime, la dépouille devrait être rapatriée à Dakar pour son inhumation.

Une célèbre star bien aimée s’est mariée récemment. Mais elle ne savait pas avant que son homme est un patenté coureur de jupons qui n’épouse que le temps d’une découverte et d’une jouissance qui ne va jamais au-delà de trois mois. On le surnomme « Niame Lali ». Ses cibles sont les célébrités ou les filles de personnalités. La dernière victime de cet homme à femmes remonte à début décembre 2017. On ne compte plus le nombre de ses « takk souf » et de ses mariages furtifs. C’est pourquoi il avait tenu à épouser la star dans la plus grande discrétion. Mais suite à l’annonce de la nouvelle, la star a été édifiée sur la vraie nature de son homme. Cependant les dés étant jetés, elle s’accroche et manœuvre pour ne pas subir le sort de celles qui l’ont procédé. Du « Sak » pour éviter d’être la risée publique. Car ça la ferait perdre sa notoriété. Mais notre star bien aimée est décidée à ferrer son Don Juan de mari. Ce ne sont pas les « kessing kessing » et les « dieufeurs dieufeurs » qui lui manquent. Amina Poté, Adiouza ou l’autre : Qui a tiré la mauvaise carte ? A vous de chercher.

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Au Sénégal, une association de femmes vient d’être mise sur les fonds baptismaux. Il s’agit du collectif, « mon mari a droit à quatre (04) femmes » regroupant de femmes mariées qui partagent la conviction qu’en plus d’elles, chacun de leur époux à droit à trois autres femmes afin que les épouses soient au nombre de quatre sous le même toit.

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Elles entendent accompagner leurs époux dans l’accomplissement des saintes écritures du Coran qui permettent à un homme musulman, de prendre au-delà d’une femme et ce, jusqu’à quatre femmes. Une démarche qui vient prouver que la polygamie est désormais de beaux jours devant elle dans le pays de Macky Sall.

Une nouvelle de taille. Une grande nouvelle qui risque de secouer le
monde du showbiz. En effet, actunet est en mesure d’écrire qu’une
grande et belle chanteuse s’est mariée. En douce ? On ne sait pas, mais
cela semble bien être le cas.

Autrement dit, le mariage a été verrouillé.
Toutefois, actunet a appris de bonnes sources ce qui semble être
une…vérité. De quoi s’agit-il ? Adiouza, l’une des beautés de la musique
sénégalaise se serait pendue.

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Infertile, son mari l’abandonne

Mariée depuis 9 mois, cette dame malade vit les pires moments de sa vie. Au départ, son mari, tellement jaloux, lui a interdit de répondre au téléphone. A la suite de ce genre de scène de jalousie, la dame décide de retourner chez ses parents.

De retour chez elle, elle appelle son mari qui lui donne le divorce. Pour entrer dans ses droits, la femme est retournée au domicile conjugal. Mais à sa grande surprise, on lui apprend le déménagement de son mari. Ce dernier lui a affirmé que sa mère, qui vit au Casamance, ne veut plus de leur union, puisqu’elle est devenue stérile, selon les médecins.

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Infertile, son mari l’abandonne

Mariée depuis 9 mois, cette dame malade vit les pires moments de sa vie. Au départ, son mari, tellement jaloux, lui a interdit de répondre au téléphone. A la suite de ce genre de scène de jalousie, la dame décide de retourner chez ses parents.

De retour chez elle, elle appelle son mari qui lui donne le divorce. Pour entrer dans ses droits, la femme est retournée au domicile conjugal. Mais à sa grande surprise, on lui apprend le déménagement de son mari. Ce dernier lui a affirmé que sa mère, qui vit au Casamance, ne veut plus de leur union, puisqu’elle est devenue stérile, selon les médecins. 

Prise entre le traitement de sa maladie et l’abandon de son mari, qui a changé de domicile, elle s’est rendue à la Gendarmerie, pour réclamer ses droits de divorce. En attendant, la dame vit seule, sans l’ombre de son mari qui prépare son mariage avec la femme choisie par sa mère.

Une histoire d’infidélité a failli ôter la vie à cette dame. Habitant dans le même immeuble que son amant, elle a profité de l’absence de son mari, parti prier à l’aube, pour recevoir son amant sur le lit conjugale.

Le mari ne se doutait pas que sa femme le trompait, jusqu’au jour où il revient de la mosquée et surprend sa femme en pleins ébats sexuels avec son voisin d’immeuble.

En colère, il assène trois coups de bâton sur la tête à sa femme. Cette dernière a tout nié et soutient qu’elle pensait être avec son mari, car elle ne savait pas qu’il était allé prier.

Une relation peut passer par des moments critiques, qui risquent de tout détruire. Il faudra donc être capable de détecter ce qui ne va pas et agir en fonction. Cette liste n’est pas exhaustive, mais voici les 6 phrases que votre mari pourrait dire et qui montrent que votre mariage est en danger !

1. “Tu ne me comprends pas.”

Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus. C’est pourquoi ils ont du mal à se comprendre. Et parfois les conjoints n’arrivent pas à  communiquer facilement. Mais si cette phrase devient répétitive, il faudra prendre le temps d’écouter votre partenaire pour pouvoir le comprendre et agir en conséquent.

Les maris les plus malheureux sont les maris ennuyés. S’il vous dit qu’il s’ennuie assez souvent, alors faites quelque chose pour changer cela. Surprenez-le avec une idée créative, comme un voyage dans une ville où il n’est jamais allé auparavant ou quelque chose de ce genre. Il est important de rendre un mariage vivant et éviter la routine.

3. “Pourquoi tu n’aimes pas …?”

Être comparé à d’autres personnes par votre mari est un gros problème. S’il vous compare à ses amis, collègues, ou même à la voisine, alors il ne vous apprécie pas pour ce que vous êtes. Dans ce cas, demandez-lui à quoi veut-il que vous ressembliez et pourquoi il ne peut pas vous apprécier pour ce que vous êtes ?

Entamez cette discussion avec tact et délicatesse, la dispute ne va pas mener à grand-chose dans ce genre de situation.

4. “C’est comme tu veux” ou “Tout ce que tu dis est bien ! “

Ces deux expressions similaires indiquent un manque d’intérêt pour ce que vous voulez et / ou ce que vous faites. Il ne dit pas ces phrases parce qu’il est soumis à vous, bien au contraire il ne porte aucun intérêt à votre proposition et n’en a rien à cirer.  Cette attitude montre clairement qu’il y a un manque de passion et de fougue dans votre mariage.

5. “Tu n’es plus la personne dont je suis tombé amoureux”

S’il dit souvent cette phrase, il n’est probablement pas conscient que les gens changent, non seulement physiquement, mais aussi émotionnellement.
Il ne comprend probablement pas non plus qu’il n’est pas la même personne qu’il était lorsque vous vous êtes rencontrés pour la première fois. Vous et votre mari devez tous deux changer et grandir ensemble pour avoir un mariage sain.

6. “Tu ne changeras jamais.”

S’il vous dit cela, demandez-lui ce que vous faites qui l’irrite et ce qui lui fait dire que vous ne changerez jamais. Repérez ensemble les choses que vous pouvez changer vous-même et acceptez les choses que vous ne pouvez pas changer

Cette histoire s’est déroulée dans un village du Saloum. C’est un témoin des faits qui l’a rapporté à Actunet. Il s’agit d’un homme O.D qui a refusé à sa femme le prix d’un savon. Prétextant qu’il n’a rien comme argent. Mais à peine sorti de la maison, il rencontre A.B, la femme d’une de ses connaissances.

“Bonjour ma belle, où est ton mari ?”, demanda-t-il à la dame qui lui répond que son époux est en voyage. “Comment mon ami peut-il laisser une si jolie femme seule à la maison ?”, s’exclame-t-il. Et ajoute : “Qu’est ce que tu fais ce soir ? Je passerai chez toi”. A cela, la dame accepte et lui signifie d’amener une somme de 5000 Fcfa en guise de cadeau.

Mais avant la tombée de la nuit, A. B est allée voir la femme de son prétendant. “Ton mari veut te tromper avec moi, lui dit-elle. Mais j’ai besoin que tu me prêtes la somme de 5000 Fcfa que je vais te rembourser ce soir. Ton mari a promis de me donner cette somme, mais on va lui tendre un piège chez moi”, a proposé A. B à la femme de O.D.

Ainsi les deux femmes se mettent d’accord sur le plan à mettre en oeuvre. Le soir venu, l’homme se faufile à travers les ruelles du village pour rejoindre la femme de son ami parti en voyage. Mais c’est sa propre femme qui l’y attendait, dans une chambre obscure, avec sa complice cachée dans un coin, munie d’une lanterne éteinte.

Une fois dans la chambre, O. D rejoint “sa” dame sur le lit. Cette dernière lui chuchota de lui remettre le cadeau de 5000 Fcfa. Ce qu’il a fait sans se douter du piège. Après avoir satisfait sa libido, la dame A.B allume enfin la lanterne qu’elle tenait entre ses mains. L’homme qui vient de se rendre compte de sa bourde baisse automatiquement son regard et reste bouche bée.

A.B. commence alors à sermonner l’ami de son mari qui n’est pas parvenu à distinguer sa femme et sa fausse amante. “Arrêtez vos sottises et comprenez qu’il n’y a pas de différence entre les femmes”, lui a-t-elle asséné avant d’inviter le couple à rentrer chez eux.

Depuis ce jour, le mari infidèle n’a aucune autorité devant sa femme. Cette dernière, qui a une vie meilleure, tient désormais les deux bouts de la corde nouée autour du cou de son mari.

Les populations  de Mbelloucoum, localité située dans le village de Yaré-Law, (commune de Doumnga-Law),  sont abattues et meurtries par la mort atroce d’une femme âgée de 19 ans seulement.

Mère de deux fillettes âgées de trois ans et de deux ans, Ramata Lô a été atrocement tuée par son époux, à coups de couteaux. Le comble est que personne n’a pu comprendre comment il a pu donner autant de coups à son épouse sur des parties sensibles du corps qui ne lui ont laissé aucune chance de survie. La victime a, en effet, été mortellement poignardée à la tête, au cœur, au ventre et sur le dos.

C’est au petit matin que l’époux du nom d’Amadou Diop (37 ans), après une brève altercation avec son épouse, s’est saisi d’un couteau  tranchant, pour mettre terme à la vie de sa femme. L’homme qui, nous dit-on, serait un apprenti des véhicules Toyota qui font le transport dans les Loumas jouissait pourtant de toutes ses facultés mentales. Après son sale besogne, il est allé se réfugier au domicile d’un notable du nom d’Oumar Abass, rapporte Voxpopuli, lu par Actunet.

Aussitôt informé du crime, ce dernier a alerté les gendarmes, qui vont, par la suite, cueillir l’époux indélicat. Pour l’heure, il est en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie. Selon des témoignages recueillis auprès de la famille de la victime, «l’époux qui a toujours vécu dans le domicile de son épouse dans ce même village de Mbelloucoum s’entendait bien avec sa défunte épouse». Depuis hier, les supputations vont bon train et chacun y va de son propre commentaire. L’on s’interroge toujours et encore sur le mobile d’un tel crime.

La dame A. Niang a failli tuer son mari à travers une banale dispute. Celle-ci découle du fait que le mari, à sa descente du travail, est furieux de voir autant de papiers dans la cour de la maison. Il a demandé des explications à sa femme.

Et c’est au cours de cet échange de propos aigres-doux que la dame s’est arcboutée, et d’un geste rapide s’est saisi du sexe de S. Cissé en mordant à pleines dents le pénis.

L’acte ignoble, selon le journal Vox Populi, lu par Actunet.net, est si violent que le mari a crié de toutes ses forces. Sa femme l’a si bien mordu et davantage encore, que le sang n’a pas manqué de gicler du pantalon du mari qui l’étranglait à deux mains jusqu’à ce qu’elle lâcha prise et qu’il put libérer son sexe.

Le mari a été évacué sur le champ au centre de santé de Mbacké avec le sexe ensanglanté. Ce dernier dit s’en remettre à Dieu et ne compte pas poursuivre sa femme qui est la benjamine épouse ou seconde. Cela, à cause des quatre enfants qui les lient.

Au Sénégal, 70% des hommes sont tués par leurs femmes. C’est la révélation faite à travers un colloque international sur les violences criminelles en Afrique de l’Ouest.

Selon le document de presse, rapporté par le journal «Libération», lu par Actunet.net, les victimes des homicides conjugaux sont, dans 53% des cas, de sexe masculin alors que les femmes le sont dans 47%.

Ce résultat surprenant -à savoir une majorité d’hommes tués par leurs femmes- se vérifie au Burkina Faso (60% d’hommes tués par leur épouse), au Niger (62%) et au Sénégal (70%).

Parmi les 1000 homicides compilés dans quatre pays d’Afrique de l’Ouest, on dénombre 177 meurtres associés au vol.

La participation des femmes à l’homicide familiale se situe à hauteur du tiers des cas, aussi bien du côté des victimes que des meurtriers.

Ce sont des chiffres réels. 70% des hommes mariés victimes d’homicides au Sénégal sont tués par leur épouse. Les résultats de cette étude ont été partagés hier, lors d’un colloque international sur le thème des “violences criminelles urbaines en Afrique de l’ouest”.

Les chiffres en question sont contenus dans un ouvrage rédigé par Maurice Cusson. Il est rédigé par un groupe de criminologues et de chercheur établis entre Montréal, Abidjan et Dakar.

Ce résultat, à savoir une majorité d’hommes tués par leur conjointe, est effectif également au Burkina Faso avec 60% et au Niger (62%), indique Vox Populi, lu par Actunet.

La chanteuse Aïda Samb ouvre son micro. Depuis son premier album, «Saraba», qui a bien cartonné, elle a beaucoup évolué et gagné en maturité, même si son absence de la scène a un peu troublé les amateurs de la musique. Il a fallu 5 ans pour enfin délivrer son second opus.

Elle s’est ouverte au quotidien L’Obs, lu par Actunet, en indiquant : «Pour ce qui est de mon look je suis toujours un garçon manqué». Seulement, il faut faire la différence entre Aïda Samb sur scène et celle de tous les jours. D’après elle, il faut renvoyer une image qui colle à ce que l’on fait et au milieu que l’on fréquente.

Cette dernière déclare ne pas être mariée pour le moment. Elle est seule. «Il n’y a personne dans ma vie, mais Dieu est grand…».

Beaucoup ayant l’impression que c’est sa première expérience de mariage qui la fait encore douter, au point de ne laisser aucun homme bousiller sa vie. Mais ce n’est pas le cas déclare-t-elle. «C’est juste que je n’aie pas encore rencontré le bon. Rien ne me fera plus plaisir que de me marier, car pour moi, avoir un homme à mes côtés ne fera que me donner plus de force».

Croyant toujours que c’est comme ces genres d’artistes qui pensent à leur carrière avant le ménage. Et pourtant non ! Pour elle c’est autre chose : «Je ne suis pas de la race de ces chanteuses qui font passer leur carrière avant les sentiments.» Plus loin : «je ne demande pas mieux qu’un homme qui m’aimera comme je suis, avec mes qualités et mes défauts, qui mesurera ma valeur, sera attentionné avec moi. Le reste ce ne sont que des détails…».

La fille d’Ouza ne cache pas son ardent désir de trouver chaussures à ses pieds et l’absence d’un homme à ses côtés. Elle l’a confié dans un live sur Facebook.
Elle ne demande “rien” à sa douce moitié, sinon de l’amour pour vivre enfin, dans un ménage comme toutes les femmes aimeraient l’être.

“Je ne suis plus la jeune fille d’avant. Je commence à vieillir donc, je ne demande rien à l’homme qui veut m’épouser”, confie-t-elle dans le live au cours duquel, elle s’est prêtée aux questions-réponses des fans.