Avec son but sur coup franc face à Leganes, Leo Messi a atteint le record détenu par Ronaldinho seul jusque-là : six buts sur coup franc lors d’une saison de Liga.

Le virtuose argentin totalise déjà six buts sur la saison de Liga en cours. Ronaldinho en avait également marqué six lors de la saison 2006-07.

Cela signifie que, lors des 20 dernières années, aucun joueur n’avait marqué plus de buts que Messi et Ronaldinho en Première Division du championnat espagnol. Un nouvel exploit pour l’Argentin, en somme.

Selon l’analyste Pedro Martín (‘COPE’), Hugo Sánchez avec Madrid durant la saison 89-90 et José Luis Zalabar avec Albacete lors de l’exercice 92-93 ont également marqué six fois sur coup franc.

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« 11 Septembre 2016, je me décide à créer ma marque de cosmétiques pour peaux noires constatant que nous sommes vraiment sous représentées dans le monde des cosmétiques … 18 Janvier 2018, on y est ! Ne cessez jamais de croire en vos rêves, peu importe ce que les autres vous disent« . Ces quelques lignes sur Twitter ont déjà fait plus de 10K de retweets. Ils sont ceux de Hapsatou DIA. Âgée de 20 ans, cette jeune femme d’origine sénégalaise qui réside actuellement à Bordeaux et étudiante en licence d’anglais, vient actuellement de monter sa propre boite de cosmétiques. Sa marque : Melanin Cosmetic. Nous lui avons posé quelques questions sur cette toute nouvelle aventure dans laquelle elle se lance. Et à tout juste 20 ans, cette jeune femme pleine de détermination, est bien décidée avec ses produits à dompter le monde la beauté afro.  On ne le dira jamais assez : « aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années ». 

Dites-nous Hapsatou, quelles ont été vos motivations en 2016 à tout juste 18 ans pour créer votre marque ?

J’ai toujours été passionnée par le monde de la cosmétique à vrai dire, en rentrant au lycée j’ai commencé à développer ce désir de vouloir monter ma propre entreprise de cosmétiques mais ça restait encore très flou, c’était vraiment quelque chose que je voyais dans un futur lointain. Au même moment, je me suis rendue compte que la femme noire était significativement sous-représentée, non seulement dans l’industrie des cosmétiques mais aussi en général. J’ai donc voulu y remédier, tout en réalisant mon rêve d’une carrière dans les cosmétiques.

Un an et demi se sont écoulés avant la sortie des premiers produits, racontez-nous comment vous avez réussi à mettre tout cela en place ?

L’une des premières raisons pour laquelle il s’est écoulé autant de temps est la partie financière. J’ai voulu mettre un point d’honneur à pouvoir financer mon projet moi même. Étant encore étudiante, cela a forcément pris du temps. Il a ensuite fallu que je trouve le bon laboratoire qui correspondait à mes attentes, m’assurer que les produits n’étaient pas testés sur des animaux, tester le produit pour m’assurer de sa conformité par rapport aux normes européenne et m’assurer qu’il n’y ait pas de réactions allergiques. Tout ça est certes un long processus mais il est nécessaire.

Aujourd’hui, quel message souhaitez vous faire passer aux consommatrices de vos produits ?

Pour moi, peu importe ce que la société essaye de nous dicter nous sommes magnifiques. J’espère qu’a travers Melanin Cosmetic, mes consommatrices se sentiront représentées et bien évidemment j’espère aussi pouvoir redonner la confiance à ceux qui l’ont perdue.

Quels sont les produits qui composent votre marque ?

Le premier produit commercialisé est une palette de fard à paupières composée de 35 couleurs, elle s’appelle « The Nubian Queen Palette », deux autres palettes de fard à paupières arriveront d’ici peu. J’aimerai faire de ces derniers  les produits phares de la marque. Je pense que le regard est l’atout le plus puissant que l’on puisse avoir alors quoi de mieux qu’une magnifique palette de fard à paupières pour enjoliver celui ci.

Quelles sont les difficultés et limites que vous avez rencontré ?

Comme je l’ai dit plus haut, la première difficulté a été financière, l’autre a été émotionnelle. À de nombreuses reprises j’ai voulu abandonner pensant que ça n’allait pas marcher, qu’il valait mieux que j’attende car c’était trop tôt etc. Mais au final je sais que c’est ma passion c’est ce que je veux faire de ma vie alors pourquoi attendre si j’ai la possibilité de le faire maintenant. Tous les grands ont commencé en étant petits alors il n’y a aucune raison que je n’y arrive pas.

Quels sont vos objectifs à court, moyen et long terme ?

À court terme j’aimerai conquérir le marché français, ouvrir une ou plusieurs boutiques. À moyen terme, j’aimerai conquérir le marché africain pourquoi pas ouvrir une boutique à Dakar au Sénégal mon pays d’origine et à long terme j’espère que d’ici là, la marque Melanin Cosmetic sera devenue un empire.

Sous quelle forme les commercialisez-vous et pourquoi ?

J’ai fait le choix exclusif du e-commerce. J’aimerai que mes produits soient accessibles au plus grand nombre, ainsi cela s’est présenté comme une suite logique. Bien évidemment il y aura des boutiques physiques dans le futur.

Quel positionnement avez-vous décidé d’adopter pour votre marque ?

Je veux qu’on pense à Melanin Cosmetic comme une marque où chaque personne est la bienvenue.

Quelle symbolique la création de cette marque a t-elle dans l’univers afro ?

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Dans un début de match globalement équilibré, Mariano débloquait la situation d’un tir à 30 mètres. Légèrement dévié par Tielemans, le ballon prenait une trajectoire qui trompait Subasic (0-1, 12e). Le gardien monégasque se blessait sur l’action et devait céder sa place à Sy. Quelle malchance pour l’ASM et son portier… Assommés, les Monégasques restaient sans réaction et se faisaient ensuite punir sur un but de Traoré (0-2, 28e). Ça partait très mal pour le club de la Principauté.

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Amadou Diaw est le fondateur de la première Business School privée du Sénégal, Institut supérieur de management (ISM). En un peu plus de deux décennies d’existence, l’ISM s’est hissée parmi les trois premières institutions de cette discipline en Afrique francophone. Amadou Diaw est intervenu lors du colloque «L’empreinte de la marque Maroc comme porte-parole d’une vision africaine».

Organisé par Langages du Sud, en partenariat avec L’Economiste, l’évènement s’est déroulé jeudi 18 janvier à Casablanca. Pour Diaw, le branding de l’Afrique passe avant tout par l’éducation et la culture. Les jeunes générations doivent avoir confiance en leur continent, l’aimer et en parler.

– L’Economiste: Peut-on parler d’une marque Afrique ou s’agit-il de la somme de marques territoriales spécifiques à chaque pays?
– Amadou Diaw: L’Afrique est en fait une marque ombrelle. Chaque pays travaille sur le branding à son niveau, c’est le cas du Maroc, du Sénégal… J’ai invité nos amis marocains à se mettre autour d’une table avec les autres pays africains, pour voir ce qu’il y a de fort dans chaque pays et voir ce que chacun peut apporter à l’autre. Car il y a une forte diversité au niveau du continent et cette diversité, il faut en faire une richesse. Mettons ce que chacun a de particulier dans un même plat et partageons-le pour aller ensemble et vendre la marque Afrique au monde. Il  faut définir la marque Afrique ensemble. Il va falloir rêver ensemble le monde et dans ce rêve, chacun apporte quelque chose. Je suis convaincu que la Maroc a un rôle à jouer, de par son histoire, son économie, sa position géographique proche de l’Occident …

– Vous participez au processus de création de la  marque territoriale pour votre ville d’origine, Saint-Louis… Quels en sont les atouts?
– Effectivement. C’est une ville qui a plus de 350 ans d’histoire. Elle a été la porte d’entrée de la colonisation française en Afrique. La ville a aussi joué un rôle important dans l’organisation en Afrique occidentale, pendant des siècles. Depuis l’indépendance, la ville a été abandonnée, elle s’est endormie. Aujourd’hui, je travaille à son réveil par la promotion de cette marque-là, via la culture. On aurait pu faire la promotion de la marque par l’industrie, la pêche … Mais notre choix a porté sur la culture. La ville a été pendant longtemps un pôle d’éducation religieuse et occidentale. Elle compte un nombre important d’écrivains, musiciens et d’artistes qui y vivent. A partir de ce bouillonnement culturel, l’on peut sortir quelque chose de fort. On peut jouer le rôle de catalyseurs. Saint-Louis est d’ailleurs jumelée à Fès.
La ville avait déjà son logo, le viaduc. Nous travaillons aujourd’hui sur le moto, le message à véhiculer par la marque territoriale: demain Saint-Louis, Saint-Louis ville d’avenir ou Saint-Louis ville patrimoine de l’Unesco… Nous y travaillons depuis un an. Nous avons organisé une rencontre en novembre dernier avec la participation de plusieurs experts marocains, avec des exemples comme Essaouira, Casablanca, Marrakech… il y a eu des échanges riches en enseignements. J’ai également envoyé l’année dernière une dizaine d’experts de Saint-Louis pour faire une tournée des villes marocaines.

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Malgré des excuses, la marque mondiale de vêtement H&M est toujours au cœur d’un « bad buzz » débuté, il y a deux jours avec la mise en vente d’un pull porté par un enfant noir avec la mention « Le singe le plus cool de la jungle ». Un message complètement raciste qui ne passe vraiment pas. Depuis, les stars ont rejoint le combat et se sont indignés de ce message, relate Franceinfo.

« Le singe le plus cool de la jungle »

« Profondément offensé » par cette insigne, le rappeur américain, The Weeknd, a tout simplement décidé de rompre son contrat avec la marque suédoise. «Je me suis réveillé ce matin choqué et embarrassé par cette photo. Je suis profondément offensé et ne travaillerai plus jamais avec H&M», a twitté l’artiste.

Même déception du côté de la star de NBA, LeBron James, qui a fait une déclaration poignante sur les réseaux sociaux. « H&M tu nous a tous trompés ! Et nous ne nous tromperons pas ! S’en est assez, tout ce que je vois quand je regarde cette photo. Je vois un jeune roi !! Un leader de ce monde, une force intouchable qu’on ne peut nier ! En tant qu’Afro-Américains, nous devrons toujours briser les barrières, prouver que les gens ont tort et travailler encore plus dur pour prouver que nous avons notre place dans ce monde. Mais devinez quoi, c’est ce que nous aimons parce que les bénéfices au bout du chemin sont si beaux !! » s’est exprimé la star du basket.

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Attaquée par la marque Make Up Forever sur Instagram, Rihanna n’a pas hésité à répondre avec le mordant qu’on lui connaît !

Rihanna versus les marques de maquillage round 2 ! Depuis la sortie de Fenty Beauty au début du mois de septembre, de nombreuses marques de make-up voient une concurrence qui leur fait peur.  Pourtant elle est loin d’être déloyale. Riri a tout simplement répondu à une demande que les marques historiques n’ont jamais pris le temps de réellement entendre. En créant 40 teintes différentes et précises pour les femmes de toutes les couleurs et plus particulièrement pour les femmes noires, la pop star a conquis une cible qui se sentait délaissée par l’industrie de la beauté.