Vidéo – Professeur El hadji Songué Diouf : Ma part de vérité

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Son histoire fait le buzz depuis  ce matin. Ce homme que vous voyez sur la photo a été surpris en train de coucher avec deux jeunes mineures.
L’homme proposait  de l’argent aux jeunes filles et en échange elles lui envoyaient des photos ou vidéos pornographiques. L’homme a été arrêté par des habitants de la cité Mixta qui ne veulent plus voir ces genres de personnes.

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Voici une histoire dont plusieurs médias aux Etats-unis en parlent en ce moment. Selon les informations relayées par ces médias, Pamela Stigger, 33 ans, a été surprise par un agent de la police locale en plein ébat sexuel avec son ancien élève sur la banquette arrière de sa voiture, il y a quelques jours en Floride.

Plusieurs sources concordantes indiquent que la trentenaire était en train de pratiquer une fellation sur le jeune homme de 15 ans aux environs de 2h du matin lorsqu’elle a été surprise par l’agent de police.

Alors que “le jeune homme était consentant et s’épanouissait” dans cette expérience, les autorités ont plutôt estimé qu’il s’agit d’une agression sexuelle, parce que l’ex-élève de la dame est âgé de 15 ans. Dès lors, il s’agit selon les autorités d’un abus sexuel sur mineur.

L’enseignante a donc été mise en examen pour avoir eu un rapport sexuel avec son ancien élève. Les deux protagonistes de l’histoire ont chacun apporté une version des faits différente. La prof a nié avoir eu un contact sexuel avec le jeune homme. Elle a affirmé que celui-ci était en train de «tenter de la séduire» lorsque le policier est arrivé, relate NBC Miami. L’accusée a déclaré qu’elle essayait juste de lui «donner des conseils», selon le rapport de police.

Un papa a amené le petit ami de sa fille âgée de 16 ans au Tribunal. Il poursuit le jeune homme de 23 ans pour détournement de mineur. Cependant, sa fille a indiqué au Juge qu’elle file le parfait amour avec son copain.

Elle témoigne : “J’allais souvent chez lui. Le 19 septembre, j’étais chez lui jusqu’à 21 heures. Pourtant, il avait insisté pour que je rentre. Chez moi, ma mère m’a jetée dehors et je suis partie chez un cousin à Dial Diop jusqu’au 25 septembre. Entretemps, j’ai dormi chez Charles, un tatoueur. Ce n’était pas la première fois que j’entretenais une relation sexuelle avec un homme. J’ai commencé à le faire à l’âge de 13 ans”, a-t-elle déclaré à la barre.

Agé de 23 ans, le prévenu lui aussi ne nie pas avoir entretenu des rapports sexuel avec son amie.”Je l’ai connue dans le quartier grâce à Charles. Trois semaines après, on a entretenu des relations sexuelles chez moi. Elle m’a dit qu’elle avait 19 ans et que ce n’était pas sa première fois”.

Le Papa, lui, est surtout préoccupé par le fait que sa fille soit en train de filer du mauvais coton. En classe de Seconde, le père indique qu’elle obtient néanmoins de bon résultats scolaires. Mais tout ce qu’il désire, dit-il, c’est la séparation des deux tourtereaux.

Kaboré Alassane, orpailleur à Kocumbo, est passé devant le tribunal correctionnel de Toumodi hier pour répondre des faits d’attentat à la pudeur consommé avec violence sur une mineure de 12 ans. Le prévenu a été pris en flagrant délit alors qu’il abusait de la fillette qui est non-voyante.

L’orpailleur a profité de l’handicap de la petite Ahou Joséphine pour assouvir sa libido. Les faits se sont produits le 15 août dernier, à Kocoumbo. A la gendarmerie, le mis en cause n’a pas fait de difficulté pour reconnaître les faits. Kaboré Alassane a expliqué au tribunal qu’il était dans un état d’ébriété avancé lorsqu’il a posé cet acte.

Pour ce qui est des circonstances, nos sources nous informent que dame Yoboué Akissi Solange, la tante de la petite Ahou Joséphine, comme à son habitude, part pour les champs. Avant d’y aller, elle confie sa nièce aveugle à la voisine, Salimata Koné. L’orpailleur, qui a bien étudié les habitudes de la tante, va nourrir un noir dessein, celui de profiter des charmes naissantes de la jeune fille de 12 ans.

Selon les informations en notre possession, le vicieux orpailleur fait d’abord plusieurs tours dans la cour de sa victime afin de s’assurer que la tante de Joséphine est absente. Sauf qu’il ne savait pas que la fillette avait été confiée à la voisine, qui, elle, était présente. Celle-ci remarque les nombreux allers et retours de l’homme dans la cour. L’attitude de Kaboré Alassane fait redoubler de vigilance à Salimata Koné.

Mais avant de mettre son plan à exécution, l’orpailleur va d’abord noyer son esprit dans la boisson frelatée appelée communément “Koutoukou”. Il en ingurgite une bonne dose. Une fois à côté de la cour, il fait le guet. L’occasion se présente. Joséphine en effet, ressent le besoin de se soulager. Malgré son handicap, elle se débrouille et parvient aux toilettes à l’effet de satisfaire son besoin pressant.

L’orpailleur, qui veille au grain suit les faits et gestes de la victime. Dès qu’elle met les pieds dans les toilettes, Kaboré Alassane sort de sa cachette et l’y rejoint. Il saute sur la petite aveugle, la maîtrise rapidement et se met à souiller l’intimité de la malheureuse. Ses cris de détresse, quoi qu’étouffés par son bourreau de la main, parviennent à Aminata Koné.

La voisine, qui vient voir ce qui se passe dans les toilettes, tombe sur l’acte scandaleux. Elle tombe des nues. Alassane Kaboré, étendu de tout son long et nu sur la petite aveugle, ne se rend même pas compte de la présence de la voisine. Aminata Koné lui donne un bon coup de bois sur les fesses. Le prévenu, qui s’apprêtait à atteindre le 7e ciel sursaute et tente de prendre le large.

Mais, il ne réussit pas à s’échapper. Il sera vite maîtrisé par des bras valides venus prêter main forte à la voisine. Le violeur, les attributs exposés, se confond en excuses. Peine perdue puisqu’il sera conduit à la gendarmerie. La petite Joséphine, elle, a été emmenée dans un centre de santé.

La mère de famille M. D. a failli tomber des nues lorsqu’elle a vu sa fille P. F. âgée de 14 ans nue comme un ver dans une image qui lui a été balancée par sa sœur. Sans tarder, la dame a introduit une plainte contre X auprès des gendarmes enquêteurs de la brigade de recherche de St Louis pour que la lumière soit faite sur cette affaire.

La fillette qui avait une idée du probable auteur de la diffusion de ces images sur les réseaux sociaux avance le nom de M. B. Mbodji. Interrogé, ce dernier déclare ne retenir que les images de S. MG., une fille âgée de 17 ans, avant de préciser que celles de P.F. se trouvent avec son ami O. DIABIRA, selon L’Observateur, lu par Actunet.net

Le jeune homme de 21 ans n’a pas pu se disculper devant les enquêteurs qui se sont transportés à son domicile. Au cours de la vérification de son ordinateur portable de marque HP, les gendarmes découvrent entre autres photographies impudiques, celles de P.F. et S. MG. et des conversations de S. D. et de A. G., toutes deux âgées de 17 ans qu’il avait aussi archivées dans son ordinateur.

O. Diabira, M. B. et M. AA. à l’origine de ces photographies, sont poursuivis pour association de malfaiteurs, outrage aux bonnes mœurs, chantage, détournement de mineures. Y. Sow qui d’après les déclarations de S. MG .avait introduit son doigt dans ses parties intimes, a été en plus de ce chef d’inculpation mis en cause pour viol.

Le saisonnier bissau-guinéen, Tinou Fefna a été surpris sur la fillette de son tuteur. C’est le frère jumeau, S Pecna qui l’a surpris nu sur sa sœur. Cette nuit là, de retour d’une virée nocturne avec ses camarades, il a eu la surprise de sa vie, quand il est entré dans leur chambre : sur le lit, sa sœur jumelle et leur hôte étaient en pleins ébats sexuels. Stupéfaits, S Pecna est parti en informer leur père Domingo Penca selon l’Observateur, lu par Actunet.net.

Questionnée, la fille confie à son père que leur idylle dure depuis le mois de Ramadan et qu’ils ont eu à entretenir plus de 20 relations sexuelles. Dépassé, la mère Domingo Pecna a porté plainte contre Tiinou Fefna.  Le Tribunal l’a condamné à 10 ans ferme.