Mariama NIASS à l’état civil, Seyda Mariama NIASS, fille du vénéré Cheikh Al Islam, El hadji Ibrahim NIASS, (Baye NIASS), est venue au monde le 24 décembre 1932 à Kossi, localité située à 09 kilomètres de la commune de Kaolack.

La vertueuse dame est acquise à la cause du Saint Coran et des Sciences islamiques dès le bas âge, suivant ainsi les pas de son valeureux et vénéré père Baye NIASS. D’où son surnom, «khaadimatul Qur’aane», ou la servante du Coran.

Fondatrice du complexe scolaire Keur Sultan Ben Abdoul Aziz Al Saoud, plus connue sous le nom de : « École Mariama NIASS », Yaay Booy Seyda, comme l’appellent affectueusement ses proches, est l’une des premières femmes au Sénégal à avoir instauré des « daaras », (écoles coraniques) et enseigné le Saint Coran.

Sa mère Aissatou SARR est décédée tôt, la laissant avec ses frères et sœurs, dont l’actuel khalife de Medina Baye, Cheikh Mahi Ibrahim NIASS. Seyda Mariama devait avoir 14-15 ans à l’époque et sa sœur cadette, Seyda Hawa NIASS devait en avoir trois. Ce vide laissé par leur mère explique sans doute cette affection que Baye NIASS avait pour Seyda Marieme et ses frères et sœurs.

Elle a beaucoup voyagé avec son père qui disait à ces filles: « Ô vous les filles, rivalisez (avec les hommes) vers le sommet, non par le corps ». Seyda Marieme a bien attendu cet appel du Cheikh Al Islam. Comme presque tous les fils et filles de Baye Niass, elle apprit le Coran à l’école coranique de Médina Baye, auprès de Rabbani, disciple maure de son père Cheikh Ibrahim NIASS. Elle débuta l’apprentissage du Coran en 1937. Elle avait 5 ans. Entre 1937 et 1947, elle mémorisa et récita complètement le Livre Saint.

L’on rapporte que le jour où elle a récité le Coran après l’avoir mémorisé, son père lui offrit un cheval, une vache et son veau et des bijoux. Très jeune, elle fut maîtresse assistante d’enseignement coranique à Médina Baye.

Après l’apprentissage du Coran, elle étudie les Sciences islamiques et la langue arabe auprès de son père Baye NIASS et de son entourage. Entre 1950 et 1952, elle fut professeure d’enseignement coranique dans la Madrassa Cheikh Al Islam de Médina Baye.

Sidy Lamine Niass ne parvient toujours pas à digérer les propos dit-il, «insultants et blasphématoires» du patron du parti Rewmi, Idrissa Seck envers l’Islam.

Le Mollah de “Khaar Yallah” qui faisait face à la presse ce lundi, considère que le président du Conseil départemental de Thiès n’est plus musulman. Par conséquent, il doit se reconvertir en islam s’il le désire. “Idrissa Seck s’est levé pour foutre la merde. Il fait du surenchère politique…Il s’est auto-exclu de la religion Islamique”, a-t-il martelé.

Idrissa Seck soutenait, il y a de cela quelques jours que : “les relations entre les israéliens et les arabes sont nées d’une querelle de demi-frères. Il faut qu’ils le comprennent. C’est une querelle de demi-frères. C’est la noble juive Sarah qui, craignant avec l’âge que son mari Abraham n’ait pas de descendance,  conformément à la promesse du tout puissant, lui a suggéré d’ensemencer Hagar qui était sa servante pour avoir cette descendance. Et, une fois qu’Abraham a ensemencé Hagar et a eu Ismail, Sarah a été jalouse et lui a demandé de chasser Hagar de la maison. Ce qu’Abraham a fait puisqu’il était fou amoureux de Sarah. Donc, tous les prophètes sont descendus de la branche d’Isaac. Jusqu’à Jésus, ce sont tous des juifs.

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Le ministre en charge du suivi du Plan Sénégal émergent (Pse) assure que les secrétaires généraux du Parti socialiste et de l’Alliance des forces du progrès soutiennent la candidature de Macky Sall à la présidentielle.

Selon Cheikh Kanté, le président Macky Sall travaille sans faire beaucoup de bruit. C’est pourquoi il obtient des résultats. Et d’ailleurs, il a réussi à remettre le Sénégal à l’endroit en l’espace de 6 ans.

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Ahmed Khalifa Niass a été fait Docteur Honoris Causa par l’École de Commerce de Lyon et citoyen d’honneur par la mairie du 6e arrondissement lyonnais.

La cérémonie s’est déroulée au sommet de l’imposante Tour Crayon dans le quartier d’affaires de Lyon. Selon un communiqué de presse d’Ahmed Khalifa Niass, de grandes personnalités françaises étaient présentes. Certaines, parmi lesquelles l’ancien ministre français de l’Intérieur Hervé de Charrette, ont rendu hommage au récipiendaire.

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Moustapha Cissé Lô qui a déclaré Sada Ndiaye personae non grata à l’Apr  veut que les fonctions électives sont limitées à 72 ans. Une façon pour ce membre fondateur de l’Apr de rayer Ousmane Tanor Dieng et Moustapha Niasse  de la liste des admis aux hautes fonctions électives du pays.  En demandant le vote de cette limitation d’âge, Cissé Lô ne veut rien d’autre que renvoyer  les veillards à la retraite. Des alliés comme Moustapha Niasse le président de l’Assemblée nationale et Ousmane Tanor Dieng qui est à la tête du HCCT seraient avec le vote de cette loi, hors de course pour leurs fauteuils. Lire la suite

Le président de l’Assemblée nationale Moustapha Niass a salué le discours de fin d’année du président de la République Macky Sall. Selon Moustapha Niass, le pays et il avance dans le bon sens.

Sur les colonnes de l’Observateur, Moustapha Niass, le taux de croissance qui est en évolution permanente en est une preuve. Lire la suite

Même s’il n’est pas titulaire indiscutable en club, Baye Oumar Niass sait profiter de son temps de jeu réduit pour marquer. Auteur de 5 buts en 8 matches, il marque 0,6 but par rencontre. Il présente ainsi un ratio meilleur que ceux de Sadio Mané, Keita Baldé, Diafra Sakho… lire la suite sur dakaractu

Deux mois se sont passés après l’installation de la 13ème législature, et le président de l’Assemblée nationale Moustapha Niasse n’a toujours pas dressé le bilan de la 12ème législature.

Alors président sortant de la 12ème législature, le président Niasse avait déclaré à l’équipe de Dakaractu qui s’était déplacée jusqu’à Keur Madiabel, pour une interview de 30 minutes avec le maire de la commune citée, qu’il était en train de travailler sur la rédaction d’un livre blanc dans lequel sera écrit le bilan de la 12ème législature. Lire la suite sur dakaractu.com

L’Assemblée nationale a été installée ce jeudi avec une majorité écrasante pour la coalition Benno Bokk Yakar. Du coup se pose la question du rôle que ces députés vont jouer pour l’amélioration des conditions d’existence de leurs mandants.

Au Sénégal qui est une République, la Constitution consacre trois pouvoirs : exécutif, législatif et judiciaire.

Un tel organigramme institutionnel est consacré pour que comme le disait Montesquieu dans son célèbre ouvrage «L’Esprit des lois» pour que le pouvoir puisse arrêter le pouvoir. Mais à l’épreuve des 12 législatures passées, si comme le stipule l’article 80 de la Constitution du Sénégal : «l’initiative des lois appartient concurremment au Président de la République, au Premier ministre et aux députés», à la réalité de la pratique parlementaire, on note que les députés oublient leur prérogative législative au profit de l’Exécutif.

Un survol des archives de l’Assemblée nationale sénégalaise rend compte que les propositions de loi sont quasi inexistantes dans l’Institution. Celle-ci se bornant à ne voter que des projets de loi.

Encore que parmi ces projets de lois qui sont votées, certaines, comme celui récent, relatif au statut des magistrats, ont fait l’objet de sérieuses contestations de la part des membres de la corporation concernée.

On a beau considérer l’Assemblée nationale comme une chambre auguste et où les membres sont auréolés du titre «d’honorables», mais elle ne remplira pleinement sa mission que lorsqu’elle aura permis, de par les lois qu’elle vote, à améliorer des conditions de vie des populations.

Une Assemblée qui ne légifère pas en fonction des aspirations populaires ne peut pas être de rupture. Pour mettre un terme aux récurrents meurtres, beaucoup de Sénégalais ne cessent d’appeler au retour de la peine de mort.

Mais ils oublient que cette loi ne pourra être votée que lorsque le Président de la République l’aura voulu.  

Dans un État dit de droit, les citoyens doivent être d’avance assurés que les lois votées ne sont pas la conséquence d’un rapport de force déguisé. Pour que l’Assemblée nationale puisse jouer pleinement son rôle, il faut que ses membres mandatés par le Peuple pour le représenter s’intéressent à ce qui l’intéresse et non pas à ce qui intéresse une petite partie du Peuple.

L’installation des députés le 14 septembre prochain, donnera l’occasion à deux mastodontes du champ politique qui se haïssent ouvertement, de se retrouver à l’hémicycle.

Les sessions qui suivent seront autant de moments de télescopages entre Niasse et Wade. Anciens alliés contre Abdou Diouf, le compagnonnage entre Moustapha Niasse et Me Abdoulaye Wade a été de courte durée.

Ils se sont séparés dans la douleur avant que Niasse ne s’allie avec Macky Sall pour déboulonner Me Wade du pouvoir. Ce dernier qui n’écarte pas la main de Niasse dans la traque des biens, qui a valu à son fils Karim d’être mis en prison, lui en veut terriblement.

Autant dire que le télescopage entre Niasse et Me Wade à l’Assemblée ne sera pas de tout repos ni pour l’un encore moins pour l’autre et leurs camps respectifs.

En fait, c’est le 14 courant que les députés élus au terme du scrutin législatif du 30 juillet dernier vont être installés. A cet effet, l’Assemblée nationale est convoquée en session extraordinaire ce jour à 10 heures.