Parcelles – Actunet.net

Parcelles Assainies : Deux voleurs trahis par leur vidéo

Ablaye Mbow — Tue, 25 Aug 2020 11:46:18 +0000

Le commissariat d’arrondissement des Parcelles assainies a déféré au parquet Seydina Nd. et Léopold S. pour vol en réunion commis la nuit. Les mis en cause ont été trahis par une vidéo qu’ils ont tournée pour célébrer ‘’leur victoire’’ après avoir accompli leur forfait. Selon L’AS, Seydina et Léopold sont, depuis la semaine dernière, à la citadelle du silence. Les faits, qui remontent à la nuit du 09 au 10 août dernier, ont eu lieu au quartier Unité 16 des Parcelles Assainies.

Avec la forte canicule, Pape Mb., tailleur de profession, a ouvert la porte de sa chambre pour l’aérer un peu, avant d’aller se coucher. Négligeant certainement d’être plus attentif à ce qui se passe autour de lui, cela lui sera fatal. Car, plus tard, quand il décide de rentrer dans sa chambre, il constate avec surprise la disparition de ses deux (2) téléphones portables (un Samsung et un iPhone), la somme de 20 000 Fcfa et une perruque appartenant à son épouse.

Mais, en descendant les escaliers, Pape trouve son portefeuille par terre avec seulement les pièces d’identité. Au moment de raconter sa mésaventure, son cousin se présente pour dire qu’il est victime du même scénario. Le lendemain, Pape se rend à une société de téléphonie mobile pour récupérer sa puce et se procurer un nouveau téléphone. Et, coup de théâtre, en regardant son compte Gmail, il découvre les malfrats à travers les images et vidéos qu’ils ont effectuées avec l’un de ses téléphones volés.

En effet, les vidéos sont directement enregistrées dans son compte Gmail. Il réussit même à identifier l’un des voleurs, en l’occurrence Seydina Nd. Sans tarder, Pape se rend à la police des Parcelles Assainies pour expliquer sa mésaventure et porter plainte contre les malfaiteurs. Interpellés, Seydina Nd. et son complice Léopold S. reconnaissent leurs visages sur les vidéos, mais nient avoir perpétré le vol. Des aveux qui n’ont pas du tout convaincu les limiers qui vont les placer en garde à vue avant de les déférer au parquet pour vol en réunion commis la nuit.

Parcelles assainies-2 enfants retrouvés enfermés dans un véhicule

Ablaye Mbow — Sat, 14 Apr 2018 14:28:35 +0000

IGFM-La police des Parcelles assainies a ouvert une enquête ce samedi après la découverte, dans un véhicule, du cadavre d’un enfant. Un autre a été retrouvé dans un état critique. Modou Sané (en bleu) et Amadou Sall (en beige) ont été retrouvés dans une voiture garée non loin de leur domicile. Amadou Sall est décédé tandis que Modou Sané lutte contre la mort.

Les faits se sont déroulés à l’unité 14 des Parcelles Assainies, derrière la pharmacie “La Parcelloise”, notent des sources de IGFM.

Selon les premiers éléments de l’enquête, les deux enfants avaient disparu depuis le mardi 10 avril 2018. Ils habitent à l’unité 13 des Parcelles Assainies. Ils auraient trompé la vigilance de leurs parents pour s’emprisonner dans ce véhicule dont le propriétaire ne vient que les week-end.

Les sapeurs-pompiers, réquisitionnés, ont transporté à l’hôpital le garçon qui lutte contre la mort et le cadavre d’un des gamins.

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Apr Parcelles – Djibril Bâ fait rimer politique et social

Ablaye Mbow — Wed, 28 Mar 2018 08:22:36 +0000

Salué par Henri Mbaye de la communauté ecclésiale de base de l’Unité 7 des Parcelles Assainies, l’appui à la communauté chrétienne du responsable apériste Djibril Bâ, à la veille de la fin du carême, relève, selon ce dernier, d’une action magnifiant solidarité, générosité et communion.

Le président de la commission infrastructures, équipement, et transport de la Convergence des cadres républicains, qui a sa base dans ladite localité, a remis dimanche dernier du sucre à une cinquantaine de familles, afin de leur venir en appui en amoindrissant les charges liées à la fête de Pâques. «A l’approche de la fête de Pâques, nous avons estimé devoir aujourd’hui acheter des sacs de sucre afin d’en distribuer à une cinquantaine de familles. Par cet acte de solidarité, de générosité et de communion, nous voulions témoigner à la communauté chrétienne que cette fête qu’elle prépare nous la préparons avec elle» précise Djibril Bâ qui indique en faire de même en venant en appui à d’autres familles de l’Unité 7 à l’approche des fêtes musulmanes.

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Des clients de la CBAO malmenés

actunet — Thu, 05 Oct 2017 09:12:23 +0000

L’agence de la banque CBAO des Parcelles assainies a été, hier, le théâtre d’une vive altercation entre les clients, les agents et les policiers. Moussa Mbaye, client de la CBAO, explique, en effet, être arrivé à la banque pour faire une opération et avoir subi l’inacceptable. «J’ai trouvé un client qui avait par devers lui un ticket, en train d’être brutalisé par des vigiles. Je me suis interposé pour savoir ce qui se passe et ils m’ont renseigné que le gars avait pris un ticket et que son téléphone a sonné, il est parti répondre. Au retour, il a voulu rentrer dans la banque et on l’a bloqué à la porte. Et moi, quand je suis arrivé, j’ai tiré la porte comme c’était à 15 heures 15 minutes et que la fermeture c’est à 16 heures. Mais on nous a tous refusé l’entrée. Et quand nous avons demandé ce qui s’est passé, ils n’ont pas voulu nous écouter. Pire, le vigile nous a injuriés», a-t-il narré.

Quand le chef d’agence est venu, au lieu de leur expliquer le pourquoi de ce traitement, il a préféré appeler la police. «Là, on a vu le commandant de la police des Parcelles avec plus de 20 éléments, comme si on était des délinquants alors que nous étions là-bas pour faire des opérations», se désole-t-il, avant de s’attrister : «Est-ce que ces policiers qui nous ont chassés jusqu’à la route principale, nous ont malmenés comme si nous étions des voyous ou des bandits, ont le droit de nous traiter ainsi ? Est-ce qu’une banque a le droit de chasser de la sorte ses clients, sans aucune explication ? Je pense que non. C’est indigne d’une banque aussi prestigieuse que la CBAO et on ne laissera pas passer».

Du côté de la CBAO, un responsable que nous avons joint n’a pas souhaité se prononcer. Mais il estime que ce récit des faits que narre le sieur Mbaye est si invraisemblable que, de son avis, «ça ne tient pas la route».