On continue de compter les victimes et les dégâts de la forte pluie, accompagnée de vent, qui s’est abattue mercredi sur Dakar et beaucoup d’endroits du Sénégal. Trois pêcheurs sont portés disparus après la destruction de leurs embarcations (deux pirogues) suite aux intempéries.

Ils s’agit d’Amdy Fall, 66 ans, habitant à Thiaroye-sur-mer, Lamine Sarr, 30 ans, habitant à Thiaroye Gare, et un certain Ibrahima, de Cambérène, dont l’âge et le nom de famille n’ont pas été précisés.

Ces pêcheurs ont été surpris par les rafales de vent et la pluie alors qu’ils étaient au large de Gorée, en haute mer. Le journal indique que des débris de leurs pirogues ont été retrouvés flottant dans l’eau. Et que leurs familles gardent espoir de les retrouver.

Au Sénégal, chaque année, de nombreuses pertes en vies humaines en haute mer endeuillent les communautés de pêcheurs. Pour y remédier, l’Union internationale pour la conservation de la nature (Uicn) expérimente un système d’alerte. Celui-ci va permettre aux pêcheurs qui se rendent en haute mer, de pouvoir lancer une alerte en cas de besoin.

?”Rien qu’en 2017, les services compétents ont déploré 140 pertes en vies humaines ou des disparitions, soit une hausse de 63% comparé à l’année 2016 où l’on a dénombré 92 victimes. Pour faire face à cette tragédie aux conséquences sociales et économiques incommensurables, l’Uicn s’est engagée avec ses partenaires dans une seconde phase pilote à travers l’acquisition d’appareils de nouvelles fonctionnalités et le renforcement de moyens techniques tels que l’amélioration des moyens de suivi pour la transparence des activités de pêche, l’implémentation d’un système d’alerte d’urgence en cas de danger ou de perte de repères en mer”, a expliqué Racine Kane, chef de mission de l’Uicn, ce matin, lors de l’atelier d’information et de lancement de la seconde phase du projet de géolocalisation des embarcations de pêche.

Ainsi, pour cette phase test, 26 nouveaux appareils de géolocalisation améliorés seront installés à bord des embarcations de pêche artisanale. “On arrivait suivre les pirogues à partir de la terre mais il n’y avait pas la possibilité de déclencher l’alerte en cas de besoin. Là actuellement une innovation majeure a été apportée par l’Uicn et la balise qu’on va utiliser sur les 26 pirogues qui sont choisies permettra aux pêcheurs, en cas de besoin, de déclencher l’alerte pour que les secours puissent être apportés le plus rapidement possible. L’impact c’est d’améliorer significativement les pertes en vie humaine en mer et les pertes matérielles”, a ajouté le colonel Mamadou Ndiaye Directeur de la protection et de la surveillance des pêches (Dpsp).

Les populations de Mbour ne savent plus à quel saint se fier. Ces dernières sont, depuis deux semaines, à la recherche de 9 pêcheurs issus d’une même famille qui étaient partis en mer depuis le 26 avril dernier.

Les pêcheurs s’étaient rendus au Sud de la Casamance et de la Guinée à la recherche du poisson. Ensemble, selon Adjara Diop, membre de leur famille qui s’est confié à Enquête, ils ne devaient faire que 6 jours en mer. Cependant, deux semaines plus tard, leurs parents sont restés sans nouvelle. Les autorités ont déjà, été saisies pour que les recherches soient lancées.

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Dans la commune de Nyassia, dans la nuit du mercredi à jeudi, une attaque a été perpétrée à hauteur du pont de Ndiambalang qui a été endommagé…Et où un pêcheur a été tué…

Dans la commune de Nyassia, département de Ziguinchor, une  pêcheur  a  été tué, lors d’une attaque d’individus, à hauteur du  pont de Ndiambalang  Un point qu’ils ont tenté en vain de faire exploser.

Dans la matinée de ce jeudi, informe la rfm, , l’Armée et les sapeurs pompiers  ont été signalés sur le lieu du drame…Pour voir de visu l’ampleur des dégâts et faire autres constats d’usage.

Les dégâts ont rendu d’ailleurs difficile la circulation dans cet axe. Où l’Armée vérifie les coins et recoins à la recherche d’éventuelles mines…

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Un pêcheur domicilié au quartier Diamaguène de Saint-Louis l’a échappé belle dans la journée du 29 avril dernier. Le sieur PDD, c’est son nom a failli être égorgé par des malfaiteurs au cimetière Marmyal de l’ancienne capitale du Sénégal. Selon des témoignages recueillis sur place, c’est au moment où la victime formulait des prières sur la tombe de sa mère que ces individus malintentionnés ont surgit de nulle part.

Armés de couteaux et de machettes, les malfaiteurs ont tenu en respect le pauvre PDD qu’ils ont voulu tout simplement  décapiter. Ce dernier a été sauvé de justesse par des bonnes volontés qui étaient sur les lieux par hasard. Leur coup étant tombé à l’eau, ses bourreaux ne se sont pas fait prier pour prendre la poudre d’escampette en escaladant le mur de clôture du cimetière. Dans leur fuite en avant, ils ont  abandonné sur place leur victime qui se tordait de douleur. Alertés, les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place. Après les constatations d’usage, le nommé PDD a été évacué d’urgence  au Centre hospitalier régional de Saint-Louis où il est toujours en observation.

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Un pêcheur domicilié au quartier Diamaguène de Saint-Louis l’a échappé belle dans la journée du 29 avril dernier. Le sieur PDD, c’est son nom a failli être égorgé par des malfaiteurs au cimetière Marmyal de l’ancienne capitale du Sénégal. Selon des témoignages recueillis sur place, c’est au moment où la victime formulait des prières sur la tombe de sa mère que ces individus malintentionnés ont surgit de nulle part.

Armés de couteaux et de machettes, les malfaiteurs ont tenu en respect le pauvre PDD qu’ils ont voulu tout simplement  décapiter. Ce dernier a été sauvé de justesse par des bonnes volontés qui étaient sur les lieux par hasard. Leur coup étant tombé à l’eau, ses bourreaux ne se sont pas fait prier pour prendre la poudre d’escampette en escaladant le mur de clôture du cimetière. Dans leur fuite en avant, ils ont  abandonné sur place leur victime qui se tordait de douleur. Alertés, les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place. Après les constatations d’usage, le nommé PDD a été évacué d’urgence  au Centre hospitalier régional de Saint-Louis où il est toujours en observation.

Toutefois, selon une source médicale, son pronostic vital n’est pas engagé. Une enquête a été ouverte par les hommes du Commissaire Diarra pour déterminer les circonstances exactes de cette tentative de meurtre. Affaire à suivre….

Les propriétaires des 11 pirogues arraisonnées depuis 3 semaines avec leur équipage en Guinée Bissau, sont très inquiets. Ils ont fait face à la presse pour interpeller l’Etat sur la situation difficile que vivent les 107 personnes retenues en Guinée. Mais aussi, ils réclament une nette délimitation des frontières en haute mer.

107 pêcheurs sénégalais sont en souffrance en Guinée Bissau. Ils ont été arrêtés par les gardes côtes de ce pays voisin. Les pêcheurs en cause, sont partis de Mbour à la recherche d’eaux poissonneuses. Mais, lorsqu’ils ont franchi les eaux de ce pays, ils ont été interceptés par les gardes côtes de la Guinée qui leur ont mis le grappin dessus.

En fait, invités à présenter l’autorisation qui leur donne droit à cette pêche, ils n’ont pu le faire. Les pêcheurs étaient dans 14 pirogues pour un total de 107 individus. À Mbour d’où ils sont partis à la recherche du poisson rare, leurs collègues lancent un cri de détresse. Ils
appellent les autorités à intervenir. C’est par le biais de certains d’entre eux
que leurs collègues ont été informés que leur arrestation est motivée par le
défaut de licence de pêche. Pour tirer d’affaire leurs camarades arrêtés, les pécheurs sénégalais qui sont en Guinée renseignent s’être rendus à l’ambassade du Sénégal en Guinée Bissau à plus reprises mais en vain.

Pour clamer leur innocence, les pêcheurs arrêtés déclarent ignorer les limites frontalières des eaux qui séparent le Sénégal à la Guinée. Ce n’est pas la première fois que des
pêcheurs sénégalais sont arrêtés en Guinée. Si ce n’est pas dans ce pays, c’est en Mauritanie qu’ils connaissent des ennuis avec le même motif : absence d’autorisation de pêche.
Que ce soit la Guinée Bissau comme la Mauritanie, ces deux pays voisins du
Sénégal qui accueillent une forte communauté d’étrangers, protègent leurs ressources halieutiques qui donnent du travail à leurs populations.

Fallou Sall ne voyait pas la mort venir. Et ne s’imaginait pas sortir de la pirogue les pieds devant. Alors que les garde-côtes mauritaniens filaient droit vers leur embarcation, il a fait une dernière confession à son ami Pape Abdou Ndiaye qui s’est confié à l’Observateur.

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ne pirogue de pêcheurs a heurté un navire, hier vers 5 heures du matin, au large de Yoff. Deux d’entre eux sont morts dans l’accident. Huit autres membres de l’équipage ont pu être secourus. Le comité local de pêche artisanal de Dakar appelle encore au respect des consignes des services de la météorologie.

C’est la tristesse et la consternation à Joal-Fadiouth également. Une commune du Sénégal située à l’extrémité de la Petite-Côte. Hier, trois pêcheurs ont perdu la vie dans cette localité, suite au chavirement de leur pirogue, rapporte le Rfm.

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Fallou Sall ne voyait pas la mort venir. Et ne s’imaginait pas sortir de la pirogue les pieds devant. Alors que les garde-côtes mauritaniens filaient droit vers leur embarcation, il a fait une dernière confession à son ami Pape Abdou Ndiaye qui s’est confié à l’Observateur.

« Abdou, si les garde-côtes me prennent, je risque de vivre l’humiliation de ma vie, car j’ai emprunté ma tenue de pêche et ils risquent de la confisquer », s’inquiétait le jeune pêcheur de 19 ans, tué d’une balle dans le cou.

Une pirogue de pêcheurs a heurté un navire, hier vers 5 heures du matin, au large de Yoff. Deux d’entre eux sont morts dans l’accident. Huit autres membres de l’équipage ont pu être secourus. Le comité local de pêche artisanal de Dakar appelle encore au respect des consignes des services de la météorologie.

C’est la tristesse et la consternation à Joal-Fadiouth également. Une commune du Sénégal située à l’extrémité de la Petite-Côte. Hier, trois pêcheurs ont perdu la vie dans cette localité, suite au chavirement de leur pirogue, rapporte le Rfm.

« Ils étaient partis pêcher et le vent les a surement surpris en mer avant que trois d’entre eux ne meurent. C’est un triste nouvelle que nous accueillons avec douleur, mais nous nous plions à la volonté divine. C’est encore l’occasion de lancer un appel à l’Etat pour qu’il nous aide davantage à régler le problème des gilets de sauvetage. Il est difficile de les trouver par ici », a déclaré Doudou Seck, pêcheur à Joal-Fadiouth, qui a par ailleurs évoqué le manque de bois de qualité pour la fabrication des pirogues.

C’est vers une heure du matin que les garde-côtes mauritaniens ont libéré les huit pêcheurs sénégalais qu’ils détenaient dans leurs geôles. Avant de leur mettre la main dessus, les “rescapés” expliquent comment ils ont été canardé en mer, jusqu’à ce que la mort de Fallou Sall s’en suive. C’est le journal l’Observateur, consulté par Actunet, qui revient sur le drame.

Ousseynou Seck, capitaine de la pirogue

“Nous étions très fatigués à Ndiago où nous étions détenus. On été entassé à huit dans une petite cellule. Nous n’avions ni à boire ni à manger (…) Nous étions à hauteur de Goxu Mbathie quand nous avons entendu un bruit assourdissant. Au début, nous ne savions pas ce que c’était. C’est quand le bateau s’est rapproché de nous que nous avons vu que c’était celui des garde-côtes mauritaniens. Et là on s’est lancé dans une course poursuite avec eux. Ils ont commencé à tirer sur nous. Ils ont d’abords effectué des tirs de sommation et puis ensuite ils ont ouvert le feu sur le tas. J’ai demandé à ce que tout le monde se mette à plat ventre. J’ai entendu plus de dix coup de feu et une balle a très tôt atteint le jeune Fallou Sall à hauteur du cou. Leur bateau nous a heurté à trois reprises pour renverser notre pirogue, mais nous avons eu de la chance. Ils nous ont ensuite attrapé et nous ont ligoté les poings comme de vulgaires esclaves…”

Walouna Seck (14 ans)

“Ce que je retiens de tout ce qui s’est passé, c’est la balle qui a touché Fallou et notre arrestation qui a été brutale. Ils nous ont dit que nous de la chance, parce que leur intention était de nous tuer. Dès que j’ai entendu les coups de feu, j’ai commencé à crier et à pleurer. Je pensais qu’on allait tous y rester. J’ai commencé à penser à ma mère et mon père. Je n’arrive plus à dormir la nuit, je revois encore la scène de mort (…) J’étais couché près de Fallou. Quand la balle l’a atteint au cou, il est tombé raide mort à mes côtés. C’est la première fois que je voyais unn cadavre. J’ai tellement eu peur (…) Les responsables de la pirogues ont été bastonnés, maltraités et humiliés. Ils ont été déshabillés et on leur versait de l’eau froide.”

Vieux Dame Faye, vice-capitaine

“Quand notre moteur s’est arrêté, j’ai pris le corps sans vie de Fallou pour leur dire qu’ils avaient tiré sur un pêcheur. Ils m’ont répondu qu’il n’a qu’à mourir, que ce n’est qu’un mort de plus…”

Ameth Diouf (19 ans)

“J’ai été tellement pris de panique après la mort de Fallou que je n’arrive pas à verser des larmes. Nous étions toujours ensemble, c’était un ami et un frère…”

Pape Abadou Ndiaye (30 ans)

“Les garde-côtes mauritaniens ne pouvaient même pas tolérer que nous puissions demander la permission d’aller aux toilettes. Là où était couché le corps sans vie de Fallou, il y avait du sang partout. Je n’ai jamais vu ça. Ils étaient sans pitié.”

Vieux Arona (30 ans)

C’est très dur. Nous étions constamment enfermés. Je n’aurais jamais imaginé vivre pareille situation sur nos côtes. Car ils nous ont attaqués chez nous. Les garde-côtes avaient la ferme intention de nous tuer.”

Pape Moussa Ndiaye (18 ans)

“Ce qui nous importe, c’est d’aider nos parents. Nous demandons au Président Macky Sall d’installer en permanence un navire de la Marine sur nos côtes. Ce qui permettrait de faire en sorte que les garde-côtes n’entrent pas dans notre zone.

Dans un communiqué rendu public, l’Etat major général des armées de la Mauritanie disculpe ses gardes côtes sur le meurtre du jeune pêcheur sénégalais. Selon le document exploité par l’As, l’équipage de la pirogue où se trouvait Fallou Diakhaté, 19 ans, tué d’une balle samedi dernier, a  provoqué  la patrouille mauritanienne.

« Au cours d’une mission de surveillance des pêches, une patrouille des Gardes côtes a intercepté dans la soirée du samedi 27 janvier 2018 dans la zone de Ndiago à la position (16 °06 N- 16°35 W) une pirogue sénégalaise qui péchait sans autorisation dans nos eaux territoriales », souligne  la note de l’Armée. Laquelle précise : « Sommée d’arrêter, la pirogue a refusé d’obtempérer aux mises en gardes répétées de l’équipage et s’est même rapprochée du bateau de surveillance dans l’intention d’entrer en collision avec lui en vue de l’endommager ».

Face à cette situation, justifie l’Etat major, et « dans le but d’immobiliser la pirogue, le patrouilleur a procédé aux tirs sur le moteur de la pirogue ».

Après immobilisation de l’embarcation, « il s’est avéré que l’un de ses neuf occupants a été touché et il succomba à ses blessures quelques temps après », souligne le document.

L’Armée rappelle qu’en 2017, 62 opérations ont été opérées par les patrouilles de la Marine sans incident. Et souligne que « dans ce cas précis, le comportement provocateur de l’équipage de la pirogue a été à l’origine de cet incident regrettable qui a eu pour conséquence la perte d’une vie humaine ».

Le chef de l’Etat Macky Sall qui se trouve présentement à Addis-Abeba, pour le sommet de l’Union africaine, s’est ému du meurtre d’un pêcheur sénégalais tué par les gardes côtes mauritaniennes, samedi dernier. La situation a été évoquée par les deux chefs d’État présents au sommet de l’Union africaine.

Même s’il faut « respecter la souveraineté de chaque pays », Macky Sall de rappeler que l’usage de la violence contre des pêcheurs ne se justifie pas.

« On ne peut pas laisser tirer comme ça sur des citoyens… Comme nous sommes des voisins, nous devons pouvoir gérer à travers les deux gouvernements ces questions », dit-il, à savoir la question de la pêche, la question de la transhumance des bétails, la circulation des personnes et des biens entre deux pays voisins, de surcroît parents, a suggéré le chef de l’État qui annonce tout son soutien à la famille du défunt.

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La mort du pêcheur sénégalais tué par les gardes côtes mauritaniennes a créé des troubles au Nord du Sénégal. Attendu à Saint Louis, le chef d’Etat français et ses conseillers en sécurité suivent avec attention les émeutes qui ont éclaté hier dans cette ville au Nord du Sénégal.

Depuis Addis Abeba, le président Macky Sall et son homologue Mohamed Ould Aziz ont échangé sur le problème. Mais, à en croire Dakartimes, les éléments de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) dont l’actuel ambassadeur français était membre, ont déjà investi la ville de Saint Louis pour préparer la visite d’Emmanuel Macron dans un contexte marqué par la mort de 14 soldats maliens par des terroristes qui auraient traversé la frontière mauritanienne.

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Originaire de Saint-Louis, neuf pêcheurs avaient quitté les côtes sénégalaises au mois de novembre dernier pour se retrouver dans les eaux territoriales bissau-guinéennes. Faute de licence, leur embarcation avait été finalement arraisonné par les garde-côtes bissau-guinéens… Lire la suite sur Seneweb.com

Six pêcheurs ont perdu la vie dans le chavirement de leur pirogue entre Kayar et Notto Gouye Diama. L’accident est survenu dans la nuit du lundi au mardi, vers 4 heures du matin.
D’après les témoignages rapportés, il y a eu sept rescapés, les victimes étaient parties pêcher en haute mer. «Leur pirogue a chaviré au moment de leur retour. Et il n’y avait malheureusement pas de secours», regrette Abdoulaye Guèye, le président des pêcheurs de Kayar.