Directeur de l’école nationale de police ,le commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle, Ousmane Guèye, fait partie de la crème de la police Sénégalaise qu’il a intégrée en 1986 avant de gravir les échelons. Un parcours sans faute, est le témoignage unanime fait par ses collègues sur le directeur de l’école nationale de police. Entré par concours direct dans la police en 1986, Ousmane Guèye passe la formation d ’officier de paix avant d’être nommé en 1988 officier de paix. Quelques années après, il passe le concours d’aptitude au grade d’officier supérieur ( Dagos) et est promu en 1996, commandant de compagnie du groupement mobile d’intervention ( Gmi). Il commande en même temps le groupe opérationnel de Dakarn celui de Thies et le groupe de Ziguinchor avant d’être muté à Guédiawaye comme Commandant du corps urbain. Ousmane ne dura pas longtemps à ce poste. Il sera nommé adjoint au directeur du Gmi puis chef de la formation de la police nationale depuis novembre 2015. Le directeur de l’école nationale de police a effectué différentes missions dont celle de l’Onu en Bosnie. Il a également fait la Cote d’ivoire au pire moment de la guerre civile dans ce pays ainsi que le Tchad et la Centrafrique. Dans le domaine de la lutte anti-terroriste, du maintien de l’ordre, du commandement et de la formation, Ousmane Guèye a participé à des stages aux Etats-Unis, en Italie, en Tunisie en Egypte et en Ouganda Le commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle, Guèye a dirigé la formation de beaucoup d’éléments de la police qui lui reconnaissent une disponibilité constante à l’écoute et un sens élevé des responsabilités., Si la hiérarchie lui a confié la formation des hommes et femmes de la police nationale, c’est parce qu’elle est satisfaite de cet officier supérieur qui a fait ses preuves partout où il est passé et qui, sous peu, va être admis à faire valoir ses droits à la retraite.

Pour le porte-parole de la police nationale, le Lieutenant Ndiassé Dioum, sa sortie n’est pas une justification face aux « abus » notés hier soir. « Nous avons pris toutes les dispositions et nous espérons mieux aujourd’hui. Tous, ensemble, nous allons faire le travail. Nous ne sommes pas là pour justifier ces violences. Les autorités ont pris les dispositions en conformité avec la loi et nous devons tous les respecter. Mais sachez que dans le travail, nos communiquons avec nos hommes sur le terrain pour mener à bien la mission » a-t-il déclaré, dans l’émission Yewuleen, assurant, par ailleurs, que les autorités font le nécessaire.

En outre, il s’est réjoui de cette mesure qui a été respectée par « l’écrasante majorité de la population ».

« On peut dire qu’à 95%, les Sénégalais ont respecté le couvre-feu. Toutefois, il y a eu quelques dysfonctionnements parce que c’était les premiers jours et cela est d’ailleurs très normal. Certains ont eu des problèmes de transport, d’autres ont fait fi de la loi et voici les conséquences ».

En fait, la police a réprimé, ce mardi, les récalcitrants, lors du premier jour du couvre-feu de 20 heures à 6 heures du matin.

Cette édition du Magal a encore permis de constater que certaines personnes effectuent le déplacement à Touba. Mais, il faut le dire, pas pour faire le pèlerinage et célébrer Bamba le saint. Heureusement, les forces de police veillent au grain. Ce bilan permet d’avoir un aperçu très clair sur la présence de brigands dans la ville sainte.

OBJET   : Opérations de sécurisation organisées dans le cadre du Magal de Touba (édition 2018).

A l’occasion du Magal de Touba,  édition 2018, les Commissariats de Touba, Mbacké, Diourbel et Bambey ont interpellé durant la période du  10/10/2018 au 29/10/2018,  511 individus répartis comme suit :

• (09) pour vol commis la nuit en réunion.
• (30) pour détention et trafic de chanvre indien.
• (39) pour détention et usage de chanvre indien.
• (02) pour trafic de comprimés barbiturique.
• (10) pour détention de produit cellulosique.
• (238) pour vérification d’identité.
• (01) pour outrage à agent.
• (43) pour ivresse publique et manifeste.
• (13) pour vagabondage.
• (06) pour rixe sur la voie publique.
• (50) pour vol.
• (01) pour tentative de vol.
• (02) pour vol commis la nuit avec escalade.
• (03) pour complicité de vol.
• (04) pour détention d’arme blanche.
• (01) pour viol sur une personne vulnérable.
• (02) pour usurpation de fonction.
• (02) pour refus d’obtempérer.
• (01) pour violences et  voies de faits.
• (01) pour Exploitation de débit de boisson sans autorisation

Administrative.

–  (25)  pour nécessité d’enquête.

– (03) pour offre ou cession en  vue d’une consommation personne.

–  (04) pour conduite sans permis de conduire.

–  (04) pour coups et blessures volontaire.

–  (02) pour détention d’arme blanche.

–  (04) pour abus de confiance.

–  (02)   pour recel.

– (03)  pour mise en circulation de faux billets de banque (10 coupures de 10.000).

Quantité de drogue saisie : 09 kilogrammes de chanvre indien – 500 grammes  – 106 cornets – 108 joints.

Accidents constatés : 63 dont : 30 dégâts matériels –  22 corporels – 01mortel (survenu le 18/10/2018 sur la corniche Serigne Modou).

Pièces saisies : 723.

Mise en fourrière : 134.

Nombre de Jakartas immobilisés : 162.

Au milieu de plusieurs policiers, Oumar Sarr a été traîné avant d’être arrêté. Le coordonnateur national du Parti démocratique sénégalais (Pds) n’est pas trop chanceux surtout qu’en ce mardi de forte de chaleur, il a d’abord inhaler l’odeur piquante des grenades lacrymogènes avant de se retrouver dans la voiture de la Police.

Avec l’approche de la fête de la Tabaski, les agressions ont repris. C’est pour dire qu’elles sont devenues récurrentes, même si à un moment donné, il était constaté une baisse. S’il est vrai que les forces de gendarmerie et de police font des pieds et des mains pour neutraliser ces malfrats d’une lâcheté extrême, il est encore vrai qu’elles doivent multiplier les sorties. En effet, plus l’on s’approche de la fête de la Tabaski et plus les citoyens sont exposés. Car, à tous les coins de rue, des jeunes à bord de rapides scooters, guettent la moindre ”proie” et sont prêts à user de méthodes fortes pour emporter ses biens.

De quoi lancer une alerte rouge surtout à la gendarmerie parce que révèle actunet, l’axe Pont (foire) vers le supermarché ”Exclusive” en allant par les cimetières catholiques de Saint Lazare et plus haut vers le pont ”Cheikh Béthio”, les scootéristes, armés de couteaux, de coupe-coupe, règnent en maîtres. Ce qui veut dire que les contrôles, les rafles, les patrouilles, doivent véritablement être multipliés surtout à certaines heures. Vingt heures et au-delà. Il ne faut pas oublier les autres axes où ces malfrats opèrent. Il y a quelques mois, le ministère de l’Intérieur avait pris la décision de mettre des policiers au niveau de certains grands axes. Actunet rappelle qu’une telle démarche avait produit des résultats encourageants et permettre aux honnêtes citoyens de vaquer tranquillement à leurs occupations. Alors, à la gendarmerie comme à la police, poursuivez sans relâche les agresseurs partout et à chaque heure. Aux citoyens, faites attention aux conducteurs de scooters à certaines heures de la journée…

En prélude à sa fête nationale qui sera célébrée ce samedi 14 juillet, la France a décerné, à travers son ambassadeur au Sénégal, la légion d’honneur au directeur général de la police Oumar Mal, à son adjoint Ousmane Sy et au général François Ndiaye qui est l’actuel inspecteur général des forces armées sénégalaises. Christophe Bigot, qui organisait à cette occasion une réception à la Résidence de France, en présence du ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Sidiki Kaba, représentant le gouvernement du Sénégal, a magnifié les relations entre les deux pays. Mettant en relief, au nom du président Emmanuel Macron, le profil émérite des récipiendaires de la légion d’honneur, Christophe Bigot s’est réjoui de leurs brillantes carrières respectives. Et de  leurs états de service pour le compte de la République sénégalaise et plus largement pour le compte de la stabilité géopolitique internationale. Il a, au-delà de cette remise de distinctions, passé au peigne fin plusieurs pans de la coopération bilatérale entre son pays et le pays de la téranga qui partagent pas moins de «350 ans d’histoire commune».

«Dette de sang» 

Laissant entendre qu’au lieu de les séparer l’histoire a rapproché la France et le Sénégal, Christophe Bigot a tenu, «sans rien oublier,  à assumer cette mémoire tantôt glorieuse, tantôt douloureuse, qu’il s’agisse de Thiaroye ou du lours tribut payé par les tirailleurs sénégalais». «Cette dette de sang à laquelle les commémorations du centenaire de la fin de la Grande guerre rendront hommage le 11 novembre prochain, centenaire de l’armistcie de 1918. Ce sang que nous partageons  en combattant ensemble au Mali le terrorisme…» indique l’ambassadeur de France au Sénégal. Il a particulièrement tenue, au demeurant, à passer en revue la coopération dans les domaines de l’innovation et de l’environnement.

«Ne pas donner une lecture nationale à l’arrivée d’Auchan» 

Réagissant à la levée de bouclier d’une partie des Sénégalais face à l’implantation d’Auchan, l’ambassadeur de France au Sénégal a invité les uns et les autres à ne pas mélanger en la matière les torchons et les serviettes. «Je ne pense pas qu’il faille donner une lecture nationale sur ce sujet. Je sais qu’en France, dans tous les pays de la planète,  l’arrivée de supermarchés, d’hypermarchés suscite des idées critiques. Il y a  l’intérêt des producteurs, il y a l’intérêt des consommateurs, il y a l’intérêt aussi évidemment des commerçants et c’est une question qui relève d’une relation entre les autorités sénégalaises et une société privée. Je ne pense pas que le fait qu’on s’appelle Auchan, Walmart ou India soit un sujet. Le sujet c’est la modernisation d’une économie qui passe par de nouveaux modes de commercialisation, des transitions qu’il faut évidemment accompagner, mais c’est une question qui relève du Sénégal, des Sénégalais, des autorités sénégalaises, des consommateurs sénégalais. Ce n’est pas une question qui relève de la relation entre la France et le Sénégal» assure Christophe Bigot.

Aly Ngouille : “Le nouveau poste de Police de Rufisque…”

La police n’est pas près d’endosser la responsabilité de la mort du commerçant Masseck Ndiaye Diop connu sous Seck Ndiaye ou Modou Diop. Selon Le Quotidien, l’institution policière reconnaît qu’il y a eu échanges de coups entre ses éléments et la victime, mais elle s’empresse de signaler que lors de son arrestation pour recel présumé, le commerçant, de «forte corpulence», «rompu aux techniques de combat», aurait opposé une farouche résistance et «brandi une arme à feu».

La même source indique que les policiers ont dû s’y employer à plusieurs reprises, avec force, pour maîtriser le commerçant. Et qu’au cours de la bagarre, ce dernier a cogné les escaliers d’où le traumatisme crânien relevé par l’autopsie du défunt.

Ces événements, pronostiquent les informateurs du journal Le Quotidien, ont dû réveiller les complications respiratoires de Seck Ndiaye, qui aurait été sujet à une cardiopathie et à une pneumopathie.

Autre précision de la police : le commerçant ne serait pas mort dans les locaux du commissariat central suite à des tortures, comme défendu par les parents et proches de la victime. Il serait décédé à l’hôpital où il a été directement déposé après son arrestation musclé et qu’il a signalé dans la voiture qui le transportait, ses difficultés à respirer.

Le Quotidien annonce que la police va se prononcer officiellement sur l’affaire ce lundi.

Les événements de Faraba Banta en Gambie ont poussé le chef de la police à remettre sa démission au président jeudi 21 juin. Cinq policiers ont été arrêtés dans le cadre de cette affaire.

Trois personnes sont mortes lundi dans cette ville au sud de Banjul, alors que la police a tiré à balles réelles sur des manifestants. Ces habitants s’étaient rassemblés pour protester contre l’exploitation de sable qui menaçait leur environnement et leurs rizières. La pression, depuis, a poussé l’inspecteur général à mettre fin à ses fonctions.

La démission de Landing Kinteh a été acceptée par le président ce jeudi. Le chef de la police était la cible des critiques après les violences de Faraba Banta. Il avait toutefois précisé qu’il n’avait pas donné l’ordre aux policiers de l’unité d’invention de tirer à balles réelles sur les manifestants.

L’inspecteur général de la police était en poste depuis exactement un an. Dans l’attente d’une nouvelle nomination, c’est son adjoint, Alhagie Mamour Jobe, qui le remplace.

Cinq policiers de l’unité qui se trouvait sur place ont par ailleurs été arrêtés. Et une commission d’enquête sera constituée sur décision du président. Composée de défenseurs des droits de l’homme, d’avocats, et de représentants du gouvernement et de la police, elle aura un mois pour établir les circonstances de la mort de ces trois Gambiens.

Adama Barrow doit se rendre ce vendredi après-midi dans la ville de Faraba Banta, pour rencontrer les familles des victimes. Quant aux opérations d’extraction de sable, elles sont interrompues jusqu’à nouvel ordre.

La police a débarqué à au domicile du commerçant Modou Diop mardi dernier à la Médina rue 15 angle 22. Il a perdu la vie après avoir été transféré au commissariat central, c’est du moins ce que soutiennent ses proches. Mais du coté de la police, cette thèse est battue en brèche. De leurs confidences, le défunt était dans le viseur de la police pour des faits de cambriolage d’un magasin à Bel Air. C’est ce qui a motivé l’intervention de la police à son domicile à la Médina, pour procéder à son interpellation, pour nécessités d’enquêtes.

« Malheureusement, avancent les interlocuteurs du journal L’Observateur, cet exercice s’est soldé par une intervention musclée du fait d’une rébellion du mis en cause qui, sous prétexte qu’il est boxeur, a opposé une vive résistance aux policiers qui s’y sont mis à plusieurs pour le maitriser. Le défunt n’est pas décédé dans les locaux de la police, contrairement à ce qui a été avancé par certains. Il est décédé à l’hôpital de mort naturelle. Dans tous les cas, une autopsie est en cours à l’hôpital A Le Dantec. Attendons de prendre connaissance des conclusions pour être édifiés sur les causes de cette mort », ont plaidé les sources du journal.

Qui disait que l’assassin revient toujours sur les lieux du crime ? Abdou Ndiaye le présumé assassin d’Alexandre Ogalary dit Koffi vient de le confirmer. 

Dans un grand vacarme, les populations de la Rue 10 sont sorties de leur maison pour s’enquérir des raisons. Les éléments du commissariat du Point E, connaissant le quartier et les habitudes des délinquants étaient bien dans leur élément.

Les hommes du commissaire Bodian, déterminés à élucider ce meurtre ont investi le quartier dès les premières minutes après être informés des faits. Finalement, ils ont réussi à capturer Abdou Bandit dans le quartier et en possession de vingt quatre (24) cornets de yamba.

Les policiers en tenue civile avaient du mal à évacuer le présumé meurtrier, les populations voulaient le lyncher,  mais finalement avec leur professionnalisme, ils sont parvenus à l’acheminer au commissariat du Point E.

Des attaques simultanées contre trois commissariats de police à Commin-Yanga à l’est du Burkina Faso ont fait deux morts, dont un policier. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 16 au 17 juin entre 22heures et minuit.

Selon la police, une dizaine d’individus armés non identifiés sont arrivés à pied d’une forêt du sud-est.

Les assaillants ont d’abord ouvert le feu sur un poste de contrôle des agents de police chargé de la sécurité routière à Tindangou à l’est.

Au même moment, le commissariat de police du district et la brigade de gendarmerie de Commin-Yanga au centre-est ont été pris pour cibles.

L’officier de police Emmanuel Zongo a trouvé la mort durant les échanges de tir.

Un autre policier a été légèrement touché, a annoncé un communiqué de la police. lire la suite sur senego.com

Boubacar Dème n’est plus. Le jeune homme, âgé de 20 ans, a rendu l’âme d’une façon brutale après une supposée patrouille avec une voiture de police. Les faits se sont déroulés entre la nuit du samedi au dimanche.

A suivre L’Obs, il était parti chez son ami à la Cité Senghor pour prendre du thé. Les heures passèrent et il décide prendre congé de ce dernier, il était 3 heures du matin. En regagnant son domicile, accompagné de ses amis, ils voient une voiture qui a projeté ses phares sur eux.

Les amis prirent leurs jambes à leur cou pensant être poursuivis par une patrouille de police. Boubacar Dème s’essouffle après une longue course et tombe de tout son poids, appelant au secours. Ses amis rebroussent chemin, toujours conscient, il leur remet le numéro de son père.

Les secours organisés ne purent sauver le jeune qui passe de vie à trépas avant de rejoindre l’hôpital Amadou Sakhr Ndiéguéne. Une mort naturelle sera conclue par le médecin légiste.

L’enquête ouverte par la police a mené à l’audition des camarades de Boubacar Dème. Toutefois, le doute persiste sur la patrouille de police. Deux versions sont servies par les jeunes auditionnés. Les uns sont persuadés que c’était une patrouille, les autres n’ont pas été péremptoires sur ce sujet.

La France semble décidée à mettre au pas les inconditionnels de la religion. Une femme musulmane, entièrement voilée et qui a refusé d‘ôter son niqab s’est vue infliger une peine de six mois de prison. La femme en question s‘était cabrée, refusant de dévoiler son visage lors d’un contrôle de police. Les détails.

Le tribunal correctionnel de Toulouse a donné six mois de prison, dont trois avec sursis à la femme en niqab (voile intégral couvrant le visage à l’exception des yeux, voir photo). Ce qui revient à dire que la prévenue passera trois mois de sa vie derrière les barreaux. La peine lui a été infligée ce jeudi.

C’est Me Samim Bolaky, l’avocat de la musulmane en question, qui a communiqué l’information à la presse. Pour sa part, le procureur avait requis une peine un peu plus sévère ; six mois de prison, dont deux mois ferme.

Je suis pointée du doigt par rapport à mon voile qui demeure et reste une liberté de pratique du culte religieux.

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Depuis la mort par balle de Mohamed Fallou Sène à Saint-Louis, les interrogations sur l’attitude que doivent adopter les forces de l’ordre, si leur vie est en danger, fusent de partout.

Dans les colonnes de SourceA dans sa parution de ce jeudi, le Commissaire de Police à la retraite, Boubacar Sadio semble trouver la réponse exacte. Le spécialiste renseigne ainsi que la Législation permet de tirer à balles réelles sur la foule.

“Dans une manifestation, il y a une disposition réglementaire qui autorise à tirer sur les manifestants qui bravent l’autorité surtout, dit-il, quand la vie des agents est en danger”. Le commissaire à la retraire explique aussi que cette disposition est inscrite dans la réquisition complémentaire spéciale”.

Lire la suite de l’article sur Actusen.com

La législation n’interdit pas aux forces de l’ordre d’user de balles réelles quand leur vie est en danger. L’ancien directeur général adjoint de la police nationale, Boubacar Sadio, qui en parle dans un entretien avec Source A, invoque «une disposition légale».

«Dans le jargon des forces de défense et de sécurité, les balles à blanc sont même méconnues, informe Sadio. Une fois sur le terrain, on utilise les balles réelles. C’est ce qui se passe aussi dans des situations comme dans l’attaque d’une Brigade de gendarmerie ou d’un Commissariat de police.»

Le commissaire à la retraite est d’avis «que ceux qui estiment que la police ou la gendarmerie doit utiliser les balles à blanc, à la balles de balles réelles, se trompent très lourdement». Et que les critiques contre «nos vaillants policiers et gendarmes n’ont aucun fondement».