« Le suffrage universel direct, c’est l’expression même de la démocratie. Cela renforce la démocratie », a-t-il, en effet, soutenu le professeur de droit, qui exclut toutefois une telle option pour les prochaines élections locales, prévues au 1er décembre 2019. Mais a-t-il dit, «cela pourrait être sujet de discussion.»
Par ailleurs, Abdou Aziz Kébé a estimé qu’« il faut respecter le calendrier républicain », ramant ainsi à contrecourant de l’idée émise par Me Aïssata Tall.
Sur un tout autre plan, le professeur de droit à l’Ucad n’est « pas forcément contre la suppression des fonds politiques ». Mais, a-t-il dit, « il faut les rationaliser » comme cela se fait en France