Les industries énergétiques du Sénégal connaissent un dynamisme important avec une production enregistrant une hausse de 20,3% en rythme mensuel au mois de mars 2018

Selon les données fournies par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), la production des industries énergétiques du Sénégal a enregistré une hausse de 20,3%, en rythme mensuel au mois de mars 2018.

L’agence a renseigné que le bon comportement des activités de production, entre autres, a été à l’origine de cette hausse.  «Ce résultat est relativement imputable à un bon comportement des activités de production et distribution d’électricité (plus 23,5%) ainsi que de captage, traitement et distribution d’eau (plus 16,0%)» a indiqué l’ANSD.

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Le ministre porte-parole du gouvernement Seydou Gueye a qualifié la campagne agricole 2017-2018, « une campagne de tous les records en matière de production » lors d’un conseil interministériel consacré au bilan de la campagne agricole 2017-2018 et au programme de la campagne 2018-2019. En effet, le Sénégal a récolté cette année plus de 1.110.000 tonnes de riz, plus de 400.000 tonnes d’oignon, plus de 1.400.000 tonnes d’arachide, plus 106.000 tonnes de fruits et légumes. Le pays a produit cette année plus de 875.000 tonnes de mil et 120 tonnes de semences de pré-base.

Selon Mr Seydou Gueye, cette performance est due à la généralisation de la riziculture dans toutes les zones agro-écologiques du Sénégal, au remplacement graduel des semences écrémées par des semences certifiées mais aussi à la bonne pluviométrie.
En plus il y’a aussi la mise à disposition à temps des facteurs de production, l’élévation continue du niveau de mécanisation de l’agriculture qui permet d’augmenter de « façon substantielle » les productions dans toutes les spéculations et d’augmenter les superficies emblavées.
A cela s’ajoutent l’orientation essentielle des subventions à plus de 70% vers les petits producteurs et en fin l’accélération du processus de reconstruction du capital semencier. « Il y a également une meilleure maîtrise de l’eau qui est aujourd’hui un acquis, le renforcement du contrôle sanitaire qui a été une contribution déterminante dans cette production record et l’enrichissement de la carte variétale », a expliqué le ministre.
D’après lui, cette campagne de tous les records a également été adossée à un budget exécuté au-delà de 40 milliards pour la prise en charge des besoins exprimés (en intrants, en engrais, en équipement et en protection phytosanitaire) à travers le système qui a été mis en place.

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Au mois de mars 2018, l’activité industrielle est marquée par un relèvement de 0,2% des prix de production, en rythme mensuel indique l’agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd).

Cette situation fait suite à l’accroissement des prix de production dans les industries textiles et du cuir (+12,6%), des matériaux de construction (+2,4%), alimentaires (+1,0%) et mécaniques (+0,4%). Toutefois, cette augmentation a été atténuée par la diminution des prix de production dans les industries de production d’énergie (-2,1%), chimiques (-1,9%) et extractives (-0,9%). Au même moment, les prix de production dans les industries du papier et du carton ainsi que ceux des autres industries manufacturières n’ont pas varié. Comparativement à leurs niveaux du mois correspondant de l’année 2017, les prix de production industrielle ont progressé de 0,1%. Les prix moyens des trois premiers mois de 2018 se sont redressés de 0,1%, comparativement à ceux de la période correspondante de 2017.

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Lewtoo productions a bel et bien signé un contrat avec Modou Lô pour un combat en fin de saison. C’est le coordonnateur de la structure, Max Mbargane, qui le soutient dans Les Échos. En détaillant les termes de l’accord.

«Modou Lô a empoché une avance de 25 millions alors qu’il était en pleine préparation de son combat contre Lac de Guiers 2, confie Max Mbargane. On a convenu un cachet de 80 millions de francs Cfa. En plus de cela, on a promis de lui donner un bonus de 5 millions de francs Cfa en cas de victoire comme en cas de défaite.»

Le problème, c’est que le Parcellois refuse d’affronter Tapha Tine, l’adversaire que lui a proposé Lewtoo production. Sa cible serait Balla Gaye 2 ou le vainqueur de Eumeu Sène-Bombardier.

Max Mbargane ne l’entend pas de cette oreille. Il prévient : «Il (Modou Lô) avait le choix entre quatre lutteurs. Maintenant, s’il a du mal à choisir, on va le faire à sa place. C’est dans son contrat. Son agent (Birame Gningue), on lui a soumis un adversaire devant notre avocat, mais il a refusé. On ne lui a jamais proposé le vainqueur de Eumeu-Bombardier. Après qu’il a su que le combat a été ficelé, il a voulu le vainqueur du combat. On a dit non.»

C’est dans ce contexte que Gaston Mbengue est sorti du bois pour signer un contrat avec Balla Gaye 2 avec l’ambition de l’opposer, en priorité, à Modou Lô. «Qu’il encaisse ou pas une autre avance ne nous regarde pas, nous sommes dans nos droits. On feras tout pour obtenir gain de cause», avertit Max Mbargane.

L’agent de Modou Lô, lui, se dit «prêt à signer avec Gaston». «Rien ne m’empêche de signer avec lui. Le contrat qui lie Modou Lô à Lewto expire en juillet, rappelle Birane Gningue. Au-delà de ce mois, on est libre de signer avec qui on veut.»

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Le Zimbabwe a décidé de légaliser la production sur son territoire de cannabis à des fins médicinales ou scientifiques, selon un decret du ministre de la Santé paru au Journal officiel.

La marijuana était jusque là tolérée dans le pays en petites quantités pour la médecine traditionnelle, notamment pour traiter l’asthme, l’épilepsie ou pour… accélérer la pousse des cheveux.

La production et l’utilisation de grandes quantités étaient punies de peines allant jusqu’à douze ans de prison.

Le nouveau texte permet dorénavant aux citoyens zimbabwéens ou aux entreprises dûment établies dans le pays de solliciter un permis de production d’une validité de cinq ans auprès du ministère de la Santé sous strictes conditions.

« Le demandeur doit préciser la quantité maximale, exprimée en poids net en grammes, du cannabis frais, séché ou sous forme d’huile qu’il s’engage à produire, sous quelle pédiode, ainsi que le nombre maximal de plants qu’il vendra », stipule le décret.

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Pour le bon déroulement de la présente campagne commercialisation de l’arachide, les importateurs-distributeurs d’huile raffinée tels que Aziz Ndiaye, Élimane Lam de l’UNACOIS JAPPO se sont aussi engagé à acheter et à distribuer la totalité de l’huile raffinée d’arachide produite par les industries de raffinage et de conditionnement que sont SONACOS ; OLEOSEN ; CAIT et Fks.

Cela, conformément à la politique que mène le président Macky Sall, qui a lancé un appel portant sur l’autosuffisance en denrées de consommation courante, à la faveur du discours prononcé en marge de l’inauguration de la route Fatick-Kaolack.

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Une usine clandestine de fabrication de café Touba à base de maïs est découverte à Mbebeuss par la Brigade des services d’hygiène de Keur Massar.  En effet les fabricants utilisent les graines de maïs au lieu de la graine de café.

Leurs  locaux se situent à la décharge de Mbebeuss avec toute la pollution des environs, qui est non conformes aux règles d’hygiène. Les sachets de café sont posés à même le sol. La population court un danger, car consommer du café  Touba fait à base de maïs, les exposant ainsi à de nombreuses maladies. Lire la suite

Les chiffres avancés par le ministre de l’Agriculture pour la production rizicole de la campagne actuelle sont jugés faramineux par les producteurs de riz de la vallée et du Delta du fleuve Sénégal. En effet, le Ministre Pape Abdoulaye Seck, a estimé la production de riz blanchi de cette année à un peu plus de 700 mille tonnes. Cela avec une contribution de 65 pour cent des zones qui sont hors de la vallée du fleuve, c’est à dire qui dépendent de la pluie.

Cependant, si on en croit Baba Diallo, qui parle au nom des producteurs de la vallée et du delta du fleuve, ce chiffre est “gonflé” par l’autorité. La preuve, a-t-il argué, c’est que le Sénégal a un besoin d’un million de tonne de riz. Donc avec une production de plus de 700 mille tonnes, le Sénégal aura besoin d’importer qu’un peu moins de 300 mille tonnes de riz. Or, rajoute l’opérateur économique, le niveau d’exportation actuel du riz a atteint les 600 mille tonnes.

Par ailleurs, les producteurs de la vallée et du delta ont remis en question le taux de production pluviale de 65 pour cent avancé par Pape Abdoulaye Seck. Ils estiment que si cela est réel, il faut en retenir que les efforts consentis par l’Etat du Sénégal, dans la zone nord, sont vains. Il s’agit notamment de l’injection de 60 milliards Fcfa sur le matériel agricole, l’aménagement de 27 mille hectares, la subvention de l’engrais, l’effacement de la dette paysanne, la mise en place d’un fonds de 10 milliards Fcfa pour faciliter la commercialisation du riz Paddy et Blanchi pour ces deux dernières années, entre autres mesures.