Le village de Ngaolé, une localité située à trois kilomètres de Podor a été le pont de convergence de nombreuses personnalités dans le cadre du projet de repeuplement du fleuve Sénégal qui a été lancé par le programme PUMA il y a quelques années.

Ledit village a accueilli la première cérémonie dans le cadre du repeuplement a revu des cages flottantes et de l’accompagnement technique de l’agence nationale de l’aquaculture, partenaire aussi du PUMA dans le cadre de ce projet.

À cet effet, la particularité de cette édition est la dimension sous régionale dans la mesure où la Mauritanie a envoyé une forte délégation composée de la direction de la pêche continentale, la mairie de Mbagne, localité frontalière du Sénégal. Les deux pays qui partagent le fleuve sont aujourd’hui conscients de la nécessité de le préserver.

Le programme Puma a déjà posé des jalons de la préservation à travers une campagne de sensibilisation   à l’endroit des communautés Soubalbés.

Sur ce registre, la convergence Soubalbés, un des partenaires clés du programme dans le cadre de cet évènement. Ladite association réunit tous les  groupements de Soubalbés.

Au-delà de la cohésion sociale, le fleuve Sénégal a aussi une dimension économique que le programme PUMA cherche à renforcer.

Baba Maal, ambassadeur du projet de repeuplement du fleuve est venu à Ngaolé pour participer à la sensibilisation. L’artiste s’est félicité de la dimension fédératrice du fleuve et de l’entente entre les communautés sénégalaises et mauritaniennes habitant entre les deux rives du fleuve.

La 23^ème édition de la Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources animales, clôturée ce dimanche 19 mars 2023, a été un temps fort de promotion des activités du secteur primaire en mettant en lumière une large palette de producteurs. Le Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires frontaliers (Puma) a apporté sa pierre à l’édifice pour la troisième année consécutive. Son coordonnateur national, Moussa Sow, en visite sur les lieux vendredi dernier, salue l’initiative. Il se réjouit que le Puma ait pu appuyer et mettre en synergie les groupements de femmes des zones frontalières qui ont été encadrées, formées et financées par le Puma pour valoriser les produits locaux. C’est dans cette perspective qu’a été mise en place la Plateforme des Groupements de Femmes des Zones Frontalières dénommée (PG2F) regroupant pas moins de 72 groupements de femmes des dix régions frontalières.  « Nous avons eu à faire beaucoup d’actions dans les zones frontalières et à travailler avec beaucoup de groupements villageois. Nous sommes allés au-delà en créant un cadre, une plateforme, une association qui regroupe tous ces groupements de femmes dans les dix régions frontalières du Sénégal.  Toutes ces femmes sont ici représentées avec, en prime, les produits locaux de leur zone. C’est avec la participation du Puma qui est d’abord allé vers la  formation, qui a aidé à l’acquisition du matériel parce que nous formons en donnant le matériel. Nous ne formons pas pour donner des attestations et partir. La formation va avec le matériel nécessaire pour permettre, dès le lendemain du départ des formateurs, que  le groupement continue de faire le travail attendu. Nous allons même au-delà parce que tous ces groupements qui ont été formés, nous avons veillé à ce qu’ils puissent avoir les moyens d’exister, de se développer, et à travers les protocoles d’accord que nous avons avec la Der/F, il y a eu des prêts qui ont été proposés et dont beaucoup de groupements on pu bénéficier. Il y a un apport personnel qui est fait par le Puma et qui facilite la mise à disposition de montants retenus pour ces femmes-là » se réjouit Moussa Sow. Il ne manque pas de mettre en relief l’apport de la cellule genre du Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires frontaliers qui suit de très près le processus. Il ajoute que le protocole de financement avec la Der/Fj porte sur deux milliards, avec une participation du Puma à hauteur de 10% en ce qui concerne les apports.  Moussa Sow rappelle que l’une des missions du Puma, en dehors du désenclavement, en dehors de la mise en place d’infrastructures sociales de base, c’est aussi de développer l’économie locale, accompagner, dans une optique de développement durable, tous ces Sénégalais qui sont dans des zones qui ont des atouts importants en matière de ressources naturelles.

La firme multinationale Puma est très satisfaite du contrat qui le lie à l’équipe nationale du Sénégal. D’ailleurs, les deux parties avaient déjà eu à collaborer par le passé. Pour le manager marketing de Puma, entre l’Afrique et sa société, c’est une longue “histoire d’amitié et d’amour”.

Pour ce qui concerne les équipements mis à la disposition du Sénégal, Bruno Meier révèle qu’il s’agit d’un matériel de haut niveau qui va permettre aux joueurs d’être performants sur les pelouses.

“On connaît bien le Sénégal pour avoir bien collaboré par le passé. Au-delà du Sénégal, je dirai qu’entre l’Afrique et la firme Puma, c’est une longue histoire d’amitié et d’amour. Nous avons donné du top matériel à la Fédération sénégalaise de football puisqu’elle a une équipe très professionnelle. Et les joueurs doivent se sentir à l’aise avec leurs nouveaux équipements pour être performants sur la pelouse”, a dit Bruno Meier, manager marketing de Puma.

La Coupe du Monde démarre dans moins de trois mois. À l’heure actuelle, quelques sélections, comme le Nigeria, l’Allemagne, l’Espagne ou encore la Colombie, ont dévoilé leurs maillots pour le rendez-vous le plus important de l’année. Le Sénégal de son côté n’a toujours pas montré publiquement sa tunique, mais on pourrait déjà avoir une première idée du look de celle-ci.

Lire la suite sur Afriquesports.com

Après avoir lâché les Lions au terme du contrat de quatre ans renouvelé une première fois en 2010, Puma a sorti la grosse artillerie pour convaincre l’instance dirigeante du football sénégalais.

Selon la Radio Zik FM qui donne l’information, la marque allemande a misé une enveloppe d’1,6 milliard F CFA en plus de promettre d’équiper les autres catégories. Ceci fait, les offres de Nike, Adidas et autres étaient reléguées au second plan.

Puma n’avait plus le choix. La Côte d’Ivoire, le Ghana et le Cameroun ont été privés de Mondial. Il ne leur restait que la Suisse et l’Uruguay.
Au Mondial 2002, les Lions étaient en mode Coq sportif.

L’équipementier français avait plié bagages en 2004 avant de céder la place à Puma. Depuis, il y a eu une seule parenthèse : Romai. Un mauvais souvenir.
La rencontre des membres du Comité exécutif de la Fsf n’est pas encore terminée. Dans quelques minutes, il sera question de s’affairer aux derniers réglages concernant la prolongation du contrat du sélectionneur Aliou Cissé jusqu’en 2021.

C’est un énorme appel du pied que vient de faire Puma à l’endroit de la Fédération sénégalaise de football. D’aprés nos sources, la firme allemande qui a misé sur les sélections de la Côte d’Ivoire, du Cameroun et du Ghana (toutes éliminées de la coupe du monde) s’est ajoutée à la longue liste des équipementiers qui souhaitent devenir le tailleur officiel des Lions…lire la suite sur senegal7