(CIO MAG) – La nouvelle a été annoncée dans un communiqué. L’alliance formée par les groupes Teyliom, NJJ et AXIAN qui a finalisé l’acquisition de l’opérateur mobile Tigo va investir 70 milliards de francs CFA pour permettre à l’opérateur de devenir  « le leader du secteur et un acteur clé du développement économique et numérique au Sénégal ».

« A travers ce plan, l’alliance entend révolutionner le marché de la téléphonie mobile et de l’internet au Sénégal en replaçant le client et ses besoins réels au centre de leurs offres», précise le document.

Pour la réalisation de cette mission, les repreneurs comptent beaucoup investir sur le plan financier et matériel.
L’idée de l’acquisition dans les plus brefs délais des fréquences de la  « 4G pour apporter aux clients de Tigo une performance accrue et de nouveaux services sur mobile», est agitée par les repreneurs.

Selon eux, « ce projet industriel ambitieux s’appuie sur des projets d’investissements de l’ordre de 70 milliards de francs CFA, visant à renforcer la qualité et l’étendue de la couverture du réseau ainsi que les services qui lui sont associés (data, forfaits sans engagement, mobile banking) sur l’ensemble du territoire sénégalais ».

Le communiqué fait savoir également  que leur expertise, notamment à propos de la connaissance du marché et de ses enjeux, constitue un atout de poids pour cette ambition dans le but de permettre à Tigo de devenir un acteur à part entière du dispositif gouvernemental dans le Plan Sénégal Emergent en facilitant l’accès au haut débit et à internet sur l’ensemble du territoire.

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Depuis un certain temps, l’opérateur de téléphonie mobile Orange/Sénégal ne parvient pas à assurer une bonne communication et une connexion normale à internet à ses abonnés. Certains couples sont même en conflit à cause de la défaillance récurrente du réseau.

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Le ministre de la pêche et de l’économie maritime, M. Oumar Gueye a procédé à la cérémonie de remise d’une embarcation en fibre de verre aux populations du village de Mboudoum-Est, arrondissement de Ndiaye, à Dagana. Le coût de l’embarcation, s’élève à 40 710 000 francs CFA.

« C’est avec un réel plaisir, que je me retrouve ici, à Mboudoum-Est, belle localité de ces terres remplies d’histoires et de culture du WALO, pour célébrer avec vous, vaillantes populations, la cérémonie de remise de l’embarcation offerte par M. Macky SALL, Président de la République. Il y a quatre mois, en octobre dernier, il a été porté à la très haute attention de M. le Président de la République que les élèves et les autres habitants de Mboudoum-Est, ainsi que de sept autres villages environnants, étaient contraints, de par la configuration de la zone, d’emprunter des pirogues monocoques à rame, donc non motorisées, pour se rendre au CEM Kassack-Nord ou, simplement, pour rallier la voie routière », a précisé le ministre de la pêche.

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Le Directeur général de la Senelec, Makhtar Cissé, est inquiété par l’insécurité causée par l’installation des réseaux électriques du Sénégal. Il l’a dit hier lors d’un panel organisé à l’Institut africain de management (Iam) sur le thème de la « Place de la sécurité dans nos organisation ».

Durant sont exposé, Makhtar Cissé a exprimé son indignation face à la cohabitation des populations avec les installations de la Senelec. « Avec le système électrique sénégalais, il est terrifiant de le dire, mais nous sommes dans une insécurité totale », a-t-il avoué. Il fait remarquer que les pylônes électriques traversent Dakar, enjambent les populations. En guise d’exemple, il indique avoir vu, à hauteur de l’Autoroute à péage, une maison dont un des supports est une pylône de 225 mille voltes.

Mais le plus terrifiant dans cette histoire, c’est que le Dg de la Senelec semble être impuissant devant le fait. Il explique que des actions ont été menées en ce sens, mais sans avoir les résultats escomptés. Plusieurs menaces d’arrestation et de déguerpissement ont été servies aux populations, pour résoudre ce « gros problème de sécurité », mais les mauvaises pratiques demeurent.

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Le Directeur général de la Senelec, Makhtar Cissé, est inquiété par l’insécurité causée par l’installation des réseaux électriques du Sénégal. Il l’a dit hier lors d’un panel organisé à l’Institut africain de management (Iam) sur le thème de la “Place de la sécurité dans nos organisation”.

Durant sont exposé, Makhtar Cissé a exprimé son indignation face à la cohabitation des populations avec les installations de la Senelec. “Avec le système électrique sénégalais, il est terrifiant de le dire, mais nous sommes dans une insécurité totale”, a-t-il avoué. Il fait remarquer que les pylônes électriques traversent Dakar, enjambent les populations. En guise d’exemple, il indique avoir vu, à hauteur de l’Autoroute à péage, une maison dont un des supports est une pylône de 225 mille voltes.

Mais le plus terrifiant dans cette histoire, c’est que le Dg de la Senelec semble être impuissant devant le fait. Il explique que des actions ont été menées en ce sens, mais sans avoir les résultats escomptés. Plusieurs menaces d’arrestation et de déguerpissement ont été servies aux populations, pour résoudre ce “gros problème de sécurité”, mais les mauvaises pratiques demeurent.

Et dans “ce désordre ambiant”, Makhtar Cissé est d’avis qu’il n’est pas possible de développer le pays.

Le Réseau national des prestataires d’argent tire sur la sonnette d’alarme. Ce sont ses représentants au niveau national qui ont signalé “la défaillance du système Wari entrainant une perte d’argent énorme pour certain et une augmentation anormale des plafonds pour d’autres”.

Cela dure depuis une quinzaine de jours, indique-t-on sur un communiqué envoyé à Actunet. “Cela sans que Wari ne donne aucune explication à son réseau de distribution”, indique le Renapa.

Voici pourquoi le réseau a invité “tous les prestataires à arrêter, pour le moment, toute transaction sur Wari en attendant le retour à la normale”.

Le Directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) s’est félicité des avancées notées au niveau de la couverture du site par les opérateurs de téléphonie. Abdou Karim Sall qui effectuait une visite à l’aéroport international Blaise Diagne les a exhortés à finaliser… Lire la suite sur Business221.com

Le bureau des relations publiques de la Police nationale annonce le démantèlement, dans la nuit de lundi à mardi, d’un réseau de narcotrafiquants et la saisie de 30 kilogrammes de chanvre indien à Cambérène 2, dans la commune des Parcelles Assainies, à Dakar. Lire la suite sur aps.sn

Le week-end a été chaud au commissariat central avec l’arrestation d’un Sénégalais du nom de N. L’homme a été piégé par une commande de 18 filles âgées de 18 à 25 ans qu’on lui aurait filée, et qu’il devait livrer à un endroit bien déterminé, pour une soirée hot et privée. L’enquête est en cours et aurait même révélé des noms de hautes personnalités du pays qui sont dans le showbiz, dans la politique et dans les affaires. Ils sont soupçonnés d’être de gros clients de N. qui a craché leurs noms, numéros de téléphone et adresses.

Le Réseau des enseignants de l’Apr a tenu à présenter ses excuses pour les attaques de leur coordonnateur, Youssou Touré, contre le couple présidentiel, suite à son éviction du gouvernement lors du dernier remaniement. Le message des enseignants apéristes, contenu dans un communiqué exploité par le journal «Le Quotidien», lu par Actunet.net, s’adresse autant à Macky Sall et son épouse qu’à l’opinion.

«Nous renouvelons notre loyauté, notre soutien et notre engagement sans faille derrière le président de la République dans la perspective de sa réélection dès le premier tour en 2019», lit-on dans le communiqué.

En présentant ses excuses suites à ses attaques, Youssou Touré avait demandé au chef de l’État de le décharger de ses fonctions de coordonnateur du Réseau des enseignants de l’Apr. Macky Sall n’est pas allé dans le sens indiqué par l’ex-secrétaire d’État. Au contraire, il l’a maintenu à son poste en lui renouvelant sa confiance.