Faut-il envoyer à la retraite tous ces politiciens qui nous gouvernent depuis l’indépendance du pays et qui n’ont pas réussi à nous sortir de ce marasme, où plus de cette stagnation dans tous les domaines ? En effet, le Sénégal est composé depuis l’indépendance d´un cercle de politiciens, dépassé par le cours des événements actuels. Nous pensons à juste raison que le Sénégal ne saurait continuer de reproduire les mêmes schémas anachroniques de penser et d´agir des générations passées et qu´une alternance générationnelle s´impose. Le développement, l´émergence et l´accroissement ne peuvent se faire que par le renouvellement des compétences. Personne ne rend à sa génération un service plus grand que celui qui, soit par son art, soit par son existence, lui apporte le don d´une certitude. Le temps n’est il pas venu pour un nouveau mode de gouvernance? Si aujourd’hui la politique est devenue le moyen le plus rapide pour avoir de la richesse, c’est parcequ’il ya plus d’homme politique que d’homme d’Etat. L’homme d´Etat, dans son originalité doit être visionnaire, ambitieux et créateur, travaillant sur le long terme et pour une autre génération au risque de ne pas durer au sommet. L´homme d´Etat instaure des bases solides pour l´avenir et le bien-être de son pays. L´essence de l´homme d´Etat se base sur une éthique humaniste, qui apporte dignité, respect, justice équitable et prospérité à son peuple. Or, l´homme politique pense d´abord aux élections, à sa poche, travaillant et utilisant, la calomnie, le mensonge et la violence comme leitmotiv. L´homme politique fait de la transhumance, de la corruption et du clientélisme politique son programme pour développer une nation. L´homme politique se dote de fonds pour acheter des personnes influentes avec comme but d´avoir du bétail électoral. Une vraie gouvernance de rupture ne doit pas être un slogan mais une réalité que les Sénégalais devront sentir. Le développement économique et social du Sénégal nécessite la mise en œuvre d´une stratégie prenant en compte une nouvelle gérance des biens publics. Les milliards du contribuable ne doivent pas servir ni à acheter du bétail électoral, ni à corrompre cette nouvelle race de politiciens mais plutôt à aider les nécessiteux ou soulager le panier de la ménagère et peut être même subventionner les frais d´inscriptions des étudiants. Tout citoyen a le droit de comprendre comment se passe la gestion des affaires publiques de l´Etat. Et si le citoyen ne se préoccupe pas de cette gestion, cela déboucherait sur cette inégalité de la distribution des richesses qui peut conduire à une instabilité sociale.

Ndiogou CISSE

Scène d’horreur à Pikine plus précisément à la cité Lobatt Fall. Un individu non encore identifié s’est donné la mort dans sa voiture, informe le reporter de Zik Fm. Il est surtout dite que le défunt est un gendarme à la retraite. Il se serait suicidé en se tirant une balle dans la tête. La police et les sapeurs-pompiers sont sur les lieux.

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Depuis la mort par balle de Mohamed Fallou Sène à Saint-Louis, les interrogations sur l’attitude que doivent adopter les forces de l’ordre, si leur vie est en danger, fusent de partout.

Dans les colonnes de SourceA dans sa parution de ce jeudi, le Commissaire de Police à la retraite, Boubacar Sadio semble trouver la réponse exacte. Le spécialiste renseigne ainsi que la Législation permet de tirer à balles réelles sur la foule.

“Dans une manifestation, il y a une disposition réglementaire qui autorise à tirer sur les manifestants qui bravent l’autorité surtout, dit-il, quand la vie des agents est en danger”. Le commissaire à la retraire explique aussi que cette disposition est inscrite dans la réquisition complémentaire spéciale”.

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La vie des enseignants est loin d’être un long fleuve tranquille. En effet, même après des décennies de bons et loyaux services dans les classes, les enseignants admis à faire valoir leurs droits à la retraite, broient du noir pour toucher leurs pensions.

Selon SourceA, dans sa parution de ce mardi, l’administration sénégalaise leur impose un acte de radiation nécessaire pour la prise en compte du paiement au niveau du ministère de la Fonction publique. Alors que, pour les “victimes collatéraux” du système de Macky Sall, ce document nécessite l’obtention du dernier acte d’avancement et de la copie  du premier ordre de service (OS) dans la fonction publique. Deux papiers dont l’existence est incertaine, vu leur caractère ancien, car la quasi-totalité des fonctionnaires à la retraite concernés par ce problème ont pris service, il y a plus de 30 pour certains et 38 ans pour d’autres.

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Alors que le secteur de la santé sera paralysée pour 72 heures, voici une nouvelle qui pourrait faire des émules dans la Fonction publique. Le Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne a annoncé une possible réforme quant à l’âge de la retraite des médecins du pays.

Le président de la république prévoit, en effet, de le relever à 65 ans pour palier les longues études que font les travailleurs de la Santé avant d’exercer leur métier.

Invité de l’émission « Grand Jury » sur la Rfm, le Premier ministre a souligné qu« avec un cursus universitaire qui peut durer jusqu’à 10 ans, les médecins arrivent tardivement dans le marché du travail. Alors, il faudrait mettre en place un système qui puisse les permettre de cotiser convenablement à l’Ipres (Institut de prévoyance retraite du Sénégal) ».

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Pendant 10 jours, la cité religieuse de Médina Gounass va accueillir les fidèles musulmans venus de tous les coins du monde.
Une retraite spirituelle pour mieux se concentrer, s’abstenir des besoins de la vie quotidienne afin de prier et glorifier Allah.
Cet événement est d’une importance capitale dans la vie des fidèles musulmans qui viennent y prendre part. Ces derniers n’ont pas manqué de formuler de prières pour la paix dans le monde.
Chaque jour près de 12.000 Zikr du Salatoul Fatiha seront effectués par les fidèles en plus du récital du Saint Coran.

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Abdoulaye Mbaye Pékh a annoncé sa retraite du milieu hippique. Il ne commentera plus les courses de chevaux. Pour cause, il a reçu le « Ndigeul » (ordre) de consacrer sa vie exclusivement à Serigne Touba Mbacké. Et c’est ce qu’il compte faire pleinement. « Les affaires de Serigne Touba ne peuvent être associées à rien… », a-t-il dit.

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Abdoulaye Mbaye Pékh a annoncé sa retraite du milieu hippique. Il ne commentera plus les courses de chevaux. Pour cause, il a reçu le “Ndigeul” (ordre) de consacrer sa vie exclusivement à Serigne Touba Mbacké. Et c’est ce qu’il compte faire pleinement. “Les affaires de Serigne Touba ne peuvent être associées à rien…”, a-t-il dit.

On peut donc en déduire que le communicateur traditionnel arrête également ses activités politiques. A noté qu’il détient la carte de membre du Parti démocratique sénégalais (Pds). Au de-là des fanas de course hippique, c’est Abdoulaye Wade qui perd un très bon Micron central.

Avoir une vie facile après une belle carrière professionnelle n’est jamais une chose aisée. Mais, certains athlètes arrivent à mieux s’en sortir. En effet, votre rubrique “la vie après carrière” s’intéressera à Papa Bouba Diop. Un ancien international sénégalais.

Il a aujourd’hui pris sa retraite et vit à Arras, près de Lens avec sa famille. Après une carrière bien remplie en Angleterre, il gère ses affaires notamment ses biens immobiliers à Dakar et se fait très discret. Il est cependant en train de travailler sur des projets à mettre en œuvre dans sa ville d’origine de Rufisque. Il ne chôme pas. Il a réveillé le génie d’entrepreneur qui dormait en lui.

Il est né le 28 janvier 1978 à Dakar, Sénégal. Il a évolué au poste de milieu de terrain. Très athlétique, il mesure 1,94 m et pèse 94 kg. Au sein de l’équipe nationale sénégalaise, il a marqué le but victorieux contre la France lors du match d’ouverture de la Coupe du monde de 2002 . Auteur de deux autres buts lors de cette coupe du monde où le Sénégal ne s’est arrêté qu’en quart de finale, il fait partie, selon le journal Le Monde, d’une liste de onze jeunes joueurs qui se sont révélés au cours de cette coupe du monde et qui devrait confirmer à l’avenir. Il est également le meilleur buteur sénégalais en phase finale de coupe du monde avec 3 réalisations.

Son palmarès n’est pas vierge. Il a été finaliste de la Coupe d’Afrique des Nations en 2002, quart de finaliste de la Coupe du monde de 2002, Champion de Suisse en 2001 avec Grasshopper Zurich, Vice-champion de ligue1 en 2002 avec RC Lens, Vainqueur en de FA Cup en 2008 avec Portsmouth, Finaliste de FA Cup en 2010 avec Portsmouth, Vainqueur de la coupe de Grèce en Coupe de Grèce 2011.

Balla Diouf range à jamais son “ngimb”. L’ex sociétaire de l’écurie de Fass l’a fait savoir dans cet entretien avec Pikini Productions. Selon lui Gris Bordeaux est à l’origine des mésaventures qui l’ont obligé à se retirer de la lutte.

Balla avait eu un malentendu avec Gris Bordeaux. C’était lors de son combat contre Modou Lô en 2012.

Ensuite il a quitté l’ écurie Fass pour rejoindre Yoff, l’écurie de Malick Niang.

Regardez l’ancien pensionnaire de l’écurie de Fass dans un entretien avec “Pikini”.

Mamadou Racine Talla devrait quitter la direction de la Rts dans 4 jours. Le 29 septembre prochain, il fêtera ses 60 ans et atteindra donc l’âge de la retraite. Le Collectif des employés pour le redressement de la Rts entendent s’opposer à toute éventuelle prolongation de son contrat. Dans un document, ils pointent du doigt des “dysfonctionnements dans sa gestion opaque, désastreuse, nébuleuse, clientéliste et ethnique”.

“Depuis l’arrivée du Président Macky Sall au pouvoir, la RTS a reçu, en termes de subventions, plus de 40 milliards de francs Cfa. Cette manne financière a été très mal gérée par Racine Talla”, explique le document. Lequel argumente : “La gestion des finances de l’entreprise est loin d’être rigoureuse. Une absence totale de planification des dépenses est notée. Les états financiers couvrant la gestion des années 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016 n’ont pas été présentés aux structures compétentes”.

En outre, ces employés de la Rts dénoncent le cumul de fonctions de Racine Talla, également maire de Wakhinane Nimzatt, qui décrédibilise, selon eux, la télévision nationale.

Ce n’est pas tout. Le Collectif, très remonté contre leur Directeur général, s’indigne également de ses dépenses exorbitantes et somptuaires. “En moins de cinq ans de présence à la RTS, Racine Talla a changé deux fois de véhicule de fonction, ce qui est interdit par les textes”, font-ils remarquer. A les en croire, “le dernier véhicule de fonction, une Toyota Land Cruiser V8 qu’il a acquise pendant la campagne des Législatives de 2017, a coûté pas moins de 80 millions Cfa”. Ceci, alors que le personnel a reçu son salaire d’août le jour même de la Tabaski.

Le Collectif des employés pour le redressement de la RTS qui se dit sur le pied de guerre “a concocté un plan d’actions qui sera déroulé très prochainement pour un départ définitif de Racine Talla”.

Le capitaine emblématique de la Sélection nationale de basketball, Malèye Ndoye, a annoncé sa retraite internationale à la fin de la demi-finale perdue hier vendredi par les Lions devant le Nigéria à l’Afrobasket 2017 à Tunis.

’’C’est fini, j’arrête’’, a dit Malèye Ndoye un trémolo dans la voix à la fin de la deuxième demi finale perdue sur le sol tunisien par les Lions du basketball devant le Nigeria (77-71), mettant ainsi un terme à sept participations à l’Afrobasket. Un record pour un joueur sénégalais.

«Maintenant, il est temps de laisser la place à des jeunes joueurs. C’est dommage que cette génération ne remporte pas le trophée, et c’est surtout dommage que je n’aie pas l’opportunité de soulever la coupe d’Afrique», a regretté Malèye Ndoye qui a démarré sa carrière internationale par une finale en compétition continentale en 2005.

Ndoye, qui a fait toute sa carrière universitaire à Furman (Etats-Unis), a démarré une carrière professionnelle après l’obtention de ses diplômes. D’abord joueur professionnel au Portugal, il rejoindra l’année suivante le championnat de France qu’il ne quittera plus jusqu’à maintenant.

Malèye Ndoye a pris part à deux Coupes du monde de basketball, en 2006 au Japon puis en 2014 en Espagne, où le Sénégal a passé, pour la première fois, la phase des premiers tours.

Désormais retraité, Ndoye souhaite quand même jouer un rôle ’’en dehors du terrain, pour permettre à la prochaine génération de réaliser le rêve de remporter une coupe d’Afrique de basketball’’.

C’est avec le sentiment d’avoir accompli sa mission au service de son pays que le colonel d’Infanterie Antoine Wardini quitte les drapeaux, après 38 années de «bons et loyaux services». En effet, dans une interview exclusive chez nos confrères du Témoin et non dépourvue d’émotions, l’ancien directeur de la Direction des relations publiques des armées (Dirpa), submergé par l’émotion et la tristesse a, tout de même, dit toute sa fierté du devoir accompli. «J’ai la fierté et le sentiment d’avoir accompli ma mission, la fierté d’avoir servi mon pays après avoir répondu à l’appel de la patrie», souligne-t-il. Ajoutant : «Je suis à la fois content et ému de partir avec la poitrine semée de médailles et les épaules lourds de galons. Ce qui se justifie par le fait qu’en dehors du territoire national, j’ai servi mon pays aux quatre coins du monde dans les opérations de maintien de la paix». En terminant, le Colonel Antoine Wardini, ci-devant directeur du Service civique national, déclare qu’«étant à la retraite, je reste à la disposition de mon pays pour continuer à le servir dans d’autres domaines».

Le Colonel Antoine Wardini, directeur du Service civique national va faire valoir ses droits à la retraite, dans l’Armée sénégalaise, après 38 de «bons et loyaux service». A partir de ce 22 septembre, le Colonel Antoine Wardini va entrer dans ce qu’on appelle dans le jargon de l’Armée « les cadres de réserve» (CR) pour désigner pudiquement les officiers à la retraite. Ce brillant officier de l’infanterie a la particularité d’être le seul Sénégalais d’origine libanaise à faire une carrière achevée dans les forces de défense et de sécurité. En cela, le Colonel Wardini, originaire de Kaolack où s’étaient installés ses parents, est sans conteste le symbole d’une intégration réussie de la communauté libanaise dont les membres sont des Sénégalais à part entière.