Une pirogue de migrants a chaviré ce mercredi au large de Saint-Louis, causant la mort d’une vingtaine de personnes. Après ce drame, le président Macky Sall a réagi et présenté ses condoléances aux familles éplorées. Il annone également un soutien aux familles des victimes.

De neuf morts, le bilan enregistré par notre correspondant à Saint Louis passe à 25 morts. Pour rappel, c’est une embarcation qui avait à son bord 309 migrants qui s’est échoué sur les côtes saint-louisiennes, précisément à Santhiaba.

Un pêcheur domicilié au quartier Diamaguène de Saint-Louis l’a échappé belle dans la journée du 29 avril dernier. Le sieur PDD, c’est son nom a failli être égorgé par des malfaiteurs au cimetière Marmyal de l’ancienne capitale du Sénégal. Selon des témoignages recueillis sur place, c’est au moment où la victime formulait des prières sur la tombe de sa mère que ces individus malintentionnés ont surgit de nulle part.

Armés de couteaux et de machettes, les malfaiteurs ont tenu en respect le pauvre PDD qu’ils ont voulu tout simplement  décapiter. Ce dernier a été sauvé de justesse par des bonnes volontés qui étaient sur les lieux par hasard. Leur coup étant tombé à l’eau, ses bourreaux ne se sont pas fait prier pour prendre la poudre d’escampette en escaladant le mur de clôture du cimetière. Dans leur fuite en avant, ils ont  abandonné sur place leur victime qui se tordait de douleur. Alertés, les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place. Après les constatations d’usage, le nommé PDD a été évacué d’urgence  au Centre hospitalier régional de Saint-Louis où il est toujours en observation.

Toutefois, selon une source médicale, son pronostic vital n’est pas engagé. Une enquête a été ouverte par les hommes du Commissaire Diarra pour déterminer les circonstances exactes de cette tentative de meurtre. Affaire à suivre….

Saint-Louis revit ainsi périodiquement au rythme du jazz pendant 5 jours d’affilée, à l’occasion du festival, qui accueille régulièrement des « pointures » de stature internationale : Roy Haynes, Louis Sclavis, Archie Shepp, Doudou Ndiaye Rose, Horace Parlan, Soriba Kouyaté, Randy Weston, Lucky Peterson, Richard Bona, Jack DeJohnette, Mc Coy Tyner, Ali Farka Touré, Elvin Jones, Abdoullah Ibarhim, Gana Mbow, Joe Zawinul, Pharoah Sanders…

PROGRAMMATION « IN » 2018 :

Jeudi 26 avril / Cérémonie d’ouverture
ASSANE THIAM & SES 50 TAMAS- SN
REIS DEMUTH WILTGEN- Luxembourg
ETIENNE MBAPPE- CAM

Vendredi 27 avril
KJ DENHERT- USA
SHAHIN NOVRASLI- AZERBADJAN

Samedi 28 avril
FIONA MONBERT /DIDIER LOCKWOOD GROUPE/ SHAHIN NOVRASLI : Hommage à Didier Lockwood – FR/Azerbadjan
RHODA SCOTT- USA

Dimanche 29 avril
NICOLAS FOLMER- FR
DHAFER YOUSSEF -TUN

Lundi 30 avril / Journée Mondiale du Jazz
AWA LY-SN
PACO SERY & ELEPHANTS DU JAZZ- CI
STANLEY JORDAN/WILL KALHOUN/ KAI ECHARD TRIO -USA

Mardi 1er mai
GROUPES LOCAUX- SN
JULIA SARR
ABLAYE CISSOKO/AFRICAN JAZZ ROOTS
HERVE SAMB

De nombreux concerts et manifestations « OFF » se dérouleront dans les différents bars et restaurants de la ville.

En présence de l’adjoint au gouverneur chargé du développement, Sahite Fall, du Secrétaire général du ministère du Commerce, Makhtar Lakh, du Directeur général adjoint de la Saed, Aboubakry Sow, le Directeur général du Bureau de mise à niveau, Ibrahima Diouf, a réitéré son engagement à poursuivre cette collaboration avec ces entreprises de l’axe Nord.

Il s’agit de Syka Entreprise, dirigée par deux jeunes, qui s’activent dans le domaine de la transformation et de la commercialisation du riz blanc et qui ont bénéficié d’un financement de 43 millions de FCfa d’investissement approuvés et de 21 millions de FCfa de primes octroyées, du Gie Darou Mbodjéne, dirigé par un jeune diplômé en gestion, de l’université Gaston Berger qui mène également des activités dans le domaine de la production, de la transformation et de la commercialisation du riz blanc (69,4 millions d’investissements approuvés et 31,4 millions de primes octroyées).

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L’adjoint au gouverneur chargé du développement, Sahite Fall a remis, mardi, les clés de cinq minibus, au représentant des transporteurs de la région de Saint-Louis, Khalifa Ndiaye, en présence des autorités administratives et locales, a constaté l’APS.

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Comme promis, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) a réservé un accueil « rouge » au président Macky SALL. les libéraux de Saint-Louis ont exprimé leur colère à travers le port d’habits et de brassards rouges.

L’on croyait que les Rencontres humanistes et fraternelles d’Afrique et de Madagascar (Rehfram) ont mis une croix sur le Sénégal après que les autorités ont notifié l’annulation de leur congrès à Dakar. Que nenni ! Du moins si l’on en croit à certaines indiscrétions qui informent que le congrès des Rehfram serait déplacé à Saint-Louis.

Selon des sources de piccmi.com, la sortie du Grand Orient de France pour menacer ce qu’il appelle “les forces obscurantistes” n’est rien d’autre qu’une manière de reculer pour mieux sauter. En effet, le Sénégal serait toujours le pays d’accueil des Rehfram. Sauf qu’à la place de Dakar, renseignent nos sources le Congrès serait déplacé dans la capitale du Nord (Saint-Louis) avec la complicité des hauts placés au Sénégal.

Nos interlocuteurs indiquent dans la même veine que le déplacement du président français Emmanuel Macron entrerait dans ce cadre ; une manière de noyer le poisson. De même que, ajoutent-ils, la bataille entre responsables politiques locaux à propos à l’accueil du président français samedi prochain à Saint-Louis.

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La violente réaction des pêcheurs de Guet Ndar hier en vandalisant des commerces de maures à St-Louis suite au meurtre du jeune pêcheur Fallou Diakhaté tué dimanche par les garde-cotes mauritaniens fait peur et me pousse encore à interpeller cette fois non pas nos deux chefs d’Etat, mais mon ami Ould Aziz.

Seulement, je rappelerai que le 08 février 2017, j’écrivais une lettre ouverte aux présidents Mohamed Ould Abdel Aziz de la Mauritanie et Macky Sall du Sénégal sur l’affaire des 59 pêcheurs sénégalais arrêtés par les garde-côtes mauritaniens.

A cette époque, j’attirai l’attention sur la récurrence de tels conflits entre garde-côtes mauritaniens et pêcheurs sénégalais qui risquaient un jour de nous replonger dans les événements tragiques de 1989. J’avais pris sur moi ma sénégalité-mauritannienne pour fustiger la gestion de ce dossier qui pourrait un jour remettre en cause tout le processus de pansement des blessures subies par les deux pays frères à la suite des événements de 1989. A la lumière, des événements de ce lundi qui sont assurément de dangereux signes montrant que la prise en charge réelle de la problématique des conflits entre les garde-côtes mauritaniens et pêcheurs sénégalais n’a pas été effective, le temps est venu de poser les cartes sur la table.

Heureusement que les manifestations de ce lundi à Guet Ndar n’ont pas débordé jusqu’à engendrer la mort d’hommes. Ce qui serait regrettable puisqu’elle pouvait ouvrir la porte à des représailles de part et d’autre du fleuve nous replongeant dans la crise de 1989. D’autant que la récurrence de telles tragédies créée des dynamiques de foules déferlantes qu’aucune autorité ne pourrait finalement retenir. Quand le démon de la vengeance s’installe dans un pays, cela débouche sur une boucherie incontrôlable. Or entre la Mauritanie et le Sénégal, nous sommes des frères, des sœurs et des parents. Deux frères à qui le Bon Dieu a fini de doter de généreuses ressources pétrolières et gaziéres qui doivent profiter aux deux peuples, pardon je voulais dire à notre seul peuple. Parce que pour moi Baba Tandian, la Mauritanie et le Sénégal ne forment qu’un seul peuple. Les vicissitudes coloniales ont démembré physiquement ce bloc géographique uni jadis.

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La mort du pêcheur sénégalais tué par les gardes côtes mauritaniennes a créé des troubles au Nord du Sénégal. Attendu à Saint Louis, le chef d’Etat français et ses conseillers en sécurité suivent avec attention les émeutes qui ont éclaté hier dans cette ville au Nord du Sénégal.

Depuis Addis Abeba, le président Macky Sall et son homologue Mohamed Ould Aziz ont échangé sur le problème. Mais, à en croire Dakartimes, les éléments de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) dont l’actuel ambassadeur français était membre, ont déjà investi la ville de Saint Louis pour préparer la visite d’Emmanuel Macron dans un contexte marqué par la mort de 14 soldats maliens par des terroristes qui auraient traversé la frontière mauritanienne.

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Des frustrations et supputations ont sanctionné, vendredi, une réunion convoquée par le coordonnateur départemental Ameth FALL BRAYA en vue de préparer la visite du Président français Emmanuel MACRON à Saint-Louis. BRAYA qui faisait face à des chefs de section, a indiqué avoir accepté de piloter l’accueil à la suite d’une proposition qui lui a été faite par le maire de Saint-Louis et leader local de Benno Bokk Yakaar (BBY), Mansour FAYE. 

Dans sa déclaration, il a invité les Saint-Louisiens à se mobiliser pour « honorer » le chef de l’État français et « le remercier pour sa participation dans lutte contre l’érosion côtière ». Il a également demandé à ce que d’autres doléances fortes telles que l’érection d’un second pont à Saint-Louis et le démarrage des travaux de stabilisation de la brèche, lui soient confiées.

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Le compartiment frigorifique du marché Tendjiguene, situé non loin de la gare a pris feu mardi vers 6 heures du matin. Les blocs de frigos qui contenaient d’importantes quantités de poissons ont été calcinés par les flammes.

N’eût été la bravoure d’un vieux, le pire allait se produire dans d’autres parties de ce lieu. Il a  a pu maîtriser la propagation du feu au péril de sa vie, avant l’arrivée des Sapeurs pompiers.

«Très tôt ce matin, une collègue m’a appelée pour m’annoncer cette catastrophe. Je me suis vite déplacée. Sur place, j’ai constaté avec tristesse que tous nos biens se sont envolés», confie une vendeuse de poissons au micro du correspondant de Tfm. Lire la suite

La défénestration de Yerim Thioub a créé un malaise dans les rangs des alliés du Président Macky Sall à Saint-Louis et dans son arrière pays. Les partisans du désormais ex Directeur général de l’Agence nationale des affaires maritimes  (Anam) n’arrivent toujours pas à avaler cette pilule.

Les plus radicaux considèrent le limogeage de leur mentor comme un affront. Ces derniers n’excluent pas de geler leurs activités au sein de la coalition Benno Bok Yakar (Bby) en guise de protestation.

Malgré les appels au calme de Yerim Thioub en personne pour endiguer ces velléités de fronde, il y a toujours de l’électricité dans l’air. Cette situation inédite fait craindre le spectre d’un vote sanction à la prochaine élection présidentielle.

Ce vent de mécontentement s’est même propagé jusque dans les campus universitaires. Les étudiants originaires du département de Saint-Louis et même du Walo qui bénéficiaient de l’appui constant de Yerim Thioub sont eux aussi montés sur leurs grands chevaux.

Ils ne veulent pas être les victimes collatérales du limogeage de leur bienfaiteur. Toutes griffes dehors, ces étudiants interpellent le Chef de l’État sur le cas Yerim Thioub. Se refusant de commenter sa décision, ils estiment neanmoins que le Président du Mouvement Action Sénégal  (MAS) ne mérite pas le sort qui lui a été réservé le 6 décembre dernier.

C’est une colère noire que ruminaient les commerçants du marché SOR après la décision prise par la commune d’affecter une partie de la place Abdoulaye WADE à un privé…lire la suite sur ndarinfos 

Une procession qui ne laisse personne indifférente à Saint Louis, lors du Forum initié par Amadou Diaw, c’est bien celle des calèches qui conduisent les invités vers les lieux d’attraction de l’événement. Et pour ce travail, les conducteurs de calèches ne se sont pas plaints. Au contraire… Lire la suite sur reussirbusiness.com

Une explosion sur le pont Faidherbe, cordon ombilical reliant le faubourg de Sor et l’île a coupé la commune en deux. C’est la panique générale. La circulation est bloquée dans les deux sens de la ville. La destruction d’une structure métallique vise à rendre impossible, pour les forces de défense et de sécurité, l’accès sur l’île.

Les terroristes passent ensuite à l’étape supérieure. Ils se retranchent à l’Institut français où ils prennent en otage le personnel ainsi que les visiteurs. Les forces de l’ordre accèdent, eux, sur l’île en passant par le plan d’eau grâce à la réactivité intelligente de la Brigade fluviale de la Gendarmerie nationale.

Les éléments de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip) se lancent aussitôt aux trousses des assaillants, qu’ils sont finalement parvenus à neutraliser. Du côté des terroristes, certains ont été abattus, un blessé grave a été noté dans leur rang en plus des arrestations.

Les otages eux sont libérés par les éléments de la Bip et remis aux Sapeurs pompiers. Après un second assaut du groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (Gign) et un constat d’usage de la Police scientifique, les premiers éléments de l’enquête ouverte sont livrés au procureur de la République, venu s’enquérir de la situation.

Cette opération est une activité de simulation, que nous rapporte le journal L’Obs, lu par Actunet. Son objectif a été de tester la capacité de réponse des forces de défense et de sécurité dans pareille situation, mais aussi de jauger la capacité des hôpitaux dans de tels cas.