Les choses s’accélèrent pour Gassama Mamadou, le héros de l’heure en France. Surnommé le “Spiderman de Paris”, le jeune migrant malien a obtenu le statut d’immigration légale et a rejoint les pompiers français.

Reconnaissance nationale et internationale. Un scénario que Gassama Mamadou, jusqu‘à hier encore immigrant illégal en France, n’aurait pas imaginé de si tôt. Pourtant, depuis le week-end, le jeune Malien de 22 ans vit un conte de fées après qu’il a sauvé un enfant de 4 ans suspendu au balcon d’un immeuble.

Un acte héroïque salué dans son pays natal et en France. Ce lundi, il a été reçu par le chef de l’Etat français Emmanuel Macron qui lui a promis la naturalisation française. Ce à quoi s’attellent depuis ce mardi les services d’immigration. Gassama devrait recevoir d’ici à un mois une carte de séjour de 10 ans avant d‘être naturalisé français. Lire la suite de l’article sur Afrcanews.com

L’infirmier major, caporal-chef des sapeurs-pompiers, son collègue et leur acolyte boutiquier ont été arrêtés en possession de 1,8 kg de chanvre indien par les éléments du commissariat urbain de Kébémer. Ils ont finalement été placés sous mandat de dépôt, renseigne « L’Obs ».

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Plus de peur que de mal. La Caserne des sapeurs-pompiers de Kédougou a failli hier, très tardivement dans la nuit, être victime d’un drame.

Les populations de ladite Commune s’étaient soulevées contre les agents de la Brigade des sapeurs-pompiers. La raison ? Elles voulaient, tout simplement, mettre le feu dans ce camp.

En effet, les habitants étaient très remontés contre les sapeurs qui, laissent-ils entendre, avaient refusé de venir éteindre un feu déclaré dans une boutique de vente de motos. Ainsi, ils ont voulu déverser leur bile sur ces agents. Une façon pour eux, de se faire justice.

Du côté des sapeurs-pompiers, c’est le pire qui a été frôlé. Un haut gradé dudit corps, explique que ses hommes n’ont jamais refusé de répondre à leur mission. A l’en croire, le seul véhicule dont dispose la Caserne est tombé en panne depuis longtemps lors d’un incendie survenu à Kharakhéna (site d’orpaillage). Et, jusque-là, il n’est pas en bon état. Voilà ce qui justifie leur manque de réactions dans leur devoir.

Après cette attaque, une réunion s’est, nuitamment, tenue entre le gouverneur de la Région, les sapeurs-pompiers et les populations. Pour l’heure, deux jeunes ont été interpellés par les forces de l’ordre pour enquête.

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Il est triste de constater que ceux qui doivent protéger la population ne disposent pas de moyens pour bien faire leur travail. En effet, A Khombole, l’unique voiture d’incendie est en panne depuis plus de deux ans. Aussi, les Pompiers de la brigade de khombole n’ont  ni casques, ni gants, encore moins de masques.

Informés d’un incendie, les soldats du feu arrivent sur les lieux sans équipements. S’il n’y avait pas la présence de leurs collègues de Thiés, Diourbel et Tivaouane, la situation serait catastrophique. À la fin, ils étaient obligés d’utiliser des bidons d’eaux de 20 litres et ne pouvaient même pas continuer leur travail après l’incendie, de peur que le bâtiment ne s’écroule sur eux, surtout qu’ils n’ont aucun équipement de protection. Les autorités sont appelées à y remédier.

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