Quelques heures après les révélations de l’ancien directeur général de la société de transport Dakar Dem Dikk, Me Moussa Diop, les réactions se multiplient. Le Dr Ousmane Cissé parle de contre-vérités. « Le 1er décembre 2016, Monsieur Aly Ngouille Ndiaye était Ministre de l’industrie et des Mines. Donc il ne peut être le Ministre de l’Energie et des Mines qui a signé la lettre lue par Maître Diop. Il faut rappeler que depuis 2013, l’appellation Ministère de L’Energie et des Mines ne figurait plus dans la composition du gouvernement »,  a laissé entendre le Directeur des Mines et de la Géologie  (2011-2019).

Pour ce dernier, le Président Macky Sall ne délivre pas de titres miniers de reconnaissance ou de recherche. Aussi, dit-il, il n’en a jamais ordonné l’octroi à quiconque. « Le Président Macky Sall n’a pas signé la « lettre » du 8 février 2018 adressée à son “cher collaborateur ». En  effet, il a quitté Dakar le 7 février 2018, pour prendre part au 18ème Sommet du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le sahel (CILSS) qui s’est tenu le même jour à Niamey. Le 8 février, le Chef de l’Etat a quitté Niamey pour se rendre en Mauritanie où il a effectué une visite de travail. Le lundi 26 février 2018, le Président Macky Sall ne pouvait pas être à Paris car il était à Dakar pour la visite officielle au Sénégal du 28 février au 02 mars 2018 de S.E.M Recep Tayyip Erdogan, Président de la République de Turquie », estime le Dr Ousmane Cissé.

Il explique : « En Droit minier au Sénégal, il n’existe pas une ‘autorisation d’exploration’. Soit on détient une AUTORISATION DE PROSPECTION soit un PERMIS DE RECHERCHE. Ces deux titres miniers sont de nature différente en droits et obligations et ne confèrent pas des droits d’exploitation. La société citée dans la « lettre » de Maître Diop est inconnue du registre des titres miniers du Sénégal. Seules deux (02) sociétés minières détenaient des permis de recherche de Diamant. Il s’agit de 2SH à Wassangara (2016) et de ICT à  Ylimalo (2018) à Kedougou », a souligné le Dr Ousmane Cissé estimant que le Diamant n’est pas exploité au Sénégal, particulièrement dans la « ZONE NORD » où malheureusement il n’y a pas de roches diamantifères.

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Prise dans un scandale pour avoir utilisé la carte bancaire d’une ONG pour des achats personnels, la seule femme chef d’État en Afrique va quitter son poste

« La présidente de la République m’a confié qu’elle démissionnerait de ses fonctions. Nous sommes tombés d’accord sur la date de son départ, mais nous ne pouvons pas l’annoncer », a déclaré vendredi à la presse à Port-Louis le Premier ministre Pravind Jugnauth. Ce départ interviendra toutefois « peu après les célébrations du 50e anniversaire de l’indépendance », le 12 mars, et avant la rentrée parlementaire, le 27 mars, a-t-il ajouté, expliquant qu’à ses yeux « l’intérêt du pays passe avant tout ».

Ainsi, la présidente mauricienne Ameenah Gurib-Fakim, actuellement la seule femme chef d’État en Afrique, n’a pas résisté à la pression politique en raison de son implication dans un scandale financier. Mme Gurib-Fakim, 58 ans, occupe son poste depuis juin 2015. Elle a succédé à Kailash Purryag, qui avait démissionné de ses fonctions, et est la première femme à occuper cette fonction honorifique dans l’histoire de l’île Maurice.

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Si le Doyen des juges suit le procureur de la République, les suspects de l’affaires des audiences fictives à la Cour d’appel de Dakar passeront en jugement.

En effet, selon Libération, le chef du parquet a transmis au magistrat instructeur un réquisitoire lui demandant d’envoyer les mis en cause devant le tribunal correctionnel de Dakar.

La balle est donc désormais dans le camp du Doyen des juges. Qui doit bientôt rendre une ordonnance de règlement.

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La Commission d’enquête mise en place par la Direction générale de la Douane a conclu que 1,8 milliard de F Cfa  a été volé grâce à des crédits fictifs. *

Selon Libération qui rapporte l’information dans sa parution de ce samedi, une dizaine de transitaires a été placée en garde à vue avant d’être libérée. Ce, suite à une transaction.

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L’ancien directeur de l’ONG Oxfam en Haïti, au centre d’un scandale mondial d’abus sexuels, a reconnu qu’il avait eu des rapports tarifés avec des prostituées dans des locaux financés par l’organisation, selon un rapport établi en 2011 par l’ONG à l’issue d’une enquête interne et rendu ce public lundi.

Avec deux autres responsables de l’organisation, le Belge Roland van Hauwermeiren, 68 ans, avait dû démissionner à la suite d’allégations selon lesquelles les trois hommes avaient acheté les services de jeunes prostituées lors de leur mission en Haïti, après le séisme dévastateur de 2010.

Un rapport de 2011

Roland van Hauwermeiren s’était défendu la semaine dernière en affirmant qu’il n’avait pas organisé d’orgies avec de jeunes prostituées et qu’il n’était “jamais entré dans un bordel” en Haïti. Dans une lettre publiée par des médias belges, il avait seulement reconnu avoir eu des rapports sexuels avec une “femme honorable et mature”, et maintenu qu’il ne lui avait pas versé d’argent.

Or, selon le rapport interne de 2011, qu’Oxfam a rendu public lundi dans une version partiellement censurée, le responsable belge avait admis avoir eu des rapports avec des prostituées à son domicile haïtien, qui était financé par Oxfam.

L’ONG avait alors choisi de proposer à son responsable en Haïti un “départ digne, à condition qu’il coopère pleinement avec le reste de l’enquête”.

Des salariés qui rejoignent d’autres ONG

Le rapport interne de 2011 avait conclu “qu’aucune des allégations initiales de fraude, népotisme ou recours à des prostituées mineures n’avait pu être étayée par l’enquête” mais qu’il ne “pouvait être exclu”, cependant, que l’une au moins des prostituées fût mineure.

Oxfam a dévoilé vendredi un plan d’action pour empêcher de nouveaux abus sexuels et tenter ainsi d’apaiser la polémique d’ampleur mondiale.

Dans cette affaire, l’ONG s’est également vu reprocher d’avoir laissé les salariés incriminés rejoindre d’autres ONG, sans mise en garde. Après Oxfam, Roland van Hauwermeiren avait ainsi rejoint l’ONG française Action contre la faim au Bangladesh. Cette dernière a déploré de ne pas avoir été prévenue.

Empêtré dans un scandale sexuel, Oxfam a perdu sa directrice, qui a démissionné après l’éclatement de l’affaire. L’Ong vient d’enregistrer un autre départ : ambassadeur d’Oxfam depuis 2012, le musicien Baba Maal vient d’annoncer sa démission et son indignation.

«Ce qui est arrivé est dégoûtant et déchirant, a déclaré le leader du Dande Leñol sur la Bbc. C’est très triste. Les personnes vulnérables, en particulier les enfants, devraient toujours être protégées. En tant que tel, je me dissocie immédiatement d’Oxfam.»

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C’est décidé. Ndeye Gueye Junior veut oublier le passé et refaire une nouvelle vie.

Depuis la publication de ses vidéos intimes sur le net, la danseuse ne voulait plus se dévoiler. Mais ça c’était avant….Ndeye Gueye veut passer à autre chose et va bientôt reprendre ses activités de danseuse comme le montre cette vidéo.

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La Commission de protection des données personnelles (Cdp) a “saisi le Premier ministre (Mahammad Dionne) pour que le site Seneporno soit bloqué au Sénégal”. La Cdp a donné cette information dans un communiqué parvenu à Seneweb et dans lequel elle précise que “cette requête intervient après des semaines d’investigation pour identifier les propriétaires et les administrateurs du site en question”.

Les services d’Awa Ndiaye, la présidente de la Cdp, indiquent que les “investigations n’ont pas encore abouti à l’identification des administrateurs (du site en question), mais (que) la Cdp est déterminée à protéger la vie privée des concitoyens, comme l’exige la loi”.

C’est que Seneporno cause de nombreux dégâts. “La Cdp a reçu récemment plusieurs plaintes de citoyens et de hautes autorités sur des cas de divulgation de leurs données personnelles et d’atteinte à leur vie privée par le site internet”, renseigne le communiqué.

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En choisissant, dans l’intimité de leur chambre conjugale, de filmer leurs ébats s*xuels via un téléphone portable, “Mr et Mde” étaient loin de se douter qu’ils allaient faire le buzz sur la toile.

Tout est parti d’une histoire de vol de carte mémoire par un certain Fadigui Camara. Maçon de profession, Fadigui a dérobé et vendu la carte mémoire à la modique somme de 1500 Franc, tous deux ignorant jusqu’à présent le contenu de cette carte. La dame offre la carte à sa fille Niakasso (18 ans) qui à sa grande surprise découvre le contenu.

Là, coup de théâtre ! La demoiselle voit se dérouler les vidéos des ébats du couple qu’elle connait très bien. L’envie lui vient de partager ses vidéos avec une de ses copines. Ainsi de fil en aiguille, la vidéo se transmet dans tout le voisinage. Le couple qui découvre les faits, croit tomber des nues.

Une humiliation que l’épouse n’a pas pu supporter. Elle quitte la ville en Catimini, mais son époux choisit de faire face et de porter l’affaire à la gendarmerie. Les limiers vont mettre la main sur 6 jeunes filles dont 3 mineurs.

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Mais où va-t-on donc ? Jadis, les personnes membres de sectes maçonniques se cachaient et faisaient tout pour que ce secret ne soit pas découvert. Mais, ça, c’était avant. Aujourd’hui, la grande partie ne s’en cache plus et les activités se font de manière naturelle. Toutefois, au Sénégal, où la franc-maçonnerie est inacceptable pour la quasi-totalité de la population, il est incompréhensible et inconcevable que les membres de sectes procèdent à un grand rassemblement sur nos terres. Une information visiblement bien verrouillée, malgré la circulation sur la toile de Flyers visant à informer de ce « grand rendez-vous », qui n’est autre que la Rencontre humaniste fraternelle Africaine et Malgache (Rehfram). GALSEN221 vous propose d’en savoir davantage sur ce fait scandaleux.

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Selon les Agents de renseignements infiltrés (ARI) d’Actunet.net, le désormais ex-DG de la Sapco aurait procédé ce jeudi 4 janvier 2018 à la signature de quelque 5 Contrats à durée indéterminée (CDI).

Ces contrats qui dateraient du mercredi 3 janvier 2018 coïncident bizarrement avec le jour de son limogeage. Quid de la validité de ces contrats dont ses proches seraient les principaux bénéficiaires ? En tout cas, selon nos sources aux longues oreilles, cette mesure aurait été prise à l’insu du Directeur des ressources humaines (DRH) qui est en congé du 2 au 30 janvier 2018.

Pis, selon toujours nos sources, des actes de transmission desdits contrats auraient été acheminés en catimini à l’inspection du travail de Dakar et à celle de Thiès. Nos indicateurs sont restés toutefois muets sur le cas de deux prestataires de services qui étaient gracieusement payés par la boite.

Ces derniers qui seraient rémunérés à hauteur de 900 mille et 1 million CFA, font-ils partie des heureux bénéficiaires des CDI qui auraient été distribués par l’ex-DG de la boîte avant son départ ? Mystère et boule de gomme.

À toutes fins utiles, la Redaction de Actunet.net a tenté de joindre Bocar Ly pour recueillir sa version des faits, mais son portable sonnait dans le vide.

Le sieur Oumar Ndiaye a été attrait hier à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar. Il était poursuivi pour les faits d’usurpation de fonction et d’escroquerie. En sa qualité de bénévole au niveau du service des casiers judiciaires du Tribunal de grande instance de Dakar, il n’avait rien trouvé de mieux à faire que de gruger le nommé Oumar Tall de la somme de 1,300 million Cfa.

Le prévenu ayant usé de manoeuvres frauduleuses avait réussi à le déposséder de cet argent qui était censé atterrir dans l’escarcelle d’un magistrat de haut rang dont le professionnalisme et la probité morale ne souffrent d’aucune ambiguïté. Dans ses micmacs, il avait fait croire à sa victime qu’il était capable de diligenter son dossier relativement à une affaire d’exécution provisoire d’une décision de justice.

Oumar Tall qui était partie civile dans ladite affaire où il devrait être dédommagé à hauteur de 160 millions Fcfa, s’est fait ainsi avoir comme un gros nigaud. Non seulement, il n’a pas réussi à recouvrer son argent mais l’intermédiaire qu’il avait engagé pour tenter de corrompre le juge en question a disparu comme par enchantement.

Ayant flairé un mauvais coup, il a eu le toupet de se rendre au Palais de justice de Dakar pour réclamer l’enveloppe qu’il avait remise au bénévole véreux. C’est sur ces entrefaites que le pot aux roses a été découvert. Dans la foulée, la Brigade des affaires générales (Bag) a été mise au parfum. Cette entité de la police judiciaire qui est rattachée à la Division des investigations criminelles  (Dic) et dont les locaux se trouvent à proximité de la cave du Tribunal, s’est alors lancée à ses trousses. Le mis en cause qui avait pris la clé des champs pour se soustraire à l’action de la police, a été finalement rattrapé.

N’ayant aucun argument solide pour se défendre, il a reconnu sans ambages son forfait à l’enquête préliminaire. Après avoir mis hors de cause le magistrat cité à tort dans cette affaire, il a présenté ses plates excuses. Malgré son mea-culpa, le représentant du ministère public n’a pas été du tout tendre avec lui. Pour éviter que certaines personnes malintentionnées ne suivent son mauvais exemple, le maître des poursuites a requis à son encontre, une peine de trois ans de prison ferme.

Les avocats du sieur Oumar Ndiaye ont plaidé l’application bienveillante de la loi arguant que leur client, en détention provisoire depuis le 29 mai 2017, a fait amende honorable. Au terme de ce procès qui a duré plusieurs tours d’horloge, l’affaire a été mise en délibéré  à la date du 12 décembre prochain.

Live Facebook : Françoise Hélène Gaye parle du scandale de Farba Ngom en France.

C’est le journal «Libération» qui donne l’information dans sa livraison du jour.

Le groupe Auchan au Sénégal est visé par des soupçons de fraudes fiscales et scandales foncier et financier à Mbour.

Le journal, lu par Actunet.net estime qu’Auchan s’est empêtré non seulement dans l’attribution supposée nébuleuse d’un terrain d’une superficie d’un hectare faisant partie du Stade Caroline Faye pour la construction d’un supermarché et des magasins.

Mais aussi, il est cité dans un appui financier suspect de 100 millions de francs Cfa pour la construction d’un Complexe culturel, dont l’argent a été versé, selon Ibou Niang, le Coordonnateur départemental du Forum civil, dans le compte de l’entrepreneur qui construit le supermarché à Mbour.

Alors qu’il devait être versé dans le compte unique de la Commune, au niveau du Trésor.