L’appel d’offres pour le renouvèlement du contrat d’affermage relatif à la gestion de l’hydraulique urbaine et périurbaine au Sénégal est près de son terme. Le verdict entre les trois soumissionnaires, Sde, Suez et Veolia, sera connu dans 10 jours.

“On  connaitra le nom du vainqueur dans une dizaine de jours. Des questions sont envoyées aux soumissionnaires et quand des réponses seront trouvées à ces questions, la Commission va adresser son rapport à qui de droit”, a révélé le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Mansour Faye, sur le plateau de Grand Jury, ce dimanche.

Le ministre, maire de Saint-Louis, a détaillé le processus : “Nous attendons les conclusions de la commission des marchés et la validation de la DCMP pour désigner le vainqueur. La première étape, c’est  une pré-qualification : 9 structures ont déposé et seules trois ont été pré-qualifiés. Ces trois ont déposés leurs offres techniques qui ont été validées. La seconde étape est relative aux offres financières qui ont été déposées,  il y a une dizaine de jours. Les offres financières montrent que la SDE a 277 (francs Cfa),  le mètre cube, Suez est à peu près à 299 et Veolia à 365.” lire la suite sur seneweb.com

L’appel d’offres international pour la gestion de l’hydraulique urbaine, qui mettait en lice 9 candidats au départ, vient de livrer ses secrets.
En effet, après que 6 soumissionnaires ont été éliminés au niveau de l’offre technique, le trio de tête était composé de la Sde, de Suez et de Veolia.
Ce vendredi matin, la commission s’est réunie pour étudier les offres financières, et à l’issue du dépouillement, Dakaractu a appris de sources proches de la commission que la Sde arrive largement en tête. C’est dire que l’expertise nationale vient d’être récompensée, de nouveau. Le présent contrat produira ses effets sur une période de quinze ans, durée de sa validité.
Pour rappel, la Sde dès sa création en 1996, a été portée par des gourous du privé national avec des actionnaires comme la Cse de Aliou Sow, qui détiennent 33%, 5% pour l’État et 5% pour le personnel. lire la suite sur dakaractu.com

Dans un communiqué, la Sénégalaise des eaux (Sde) et la Société nationale des eaux  du Sénégal (Sones) informe d’un nouveau planning de coupure, allant du 12 au 16 mai prochain.  Ce en raison, «des travaux de pose d’une pièce essentielle pour le raccordement du nouveau dispositif de protection des installations de l’usine de protection  d’eau potable de Keur Momar Sarr», informe la note.

Le réseau sera perturbé à partir du samedi 12 mai à partir de 08 heures jusqu’au 16 mai, où «la situation reviendra progressivement à la normale».  La même source précise qu’il ne s’agit pas d’une panne mais d’une prise en charge des points sensibles du système d’alimentation en eau potable à Dakar.

A en croire Les Echos dans sa parution de ce jeudi, les travailleurs de la Sde sont en instance de mobilisation et de protestation. Ces derniers seront en grève de zèle ce jeudi (Ndlr: aujourd’hui) et demain vendredi, avec une présence négative et un port de brassards rouges.

Et, s’il n’y a pas d’avancées dans leurs revendications à l’issue de ce mouvement d’humeur, ils promettent de montrer en puissance dans la lutte. Ce, avec l’organisation d’une grève totale les 25 et 26 avril prochains.

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L’Etat du Sénégal a décidé de renouveler le contrat d’affermage relatif à la gestion de l’hydraulique urbaine et périurbaine qui arrive à échéance le 31 décembre 2018. Outre la Sénégalaise des eaux (Sde), deux autres compagnies françaises sont en compétition pour la gestion de l’eau du Sénégal. Il s’agit de Veolia et de Suez, rapporte Le Quotidien. La société adjudicataire sera connue en septembre prochain.

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L’Etat du Sénégal a décidé de renouveler le contrat d’affermage relatif à la gestion de l’hydraulique urbaine et périurbaine qui arrive à échéance le 31 décembre 2018. Outre la Sénégalaise des eaux (Sde), deux autres compagnies françaises sont en compétition pour la gestion de l’eau du Sénégal. Il s’agit de Veolia et de Suez, rapporte Le Quotidien. La société adjudicataire sera connue en septembre prochain.

Les responsables de la Sde se disent confiants et sereins quant à l’issue de cet appel d’offres. « Nous Sde, nous sommes confiants. Car, nous avons su établir des relations saines avec la Sones et l’Etat du Sénégal pour arriver à des résultats satisfaisants », souligne le Directeur général de la société lors d’une rencontre avec la presse. En termes de résultats, Abdou Ball présente  22 ans de règne dans le secteur de l’eau. A l’en croire, le taux d’accès à l’eau est de 98 % en milieu urbain et périurbain contre 80% au moment de son démarrage.

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La Sénégalaise des Eaux (SDE) annonce la finalisation des travaux de rénovation et de renforcement de l’alimentation en eau potable de Medina Gounass, l’un des hauts lieux de la vie religieuse au Sénégal. La SDE a investi un total de deux cent millions de francs CFA.

Cette initiative exceptionnelle de la SDE fait suite au drame survenu lors de l’édition 2017 du Daaka (retraite spirituelle) de Medina Gounass, lorsqu’un incendie avait ravagé le site de retraite, faisant plus d’une vingtaine de morts, de nombreux blessés et des dégâts matériels importants. Le sinistre avait été aggravé par les difficultés d’approvisionnement en eau de la cité religieuse, qui reçoit chaque année des milliers de pèlerins pendant une dizaine de jours.

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La société française, Boygues, qui gère le marché de l’eau, indispose les sénégalais abonnés à leurs services, indique le journal Zomm Infos, consulté par Actunet. En effet, il explique que les coupures d’eau son en train de gagner la quasi-totalité de la banlieue dakaroise. Au-delà, elles rendent la vie impossible au centre-ville de la capitale, mais aussi dans les régions du pays. Les raisons évoquées sont multiples. « Un tuyau cassé, un problème électricité, des travaux de maintenance… »

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La société française, Boygues, qui gère le marché de l’eau, indispose les sénégalais abonnés à leurs services, indique le journal Zomm Infos, consulté par Actunet. En effet, il explique que les coupures d’eau son en train de gagner la quasi-totalité de la banlieue dakaroise. Au-delà, elles rendent la vie impossible au centre-ville de la capitale, mais aussi dans les régions du pays. Les raisons évoquées sont multiples. “Un tuyau cassé, un problème électricité, des travaux de maintenance…”

Mais la principale cause, indique le journal, c’est que désormais, la société française est devenue impitoyable face au factures impayées et autres types d’arriérées. Lors de la semaine écoulée, poursuit-on, les coupures avaient connu un débit tellement haut que la Direction générale a été obligée, suite à des réactions et avis recueillis, de transmettre une note de service à des directions régionales, avec comme instruction de suspendre provisoirement les débranchements de compteurs et autres méthodes de représailles. Selon une source établie à la Sde, la Direction craignait et voulait ainsi éviter des “émeutes de l’eau”.

Suite aux rumeurs faisant état d’une grève des agents de la Sénégalaise des eaux (SDE) à partir de cette nuit, le coordonnateur de l’intersyndicale des travailleurs de ladite société a apporté ses précisons. Selon lui, ils n’ont jamais pris la décision d’observer un mouvement d’humeur «ni aujourd’hui, ni demain».

«Il n’a vraiment pas été question d’aller en grève. Il y ‘en avait pas aujourd’hui, et il n’y en aura pas demain », a précisé Elimane Diouf. Selon lui, ils ont rencontré le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement à qui ils ont rappelé leurs doléances parmi lesquelles l’augmentation de la part des travailleurs de la SDE dans le capital de la nouvelle société.

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L’Intersyndicale des travailleurs de la Sde menace de perturber le réseau de distribution de l’eau sur toute l’étendue du pays à compter de ce jour, date d’expiration de son préavis de grève. Il s’agit pour ces travailleurs, de dénoncer l’attitude de la tutelle, à savoir le ministre de l’hydraulique, qui tarde à respecter ses engagements vis-à-vis des travailleurs.

Ces travailleurs étaient face à la presse hier après midi. Selon leur coordonnateur, Élimane Diouf, aucune décision n’a été prise depuis la dernière rencontre avec le ministre Mansour Faye concernant les points discutés. «Sur le mémorandum que nous avons déposé il y a eu certes des avancées sur, par exemple le capital, la représentation des travailleurs dans le conseil d’administration, les acquis, entre autres. Mais le grand hic c’est sur la formalisation de ce Pv qui a sanctionné la réunion du 6 février».

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L’Intersyndicale des travailleurs de la Sde menace de perturber le réseau de distribution de l’eau sur toute l’étendue du pays à compter de ce jour, date d’expiration de son préavis de grève. Il s’agit pour ces travailleurs, de dénoncer l’attitude de la tutelle, à savoir le ministre de l’hydraulique, qui tarde à respecter ses engagements vis-à-vis des travailleurs.

Ces travailleurs étaient face à la presse hier après midi. Selon leur coordonnateur, Élimane Diouf, aucune décision n’a été prise depuis la dernière rencontre avec le ministre Mansour Faye concernant les points discutés. «Sur le mémorandum que nous avons déposé il y a eu certes des avancées sur, par exemple le capital, la représentation des travailleurs dans le conseil d’administration, les acquis, entre autres. Mais le grand hic c’est sur la formalisation de ce Pv qui a sanctionné la réunion du 6 février».

L’intersyndicale demande à ce que 15% des parts dans le capital de la nouvelle société soient octroyés aux travailleurs en lieu est place des 5% proposés. Pour Élimane Diouf, les travailleurs, à l’unanimité, ont rejeté cette proposition jugée dérisoire. Devant cette situation, l’Intersyndicale avertit et soutient qu’elle usera de tous les moyens de lutte pour pousser la tutelle à respecter ses engagements. Ces derniers n’excluent pas de priver du précieux liquide les consommateurs sénégalais, car le combat sera national.

Diery Ba, Directeur de l’exploitation de la Sénégalaise des eaux (Sde) a expliqué les raisons de la coloration de l’eau que déplorent certains quartiers de Dakar. Dans un entretien avec Vox Populi, il souligne qu’il s’agit d’une turbidité. « Notre surveillance ne nous a pas révélé de l’eau nauséabonde, mais plutôt de la turbidité et une coloration de l’eau », relève-t-il.

« La raison de cette coloration de l’eau réside dans le fait que l’eau distribuée à Dakar provient d’une part, du Lac de Guiers, et d’autre part des forages de Pout et Dakar. Or, ces forages contiennent une teneur en fer un peu élevée. De plus depuis mardi dernier, 6 février, les conduites venant du Lac de Guiers ont connu deux fuites, ce qui a réduit leur apport de près de 40%. Cette situation a créé des manques d’eau dans plusieurs quartiers de Dakar, mais elle a aussi augmenté la proportion d’eau ferrugineuse dans le réseau », souligne-t-il. Qui précise que le « fer en lui même n’est pas une substance nocive. Mais dans certaines conditions de circulation ou de stagnation de l’eau, il précipite et donne à l’eau, une couleur rougeâtre à rouge ».

Dans la foulée, le Directeur de l’exploitation de la Sde annonce un retour à la normale de la situation dans les prochaines heures. « Les travaux de réparation des conduites du Lac de Guiers étant terminés, le retour à la normale est d’ores et déjà enclenché depuis lundi12 février à 14 heures, aussi bien pour les manques d’eau que pour la coloration de l’eau », informe-t-il.

La vie devient impossible dans certains quartiers dakarois. Notamment à Médina, Gueul-Tapée et Ouakam. Depuis le vendredi 9 février dernier, c’est une eau noirâtre et nauséabonde qui coule des robinets de la Sde (Société des eaux). Une situation qui perturbe le quotidien des populations.

Cette eau courante n’est pas potable. Il est impossible de l’utiliser. On ne peut ni la boire, ni cuisiner ou même se laver avec. Une partie de la population se rabat sur les eaux minérales disponibles dans le commerce. Mais c’est une solution qui n’est pas accessible à tous. Les autorités sont alertées sur la situation, mais rien n’est encore fait.

En attendant, les commentaires fusent de partout. Les gens cherchent à expliquer le phénomène. Pour certains, cette eau est source de maladie. Parce que pensant que ce sont les eaux des fosses sceptiques qui se sont mélangées à celle des robinets. Cela pendant que d’autre estiment que ce sont des travaux de curage qui sont en train de se faire par la Sde. Cependant, il y a des gens qui portent des avis qui dépassent l’entendement humain. Selon eux, “cette eaux a volontairement été contaminée par des “Safara” (liquide avec des pouvoirs mystiques)”. Pour ces derniers, en ces veilles de campagne présidentielle, les hommes politiques usent de toute sorte de moyen mystique, pour détourner la conscience des populations”.

Il devient donc primordial que les autorités communiquent, pour éclairer la lanterne des sénégalais. Il faut aussi noter qu’il y a pénurie d’eau à Dakar, depuis pas moins de trois jours. Surtout aux Parcelles assainies, Cité Keur Damel, Patte-d’oie, Cité Soprim, Cité impôts et domaines, Pikine, etc.

La pénurie d’eaux dans le village de Dealy, département de Linguère, pousse la population à aller dans d’autres villages  pour se ravitailler en liquide précieuse. C’est ainsi qu’une jeune fille de 13 ans s’est rendu dans le village de Gaki, à 10 kilomètre, à bord d’une charrette pour puiser de l’eau.

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Le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement est averti, le gouvernement également. La Coordination des Syndicats de la Sénégalaise des eaux (SDE) a déposé un préavis de grève le lundi 15 janvier pour dénoncer l’échec des négociations sur le Mémorandum des travailleurs de ladite société.

” Toutes les procédures pour amener le ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement à accepter la négociation sur le Mémorandum des travailleurs de SDE sur la nouvelle réforme se sont soldées par un refus catégorique de cette dernière. La tentative de conciliation convoquée par le Directeur Général du Travail et de la Sécurité Sociale (DGTSS) le 21 décembre 2017 s’est soldée par un refus du Ministère de se présenter”, Ont prévenu le différents secrétaires généraux de syndicats de la SDE dans un communiqué.

Le plus à craindre se trouve dans la suite de leur texte. En effet, si après le délai indiqué dans le préavis de grève (le 15 février 2018), la situation n’évolue pas, ces syndicats menacent de perturber la distribution d’eau au Sénégal.

“La Coordination des Secrétaire Généraux au nom des travailleurs de la SDE tient pour seul responsable le gouvernement du Sénégal de toute perturbation qui interviendrait dans le sous-secteur de l’hydraulique urbaine au Sénégal à la fin de ce préavis”, avertit le document.

Suite à de nombreux avenants et alors que le contrat d’une durée initiale de 10 ans avec la SDE a pris fin depuis 2006, l’Etat a lancé un nouvel appel d’offres pour la distribution de l’eau au Sénégal.

Une décision qui, révèle Enquête, lu par Actunet, oblige la SDE à batailler ferme pour ne pas se faire doubler par les deux autres sociétés françaises intéressées par le marché, Suez et Veolia.

Le point essentiel du cahier de charges que présentera bientôt l’Etat aux soumissionnaires est la baisse du prix de l’eau. De ce point de vue, la SDE et Veolia seraient actuellement les grands favoris même si Suez est loin d’avoir abdiqué. Dans tous les cas, SDE, Veolia ou Suez, c’est une société française qui gagnera.

Une indisponibilité d’eau potable plonge une partie des populations saint-louisiennes dans le calvaire depuis hier (jeudi 14 septembre). Interrogé par nos confrère de Ndarinfo, sur les causes de cette situation, le Directeur régional a renseigné “qu’une conduite d’eau de sa société s’est cassée après l’affaissement d’un tuyau d’assainissement à Tableau Walo”.

M. Mbaye soutient qu’une remise du réseau sera faite ce matin pour desservir le quartier en souffrance.

Plusieurs grandes villes comme Dakar, Thiès et Touba sont frappées par une sévère pénurie d’eau depuis quelques jours.

Pour certains quartiers de la cité du Rail et de la ville sainte de Touba, la pénurie d’eau dure depuis cinq jours. Tandis qu’à Dakar, c’est surtout ce jeudi que la pénurie a été notée. Un communiqué de la Sde , la société de commercialisation de l’eau , publié ce matin , annonce que le manque d’eau pourrait durer des jours.