L’arrestation de membres du site Seneporno, annoncée par la présidente de la Commission des données personnelles (CDP) est une fausse information.

Ca risque de faire du bruit. Après Seneporno, Kocc Barma a décidé de lancer un nouveau site, rapporte Libération. Selon des informations du journal, le portail sera lancé dans les prochaines heures. Et c’est l’administrateur du site qui présente lui-même, son nouveau produit. « En collaboration avec le groupe des Anonymous Senegal, Kocc Barma a lancé cette plateforme qui est ouverte à tous les lanceurs d’alerte sans aucune restriction », souligne-t-il.

Il précise que cette nouvelle plateforme est dédiée « aux victimes de raquettes des forces de l’ordre, d’injustice, d’abus de pouvoir ou de mauvais traitements, et aux détenteurs de fuites ou d’informations sensibles ».

Il n’est pas rare de voir d’autres sites reprendre les textes de leurs concurrents ainsi que des quotidiens. Vous le faites à yerimpost. Selon la pertinence. Des textes de actunet sont également repris. Pour ce qui est de votre…

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Le site sénégalais pour adulte continue de faire couler beaucoup d’encre. Désormais, c’est à la production locale qu’il s’est attaqué avec la réalisation de vidéos avec des actrices percevant des sommes comprises entre 25 et 50 mille Fcfa. Afin de prouver l’origine de la vidéo, les administrateurs dudit site demande aux « acteurs » de mettre en fond une musique originaire de notre pays. Contacté par nos confrères de Sunubuzz, une des filles qui a accepté de se prêter au jeu s’est confiée sur cette « regrettable » expérience.

« Tellement de filles font ça que je me suis dit que j’en étais aussi capable, que ça devait être une façon rapide de gagner de l’argent. J’ai pensé qu’au pire, ce ne serait pas une bonne expérience, mais rien de grave ou de dangereux », renseigne d’emblée la fille.

Elle poursuit : « je me suis retrouvée avec deux hommes âgés entre 25 et 30 ans, sans savoir combien j’allais être payée. On m’a expliqué ce qu’il fallait que je fasse et on a tourné. Ils étaient vulgaires et pas du tout tendres. On a fait une scène à trois ; j’ai eu vraiment mal, mais ils s’en foutaient. Ça a duré quelques minutes. J’ai touché 15000 FCFA ».

« Maintenant, je suis dans une vidéo qui a été vue plus de 80.000 fois, notamment par des membres de ma famille. Depuis, tout mon entourage est au courant et beaucoup ne me parlent plus. Je ne referai jamais ça, je n’avais aucune conscience des conséquences possibles », regrette-elle, assurant ne plus vouloir vivre cette « douloureuse » expérience.

Le service chargé de la cybercriminalité à la Division spéciale de la Police a livré au Parquet quatre collégiennes et trois garçons.

Il s’agit d’un plan de vengeance de quatre collégiennes, qui tourne finalement mal. Ces dernières ont eu des bisbilles avec deux autres filles. Pour leur faire payer, le groupe de quatre a lynché les deux filles et les ont sévèrement bastonnées, au point de les déshabiller. Pendant ce temps, trois garçons, complices des assaillantes, étaient chargés de prendre des photos et des vidéos.

Ces éléments sont ensuite diffusés sur les réseaux sociaux. Pire, ils seront transmis à un site pornographique sénégalais, qui n’a pas hésité à diffuser les images. Activé, les limiers ont enquêté et mis la main sur ce groupe de jeunes, qui suivaient des cours de vacances à l’Ecole sacré-coeur, informe Libération, lu par Actunet.

De jeunes filles sénégalaises âgées de 18 à 22 ans tournent depuis quelques temps des vidéos pornos pour un site sénégalais. Des sources nous révèlent que les administrateurs du site leur payent souvent 25.000F jusqu’à 50.000F. En effet, le concept c’est de se filmer nu et le site impose à ses actrices ou acteurs de la vidéo de mettre un son d’un Sénégalais qui prouve que les séquences ont été tournées au Sénégal. Une victime âgée de 20 ans livre son expérience : «La porno est partout, accessible. Tellement de filles font ça que je me suis dit que j’en étais aussi capable, que ça devait être une façon rapide de gagner de l’argent. J’ai pensé qu’au pire, ce ne serait pas une bonne expérience, mais rien de grave ou de dangereux.»

En sortant de sa seule et unique scène, elle s’est pourtant dit qu’elle ne «reviendrait jamais. Je me suis retrouvée avec deux hommes entre 25 et 30 ans, sans savoir combien j’allais être payée. On m’a expliqué ce qu’il fallait que je fasse, on a tourné, ils étaient vulgaires et pas du tout tendres. On a fait une scène à trois ; j’ai eu vraiment mal, mais ils s’en foutaient. Ça a duré quelques minutes, j’ai touché 15.000 FCFA. Maintenant, je suis dans une vidéo qui a été vue plus de 80.000 fois, notamment par des membres de ma famille. Depuis, tout mon entourage est au courant et beaucoup ne me parlent plus. Je ne referai jamais ça, je n’avais aucune conscience des conséquences possibles».

Afin de se doter d’outils modernes de communication mais aussi en droite ligne de son ambition d’élargir le champ d’action de son groupe de presse, GOMEDIA, l’artiste par ailleurs PDG du groupe de presse qui s’est déjà doté d’une radio FEM Fm émettant sur la fréquence  87.9, a décidé de lancer son site internet www.godakar.sn avant le projet de télévision en gestation. Traitant de l’information générale avec une jeune équipe professionnelle et expérimentée, le site qui sera en ligne demain compte bien se positionner sur la toile avec des innovations majeures. Aux rubriques traditionnelles, www.godakar.sn  apportera une touche nouvelle, dans l’approche comme dans le traitement. Aussi le site innovera dans la mise en exergue des événements phares et la diffusion des papiers-maison. Analyses, commentaires, interviews et exclusivités, seront au menu quotidien du site qui mise sur une réelle visibilité afin d’intégrer dans un laps de temps les sites de référence du pays.

Bienvenue à vous !