Daouda Dème, 84 ans n’est plus depuis cette nuit du samedi 9 au dimanche 10 juin peu après la rupture du jeûne. Il a mis fin à ses jours en se précipitant dans un puits. Polygame d’après son statut matrimonial, le défunt laisse derrière lui 3 femmes et 40 enfants selon L’Observateur. Livrant des détails de la mort de l’octogénaire, ses voisins parlent d’un acte prémédité. En effet, samedi denier après la rupture du jeûne, Daouda Dème a pris congé des siens se dirigeant vers le puits de la concession.

Une fois sur place, il s’est mis totalement nu, a déposé ses habits aux abords de la margelle a instruit les enfants qui se trouvaient aux alentours d’aller aviser les riverains et s’est mortellement jeté au fond du puits. Croyant à une plaisanterie de grand-père, ses petits fils qui ne l’avaient pris au sérieux ne purent que constater sa chute. Le village a été alerté par les cris de détresse des enfants témoins du drame. Le défunt a été inhumé avant-hier dimanche 10 juin 2018 à Tankofara, son village natal.

Un homme a été retrouvé mort à son domicile à Guédiawaye plus précisément à Sam Notaire. Selon la Rfm, qui donne l’information, il s’est suicidé par pendaison.

Nous savons de plus en plus sur l’identité du gendarme qui s’est donné la mort ce lundi 21 mai 2018 à la Cité Lobat Fall de Pikine. En effet, selon nos sources, le gendarme s’appelle Maguette Mbaye et est plus connu sous le nom de « Ricky » Mbaye. Il habite à Pikine Icotaf. Et à en croire toujours nos interlocuteurs, le gendarme Ricky Mbaye est un déficient mental. Il a des fuites de mémoire. Et ceci pourrait être une des raisons qui ont provoqué son suicide…
Pour rappel, installé dans son véhicule de couleur verte, au siège du chauffeur, l’homme de tenu a sorti son arme et s’est tiré une balle qui lui est fatale. Informés, les sapeurs pompiers et les gendarmes ont fait le déplacement sur les lieux pour constater les faits…

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Nous savons de plus en plus sur l’identité du gendarme qui s’est donné la mort ce lundi 21 mai 2018 à la Cité Lobat Fall de Pikine. En effet, selon nos sources, le gendarme s’appelle Maguette Mbaye et est plus connu sous le nom de « Ricky » Mbaye. Il habite à Pikine Icotaf. Et à en croire toujours nos interlocuteurs, le gendarme Ricky Mbaye est un déficient mental. Il a des fuites de mémoire. Et ceci pourrait être une des raisons qui ont provoqué son suicide…
Pour rappel, installé dans son véhicule de couleur verte, au siège du chauffeur, l’homme de tenu a sorti son arme et s’est tiré une balle qui lui est fatale. Informés, les sapeurs pompiers et les gendarmes ont fait le déplacement sur les lieux pour constater les faits…

Triste fin de vie pour Maguette Mbaye. Ce gendarme en fonction, âgé de 63 ans, s’est suicidé hier à Pikine. Il s’est mis une balle à la tête. Mais Maguette ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales, nous dit-on.

Horrible ! Atroce ! Le corps sans vie d’un homme allongé à côté d’un véhicule, la tête tachetée de sang. L’image a choqué les âmes sensibles. Cité Lobatt Fall à Pikine, en ce jour du mois béni de Ramadan, il est 15 heures passées de quelques minutes. Alors que tous les esprits affamés par la soif et la faim sont dans l’attente de la rupture du jeun, des cris de détresse alertent les habitants de la cité et les passants d’une rue du quartier. Maguette Mbaye 63 ans, vient de commettre l’irréparable. Il s’est suicidé en se tirant une balle dans le crâne.

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Triste fin de vie pour Maguette Mbaye. Ce gendarme en fonction, âgé de 63 ans, s’est suicidé hier à Pikine. Il s’est mis une balle à la tête. Mais Maguette ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales, nous dit-on.

Horrible ! Atroce ! Le corps sans vie d’un homme allongé à côté d’un véhicule, la tête tachetée de sang. L’image a choqué les âmes sensibles. Cité Lobatt Fall à Pikine, en ce jour du mois béni de Ramadan, il est 15 heures passées de quelques minutes. Alors que tous les esprits affamés par la soif et la faim sont dans l’attente de la rupture du jeun, des cris de détresse alertent les habitants de la cité et les passants d’une rue du quartier. Maguette Mbaye 63 ans, vient de commettre l’irréparable. Il s’est suicidé en se tirant une balle dans le crâne.

LES RAISONS DU SUICIDE RESTENT MECONNUES POUR LE MOMENT

La victime s’appelait Maguette Mbaye. Il est gendarme et était même à jeun ce jour où il commettait ce crime sur lui-même. Maguette était âgé de 63 ans et devait aller à la retraite d’ici la fin de l’année. Mais, selon des témoignages recueillis sur place, M. Mbaye ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales. Toutefois, les raisons de son suicide restent méconnues pour le moment. Mais, l’on nous signale qu’il lui arrivait très fréquemment de manifester des signes de dépression. À notre arrivée sur les lieux, une foule de curieux et de badauds s’était amassée sur place. Les commentaires allaient bon train. Le corps de la victime était couché à côté de sa voiture, Kg 1805 A, de marque Clio 106, de couleur verte. Il était recouvert d’un drap carrelé.

L’ARME DU CRIME N’EST PAS UNE ARME DE SERVICE

Le corps de Maguette Mbaye est resté sur place pendant plus de deux tours d’horloge. La police veillait au grain. Les sapeurs-pompiers étaient aussi sur les lieux. Un peu avant 18 heures, les éléments de la police scientifique débarquent à leur tour au lieu du drame, à bord d’un véhicule de couleur blanche. À peine arrivés, ils procèdent d’abord à dresser une ceinture de sécurité. Ils effectuent des prélèvements et des prises de photos sur le corps et dans le véhicule. La police scientifique a aussi procédé à la fouille de la victime. Beaucoup d’affaires ont été extraites de ses poches : un chapelet, une pièce d’identité, une somme d’argent, des cartes de visite et d’autres affaires.

Mais, de sources dignes de foi, l’arme du crime pourrait ne pas une arme de service. Les limiers de Pikine ont ouvert une enquête. Des membres de la famille sont passés devant les enquêteurs du Commissariat d’arrondissement de Pikine pour être entendus. Le véhicule de Maguette est aussi réquisitionné par la police. Le corps de la victime a été acheminé dans un hôpital de la place…

Scène d’horreur à Pikine plus précisément à la cité Lobatt Fall. Un individu non encore identifié s’est donné la mort dans sa voiture, informe le reporter de Zik Fm. Il est surtout dite que le défunt est un gendarme à la retraite. Il se serait suicidé en se tirant une balle dans la tête. La police et les sapeurs-pompiers sont sur les lieux.

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Scène d’horreur à Pikine plus précisément à la cité Lobatt Fall. Un individu non encore identifié s’est donné la mort dans sa voiture, informe le reporter de Zik Fm. Il est surtout dite que le défunt est un gendarme à la retraite. Il se serait suicidé en se tirant une balle dans la tête. La police et les sapeurs-pompiers sont sur les lieux.

Le policier Maxime Sagna, qui était en service au commissariat de Ziguinchor, est mort ce dimanche à Kaguitt, son village natal, situé dans la commune de Nyassia. Âgé d’une trentaine d’années, marié et père de deux enfants, le défunt «s’est donné la mort» à l’aide d’un câble électrique, selon des sources citées par L’Observateur.

«C’est dans la matinée que ses parents, inquiets de l’absence de leur fils, ont décidé d’aller voir s’il était toujours dans la chambre, raconte des proches du policier, repris par le journal. Sa porte sera ainsi défoncée. Le corps de Maxime Sagna était pendu à un câble. Il venait de se suicider. Les cris fusèrent de partout.»

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Le policier Maxime Sagna, qui était en service au commissariat de Ziguinchor, est mort ce dimanche à Kaguitt, son village natal, situé dans la commune de Nyassia. Âgé d’une trentaine d’années, marié et père de deux enfants, le défunt «s’est donné la mort» à l’aide d’un câble électrique, selon des sources citées par L’Observateur.

«C’est dans la matinée que ses parents, inquiets de l’absence de leur fils, ont décidé d’aller voir s’il était toujours dans la chambre, raconte des proches du policier, repris par le journal. Sa porte sera ainsi défoncée. Le corps de Maxime Sagna était pendu à un câble. Il venait de se suicider. Les cris fusèrent de partout.»

L’Obs rapporte que, informés de la mort de leur collègue, les éléments du commissariat central de Ziguinchor sont arrivés sur les lieux en compagnie des sapeurs-pompiers et des gendarmes. Le corps de Sagna a été déposé à l’hôpital régional. L’enquête est confiée à la gendarmerie.

Les pères de famille qui ont été licenciés du HCR menacent de s’immoler, a appris Actunet.net.

Pour ces travailleurs qui ont saisi la section sénégalaise d’Amnesty International et le médiateur de la République, ils sont abandonnés à leur sort. Pour rappel, ils sont trois Sénégalais qui se disent victimes d’un licenciement abusif de la part de la délégation du Haut Conseil pour les Réfugiés à Dakar.

Ils ont commis Me Ndiogou Ndiaye pour le combat devant les tribunaux, mais ont saisi outre Amnesty et le médiateur, le Président de la République et la première dame.

Sur leur situation, Maguette Diagne, Ismaïla Diémé et Assane Diagne déclarent qu’après avoir comptabilisé 20 ans de service au HCR, ils ont été licenciés sans droit à une indemnité compensatrice.

Depuis lors, ils courent derrière ce droit et se battent pour la survie et celle de leurs familles. Au nom de ces trois compatriotes qui sont sans aucune ressource depuis ce licenciement, Me Ndiaye a saisi Amnesty International d’une requête visant l’organe des Nations unies qui est aussi avec cette affaire, sous le coup d’une autre procédure devant la justice américaine.

En informant l’organisme de défense des droits de l’homme du cas des Sénégalais concernés, qui ont adressé une lettre au médiateur de la République, Me Alioune Badara Cissé, Me Ndiogou Ndiaye a saisi la justice sénégalaise et rappelé que l’indemnité de licenciement est prévue par les textes et doit être payée à ses clients par le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés ».

Selon les sources de Actunet.net, si le membre du barreau sénégalais a agi de la sorte, explique-t-il dans sa correspondance à Amnesty, c’est « qu’à ce jour, les victimes de licenciement n’ont reçu aucun franc en guise de compensation des 20 ans de service passés au HCR ».

Maintenant que toutes les voies ont été épuisées ; Maguette Diagne et cie n’écartent pas le sacrifice suprême. Assane Diagne qui n’a pas tenu le coup est décédé entre-temps, laissant derrière lui une famille sans moyens.

Sadio, Keita, mécanicien de profession, a été retrouvé mort le lundi 11 février dans une cellule de la Brigade de Gendarmerie de Vélingara. C’est la veille qu’il a été placé en garde à vue, dans le cadre d’un enquête pour assassinat.

Sadio Keïta a été accusé d’avoir tué un jeune homme qu’il soupçonnait d’entretenir des relations amoureuses avec sa deuxième épouse. Après son acte ignoble, il aurait incinéré le corps de la victime. Les faits se seraient déroulés le dimanche 4 février dernier.

Sadio avait finalement été dénoncé, hier dimanche, par un de ses apprentis qui lui avait fait parvenir de l’essence qui a servi à brûler le corps.

Sadio Keïta a ainsi été arrêté ce dimanche et immédiatement placé en garde à vue. Au réveil ce matin, les gendarmes ont découvert son corps sans vie.

Selon des sources de Seneweb, Sadio Keïta se serait servi de son slip, accroché sur les grilles de la fenêtre de sa cellule, pour se pendre.

Le corps de la victime a été acheminé à l’hôpital régional de Tambacounda pour les besoins de l’autopsie.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de ce décès.

Un élément de la Brigade mobile de sûreté du nom de Masséne Sène s’est suicidé en se tirant une balle dans la tête hier mardi 9 janvier. Le drame a eu lieu à koungheul, au quartier Santhie Modou Coura. D’après le journal le Quotidien, consulté par Actunet, le jeune officier a d’abord envoyé son voisin lui acheter un matelas, avant de se tirer une balle quand il s’est retrouvé seul. Les premières personnes sur place ont trouvé le corps sans vie du policier. Une enquête est ouverte.

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Un élément de la Brigade mobile de sûreté du nom de Masséne Sène s’est suicidé en se tirant une balle dans la tête hier mardi 9 janvier. Le drame a eu lieu à koungheul, au quartier Santhie Modou Coura. D’après le journal le Quotidien, consulté par Actunet, le jeune officier a d’abord envoyé son voisin lui acheter un matelas, avant de se tirer une balle quand il s’est retrouvé seul. Les premières personnes sur place ont trouvé le corps sans vie du policier. Une enquête est ouverte.

L’année 2018 à peine a-t-elle démarré que les attentats se poursuivent en Afghanistan où la sécurité se détériore chaque jour un peu plus. Au moins 11 personnes ont été tuées jeudi dans une attaque-suicide à Kaboul, une vingtaine d’autres blessées. Les victimes sont des civils et des policiers.

La tension était palpable tout au long de la journée dans le district numéro 9 de la capitale. La police avait perquisitionné plusieurs échoppes, soupçonnant certains commerçants de s’adonner au trafic de drogue et d’alcool, prohibé dans la République islamique d’Afghanistan.

Des échauffourées ont éclaté, un homme a été tué, un autre blessé, déclenchant la colère des commerçants qui ont entamé une manifestation spontanée. Alors que la police anti-émeute est déployée sur place, un kamikaze à pied s’introduit au milieu du convoi et déclenche sa ceinture d’explosifs. Lire la suite

Un homme, âgé d’environ 45 ans, a été retrouvé pendu à un arbre, dans la forêt situé à proximité de son domicile...lire la suite sur limametti

Un jeune adolescent de 17 ans du nom de Mame Cheikh Mbacké Dia s’est suicidé ce jeudi à Mbacké (région de Diourbel).

Il se serait immolé par le feu à Touba Missira, après avoir confié à quelques-uns de ses amis, les peines et les misères qui l’ont poussé à se suicider.

Son corps a été acheminé par les sapeurs pompiers à l’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba.

La grande muette fait parler d’elle. Le  sergent L.S.Nd en service au camp militaire Mousa Molo de Kolda a voulu mettre fin à ses jours en se tirant une balle dans l’abdomen. Cette tentative de suicide a eu lieu le matin du lundi 20 novembre. Il a été évacué par la suite au Centre Hospitalier Régional de Kolda où il bénéficie de soins intensifs. Toutefois, la question que bon nombre de gens se posent, c’est de savoir pourquoi ce militaire a voulu supprimer sa vie ? Selon nos sources, ce jambaar se plaindrait de douleurs aiguës et récurrentes dans le ventre. N’en pouvant plus, il a décidé de se donner la mort, a-t-on expliqué.  Une autre source soutient que ce sergent serait un élément dépressif. L’un dans l’autre, l’enquête ouverte donnera certainement toute la lumière sur cette tentative de suicide survenue ce lundi au camp Moussa Molo de Kolda.

La gendarmerie nationale est en deuil. La Maréchaussée a perdu un de ses anciens serviteurs à la retraite du nom de Kersa Fall, dans des circonstances pour le moins tragique. Le pandore à la retraite a été retrouvé mort dans sa chambre à coucher. Il aurait utilisé une arme à feu de type fusil de chasse qu’il s’est braqué sous le menton avant de se tirer une balle.

Le plomb lui a traversé la mâchoire pour aller se loger dans la boue crânienne. Le mobile du résumé suicide reste toutefois inconnu à l’état actuel de l’enquête préliminaire de la police. Des zones d’ombre sont à relever sur les conditions du drame.