L’Association pour la promotion des populations du Sénégal sonne l’alerte sur des personnes déclarées positives au Vih Sida et qui ne sont plus visible.  Lors d’une séance de mobilisation sociale organisée dans la commune de Tambacounda,  l’association s’est dite très inquiète d’une telle situation car ces personnes perdues de vue sont dans la société et continuent de mener leur vie sexuelle. C’est pour cette raison, qu’une série de rencontres s’est tenue durant toute l’année pour sensibiliser les communautés.

La brigade de recherche du commissariat urbain de Tambacounda a interpellé dans la nuit de jeudi un individu de nationalité malienne pour convoi international de migrants en société qui a ensuite été placé en garde à vue, selon un communiqué parvenu à l’APS.

Les agents de la brigade de recherche étaient accompagnés de ceux du secteur frontalier de Tambacounda/DPAF, dans le cadre de la lutte contre le trafic de migrants lorsqu’ils ont appréhendé le ressortissant malien. Conduit au commissariat, il s’est identifié comme étant “G. Tounkara, né en 1964 à Boidjié, à Ségou, au Mali” et “domicilié au quartier Gouye, à Tambacounda”.

C’est après exploitation de sources faisant état d’un convoi de migrants qui s’apprêtait à rejoindre la Libye, que les policiers ont interpellé le mis en cause. Gérant d’une agence de transport, l’homme a été trouvé en possession de plusieurs talons de tickets de voyage vers Bamako, Cotonou, Alger, Agades, Accra, entre autres. Lire la suite sur aps.sn

La région de Tambacounda, plus particulièrement la commune de Sinthiou Maleme, n’échappe pas au trafic d’actes de naissance sénégalais. La dernière personne à être passée à la trappe est le secrétaire municipal de la mairie de ladite commune.

Des éléments de l’enquête menée par les gendarmes de la brigade territoriale de Tambacounda ont dénoncé le Malien Ibrahima Coulibaly, gérant d’une dibiterie de la commune depuis 2009. Le Malien avait soumis son problème d’obtention de papiers sénégalais à une de ses clientes, une teinturière qui l’a finalement mis en rapport avec Aliou Diawara, le secrétaire municipal, plus connu sous le sobriquet de «Sous-préfet» et qui, selon nos sources, lui a réclamé la somme de 15.000 Fcfa.

Par la suite, ces actes ignobles ont été divulgués sur le fait que le Malien s’était présenté aux limiers du commissariat urbain de Tamba pour un dépôt de carte nationale d’identité biométrique. Mais les forces de l’ordre se sont vite aperçus que le sieur détenait par devers lui un faux document administratif.

Tamba est sous le choc à la suite de la découverte macabre d’un nouveau-né de sexe masculin, en état de décomposition très avancé, dévoré par des chiens. La jambe gauche et le bras droit ont été emportés. Les faits se sont déroulés le jeudi 19 octobre au quartier abattoir complémentaire.

Un nouveau-né encerclé par des chiens en furie qui dévorent des parties de son corps frêle. C’est l’atroce scène que rapporte L’Obs, lu par Actunet. Les chiens ont entraîné le corps de l’enfant de sexe masculin dans les buissons dudit quartier.

Avisée, la Police urbaine de Tamba a rappliqué dare-dare sur les lieux du drame, qui est un endroit isolé dans la brousse. Quelques indices sur le reste du corps du bébé ont permis aux policiers de déduire qu’il a été accouché dans une structure sanitaire. Avisé, le Procureur de Tamba a instruit l’enterrement sur place du bébé.

Les malades mentaux ne sont pas en paix à Tamba où il ne se passe pas six mois sans qu’une personne qui ne jouit pas de ses capacités mentales ne soit tuée.

Des fois, c’est de façon atroce que leurs jours finissent et sans qu’on ne sache qui les a tués et pour quel motif.

Ainsi, en parlant de crimes commis sur les malades mentaux, Mamadou Camara révèle qu’à Tamba, les fous sont laissés à leur sort. La conséquence, explique-t-il, en 5 ans 12 d’entre eux ont été tués.

Dans le village de Mayel Dibi, à quelques encablures de la commune de Tambacounda, une histoire de jalousie défraie la chronique. Une dame a poignardé son mari à l’épaule. La victime, Sidibé, lui avait refusé la permission d’aller à une soirée dansante.

Selon les témoins, c’est une histoire de jalousie car, le mari avait constaté que sa femme recevait des beaucoup d’appels avant d’obtenir un téléphone portable neuf. Quand le sieur Sidibé lui a demandé la provenance dudit appareil, l’épouse lui a répondu que ce n’es pas son problème.

Quelques temps après, coïncidant la fête de la Tabaski, une soirée dansante avait été organisée dans le village. C’est ainsi que la dame avait demandé la permission à son mari pour se rendre à ladite soirée. Le mari dit niet.

Meurtrie et indignée, la dame n’a trouvé autre que de se munir d’un couteau qu’elle a planté à son époux et l’atteigne à l’épaule.

Dès que son forait est accompli, la dame a pris la fuite. Selon le journal l’Observateur, lu par Actunet.net, les notables du quartier sont intervenus pour éviter une plainte de l’époux.

Les pandores de la brigade territoriale de Tambacounda sont entrés dans la danse.

Tambacounda va avoir un marché au poisson. Le financement est acquis, le terrain obtenu et le marché est lancé, a indiqué le gouverneur de région. Il procédait à la remise de caisses isothermes du projet Gouvernance, politiques de gestion des ressources marines et réduction de la pauvreté dans l’écorégion Wamer (Go wamer) qui concerne la Mauritanie, le Sénégal, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Guinée, la Sierra Léone et le Cap-Vert.

Ledit projet financé est par l’Union européenne et le Pnud et concerne l’ensemble des mareyeurs et mareyeuses de la commune de Tambacounda. Ces derniers, constitués en Groupements d’intérêt économique (Gie), viennent de bénéficier de 10 caisses isothermes et de 13 caisses à bagues. A l’occasion, les mareyeurs ont prit d’assaut la cour de la gouvernance. Il s’agissait aussi de répondre à l’appel de leur président. Tambacounda qui se trouve à plus de 400 bornes de la Casamance et de Dakar, reçoit du poisson fatigué aux yeux rouges. C’est pourquoi, les mareyeurs qui remercient le président de la République, voient dans ce geste une volonté manifeste de mettre fin à cette situation. Un geste qui, selon le gouverneur El Hadj Bouya Amar, au nom du ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, traduit l’ambition du chef de l’Etat de doper le secteur de la pêche dans la commune.