Les populations de la banlieue de Dakar vivent un début de ramadan triste. Le bilan macabre est lourd. Mardi dernier un gendarme âgé de 55 ans, en service mais, malade, s’est suicidé à la Cité Sotida à Pikine, en se mettant une balle sur la tête. Jeudi (avant-hier), Sangoné Sow, âgé de 44 ans, chauffeur de son état, s’est lui aussi suicidé avec une corde dans les filaos, à Guédiawaye. Hier un enfant de 12 ans est mort de façon triste à Thiaroye sur mer (Pikine, Banlieue de Dakar). Il s’appelait Habib Diène et était âgé de 12 ans. Actunet fait savoir qu’Habib était en classe de CM1 dans une école à Thiaroye sur mer. Habib et un des amis étaient partis à la recherche du polystyrène. Une matière que les enfants lébous utilisent pour nager à la mer. Arrivés dans une maison abandonnée, ils ont commencé à tirer des barres de fer. Mais malheureusement pour Habib, un pan du mur a cédé et lui est tombé dessus. Il est mort sur le coup. Son camarade a eu plus de chance que lui. Les faits se sont déroulés au quartier Abdou Guèye, face à la cotonnière aux environs de 17 heures.

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Les populations de la banlieue de Dakar vivent un début de ramadan triste. Le bilan macabre est lourd. Mardi dernier un gendarme âgé de 55 ans, en service mais, malade, s’est suicidé à la Cité Sotida à Pikine, en se mettant une balle sur la tête. Jeudi (avant-hier), Sangoné Sow, âgé de 44 ans, chauffeur de son état, s’est lui aussi suicidé avec une corde dans les filaos, à Guédiawaye. Hier un enfant de 12 ans est mort de façon triste à Thiaroye sur mer (Pikine, Banlieue de Dakar). Il s’appelait Habib Diène et était âgé de 12 ans. Actunet fait savoir qu’Habib était en classe de CM1 dans une école à Thiaroye sur mer. Habib et un des amis étaient partis à la recherche du polystyrène. Une matière que les enfants lébous utilisent pour nager à la mer. Arrivés dans une maison abandonnée, ils ont commencé à tirer des barres de fer. Mais malheureusement pour Habib, un pan du mur a cédé et lui est tombé dessus. Il est mort sur le coup. Son camarade a eu plus de chance que lui. Les faits se sont déroulés au quartier Abdou Guèye, face à la cotonnière aux environs de 17 heures.

Le corps de la victime a été acheminé à l’hôpital par les sapeurs-pompiers. La gendarmerie a ouvert une enquête. Cet accident a plongé les populations de Thiaroye sur mer dans l’émoi et la consternation.

Urgent. Drame au quartier Abdou Guèye à Thiaroye sur Mer. Un mur d’une maison abandonnée s’affaisse sur un enfant. Il meurt sur le coup. L’enfant était à la recherche de la ferraille. Nous y reviendrons avec notre correspondant en banlieue Younoussa Baldé.

Il faut le dire et le signaler. Depuis plusieurs semaines voire quelques mois, le mouvement Gueum Sa Bopp a entamé une tournée sur toute l’étendue du territoire, pour ne pas dire dans les coins et recoins du Sénégal. Bougane Guèye qui en est la personnalité morale de cette organisation, a initié cette démarche pour prendre langue avec les populations. Mais, surtout les femmes et les jeunes, fer de lance de la nation, pour leur transmettre le message du travail. Autrement dit, croire en soi, croire aux vertus du travail et enfin comprendre qu’il est bel et bien possible de réussir dans ce pays.

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Il faut le dire et le signaler. Depuis plusieurs semaines voire quelques mois, le mouvement Gueum Sa Bopp a entamé une tournée sur toute l’étendue du territoire, pour ne pas dire dans les coins et recoins du Sénégal. Bougane Guèye qui en est la personnalité morale de cette organisation, a initié cette démarche pour prendre langue avec les populations. Mais, surtout les femmes et les jeunes, fer de lance de la nation, pour leur transmettre le message du travail. Autrement dit, croire en soi, croire aux vertus du travail et enfin comprendre qu’il est bel et bien possible de réussir dans ce pays.

Mais, il faut défendre que depuis quelques jours, des blocages semblent s’inviter dans ses tournées. Car, après Ngaye-Mékhé où le Préfet avait interdit la rencontre de Gueum Sa Bopp, puis Sébikotane, c’est maintenant Thiaroye-Gare qui prend le relais. Et pour cause, Bougane Guèye, à travers son mouvement doit rendre demain mercredi dans cette localité. Seulement, des choses bizarres se passent. En effet, pour cette rencontre de Thiaroye-Gare qui attend avec impatience l’arrivée de Guèye, le sous-préfet a bien autorisé la rencontre d’échanges avec les populations. Cependant, elle risque de ne pas de tenir parce que tout simplement, nous apprend-on, le maire qui n’est autre que Babou Ndoye «refuse de donner la salle polyvalente où doit se tenir cette rencontre. Surtout qu’il est fait état de probables troubles à l’ordre public.» Ce qui pousse à se demander quelle est l’autorité ayant la prérogative de soulever une telle éventualité-possibilité. Pourtant, toutes les démarches administratives nécessaires ont été effectuées. Ce qui prouve que les coups-bas commencent à faire légion dans la démarche entreprise par le mouvement Gueum Sa Bopp. Ce qui pousse à poser cette question : En quoi Bougane Guèye est-il une menace pour les politiques. Certains….en tout cas…

Horreur à Djeddah Thiaroye Kao. Porté disparu depuis le 15 mars dernier, le même jour que le petit Fallou Diop qui sera retrouvé tué quatre jours plus tard, P. L. D., âgé seulement de 2 ans et 4 mois (Fallou avait 2 ans et 6 mois), a été retrouvé dans un trou.

Les cris de l’enfant ont alerté un adolescent de 16 ans qui partait à l’école. Ce dernier, s’arrête, fouille les lieux et découvre le petit dans la cachette.

Ligoté des pieds et des mains, l’enfant avait également les yeux bandés. Il a été conduit au commissariat de Thiaroye, renseigne Les Échos.

« Il aurait été sacrifié si l’élève ne l’avait pas sauvé », pleurent ses parents, repris par le journal. Qui rapporte que le dossier a été transmis au parquet du Tribunal de grande instance de Pikine.

Au rythme où ils dérobaient la ferraille, le projet de Train express régional (Ter) risque de ne pas être inauguré en 2019 comme prévu par les autorités. À Thiaroye dans la banlieue dakaroise, des charretiers guettaient la tombée de la nuit pour voler et revendre des rails destinés aux travaux du Ter. Ils ont été appréhendés par des flics en patrouille, qui soupçonnaient un vol, informe le quotidien “Les Échos” qui évoque une course-poursuite entre les malfaiteurs et les forces de l’ordre.

Des bouts de ferrailles qu’ils revendaient à 40 000 francs l’unité, auprès de ferrailleurs de la banlieue de Dakar. Des receleurs que ces conducteurs de calèches finiront par balancer suite à une enquête ouverte par la police.

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Le vol de courant est un problème réel à Dakar. Des spécialistes en font leur gagne-pain. Mais ce n’est pas toujours qu’on s’échappe de ce vol.

A Thiaroye (dans la banlieue de Dakar), un mécanicien qui s’adonnait à cette pratique n’y est pas sorti vivant fait-on savoir. Il est mort électrocuté. Son compagnon quant à lui, est gravement brûlé.

Nous y reviendrons.