Vente de cheveux et maraboutage, encore un phénomène impensable qui se déroule tous les jours sous notre nez chaque jour qu’Allah fait.

Le secret des cheveux est bien connu par nos parents. Ces derniers préconisaient qu’après le rasage les cheveux devaient être enterrer pour qu’après on y verse de l’eau. Ils font partie des éléments parmi les qu’elle de mauvaise personne peuvent passer pour marabouter une autre.

Mais dans notre société actuel les jeunes ne font plus attention à toutes ces mises en gardes. Nous nous rasons n’importe où, n’importe comment. Donc à tous nos frères et sœur qui prennent les conseils des personnes âgées comme des détaille sachez que vos cheveux peuvent payer le loyer de votre coiffeur.

A Dakar par exemple des coiffeurs vendent des cheveux de toute sorte. Un cheveu provenant de la tête d’un Toubab coûterait plus cher qu’un cheveu sénégalais d’après nos sources. Le prix peut s’estimer vers les 10,000 Fcfa.

Les cheveux des artistes aussi sont très demandé. Les coiffeurs se ventent d’avoir comme client un tel ou tel artiste. Ainsi des fans ou n’importe qu’elle personne mal intentionné peut les approcher pour leur acheter des cheveux de leur star à des fins de maraboutage.

En janvier 2016, la Sierra Leone, petit pays d’Afrique de l’Ouest meurtri par la guerre et classé parmi les plus pauvres de la planète, crée l’événement au concours de Miss Univers. Pour la première fois, une Miss Sierra Leone, Hawa Kamara, participe au prestigieux concours de beauté. Pour les autorités, l’enjeu est de taille : il s’agit de redorer le blason du pays, afin de redevenir une destination touristique phare en Afrique.

Dans les années 1970-80, la Sierra Leone, avec ses cocotiers et ses plages de sable blanc, faisait partie des destinations préférées des Français choisissant de passer leurs vacances en Afrique de l’Ouest. Des personnalités comme Johnny Hallyday ou feu Carlos en avaient fait leur camp de base africain. Mais cette image de carte postale idyllique, c’était avant la guerre civile…De 1991 à 2002, soit onze ans durant, la guerre civile déchire le pays. Elle fera 120 000 morts. Au-delà de ce bilan meurtrier, la guerre entraîne la Sierra Leone, déjà fragile, dans l’engrenage de la pauvreté. Actuellement, dans le classement annuel du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), la Sierra Leone pointe au 180e rang sur 186 pays évalués. Dans le même temps, le conflit met un coup d’arrêt brutal à la manne financière que représentait le tourisme.