Ce samedi, le collectif des victimes de l’autoroute à péage a observé un moment de recueillement en l’honneur des victimes. Pour l’occasion ,toute la presse était conviée.

Cependant, un incident survenu n’a pas laissé les personnes présentes sur place indifférentes. Le reporter du quotidien Les Echos a été  arrêté par les forces de l’ordre, avant d’être relâché par la suite.

La raison de son arrestation n’est autre que le fait que les limiers interdisaient aux manifestants de filmer l’événement y compris les journalistes venus couvrir le recueillement.

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Voilà qui ne va pas calmer la colère contre le concessionnaire de l’autoroute à péage. La Senac a fait payer 56 mille francs Cfa à la famille de Papis de Gelongal, mort par accident sur l’axe routier, pour la prise en charge de la voiture endommagée.

Il a fallu débourser 16 mille pour remorquer le véhicule hors de l’autoroute et 40 mille pour le transporter jusqu’au domicile du défunt, détaille Les Échos.

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Venu participer à la marche pour la libération de Khalifa Sall et Barthélémy Dias, le maire de Fann/Point E/Amitié, Palla Samb a deversé sa bile sur le président de la République et son gouvernement.
Selon lui, la condamnation du maire de Dakar est une machination pour l’empêcher de se présenter à l’élection présidentielle, « mais c’est peine perdue car Dieu est avec lui », a-t-il dit. « S’il avait accepté les ordres donnés par le gouvernement, il ne serait pas en prison. Nous allons organiser des marches chaque semaine pour sa libération et continuer le combat », a-t-il déclaré…

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Les habitants du populeux quartier Doudou Guèye, à Yeumbeul Sud (Pikine) ont vécu un dimanche pas comme les autres. Leur repos dominical a été endeuillé. Mame Cheikh Sène, âgé de 12 ans est mort dans une maison inhabitée, qui a été démolie dans le cadre des travaux du Train express régional. L’enfant et ses camarades étaient à la recherche de la ferraille dans les maisons démolies et en cours de démolition. Mais Ahmet Tidiane a eu la malchance de se trouver au mauvais endroit et au mauvais moment. Le mur d’une chambre s’est affaissé sur lui.

Vu la violence du choc, il est mort sur le coup. Un décès brutal qui a provoqué la colère des populations de cette partie de la banlieue. Elles réclament plus de sécurité sur le tracé du Train express régional. «Le Ter traverse des quartiers populaires où il y a beaucoup d’enfants. Nous demandons aux autorités de prendre toutes leurs responsabilités pour sécuriser les populations. C’est le 2ème cas de mort enregistré en une semaine, alors nous ne sommes pas encore dans la phase active des travaux. Nous sommes fatigués d’aller présenter des condoléances à chaque fois. Si les entreprises qui ont gagné les travaux ne peuvent pas sécuriser les populations, nous allons prendre nos responsabilités, en bloquant les travaux», martèle Louis Gomis, qui est dans tous ses états.

Le collectif des impactés du Train express régional ont rendu visite à la famille éplorée. Il a appelé les autorités à prendre toutes leurs responsabilités pour que plus jamais, un enfant perde la vie dans le chantier du Ter. «Deux individus sont morts en une semaine. Au bout d’un an, les morts ne seront plus comptés sur le bout des doigts. On commence à compter les morts alors que le projet n’a pas effectivement démarré. L’État n’a qu’à prendre ses responsabilités», soupire Ibrahima Cissé, président du Collectif des impactés du Ter. C’est le 2ème cas de mort enregistré à Yeumbeul Sud en une semaine. Mardi dernier, un jeune du nom de Cheikh Diop, âgé de 26 ans, a été mortellement fauché par un camion, qui roulait à vive allure. C’était la nuit un peu avant 23 heures.

Un homme aurait été séquestré et torturé durant une dizaine de jours par trois  de ses colocataires.

Les faits se sont produits à Anderlecht, rue de Douvres.

Selon le témoignage de la victime, qui avait la mâchoire cassée ainsi que de nombreuses traces de violences sur le corps, les suspects lui réclamaient une importante somme d’argent, à savoir 100.000 euros. Le mobile des faits se trouverait là. Selon Sudpresse, la victime, toxicomane, avait des problèmes d’argent et ne parvenait plus à payer sa part du loyer.

Le parquet de Bruxelles a confirmé que trois personnes avaient été placées sous mandat d’arrêt pour « prise d’otage avec tortures« . Les suspects nient en bloc.

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Treize hommes, dont 3 ressortissants Bissau-Guinéen ont été tués, samedi, dans la forêt de Boffa. Ces treize exploitants de bois, jeunes pour la plupart, ont été retrouvés tués, les corps criblés de balle ou mutilés.  Sept autres jeunes, gravement blessés, ont été admis aux services des urgences du Centre hospitalier régional de Ziguinchor. Trois d’entre eux, dans un état grave ont été transférés à Dakar pour subir des opérations. Les dépouilles des 13 corps ont été déposées à la morgue de la structure hospitalière régionale. Libération publie les noms des 13 victimes tuées à Bayote, situé à Bofa-Bayote dans l’arrondissement de Niaguis à Ziguinchor.

Les noms des 13 victimes

1-Ibrahima DIALLO

2-Abdoulaye DIALLO

3-Mamadou DIALLO

4-Daouda DIALLO

5-Ousmane BALDE

6-Kaoussou GASSAMA

7-Ibrahima DIALLO

8-Abdou DIALLO

9-Abdou CISSE

10-Seydou TOURE

11-Aliou BALDE

12-Ismaila SADIO

13-Alpha DIAO

Un faux marabout du nom de Chérif Sow a détourné et envouté Aminata Kante, une jeune élève, avant de lui soutirer 400 mille Fcfa. Il a été jugé hier par le Tribunal des flagrants délits de Dakar. Sur ce, il a été  condamné à une peine de deux ans de prison dont six mois ferme et il paiera comme dommage et intérêt la somme de 400 mille Fcfa à sa victime.

Par le biais de sa copine Aminata Kante, la victime Aminata Kanté, fera la connaissance de Chérif  Sow qui lui proposa des bains de purification, prétextant que la fille est victime de mauvais sort. Après une série de voyance, le soit disant marabout administre à la jeune fille des bains mystiques. Pour cela, elle lui envoi des sous.

La victime réclame la somme de 400 mille, somme équivalent à la totale d’argent remis au charlatan. Ce dernier, qui nie tout en bloc, a estimé la somme à 50 mille Fcfa.

Suite à des doutes, la fille se confie à sa tante, qui l’a mis en garde sur les agissements suspects du  marabout. Au Tribunal, le Juge a finalement condamné le truand de marabout à une peine de 2 ans dont 6 mois ferme et il devra payer 400 mille Fcfa à sa victime.

Un incendie s’est déclaré dans la nuit d’hier dans le quartier Arafat de Grand-Yoff. Il y a eu plus de peur que de mal. Le feu est parti d’une chambre sise au deuxième étage d’un immeuble situé à quelques jets de pierres d’un dépôt de gaz.

Un blessé a été dénombré. Il s’agit d’un jeune homme qui a sauté de la fenêtre de sa piaule pour échapper aux flammes.

Il s’est retrouvé à l’hôpital avec une double fracture au niveau des membres inférieurs. Selon les premiers témoignages recueillis sur place par actunet.net, le sinistre serait dû à un court-circuit.

Les sapeurs-pompiers de Dieupeul alertés, ont réussi à éteindre le feu qui avait commencé à se propager. Cet incendie nocturne qui intervient quelques jours seulement après celui de Parc Lambay (Pikine) a occasionné beaucoup de dégâts matériels. Une enquête a été ouverte.

Nous y reviendrons.

L’homme en question est un certain Roland Samuel et prétend être le “Christ”. Selon plusieurs sources dignes de foi, il se serait spécialisé dans le lavage de cerveau d’étudiants dans diverses universités du Nigeria. Il poussait ces derniers à abandonner leurs études pour le suivre avant d’aller abuser d’eux s3xuellement. Le suspect a été arrêté par des agents du Nscdc.

Un utilisateur de Facebook, Anazodo Echezonachukwu, a partagé l’histoire sur sa page…

Enfin, ce bât*rd et cette bête a finalement été capturé.
Ce pédophile et pervers s3xuel du nom de Roland Samuel abusait s3xuellement et psychologiquement de toutes ses victimes. Parmi ses victimes se trouvent des élèves qui étaient dans diverses universités. Ils ont abandonné leurs études et ont suivi ce bât*rd qui leur a fait un lavage de cerveau avec succès en leur faisant croire qu’il était le «Christ», et qu’il ne pouvait pas commettre de péchés.

Il entraine généralement toutes ses victimes dans le s3xe anal avec l’assurance que leurs péchés sont pardonnés, parce qu’ils vivent dans la « grâce ». Les preuves de ses enseignements sont intactes. Ses victimes sont allées manger un jour dans un restaurant connu sous le nom de mama put et n’ont pas payé.

Quand on leur a demandé de payer, ils ont répondu que leur père au paradis possède tout.

Les victimes sont actuellement dans des centres de réhabilitation car, certains d’entre eux sont prêts à tuer pour lui. Heureusement, deux ont déjà fait des aveux aux responsables du Nscdc. Je prie que ce bât*rd soit enfermé pour toujours et les clés jetées.

Moins de deux mois après son accident de voiture, Sergio Agüero (29 ans, 83 sélections, 36 buts) a eu droit à une nouvelle frayeur mardi. Buteur face au Nigeria (2-4) en match amical avec l’Argentine, l’attaquant a été victime d’un petit malaise dans le vestiaire à la mi-temps, ce qui explique son remplacement à la pause.

Mamadou Benté Diallo a été condamné à une peine d’emprisonnement de deux ans. Encourant une peine de dix ans, il a bénéficié de la clémence du tribunal de grande instance de Kolda.

Le sexagénaire venait d’être reconnu coupable de délits de pédophilie et viol suivi de grossesse sur une mineure âgée de 15 ans.

Des faits qui ont valu à Mamadou Benté Diallo, polygame, âgé de 64 ans, une comparution le 4 octobre dernier devant le tribunal de Kolda.

Une suite d’accusations qu’il avait fermement niées, arguant que ses pourfendeurs cherchaient à ternir son image. Il sera tout au long de la procédure, chargé par sa victime, qui a toujours soutenu avoir entretenu des rapports sexuels à trois reprises avec le prévenu sur le lit de sa mère.

A la barre, la victime conforte ses accusations, précisant que le prévenu profitait de l’absence de ses parents pour la retrouver dans cette chambre où il abusait d’elle sous la menace d’un couteau.

C’est pourquoi, assure-t-elle, elle n’opposait pas une résistance au polygame sexagénaire.