Des têtes commencent à tomber dans l’enquête sur le cambriolage du bureau de la caissière centrale du Groupe Futurs Médias sis aux Almadies. Des sources de l’As, proches du dossier renseignent que l’électricien de la TFM, Mario Gomis a été arrêté par les enquêteurs.

Il a été démasqué, rapporte-t-on, par les caméras de surveillance installées dans la structure. Il faut rappeler que c’est la quatrième fois que le Groupe Futurs Médias fait l’objet de cambriolage. Les auteurs ont toujours emporté d’importantes sommes d’argent sans être pris.

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Il est accusé de vol de bijoux en or d’une valeur de 5 millions de nos francs, par l’un des locataires de l’immeuble où il est préposé à la sécurité à Hann Mariste. La trentaine, Aboulaye Dior a comparu ce mardi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar. Le prévenu bien qu’ayant énergiquement contesté les faits, il risque toutefois un an de prison ferme, si toutefois, le juge suit le parquet dans son réquisitoire. Le vigile sera édifié sur son sort, le 8 mars prochain.

Victime d’un cambriolage dans son appartement sis à Hann Mariste, le sieur Bangoura est convaincu que son voleur n’est personne d’autre que le gardien des lieux, en l’occurrence le nommé Abdoulaye Dior. Devant la barre la partie civile a expliqué que le jour des faits, il était parti au boulot avec sa femme. Et, vers les coups de 12h 12 mn, il a été informé par le prévenu que son appartement, situé au premier étage a été cambriolé par des malfaiteurs. C’est ainsi, dit-il, qu’il a quitté son bureau pour venir constater les dégâts.

« Une fois chez moi, Abdoulaye Dior me dit qu’il s’était rendu à la pharmacie pour acheter une plaquette de paracétamol au moment du vol aux environs de 10h 40 mn. J’ai constaté que le voleur a défoncé la porte de l’appartement, ainsi que celle des deux armoires de ma femme, avant de mettre la main sur ses trois boîtes à bijoux en or. Et, c’est la deuxième fois que j’ai subi ce genre de cambriolage », a expliqué la partie civile.

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L’information selon laquelle une somme de 130 millions CFA est dérobée chez le Khalife des Mourides est fausse. Actunet.net, qui a joint l’entourage de Serigne Mountakha Mbacké, est en mesure de dire que Le Quotidien de Madiambal Diagne s’est gouré.

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Le Tribunal de grande instance de Dakar a condamné, hier, Hamidou Sidibé à une peine d’emprisonnement de 2 ans dont 1 an ferme et au paiement de 8 980 000 F Cfa pour la réparation du préjudice subi par Amadou Coulibaly.

Hamidou Sidibé, placé sous mandat de dépôt le 22 février 2018, devra patienter encore une année en prison, avant de recouvrer la liberté. Le Tribunal de grande instance de Dakar l’a déclaré coupable des délits de complicité de vol par escalade et charlatanisme pour un  préjudice de 8 950 000 F Cfa subi par Amadou Coulibaly. Les juges ont suivi  le parquet. Le procureur avait, dans son réquisitoire, soutenu l’accusation et  sollicité une condamnation à 2 ans d’emprisonnement dont un ferme.

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La Commission d’enquête mise en place par la Direction générale de la Douane a conclu que 1,8 milliard de F Cfa  a été volé grâce à des crédits fictifs. *

Selon Libération qui rapporte l’information dans sa parution de ce samedi, une dizaine de transitaires a été placée en garde à vue avant d’être libérée. Ce, suite à une transaction.

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Koromack Faye était hier, jeudi 1 février, devant la barre du tribunal correctionnel de Dakar. Il est poursuivi pour vol d’électricité présumé par la Senelec. Le Saltigué a nié les faits face au juge avant de dérouler sa version.

Tout est parti, selon lui, d’un cumul d’impayés de factures d’électricité, d’un montant de 400 mille francs, trouvé dans une maison qu’il a prise en location. Il efface l’ardoise, mais tarde à retrouver le courant.

Ne pouvant plus attendre, il raconte avoir acheté un groupe électrogène et un panneau solaire pour être autonome. À la suite d’un contrôle, indique-t-il, la Senelec l’a accusé de vol.

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Koromack Faye était hier, jeudi 1 février, devant la barre du tribunal correctionnel de Dakar. Il est poursuivi pour vol d’électricité présumé par la Senelec. Le Saltigué a nié les faits face au juge avant de dérouler sa version.

Tout est parti, selon lui, d’un cumul d’impayés de factures d’électricité, d’un montant de 400 mille francs, trouvé dans une maison qu’il a prise en location. Il efface l’ardoise, mais tarde à retrouver le courant.

Ne pouvant plus attendre, il raconte avoir acheté un groupe électrogène et un panneau solaire pour être autonome. À la suite d’un contrôle, indique-t-il, la Senelec l’a accusé de vol.

Koromack estime que la plainte de la Senelec n’est que le prétexte d’une cabale qui est menée contre lui par des individus tapis dans l’ombre. Ce, dit-il, à cause de ses terrains situés à Mbour et qui attireraient les convoitises.

La partie civile, la Senelec, n’était pas présente au procès. Le procureur a requis l’application de la loi. Délibéré : le 15 février.

La dame Mariama Traoré qui est commerçante de son état, n’a plus que ses yeux pour pleurer. De retour du Samu pour une consultation, elle a constaté avec amertume que son appartement sis à Sacré Coeur 3, a fait l’objet d’un cambriolage.

Ses bijoux dont certains sont en or et des numéraires d’une valeur de 160.000 Cfa ont été tout simplement emportés. Elle a aussitôt soupçonnée le vigile de leur immeuble, un Gambien du nom de Moussa Diop à qui elle avait confié ses clés. Mais ce dernier a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés.

« Jamais de la vie je ne ferrai pareille chose », a-t-il soutenu. Dans la foulée, il a même juré la main sur le coeur qu’il n’était pas l’auteur du vol dont on l’accuse « gratuitement ». Pour se disculper, il a décidé de porter plainte contre la dame Mariama Traoré pour accusations mensongères. Mais celle-ci étant convaincu de sa culpabilité, a préféré aller tirer cette affaire au clair à la police.

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Le sieur Assane Ndiaye, originaire de Diourbel s’est tué pour un simple téléphone portable. Les faits se sont passés hier à Usine Gaz sur la route de Gossas, dans la périphérie Nord de la commune de Kaolack où le malfrat, à bord d’une moto Jakarta avec son complice qui conduisait, avait arraché des mains d’une fillette de 15 ans un appareil cellulaire. Lire la suite

Mohamed S. Camara, Djibril Ibrahima Kane et Amadou Samb aiment croquer la vie à belles dents. Mais au lieu d’étudier pour gagner leur vie à la sueur de leur front, ces jeunes élèves en classe de terminale ont plutôt opté pour la facilité. Pour faire la bamboula, Mohamed Camara et ses amis ont volé 5 millions Cfa appartenant à sa mère adoptive. Le Procureur a requis une peine de 6 mois ferme.

La plaignante Ndèye Coumba Camara explique que c’est à son retour de voyage en France qu’elle a constaté des mouvements opérationnels dans le compte de son entreprise. Les chèques utilisés pour ces opérations portent sa signature. Pourtant, il n’y a que ses nièces et ses collègues qui connaissent l’existence de ces chèques. Après des enquêtes, la banque révèle qu’un certain Amadou Samb veut faire un retrait sur son compte. Alpagué, Mohamed Camara a reconnu sans ambages le vol des chèques. Le délibéré est fixé le 16 octobre prochain.

O. Dia, étudiante à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, a été victime d’un sale coup de la part d’un gérant de Wari à Fann Hock chez qui elle avait l’habitude de se rendre pour récupérer sa bourse universitaire. Le gérant qui détenait toutes les coordonnées de la jeune fille, a retiré, à l’insu de cette dernière, la somme de 108.000 francs Cfa, le rappel de sa bourse. C’est lorsqu’elle a tenté de retirer son argent, qu’il lui a été signifié que c’était déjà fait. La même réponse lui sera servie lors d’une vérification, par Ecobank, rapporte Vox Populi, lu par Actunet.

O. Dia finit par déposer une plainte au commissariat du Point E. L’enquête ouverte a permis de révéler que l’auteur des faits est un certain Bakou, le gérant du Wari de Fann Hock où elle avait l’habitude de retirer sa bourse. Et O. Dia n’était pas la seule victime de Bakou, qui a été arrêté. Le préjudice est estimé à 359.000 francs. «Je crois que c’est son mariage qui l’a poussé à agir ainsi», a tenté de justifier l’employeur du gérant.

Agé de 20 ans, Aliou Ndao est détenu à la prison de Tamba depuis avant-hier, à la suite d’une inculpation et d’un placement sous mandat de dépôt. Cela soulage sa mère, Ami Kobor, âgée d’environ 42 ans. Elle a passé tout son temps à souffrir, à cause de son fils qui persécute les siens.
La dame Amy Kobor gagne sa vie difficilement, avec de faibles revenus financiers. Elle satisfait donc de moins en moins les caprices de son fils Aliou Ndao. Ce dernier, agressif, n’épargne personne. Ni sa famille, ni le voisinage.
Le 10 septembre dernier, il est interpellé par sa mère à cause de ses bijoux qu’elle ne retrouvait plus. Ce qui a chauffé les nerfs d’Aliou. Énervé, il s’en prend à sa mère et la tabasse.
La dame n’en pouvait plus des excès de son fils. Elle s’est donc rendue à la brigade de Tamba, pour déposer une plainte contre son rejeton.
Ce dernier a reconnu les accusations portées contre lui. Pour se défendre, il explique avoir réagi sous l’emprise de la colère. Il a été déféré au parquet de Tamba hier, après sa garde à vue.

Accusé de vole, le lutteur Boy Nar de l’écurie «Artillerie» a décroché un ticket pour la prison de Louga. Son arrestation par les limiers du Commissariat urbain de la région de Louga fait suite à une plainte du nommé D.T, tailleur de son état.

En effet, ce dernier avait remis 5000 francs à un de ses apprentis pour recharger une bonbonne de gaz. Boy Nar a forcé le jeune apprenti à lui remettre l’argent. Sans hésiter, le patron de la victime est allé à la police. Les limiers ont fait une descente sur ce milieu pour tirer cette affaire au clair.

En apercevant la fourgonnette de la police, Boy Nar et sa bande ont pris la fuite. C’est après quelques heures que ladite bande a été surprise. Boy Nar a opposé une vive résistance aux flics. Il a été placé en garde à vue puis déféré au parquet de Louga avant d’être placé sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt et de correction (Mac) de Louga.