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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

Tous les 15 jours, retrouvez “Fair Play” sur votre site Actunet. “Fair Play” est un plateau de Mame Mbaye Ndiaye, qui place sous les projecteurs toutes personnalités interpellées par l’actualité du moment.

Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

La Guinée dans l’attente des résultats du référendum constitutionnel

En Guinée, plus de 6 millions d’électeurs étaient attendus dimanche aux urnes pour le référendum constitutionnel. Quatre ans après le coup d’Etat contre l’ex-président Alpha Condé.

Une disposition du texte soumis à l’approbation du souverain primaire permettrait au général Mamadi Doumbouya, le chef de la junte militaire au pouvoir, de se présenter à l’élection présidentielle à venir.

Ce scrutin est le premier d’une série ouvrant la voie à un retour au régime civil dans le pays. La campagne référendaire a été dominée par une campagne en faveur du ” oui”.

Le régime militaire a dissous plus de 50 partis politiques l’année dernière dans le cadre d’une initiative visant, selon lui, à « nettoyer l’échiquier politique ». Quelques semaines avant le référendum, il a suspendu les trois principaux partis d’opposition, les empêchant ainsi d’organiser des rassemblements.

Secteur de la construction : chute de 13,4 % du chiffre d’affaires au deuxième trimestre 2025

Le secteur de la construction a enregistré une baisse de 13,4 % de son chiffre d’affaires au deuxième trimestre 2025 par rapport à la même période en 2024, selon les données officielles.

Cette contreperformance est principalement imputable à la forte contraction du sous-secteur du génie civil (-31,4 %) et, dans une moindre mesure, à la baisse de 1,7 % de la construction de bâtiments.

Sur le premier semestre 2025, le chiffre d’affaires du génie civil affiche une diminution cumulée de 35,1 %, tandis que celui de la construction de bâtiments recule de 7 %. Cette baisse résulte surtout de la régression de 14,6 % des travaux liés à la promotion immobilière, partiellement compensée par une hausse de 1,8 % des travaux réalisés pour le compte de tiers.

En revanche, le sous-secteur des activités spécialisées de construction progresse de 13,5 % au deuxième trimestre 2025. Cette performance s’explique par le dynamisme des autres travaux spécialisés et par la hausse de 15,3 % des travaux d’installation, malgré un repli de 13,8 % des travaux de finition. Globalement, sur le premier semestre, le chiffre d’affaires des travaux spécialisés s’accroît de 17,4 %.

Concertations régionales sur le secteur minier : Les recommandations du Gouverneur de Tambacounda

Le secteur minier, moteur stratégique de développement économique au Sénégal, a été au cœur d’intenses concertations régionales, ce vendredi 19 septembre à Tambacounda. Autorités administratives, élus locaux, représentants des communautés, opérateurs miniers, acteurs de la société civile et services techniques ont pris part à cette rencontre, visant à diagnostiquer les enjeux, formuler des propositions concrètes et renforcer la gouvernance du secteur dans la région précise le soleil .

À l’issue des échanges, le Gouverneur de la région de Tambacounda, Guédji Diouf, a pris une série de recommandations qui vont favoriser une exploitation minière plus inclusive, responsable et durable. Face aux manquements notés dans le respect de la réglementation du secteur, il a instruit les préfets et sous-préfets de faire respecter les lois et règlements régissant le secteur. Ensuite, du fait de l’interdiction d’exploitation des carrières dans le parc Niokolo-Koba, entrée en vigueur le 31 août, M. Diouf a recommandé l’accélération des procédures d’ouverture de nouvelles carrières au niveau des quatre départements. Le chef de l’exécutif régional a demandé au Directeur régional de l’Énergie et des Mines de Tambacounda d’établir une bonne cartographie des sites miniers. Il recommande également la réhabilitation ou la remise en état des sites après exploitation.

Pour le Directeur régional de l’Énergie et des Mines de Tambacounda, Diéry Abdoul Diallo, des missions de prospection sur le terrain sont entamées pour trouver des sites exploitables. Cependant, pour disposer des autorisations d’ouverture de mines semi-mécanisées, il invite les orpailleurs à se formaliser en se constituant en groupement d’intérêt économique (GIE).

Forum sur « la ceinture et la route »: Kunming, carrefour d’influences et vitrine du real power chinois

Ville frontière à presque 2.000 mètres d’altitude, dans le Sud-Est du pays, Kunming incarne, à la fois, la mémoire des anciennes routes de la soie et les ambitions de la Chine. C’est là, au cœur du Yunnan, que s’est ouvert, mardi 16 septembre, le Forum de coopération des médias sur « La Ceinture et la Route ». En ces temps incertains, le géant réitère son appel pour un « système de gouvernance mondiale plus juste ».

KUNMING (YUNNAN) – Le grand voyageur Marco Polo a écrit dans ses carnets que c’est « une ville magnifique ». Quand il y est arrivé au 13e siècle, le découvreur de la Chine pour l’Occident n’avait pas vu les buildings, encore moins le métro, les motos électriques, ou les lampadaires hybrides éoliens-solaires. Mais sans nul doute, il avait été frappé par les éminences boisées des montagnes qui enserrent Kunming, lui donnant une atmosphère sécure qu’accentuent en ce mois de septembre le calme du lac Dianchi, l’exubérance florale du printemps et la zen attitude de ses habitants. La capitale de la province du Yunnan, dans le sud-est de l’Empire du Milieu, est aux confins de ses frontières avec le Myanmar, le Laos et le Vietnam, la porte du Sud-Est asiatique. Ici, tout est mémoire et projection dans l’avenir en même temps. Souvenirs de l’antique voie Sud de la Route de la soie qui voyait les caravanes de chameaux et de chevaux conduire le thé, le papier, la porcelaine, les épices vers le Sud ; futur industriel, car ici, on trouve le nec plus ultra du savoir-faire chinois, le nouveau visage de la puissance. En mai dernier, a d’ailleurs été inauguré le chemin de fer reliant la ville à Vientiane, la capitale du Laos.

Ville donc chargée de symboles pour illustrer le dialogue que la Chine entretient avec le monde depuis quelques années…C’est une smart city enveloppée par une légère brume qui a accueilli, le mardi 16 septembre, l’ouverture du Forum de coopération des médias sur « La Ceinture et la Route ». Peloton de voitures diplomatiques, badges tricolores, micros, casques d’écoute : plus de 200 représentants étrangers de 87 pays, organisations, médias et institutions régionales ou internationales, soit 165 médias et institutions, se sont réunis dans un centre de conférence du quartier des affaires pour ce qui est présenté comme un moment majeur de dialogue autour des récits, des responsabilités et de l’influence médiatique dans un monde globalisé. Depuis que le Président Xi Jinping a lancé l’Initiative de « La Ceinture et la Route » en 2013, les intervenants au forum insistent sur les « résultats fructueux » obtenus. Ce projet, expliquent la plupart des intervenants dont la fine fleur du Parti communiste local, ne serait plus seulement un plan d’infrastructures, mais un « bien public international » et « une plate-forme de coopération innovante ». Une actualité récente s’est greffée à ce discours : l’Initiative pour la gouvernance mondiale, proposée par le Président Xi lors du sommet « Organisation de coopération de Shanghai + », à Tianjin, dans le Nord-Est du pays, début septembre.

Des ponts, pas des murs 

Cette initiative s’inscrit, aux yeux des autorités chinoises et des médias présents, comme un complément à «la Ceinture et la Route », visant non seulement à « élargir la portée de la coopération internationale, mais aussi à poser les principes d’égalité souveraine, de respect du droit international, de multilatéralisme, et d’actions concrètes », comme l’a indiqué Zhen Jianbang, vice-président du comité central de l’Assemblée nationale populaire dans son discours. Il s’agit, ici, selon les organisateurs, de « partager les responsabilités des médias et de promouvoir l’apprentissage mutuel des civilisations ». Le choix de Kunming ne semble pas fortuit vu l’ambition de la ville d’être « un centre de rayonnement » vers le sud-est asiatique. « Cette initiative répond aux besoins de l’époque », ajoute Yu Shaoliang, le Pca du « Quotidien du peuple ». Quand la Chine développe son soft-power, elle ne prend pas tout, si l’on ose écrire.

De manière subtile, elle laisse entendre qu’elle apprend et reçoit aussi des autres. À côté de ses déploiements tous azimuts sur la planète (IA, robotique, nucléaire, solaire, corridor transcaspien, corridor maritime avec l’Amérique latine, infrastructures, riz bio, dépistage et traitement de cardiopathies pédiatriques, opérations de la cataracte…), elle valorise les dons qu’elle a reçus lors de la pandémie ou encore un don du Président équato-guinéen pour construire l’école primaire de l’amitié entre le géant et le pays d’Afrique centrale. La Chine envoie le message selon lequel elle partage ses opportunités, prône « l’égalité souveraine et état de droit » et un « système de gouvernance mondiale plus juste ». S’agissant précisément des médias, les interventions évoquent « la nécessité d’un récit coconstruit », de « connectivité matérielle et de connectivité des cœurs », des mots fleurant bon le Sud global. Les dirigeants chinois disent en substance que « la prospérité de la civilisation dépend des ponts, pas des murs ». Un real power qui murmure au creux de l’oreille…

avec le soleil

Plusieurs économistes alertent sur un risque d’«effondrement» du journalisme de qualité

Une dizaine d’économistes de renom, dont les Nobel Joseph Stiglitz et Daron Acemoglu, ont mis en garde, lundi 22 septembre, contre un risque d’«effondrement du journalisme d’intérêt public» qui apporte une information de qualité, avec des «conséquences considérables» notamment sur l’économie. «L’accès à des informations fiables est la ressource fondamentale qui alimente l’économie du XXIe siècle», comme «les époques précédentes dépendaient de la vapeur ou du charbon pour leur développement industriel», estiment-ils dans une déclaration collective publiée par le Forum sur l’information et la démocratie. «Cette ressource sera encore plus essentielle dans l’économie future, axée sur l’intelligence artificielle», soulignent ces économistes, parmi lesquels figurent également Philippe Aghion, Tim Besley, Diane Coyle et Francesca Bria, rapporte l’AFP.

Titre : Lutte sénégalaise : le CNG dégage un bénéfice de plus de 28 millions FCFA pour la saison 2024-2025

Le président du Comité national de gestion de la lutte (CNG), Malick Ngom, a présenté le bilan financier de la saison 2024-2025, marquant sa première année à la tête de l’instance après la succession de Bira Séne.

Selon les chiffres rendus publics, le CNG a enregistré 251.177.000 FCFA de recettes contre 222.751.648 FCFA de charges, soit un excédent de 28.425.352 FCFA.

Les recettes proviennent principalement de :

  • la vente de licences des promoteurs avec frappe (8,4 millions FCFA) et sans frappe (2,2 millions FCFA) ;
  • la vente de licences managers (1,2 million FCFA) et lutteurs (28,09 millions FCFA) ;
  • les droits d’affiliation (1,62 million FCFA) ;
  • les sanctions pécuniaires (32,148 millions FCFA) ;
  • les droits d’organisation de la lutte avec frappe (81,3 millions FCFA) et sans frappe (1,06 million FCFA) ;
  • le sponsoring et partenariats liés au Drapeau du Chef de l’État (73,2 millions FCFA).

Les charges incluent les dépenses de fonctionnement (37,869 millions FCFA), les frais pour les équipes nationales (18,222 millions FCFA), l’organisation des galas régionaux (19,169 millions FCFA) et les charges liées au Drapeau du Chef de l’État.

Réveil en douceur: 4 mouvements simples pour dérouiller ses articulations

Déverrouiller les lombaires

La position: allongé sur le dos, jambes légèrement écartées, bras étendus de chaque côté.

Le mouvement: ramener doucement le genou droit vers la poitrine et l’immobiliser une dizaine de secondes avec vos mains. Le reposer. Même chose avec le genou gauche. 3 fois de chaque côté. Puis ramener les deux jambes vers la poitrine en les reposant l’une après l’autre. 2 fois.

S’étirer

La position: assis au bord du lit, bras pendants de chaque côté.

Le mouvement: les bras montent de chaque côté pour rassembler les paumes des mains face à face. Tirer légèrement les bras et les épaules comme pour toucher le plafond. Puis paumes vers l’extérieur, reprendre la position de départ. 5 fois de chaque côté.

Rétablir la circulation

La position: sur le dos, jambes allongées, pieds posés sur le matelas.

Le mouvement: rapprocher une jambe du buste, puis la déplier en direction du plafond. La replier et la poser. 5 fois de chaque côté. Même chose en faisant ensuite tourner la cheville dans un sens puis dans l’autre.

Mobiliser

La position: assis ou debout, dos bien droit, épaules alignées avec le bassin.

Le mouvement: abaisser le menton vers le cou. Regard dirigé vers les pieds, enrouler tranquillement la tête, vertèbre après vertèbre vers les cuisses (si vous êtes assis) ou le sol (si vous êtes debout), bras le long du corps. Puis remonter vertèbre après vertèbre. 5 fois.

 

Pour bien pratiquer

Prenez votre temps et soyez à l’écoute de vos sensations.

Si un mouvement devient douloureux, réduisez son amplitude.

Services de santé : la tutelle veut digitaliser le paiement dans les structures publiques

Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique est à pieds d’œuvre pour l’adoption des moyens de paiement numériques dans les services de santé publics à travers le Sénégal.

Dans le but de faciliter l’accès aux services de santé tout en modernisant les modes de paiement pour davantage d’efficacité et de transparence, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (MSHP) a engagé une série de rencontres avec les parties prenantes.

« Dans cette dynamique, le MSHP a tenu une séance de travail, ce jeudi 17 septembre 2025 avec une équipe de Wave Sénégal, afin d’explorer les perspectives d’enrôlement des structures sanitaires dans l’utilisation des moyens de paiement numériques », renseigne la tutelle à travers une note publiée vendredi.

Cette rencontre a permis aux deux entités d’identifier les conditions préalables et les procédures nécessaires à la mise en œuvre effective du projet, tout en examinant les opportunités de collaboration entre le ministère et Wave.

avec le soleil

Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique : grogne des travailleurs face aux retards de salaires et au recrutement massif

Les travailleurs de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (Arp) membre du Syndicat autonome des médecins, pharmaciens et chirurgiens-dentistes du Sénégal (Sames) attirent l’attention des autorités sur la situation que traverse leur l’institution.

Ils disent avoir noté de « graves dysfonctionnements » auxquels l’Arp fait face depuis quelques mois. Il s’agit, selon un communiqué, de retards récurrents de paiement de salaires, de la prime de motivation Nepad…« Jusqu’à ce jour, les salaires du mois d’Août ne sont pas payés » peut-on lire nous disent le soleil .

Dans ce même document, les travailleurs fustigent des recrutements massifs et des affectations arbitraires qui risquent d’avoir de conséquences désastreuses sur leur outil de travail. « Nous avons aussi constaté des nominations basées sur le clientélisme, l’appartenance familiale et partisane, alors que l’Arp ne dispose pas de ressources financières additionnelles », ont indiqué les syndicalistes dans le communiqué. Ils ont, par ailleurs, dénoncé des mutations abusives et injustifiées des cadres de l’institution.

Les travailleurs membres du Sames interpellent les autorités sur les affectations du personnel au niveau des pôles régionaux sans mesure d’accompagnement et les intimidations et menaces contre les membres du syndicat. Pour éviter de compromettre la mission essentielle de l’Arp qui est de veiller à la qualité, à l’efficacité et à la sécurité des médicaments, les travailleurs demandent aux autorités d’agir pour stopper les dérives du directeur général. Le communiqué rappelle que l’effectif de l’Arp est passé en moins d’un an, de 150 à plus de 200 agents.

Élimination du trachome au Sénégal: le ministère de la Santé célèbre une victoire

Dr Samba Cor Sarr, directeur de cabinet du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, s’est réjoui des actions menées dans 24 districts sanitaires et qui ont permis d’éliminer le trachome au Sénégal depuis le 15 juillet dernier. Il s’exprimait avant-hier à Dakar lors de la cérémonie officielle d’élimination du trachome.

L’Organisation mondiale de la santé (Oms) a confirmé son élimination au Sénégal le mardi 15 juillet 2025. Ainsi, notre pays sort de la liste rouge des pays touchés par cette pathologie. Le trachome est une maladie des yeux due à une bactérie appelée Chlamydia trachomatis. Il constitue la principale cause infectieuse de cécité dans le monde. Selon le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique (Mshp), Dr Samba Cor Sarr, les actions menées dans 24 districts sanitaires, couvrant 2,8 millions de Sénégalais, ont eu un impact décisif non seulement dans l’élimination de la maladie, mais aussi dans la réduction significative des cas de cécité évitable sur l’ensemble du territoire national.

Dr Sarr a rappelé que la première enquête nationale a été menée en 2000 et que la cartographie complète de la maladie a été achevée en 2022. « La lutte contre le trachome a été systématiquement intégrée dans le programme national de santé oculaire, d’abord dans le cadre du Programme national de lutte contre la cécité (Pnlc), puis dans celui de promotion de la santé oculaire (Pnpso). Tous ces programmes ont permis de pérenniser l’engagement en faveur de l’élimination du trachome », a-t-il ajouté.

Dr Samba Cor Sarr a souligné que ce succès structurant de notre système de santé est le fruit d’une mise en œuvre rigoureuse de la stratégie recommandée par l’OMS. Il s’agit des interventions chirurgicales contre le trichiasis trachomateux, de l’administration de masse d’antibiotiques dans les zones endémiques, de campagnes de sensibilisation sur l’hygiène faciale et du renforcement durable de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement

avec le soleil

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention