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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

Tous les 15 jours, retrouvez “Fair Play” sur votre site Actunet. “Fair Play” est un plateau de Mame Mbaye Ndiaye, qui place sous les projecteurs toutes personnalités interpellées par l’actualité du moment.

Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

Guy Marius Sagna tacle le groupe parlementaire de Pastef pour son manque d’initiative

Invité sur le plateau de Walf TV ce mercredi, le député Guy Marius Sagna a vivement critiqué le groupe parlementaire de Pastef, l’accusant d’inaction malgré les moyens financiers importants dont il dispose.

« Nous avons 10 millions de francs CFA par mois. En un an, le groupe parlementaire de Pastef n’a même pas réussi à déposer une seule initiative parlementaire », a-t-il regretté, pointant du doigt ce qu’il considère comme un manque d’efficacité et d’organisation.

Le parlementaire a rappelé la complexité du travail législatif, soulignant qu’élaborer une proposition de loi exige une réelle connaissance des procédures. « La matière législative, si tu ne l’apprends pas, tu ne peux pas la faire. Il faut payer des gens qui maîtrisent le sujet », a-t-il insisté.

Selon Guy Marius Sagna, cette inertie n’a aucune justification, d’autant plus que Pastef dispose de la majorité et des ressources nécessaires pour faire avancer des projets. « Notre groupe parlementaire a la majorité, il a de l’argent, donc il peut déposer n’importe quel projet de loi. Mais encore faut-il savoir s’entourer des bonnes compétences », a-t-il conclu.

La Cour suprême annule la contrainte par corps mais confirme la condamnation de Madiambal Diagne

La Cour suprême a rendu sa décision ce jeudi dans l’affaire opposant le journaliste Madiambal Diagne au magistrat Souleymane Téliko. Elle a prononcé une cassation partielle de l’arrêt rendu par la Cour d’appel de Dakar le 3 mars 2025. Cette annulation concerne exclusivement la contrainte par corps, qui permettait d’emprisonner le journaliste en cas de non-paiement des dommages et intérêts.

En supprimant cette mesure, la Cour suprême écarte donc la possibilité d’un emprisonnement lié au non-paiement des sommes dues. Toutefois, elle a confirmé le reste de la décision, notamment la culpabilité de Madiambal Diagne pour diffamation à l’encontre du juge Souleymane Téliko.

Le journaliste voit ainsi maintenue sa peine de trois mois de prison ferme, ainsi que l’obligation de verser cinq millions de francs CFA au magistrat. Les avocats de la défense, qui réclamaient une annulation totale de la décision, n’ont donc obtenu qu’une cassation partielle sans renvoi, mettant définitivement fin au débat sur la contrainte par corps.

Terres rares, droits de douane: Donald Trump qualifie de «grand succès» sa rencontre avec Xi Jinping

Près d’un millier de Chinois étaient présents pour accueillir leur président à la sortie de sa rencontre avec Donald Trump, rapporte notre envoyé spécial à Gimhae, Célio Fioretti. La foule était réunie devant l’entrée de la base aérienne militaire de Gimhae sous très haute surveillance policière pour ce sommet historique perturbé par la présence de quelques militants antichinois.

La discussion, elle, a duré un peu moins de deux heures. Le président Xi Jinping a annoncé quelques minutes avant le début de la rencontre que les intérêts chinois ne sont pas incompatibles avec ceux des États-Unis malgré d’importantes divergences. Mais rien de quoi décourager les deux pays qui sont parvenus, d’après Donald Trump, à s’accorder sur des dossiers importants, comme les semi-conducteurs ou encore le fentanyl, un puissant opiacé utilisé comme drogue aux États-Unis.

Le président américain Donald Trump a de son côté qualifié de « grand succès » sa rencontre avec son homologue chinois et a annoncé qu’il se rendrait en Chine en avril prochain pour de nouvelles discussions et négocier d’autres dossiers comme celui de Taïwan qui n’a pas été abordé lors de cette rencontre en Corée. « Je serai en Chine en avril et Xi Jinping viendra ici peu après, que ce soit en Floride, à Palm Beach, ou à Washington », a déclaré Donald Trump aux journalistes à bord d’Air Force One. « Nous avons finalisé de nombreux points » lors de l’entretien à Busan, a-t-il ajouté, qualifiant Xi Jinping de « dirigeant exceptionnel d’un pays très puissant ».

Terres rares, droits de douane, guerre en Ukraine…

Donald Trump a annoncé une réduction de 10% des droits de douanes visant la Chine liés au trafic de fentanyl ainsi qu’un accord d’un an, reconductible, sur l’approvisionnement en terres rares. Mais les précisions de cet accord devront être discutés plus tard entre Washington et Pékin.

Le président américain Donald Trump a également assuré que Washington et Pékin allaient « travailler ensemble » sur la guerre en Ukraine. « L’Ukraine a été abordée de manière très forte. Nous en avons parlé pendant longtemps, et nous allons tous les deux travailler ensemble pour voir si nous pouvons obtenir quelque chose », a-t-il déclaré aux journalistes à bord d’Air Force One. Xi Jinping va « nous aider, et nous allons travailler ensemble sur l’Ukraine », a déclaré Donald Trump.

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Soudan: la communauté internationale dénonce des exactions massives lors de la prise d’El-Fasher

Les informations terrifiantes se multiplient sur des exactions massives à El-Fasher, la capitale du Darfour tombée dimanche 26 octobre aux mains des milices FSR du général Hemedti. « Les massacres continuent », selon des images satellites analysées par le laboratoire de recherche humanitaire de l’université de Yale.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) s’est dite « consternée par les informations faisant état du meurtre de plus de 460 patients et accompagnateurs à la maternité saoudienne d’El-Fasher ». Dans une vidéo diffusée mercredi sur les réseaux sociaux, le général Hemedti a reconnu qu’il y avait eu des abus de la part de ses troupes.

En uniforme, le général s’exprime depuis un lieu inconnu, précise notre correspondante à Nairobi, Gaëlle Laleix. « J’ai pu observer des violations à El-Fasher », reconnaît le commandant des FSR, qui annonce la création immédiate d’un comité d’enquête. « Les équipes sont déjà arrivées sur place et ont commencé le travail », poursuit-il, promettant que chaque soldat coupable d’exactions sera arrêté et jugé publiquement. Le général Hemedti annonce également la libération imminente de « tous les citoyens détenus illégalement » et promet que la liberté de circulation reste garantie.

Jeudi soir, le secrétaire général des Nations unies Antonio Gutierres a « exhorté l’armée et les Forces de soutien rapide à s’engager rapidement vers une solution négociée », dans un message posté sur son compte X. Dans sa vidéo, le général Hemedti l’assure, la prise d’El-Fasher est selon lui un pas de plus vers l’unité soudanaise. Il rejette toute discussion qui évoquerait une partition du pays.

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Ameth Ndoye placé en garde à vue à la BR de Faidherbe pour offense au Premier ministre

Le chroniqueur de SenTV, Ameth Ndoye, a été interpellé et placé en garde à vue ce jeudi dans les locaux de la brigade de recherches (BR) de Faidherbe, à Dakar. Selon des sources proches de l’enquête, il est poursuivi pour offense à une personne exerçant tout ou partie des prérogatives du chef de l’État et diffusion de fausses nouvelles.

Les faits remontent à une émission diffusée sur la chaîne Sen Téranga, au cours de laquelle Ameth Ndoye aurait tenu des propos jugés offensants à l’égard du Premier ministre Ousmane Sonko. À la suite de ces déclarations, le parquet a ordonné l’ouverture d’une enquête, confiée à la BR de Faidherbe.

Le chroniqueur a répondu à la convocation des enquêteurs avant d’être placé en garde à vue. Il pourrait être déféré devant le procureur ce vendredi, selon les informations recueillies.

Le ministre français de la Justice, Gérald Darmanin, a rencontré Nicolas Sarkozy à la prison parisienne de la Santé

L’entrevue s’est déroulée entre 19h et 19h45 en présence du directeur de l’établissement, selon l’AFP. Le garde des Sceaux a également échangé avec les agents pénitentiaires sur la sécurité de l’ex-chef de l’État, incarcéré depuis le 21 octobre.

Le ministre de la Justice Gérald Darmanin a rendu visite à Nicolas Sarkozy ce mercredi soir à la prison de la Santé, à Paris, où l’ancien président y est incarcéré depuis une semaine. L’entretien entre les deux hommes a duré près de trois-quarts d’heure.

C’est une visite aussi symbolique que politique. Près de dix jours après l’incarcération de Nicolas Sarkozy à la prison de la Santé, Gérald Darmanin s’y est rendu discrètement mercredi soir. Selon une information du Figaro, confirmée à Europe 1 par une source proche du ministre de la Justice, le garde des Sceaux a rencontré l’ancien président de la République vers 19 heures, en présence du directeur de l’établissement.

Russie: le Kremlin dit que ses récents tests d’armements n’étaient pas des «essais nucléaires»

Le Kremlin a tempéré jeudi 30 octobre ses récentes annonces sur les essais d’un drone sous-marin et d’un missile russes à capacité nucléaire, en soulignant qu’il ne s’agissait pas «d’essais nucléaires» à proprement parler, après la décision du président américain, Donald Trump, de relancer des tests d’armes nucléaires.

«En ce qui concerne les essais du Poséidon et du Bourevestnik (noms du drone sous-marin et du missile russes, NDLR), nous espérons que le président Trump en a été informé correctement. Cela ne peut pas être considéré comme un essai nucléaire», a réagi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Le Hamas annonce qu’il va rendre à Israël deux corps d’otages à 14h00 TU

 La branche armée du Hamas a annoncé ce jeudi qu’elle allait rendre à Israël à 14h00 TU deux dépouilles d’otages retenus dans la bande de Gaza, dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu en vigueur depuis le 10 octobre. Les Brigades Ezzedine al-Qassam ont annoncé sur leur compte Telegram qu’elles allaient remettre les corps de «deux prisonniers israéliens». Le mouvement islamiste palestinien a jusqu’à présent restitué les restes de 15 des 28 corps qui se trouvaient encore à Gaza.

Tout savoir sur le lait infantile : quel lait infantile choisir ?

Le lait maternel est l’aliment idéal du nourrisson. Toutefois, certaines mamans sont dans l’impossibilité d’allaiter. D’autres encore sont contraintes de cesser l’allaitement. Il faut alors choisir un lait infantile, en suivant les recommandations de votre pédiatre. Il existe cependant de nombreux laits infantiles conçus pour répondre aux besoins de chaque bébé. Pour vous y retrouver facilement, voici les critères à prendre en compte pour savoir quel lait infantile, et les spécificités de chaque référence.

Le lait infantile, une composition adaptée pour le développement de votre bébé

Le premier et meilleur lait pour votre bébé, c’est en effet le lait maternel, qui reste recommandé exclusivement de la naissance jusqu’à 6 mois. Il s’adapte naturellement aux besoins de votre nourrisson, en fonction de son âge, mais aussi au cours de la tétée. Il répond ainsi aux besoins spécifiques des nourrissons, et il contribue à renforcer leur système immunitaire et leur résistance aux allergies. Vous pouvez poursuivre l’allaitement jusqu’à au moins 3 ans, mais si votre bébé n’est pas ou plus allaité, il vous faut choisir un lait infantile. C’est alors l’étape du premier biberon, et le lait choisi pour bébé devra correspondre à son âge et répondre à ses éventuels besoins spécifiques.

Les « laits infantiles » sont les différents types de préparations lactées de substitution si bébé n’est pas nourri au sein. Ils sont adaptés à l’âge de votre bébé s’il n’est pas allaité : lait 1er âge, lait de suite à partir de 6 mois (aussi appelé lait 2ème âge), et lait de croissance à partir de 10 à 12 mois. La composition des laits infantiles est conçue pour permettre de couvrir les différents besoins nutritionnels de bébé en fonction de son âge.

Pourquoi choisir un lait infantile ?

S’il n’est pas possible de nourrir votre bébé avec du lait maternel, il faut, en fonction de l’avis du professionnel de santé, se tourner vers une formule infantile, car le système digestif de votre nourrisson n’est pas encore prêt pour un lait destiné aux adultes. Il ne le sera pas avant que votre tout-petit atteigne l’âge de 12 mois. La composition du lait infantile correspond aux besoins nutritionnels des tout jeunes nourrissons. Il est ainsi plus riche en glucides, en acides gras essentiels, en vitamines et en minéraux, et il contient moins de protéines. Le lait infantile existe au format poudre, à diluer dans de l’eau, ou liquide, prêt à l’emploi. Si les formules et apports sont identiques, consultez un professionnel de santé qui vous conseillera un lait infantile pour votre bébé.

Les besoins de votre bébé couverts par le lait infantile

Les minéraux sont indispensables à votre bébé, notamment le sodium, le potassium, le chlore, le calcium (pour le développement normal des os), le phosphore, le magnésium, le fer (pour le développement cognitif normal et le bon fonctionnement du système immunitaire), le cuivre, le zinc (pour la croissance normale) et le manganèse. Un vrai cocktail de champion ! Le lait infantile fournit les vitamines A & D, qui contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.

C’est une gamme de laits infantiles sans blabla qui aide bébé¹ à s’épanouir à chaque étape de son développement² ​

Le lait 2ème âge, le complément indispensable de la diversification alimentaire

Le lait 2ème âge se trouve également dans le commerce sous les noms de « préparation de suite » ou « lait de suite ». Il convient parfaitement pour l’alimentation des bébés entre 6 et 12 mois. En effet, à cet âge, son lait demeure l’ingrédient indispensable et principal de son régime alimentaire. La composition du lait est adaptée pour apporter les compléments essentiels à l’alimentation solide que commence à découvrir votre bébé. Conformément à la réglementation sur les laits infantiles, le lait de suite contient ainsi des éléments indispensables à la bonne santé de votre bout de chou :

  • Des acides gras polyinsaturés de la famille des oméga-3 : du DHA (acide docosahexaénoïque, issu de l’huile de poisson), et de l’acide alpha-linolénique* qui est indispensable pour le développement cérébral de votre bébé.
  • Du fer* qui est nécessaire pour le bon fonctionnement de son système immunitaire.
  • Du calcium* et de la vitamine D* qui sont essentiels pour le développement de ses os et de ses dents.
  • Des protéines, dont le taux doit osciller entre 1,10 et 2 mg / 100 ml pour les laits 2ème âge.

Il est important de donner à votre bébé un lait 2ème âge, même en période de diversification alimentaire, car les fruits et légumes introduits dans son alimentation ne suffisent pas à couvrir tous ses besoins nutritionnels. La réglementation permet d’intégrer une teneur en protéine légèrement inférieure dans les laits de suite.

Le lait de croissance2, des apports essentiels pour bien grandir

Le lait de croissance, qui est en quelque sorte le « lait 3ème âge », est recommandé pour les bébés à partir de l’âge de 10 mois à 12 mois selon les marques, et jusqu’à l’âge de 3 ans. C’est le lait idéal en complément de l’alimentation de bébé. Il apporte en effet des éléments indispensables, parmi lesquels :

  • Du fer et de la vitamine C qui contribue au développement normal du système immunitaire. Le lait de croissance1 est plus riche en fer que le lait de vache28, car à cet âge-là, votre bébé en a particulièrement besoin pour son développement.
  • Du calcium et de la vitamine D qui contribuent à une croissance et à un développement osseux normaux.
  • Des acides gras essentiels.
  • Des protéines, dont la quantité varie entre 1 et 2,70 g / 100 ml pour les laits de croissance1e donner à votre bébé un lait 2ème âge, même en période de diversification alimentaire

 

Il est préférable de continuer de donner à votre bébé du lait de croissance jusqu’à ses 3 ans, même si vous pouvez commencer à lui faire goûter, petit à petit, des laitages fabriqués à partir de lait de vache. Jusqu’à l’âge de 3 ans, il est recommandé de continuer à donner jusqu’à 500 ml de lait de croissance par jour à votre enfant2, afin de bien couvrir ses besoins nutritionnels. L’idéal, c’est de lui en proposer au petit-déjeuner et au goûter. À partir de 3 ans, votre enfant peut boire du lait de vache, de préférence entier, car il contient davantage de nutriments, de glucides et de lipides que les laits de vache écrémés ou demi-écrémés.

Des laits infantiles pour répondre aux besoins spécifiques de votre bébé

En plus de la classification par âge, il existe également des laits infantiles dont la composition permet de répondre à certains besoins de bébé. En effet, si votre bébé a des besoins particuliers en termes d’alimentation ou souffre de troubles digestifs, vous pouvez lui donner des laits infantiles spécifiquement conçus pour répondre à ses besoins. Demandez l’avis de votre médecin ou de votre pédiatre à ce sujet.

Quel est le meilleur lait infantile pour bébé ?

Le choix du meilleur lait infantile pour bébé dépend de plusieurs facteurs, notamment l’âge du bébé, les besoins alimentaires propre de l’enfant et les indications médicales. Le lait maternel est recommandé comme la meilleure option, suivi du lait maternisé si l’allaitement n’est pas possible.

Les facteurs à prendre en compte pour choisir le meilleur lait

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