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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

Tous les 15 jours, retrouvez “Fair Play” sur votre site Actunet. “Fair Play” est un plateau de Mame Mbaye Ndiaye, qui place sous les projecteurs toutes personnalités interpellées par l’actualité du moment.

Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

Je mange trop rapidement et sans mâcher: que faire et quelles conséquences?

Par habitude ou par manque de temps, vous mangez trop rapidement? Cela peut être dangereux pour votre santé.

Comment s’appelle le fait de manger trop vite?

Le fait de manger trop vite, souvent sans mâcher les aliments, s’appelle la tachyphagie.

Pourquoi ai-je tendance à manger trop vite?

La tachyphagie est souvent liée à des habitudes acquises dès l’enfance ou à un rythme de vie trop rapide. Le stress joue également un rôle dans la tendance à manger trop rapidement puisque l’on ingère des aliments sans en avoir conscience. Une faim excessive, due à une mauvaise répartition alimentaire dans la journée, peut aussi pousser à avaler les aliments plus vite.

Constipation, diarrhée, nausées, vomissements, douleurs au ventre… Quels sont les risques pour la santé de manger trop vite?

Manger trop vite entraîne des troubles digestifs

Le fait de manger trop vite peut entraîner divers troubles digestifs, à court et à long terme. Sur le moment, cela peut provoquer des ballonnements, une sensation de lourdeur au niveau de l’estomac, voire des reflux gastriques. À long terme, la tachyphagie peut provoquer des déséquilibres du microbiote intestinal (dysbiose). “La digestion commence dès la mastication, précise Maxime Mességué, diététicien-nutritionniste. Grâce à nos dents, à la salive et aux enzymes salivaires, les aliments sont broyés et transformés en une bouillie plus facile à digérer. Si l’on mange trop vite, les aliments arrivent dans l’estomac sous forme de gros morceaux, ce qui perturbe le processus digestif et nuit à l’assimilation des nutriments”.

Manger trop vite augmente le risque de fausse route

Lorsque l’on avale sans bien mâcher, ou que l’on déglutit précipitamment, les mécanismes de protection des voies respiratoires peuvent être pris de court. Une partie des aliments ou des liquides peut alors passer dans la trachée au lieu de l’œsophage, ce qui peut provoquer une toux réflexe, une gêne respiratoire, voire dans certains cas plus graves, une obstruction des voies aériennes. Prendre le temps de bien mastiquer et de manger en pleine conscience permet de réduire considérablement ce risque.

Manger trop vite favorise l’aérophagie

Lorsque l’on mange trop vite, on avale de l’air. Résultat, on fait de l’aérophagie: l’air avalé s’accumule dans le système digestif, provoquant des ballonnements, des éructations fréquentes, une sensation de ventre gonflé, voire des douleurs abdominales.

Manger trop vite augmente le risque de syndrome métabolique

Selon une étude japonaise, les personnes qui mangent rapidement présentent un risque accru de 89 % de développer un syndrome métabolique par rapport à celles qui prennent le temps de manger lentement. Ce syndrome, souvent lié à l’obésité, au diabète de type 2 et à un risque cardiovasculaire élevé, pourrait être en partie évité en adoptant une mastication plus lente et plus consciente.

Manger trop vite fait-il grossir?

“Manger trop rapidement perturbe le mécanisme naturel de régulation de l’appétit, car le cerveau ne reçoit pas à temps les signaux de satiété envoyés par l’estomac. Résultat, on continue souvent à manger au-delà de ses besoins réels, ce qui favorise la suralimentation et peut, à long terme, entraîner une prise de poids, voire des troubles métaboliques comme l’obésité ou le diabète de type 2”, informe le spécialiste.

Comment ralentir et éviter de manger trop vite?

En premier lieu, il est essentiel d’être à l’écoute de certains signaux qui peuvent révéler que l’on mange trop vite sans s’en rendre compte: sensation de lourdeur après les repas, impression d’avoir trop mangé, douleurs abdominales, ballonnements ou encore fatigue persistante. Ensuite, il convient d’appliquer ces quelques conseils pratiques pour ralentir la prise alimentaire:

  • Faire une vraie pause: prendre des repas sans distractions comme l’ordinateur, la télévision, le téléphone ou la lecture. “Le moment du repas doit être considéré comme une activité à part entière, et non comme quelque chose de secondaire. Manger, c’est apporter à son corps l’énergie et les nutriments dont il a besoin pour fonctionner correctement tout au long de la journée”, estime le diététicien-nutritionniste.
  • Prendre le temps de mâcher, de savourer les aliments, être attentif aux saveurs, permet d’activer les signaux de satiété et d’éviter les excès. À mi-parcours du repas, on peut d’ailleurs se poser la question: “Comment je me sens? Ai-je encore faim?” L’expression “manger en pleine conscience” prend alors tout son sens.
  • Créer une assiette visuellement attrayantecolorée et appétissante peut aussi contribuer à renforcer le plaisir de manger et encourager une alimentation plus consciente.
  • Ralentir la cadence: “poser sa fourchette après chaque bouchée oblige à ralentir la cadence. Le fait de boire quelques gorgées d’eau permet aussi d’aller plus doucement”, conclut notre interlocuteur.

Est-ce que les sodas light sont mauvais pour la santé?

Pour éviter les boissons alcoolisées ou trop sucrées, certains se tournent vers les sodas light, pensant protéger leur corps et leur tour de taille. Mais de plus en plus d’études pointent les dangers des édulcorants, qui ont remplacé le sucre dans ces produits allégés. Dont une très récente qui alerte sur un risque nouveau: les édulcorants pourraient augmenter le déclin cognitif. Faut-il renoncer aux boissons light? Ou même préférer un soda sucré à sa version régime? On fait le tour de la question avec Alexandra Murcier, diététicienne-nutritionniste.

Quels sont les dangers des sodas light?

Si, longtemps, les boissons allégées étaient considérées comme une bonne alternative aux sodas, ce n’est désormais plus le cas. Et les alertent pleuvent… Après plusieurs études allant dans le même sens, en 2023, l’Organisation mondiale de la santé a classé l’aspartame, présente dans de nombreux sodas, comme peut-être cancérogène pour l’homme”.

Deuxième problème: “les édulcorants altèrent le microbiote intestinal, souligne Alexandra Murcier. On sait aujourd’hui que ce dernier a des liens avec notre immunité, la prise de poids et quantité de pathologies.”

Une étude brésilienne récente pointe un autre risque: les édulcorants pourraient également grignoter nos neurones. En effet, des chercheurs ont constaté que les adeptes d’édulcorants avaient un risque supérieur de développer un déclin cognitif à ceux qui en prennent peu. “Plusieurs études dévoilent des effets sur la mémoire, sur l’humeur, qui restent à confirmer”, poursuit Alexandra Murcier.

Autre inquiétude: “cette consommation régulière de produits light perturbe le métabolisme énergétique: notre cerveau attend du sucre qui n’arrive pas, ce qui dérégule les signaux de satiété.” Une frustration qui va pousser à manger davantage… “Contrairement à ce qu’on attendrait, consommer beaucoup de produits allégés peut augmenter la prise de poids, et même le risque de développer un diabète de type 2 et un syndrome métabolique.”

Dernière alerte, “l’acide phosphorique présent dans certains sodas light affecte la densité osseuse”, met en garde la diététicienne. Or on sait combien les femmes qui souffrent déjà d’ostéoporose ou d’une alimentation carencée en protéine ou sodium doivent faire attention à leurs os.

 

Faut-il éviter les sodas light?

Tout est question de nuance et de votre état de santé. Si vous consommez énormément de produits allégés, yaourt, sodas, sucrettes, chaque jour, cet article devrait vous pousser à revoir vos habitudes. “Clairement, les sodas light ne sont pas bons pour votre santé, mais tout dépend de la dose, comme toujours, nuance notre experte. Si vous buvez un soda light tous les 6 mois, ce n’est évidemment pas un problème, c’est la consommation régulière qu’il faut éviter.” La diététicienne reconnaît avoir des patients qui boivent 1 litre, voire 1,5 L par jour de soda light.

Le plus important, c’est de prendre conscience qu’un produit light n’est pas un produit sain qu’on peut ingurgiter sans limite… et sans mauvaise conscience. “Sur le long terme, la consommation régulière de ces boissons augmente la prise calorique parce qu’on en consomme plus et que l’édulcorant entretient le goût du sucre, explique Alexandra Murcier. Qui a coutume de dire à ses patients: “mieux vaut boire un soda de temps en temps que du soda light tout le temps”. Ce qu’elle conseille également, c’est de réduire la consommation des produits sucrés et light en parallèle au lieu de remplacer l’un par l’autre. “On peut se faire plaisir de temps en temps, mais en gardant en tête que la seule boisson indispensable, c’est l’eau!” En prenant l’habitude petit à petit de réduire le sucre dans le thé ou le café jusqu’à s’en passer complètement, vous prenez davantage soin de votre santé et votre poids.

Existe-t-il des sodas light meilleurs que d’autres?

Pas vraiment… “Les édulcorants utilisés dans les sodas light sont l’aspartame, le sucralose et l’asésulfame-K, présent dans le Coca zéro… et tous posent problème”, tranche la diététicienne. D’autres édulcorants semblent moins risqués, du moins pour le moment: la stévia et le xylitol. “Ils sont plus naturels et parfois utilisés dans les bonbons ou les sucrettes, mais pas dans les sodas lights”. Du moins pour le moment… Est-ce que la méfiance grandissante vis-à-vis de l’aspartame poussera les marques à tester de nouvelles alternatives au sucre? “En 2003, on trouvait du Coca life, les canettes vertes, moins sucrées grâce à des extraits de stévia, rappelle l’experte. Il n’est resté que quelques semaines après un flop intense…”

La diététicienne recommande plutôt de se détourner des sodas, normaux ou light, sauf pour les exceptions. “On peut les remplacer par des boissons moins sucrées et moins chimiques: un thé glacé, un jus de fruit maison, une citronnade maison, des eaux aromatisées…”

Crues du fleuve Sénégal : Les premiers villages sous les eaux à Bakel

Les villages d’Arounda, Yaféra et Golmy, dans le département Bakel (Est), ont été touchés par la crue du fleuve Sénégal suite aux lâchers d’eau du barrage de Manantali, a appris l’Aps du Préfet, lundi. «A Arounda, c’est le collège et une école coranique qui ont été impactés par les eaux. A Yaféra, on a trois maisons inondées, alors qu’au village de Golmy, une grande concession a été envahie par les eaux», a signalé Daouda Sène, Préfet du département de Bakel.
M. Sène s’entretenait avec l’Aps, en marge d’une réunion avec les membres du Comité départemental de gestion des inondations de Bakel, pour évaluer la situation dans ce département en proie à la menace persistance de la crue du fleuve Sénégal. En ce qui concerne les mesures de prévention, des sacs de sable ont été mis à la disposition des villages concernés, a indiqué le Préfet, ajoutant qu’une des familles des trois impactées à Yaféra a été déjà relogée à l’école élémentaire.
Selon l’autorité administrative, 40 gilets de sauvetage ont été mis en circulation pour aider à sécuriser le transport fluvial. A cela s’ajoute la mise en circulation de la pirogue offerte par le Projet de résilience de développement communautaire dans la vallée du fleuve Sénégal (Prdc-Vfs) à la commune de Ballou afin de faciliter le transport fluvial dans les zones inondées. «Des demandes d’assistance ont été également faites par les membres du comité en faveur des sinistrés», a annoncé M. Sène qui préside le Comité départemental de gestion des inondations.
En marge de cette rencontre, «le représentant de la Direc­tion de gestion et de planification des ressources en eau (Dgpre) a assuré que les débits des lâchers d’eau à partir de Manantali ont baissé d’intensité et que la situation pourrait se stabiliser dans les 48h», a rapporté le Préfet du département de Bakel.

avec le quotidien

Quelles sont les charcuteries les moins grasses?

Une petite planche à partager, une future raclette à organiser… Pas facile de savoir quelle charcuterie mettre dans son caddie ou dans son assiette quand on fait attention à son tour de taille, à son poids et à sa santé cardiaque. Si les autorités de santé et de nombreux médecins conseillent de limiter votre consommation de charcuterie, on peut tout de même se faire plaisir de temps en temps. Et toutes les charcuteries ne se valent pas! Certaines sont en effet beaucoup plus lourdes et moins conseillées… Alors lesquelles sont les moins grasses? A quelle fréquence manger de la charcuterie? Suivez le guide!

Quelles sont les charcuteries les plus pauvres en matières grasses et les plus saines?

Le blanc de dinde (104 kcal/100 g)

Considéré comme une charcuterie maigre, le blanc de dinde est la moins calorique. De plus, la dinde est riche en protéines, en fer et en vitamine B. Le blanc de dinde peut figurer sur une planche d’apéro et permettre à ceux qui font attention à leur alimentation un écart peu problématique. Selon Ciqual, il contient 104 kcal pour 100 g et ne présente que 1,67 g / 100 g de lipides pour 20 g de protéines… C’est quasiment la même chose pour son cousin le blanc de poulet (106 kcal / 100g).

Le jambon blanc cuit et dégraissé (115 kcal/100 g)

Voilà une autre option, de porc cette fois, plutôt légère: 100 g de jambon blanc découenné et dégraissé apportent autour de 115 kilocalories (kcal). Et côté répartition, vous y trouverez seulement 3,24% de lipides et près de 20% de protéines. A titre de comparaison pour le jambon blanc non dégraissé, c’est 125 kcal et 4,28% de lipides. Ces deux cousins sont un produit simple à mettre dans un sandwich, pour un petit-déjeuner salé à prendre rapidement et obtenir votre dose nécessaire de protéine quotidienne (1 g par kg, donc 65 g si vous faites 65 kg) sans trop faire peser la balance côté gras. D’autant que les industriels font davantage attention depuis quelques années à proposer des jambons blancs sans nitrite, cet additif alimentaire qui ajoute au jambon blanc sa couleur rose… mais augmente le risque de développer un cancer colorectal. Pas facile de s’y retrouver… Selon le classement de Yuka, le jambon blanc le plus sain est facile à trouver: c’est le jambon bio et responsable de Fleury Michon qui obtient la meilleure note du classement avec 76/10.

La viande des Grisons (150 kcal/100 g)

Vous avez peut-être une amie qui n’envisage pas la raclette sans viande des Grisons (et sans cornichons!)? “La viande des Grisons a l’avantage de présenter moins de lipides que d’autres charcuteries”, précise Alexandra Murcier, diététicienne. Cette charcuterie suisse, réalisée à partir de viande de bœuf, spécialité du canton des Grisons (d’où son nom!), est une excellente option pour celles et ceux qui surveillent leur poids. Avec seulement 5g de lipides/100 g, elle est très riche en protéines, bien plus que d’autres options: 38 g/ 100g, mais également en vitamine B12. Attention tout de même au sel.

Le bacon de dinde (176 kcal/100 g)

Voilà une alternative un peu moins grasse que le bacon de porc… Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, le faire cuir ne le rend pas plus mauvais pour vos artères. Le bacon de dinde est une préparation à base de viande de dinde hachée, façonnée, salée et fumée, prisée des personnes qui évitent le porc pour des raisons religieuses ou de santé.

La noix de bœuf (184 kcal/ 100g)

“Je conseille souvent à mes patient la noix de bœuf séchée, qu’on trouve facilement dans le commerce et qui est moins grasse que d’autres charcuteries”, explique Alexandra Murcier, diététicienne. En effet, riche en protéines, ces tranches fines de bœuf séché sont riches en protéines, tendres et présentent, pour la marque Aoste par exemple, seulement 184 kcal pour 100g. A tester lors de votre prochain pique-nique?

Quelles sont les charcuteries les plus caloriques?

À l’autre bout du spectre, on trouve sans surprise le foie gras (485 kcal/100 g), champion côté graisses de toutes les charcuteries, le salami (482 kcal/100 g), le chorizo au goût pimenté, typique de la cuisine espagnole (477 kcal / 100g), bien sûr le saucisson sec (410 kcal / 100g) et les rillettes d’oie (364 kcal/100 g).

A quoi faut-il faire attention quand on choisit de la charcuterie?

Si les cinq options déclinées plus haut sont plus “recommandables”, car moins grasses, auxquelles on peut ajouter les charcuteries végétales, il faut garder à l’esprit que la charcuterie doit rester un produit exceptionnel. Selon Santé Publique France, la recommandation est de se limiter à 150 g par semaine, soit environ 3 tranches de jambon blanc. Ils font en effet partie des produits transformés, contiennent parfois des additifs problématiques et si vous en consommez trop, votre risque de développer une maladie cardio-vasculaire, un cancer colorectal ou un diabète de type 2 augmente…

“Tous ces aliments sont très riches en sel, ce qui n’est pas bénéfique sur l’appareil cardio-vasculaire, prévient Alexandra Murcier. La teneur en sel dépend beaucoup des marques. Mais souvent, les produits où le sel est réduit sont plus riches en nitrite, ce conservateur qui augmente le risque de cancer. À choisir, mieux vaut limiter surtout les nitrites, quand on n’a pas de maladie cardio-vasculaire.” Troisième point de vigilance: “les charcuteries sont des sources d’acides gras saturés, mauvais également pour la santé de votre cœur et de vos artères”, poursuit-elle. Reste que manger doit rester un plaisir, que miser sur une alimentation équilibrée reste toujours un bon choix et que vos apports en protéines, en particulier après un certain âge et si vous faites du sport, doivent rester assez élevés.

Reconnaissance de la Palestine: après avoir franchi le pas, Macron doit désormais gérer «le jour d’après»

Le plus dur commence en fait maintenant. La prise de parole d’Emmanuel Macron à la tribune de l’ONU était l’acte symbolique indispensable, de son point de vue, pour éviter que la porte de la solution à deux États – israélien et palestinien – ne se referme définitivement en raison de la violence de l’opération militaire de l’État hébreu à Gaza, écrit notre envoyée spéciale à New York, Valérie Gas.

Et maintenant ?

Ce qu’il faut dorénavant, c’est gérer « le jour d’après ». Alors Emmanuel Macron va profiter de sa présence à New York pour continuer son action diplomatique. Dès aujourd’hui, il participe à une réunion avec les pays arabes et des partenaires européens – Royaume-Uni, Italie, Allemagne – pour évoquer la mission internationale de stabilisation de Gaza dont il a parlé dans son discours, voir l’engagement de chacun et définir un cadre sécuritaire crédible pour gérer la situation après un cessez-le-feu qui doit s’accompagner pour Emmanuel Macron de la libération des otages.

Convaincre Trump

On est cependant bien loin d’en être arrivé là et pour espérer avancer, il faut un appui, celui de Donald Trump qui, lui aussi, organise une réunion avec des pays arabes. L’objectif est d’essayer de convaincre le président américain de faire pression sur Israël pour éviter que l’État hébreu ne franchisse des lignes rouges et risque de remettre en cause les accords d’Abraham signés en 2020 lors de son premier mandat. Ce que Donald Trump considère comme son héritage au Moyen-Orient.

Abbas promet de désarmer le Hamas

Ce lundi, intervenant en visioconférence, Mahmoud Abbas, le président palestinien, a condamné les attaques du 7 octobre 2023 et promis de désarmer le Hamas : « Le Hamas n’aura aucun rôle dans la gouvernance. Et il devra, comme les autres factions, remettre ses armes à l’Autorité palestinienne, car nous voulons un seul État non armé, un seul système juridique et une seule force de sécurité légitime. Nous condamnons les crimes de l’occupation et condamnons également le meurtre et la captivité de civils, y compris ceux commis par le Hamas le 7 octobre 2023. En contrepartie, nous exigeons l’arrêt de l’expansion des colonies, de l’annexion, du terrorisme des colons et des attaques contre les lieux saints chrétiens et islamiques. »

Un réseau capable de menacer l’Assemblée générale de l’ONU a été démantelé à New York (autorités)

Un réseau de plus de 300 serveurs et 100 000 cartes SIM capables de paralyser les télécommunications à New York a été démantelé avant l’Assemblée générale de l’ONU, ont annoncé, mardi 23 septembre, les autorités américaines. «En plus de permettre de passer des appels téléphoniques anonymes contenant des menaces, ces appareils peuvent servir à mener toute une série d’attaques contre les télécommunications» a déclaré le Secret Service américain, chargé de la protection des hautes personnalités politiques américaines, dans un communiqué cité par l’AFP. «Cela inclut la mise hors service d’antennes-relais de téléphonie mobile, la possibilité de mener des attaques par déni de service et la facilitation de communications anonymes et cryptées entre des acteurs potentiellement malveillants et des organisations criminelles», ajoute le texte.

Le Ghana transfère vers le Togo six migrants expulsés des États-Unis

Au Ghana, six des onze migrants expulsés par les États-Unis ont été transférés au Togo par les autorités ghanéennes. C’est ce qu’a indiqué ce mardi matin à RFI l’un des avocats des migrants. Ces derniers étaient jusque-là détenus dans un camp militaire au Ghana, toujours selon leurs représentants légaux. Une détention qui fait actuellement l’objet d’une plainte déposée à la Haute cour du Ghana contre les autorités ghanéennes pour violation de droits humains.

Habib Diarra opéré de l’aine, absent jusqu’en décembre

Le milieu de terrain sénégalais de Sunderland, Habib Diarra, sera éloigné des terrains pendant plusieurs semaines après une opération réussie. Il manquera notamment les prochains matchs des Lions pour les qualifications du Mondial 2026.

D’après le communiqué rendu public mardi par Sunderland, l’international sénégalais Habib Diarra, victime d’une blessure à l’aine lors d’un entraînement, a été opéré lundi et entamera une phase de rééducation.

Âgé de 21 ans, Diarra s’est blessé en fin de semaine dernière, à la veille de la rencontre de Premier League contre Aston Villa. Le club anglais précise que le joueur, arrivé en juillet en provenance du RC Strasbourg, devrait retrouver la compétition en décembre.

Cette indisponibilité l’écarte automatiquement des prochains rendez-vous de l’équipe nationale du Sénégal. Les Lions affrontent le Soudan du Sud le 10 octobre à Djouba, puis la Mauritanie le 14 à Dakar, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

Serigne Mbacké Ndiaye : son mariage récent avec une diplomate tourne au divorce

L’homme politique Serigne Mbacké Ndiaye, récemment marié à une diplomate, voit son mariage voler en éclats. Selon nos informations, son ex-épouse l’a traîné en justice et la procédure de divorce est déjà en cours au tribunal.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention