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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

Tous les 15 jours, retrouvez “Fair Play” sur votre site Actunet. “Fair Play” est un plateau de Mame Mbaye Ndiaye, qui place sous les projecteurs toutes personnalités interpellées par l’actualité du moment.

Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

Hannafi Cissé, nommé nouveau directeur de Yas Sénégal

L’entreprise de télécoms Yas Sénégal, anciennement Free, a nommé Hannafi Cissé nouveau directeur général en remplacement de Kamal Okba, ‘’qui a décidé de quitter ses fonctions pour des raisons personnelles’’, a-t-on appris du département de la communication de l’opérateur de téléphonie mobile.

‘’Hannafi Cissé est actuellement directeur exécutif en charge des fusions et acquisitions chez Axian Telecom [filiale du groupe malgache Axian], où il soutient la stratégie de croissance du Groupe sur le continent africain’’, lit-non dans un communiqué parvenu, mardi, à l’APS.

Le texte précise que le nouveau directeur général de Yas Sénégal prendra fonction à partir du 1er août 2025. 

Son prédécesseur était à la tête de la société de téléphonie mobile depuis juillet 2024, après deux ans passés à Yas Tanzanie.

D’après le communiqué, Hannafi Cissé,  ingénieur en télécommunications et en mathématiques appliquées, capitalise une ”solide expérience” de près de 20 ans dans le secteur des télécommunications en Afrique, en Europe et au Moyen-Orient. 

Exprimant sa ‘’sincère gratitude à Kamal Okba pour les services exceptionnels qu’il a rendus’’ au nom du Conseil d’administration, le directeur général d’Axial Telecom, Hassan Jaber, cité dans le communiqué, a dit compter sur le nouveau directeur Hannafi Cissé, pour ‘’influencer positivement la trajectoire de croissance de Yas Sénégal, consolider les acquis, explorer de nouvelles opportunités et renforcer encore l’impact (…) dans le secteur des télécoms, au bénéfice de (leurs) millions de clients sénégalais’’.

Inondations à Tambacounda: Plusieurs maisons inondées et des dégâts enregistrés

Suite aux pluies diluviennes qui se sont abattues, ce lundi 14 juillet, à Tambacounda, plusieurs maisons ont été envahies par les eaux et beaucoup de biens mobiliers emportés. L’équipe municipale s’est rendue sur place pour faire la situation. ’‘Nous avons constaté plus d’une dizaine de maisons inondées, des bâtiments et fosses septiques effondrés, des biens mobiliers comme les lits, matelas, habits, volailles engloutis et emportés par les eaux”,souligne le maire de la commune Papa Banda Diéye. Néanmoins, plusieurs rues et ponts ont été libérés, permettant la mobilité des populations.

Pour ces précipitations qui ont commencé depuis 14 heures et se sont arrêtées la nuit, le service régional de la météorologie de Tambacounda a enregistré un volume d’eau de 97 millimètres précise nos confrères du soleil .

À en croire l’édile, ce sont les maisons dans les quartiers comme Dépôt, Pont, Médina Coura, Abattoirs, qui jouxtent la vallée du Mamacounda, qui sont les plus impactées. C’est ainsi qu’il invite les populations à revoir leurs lieux d’habitation. “Nous avons toujours alerté sur les constructions aux abords du Mamacounda. Avec le glissement et le changement climatique, ces endroits sont souvent sous la menace d’inondation quand le Mamacounda se remplit’’,indique-t-il.

Après cette visite d’évaluation, l’édile informe qu’une “rencontre avec le comité régional est prévue pour apprécier et choisir la conduite à tenir”, renseigne-t-il.

En attendant, les sinistrés, dont certains ont abandonné leur domicile pour se réfugier chez des proches, comptent sur la solidarité des populations de Tambacounda pour surmonter ce mauvais temps.

Guet Ndar : interpellation d’un individu pour vente illégale de médicaments

Les éléments de la Brigade de Recherches du service de Saint-Louis ont procédé à l’interpellation d’un individu pour vente frauduleuse de médicaments pharmaceutiques et mise en danger de la vie d’autrui. L’intéressé, identifié sous les initiales A.D., né en 1980 à Louga, se dit commerçant domicilié à Guet Ndar.

Selon une source policière, cette arrestation fait suite à l’exploitation d’une information faisant état de l’existence d’un réseau actif de vente illicite de médicaments dans la langue de Barbarie. Après infiltration et surveillance, les enquêteurs sont parvenus à identifier la boutique ciblée et à interpeller A.D., vendeur de produits cosmétiques, trouvé en possession d’un important lot de médicaments stockés dans son magasin.

La perquisition effectuée sur les lieux a permis la saisie des produits suivants :
• Une boîte de sirop Bobaraba périmée ;
• Une boîte de capsules Indomethacine ;
• Une boîte de Chlorphenamine ;
• Une boîte de Dexamethasone ;
• Une boîte de CA-1000 ;
• Sept comprimés Mixagrip ;
• Une tablette de Puregrey-100 ;
• Une tablette de KGN Primietine ;
• Une tablette de Multivitamines ;
• Deux tablettes d’aphrodisiaques Reality Extra ;
• Sept comprimés Paracétamol et caféine ;
• Six comprimés Co-trimethoprim ;
• Deux comprimés Paracétamol ;
• Deux tablettes de Efferalgan ;
• Et divers autres produits périmés.

Interrogé sommairement au poste, A.D. a reconnu être le propriétaire des produits, précisant qu’ils étaient destinés à « faire grossir les fesses, les seins » et comprenaient également des aphrodisiaques. Il a déclaré s’être approvisionné à Touba.

Après les mesures de sécurité d’usage, A.D. a été placé en garde à vue pour vente frauduleuse de médicaments pharmaceutiques et mise en danger de la vie d’autrui. L’ensemble des médicaments saisis a été consigné au poste, en vue de leur mise sous scellés.

CAN féminine : Nguénar Ndiaye co-meilleure buteuse de la phase de groupes

Avec quatre buts à son actif, elle partage la tête du classement des buteuses avec la Marocaine Ghizlane Chebbak. Ndiaye a notamment inscrit deux doublés : un contre la RD Congo lors de la victoire 4-0 du Sénégal, et un autre face à la Zambie, malgré la défaite 3-2 de son équipe. Ses performances ont été saluées, et elle est considérée comme l’une des joueuses clés de l’équipe sénégalaise. Elle avait déjà montré ses qualités lors de la précédente édition de la CAN en 2022, terminant deuxième meilleure buteuse. Cependant, malgré ses réalisations, le parcours du Sénégal dans la compétition a été mitigé, compliquant leur situation pour la suite du tournoi.

Âgée de 30 ans et évoluant au Bourges FC (France) en Division 3 féminine, Nguénar a confirmé sa saison exceptionnelle, où elle a terminé meilleure buteuse de son championnat avec 18 réalisations. Membre incontournable de l’équipe nationale depuis 2018, l’ancienne attaquante des Dorades de Mbour a désormais un impressionnant bilan de près de 19 buts en plus de 40 sélections. Championne du Sénégal en 2021 avec l’AS Dakar Sacré-Cœur, Ndiaye, qui a débuté sa carrière comme gardienne de but, aura l’opportunité d’améliorer ses statistiques puisque le Sénégal s’est qualifié pour les quarts de finale.

 

West Ham : Graham Potter sur El Hadji Malick Diouf : « Un jeune joueur ambitieux, affamé et plein de caractère »

Nouvelle recrue West Ham, El Hadji Malick Diouf peut déjà compter sur le soutien et la confiance de son nouvel entraîneur. Graham Potter n’a pas caché son enthousiasme après la signature du jeune international sénégalais, qu’il suit depuis un bon moment.

« Nous sommes très heureux d’accueillir El Hadji Malick à West Ham United », a déclaré le technicien anglais. « C’est un jeune joueur que nous observons depuis quelque temps, et nous pensons qu’il correspond parfaitement à ce que nous essayons de construire au club. » Pour Potter, le profil du latéral gauche sénégalais, à la fois travailleur et déterminé, colle à la philosophie des Hammers. Au-delà du talent, c’est aussi le parcours personnel d’El Hadji Malick Diouf qui force le respect. « Il a montré une grande force de caractère et beaucoup de maturité à un si jeune âge : quitter le Sénégal pour la Norvège à 18 ans, puis rejoindre Prague… Et ses performances ont été constantes à un très bon niveau depuis un moment. »

L’entraîneur des Hammers apprécie également l’expérience déjà acquise par le joueur, malgré son jeune âge : « Il a accompli de belles choses, que ce soit en club ou avec l’équipe nationale du Sénégal. » S’il reconnaît que le passage en Premier League représente un défi de taille, Graham Potter ne doute pas de la capacité du joueur de 20 ans à s’adapter : « Ce championnat sera un grand défi pour El Hadji Malick, mais je peux vous dire qu’il est vraiment excité par cette opportunité et déterminé à avoir un impact positif, que ce soit pour le club ou pour les supporters. » Avant de conclure : « Il est jeune, affamé et ambitieux. Je pense qu’il sera un excellent renfort pour le groupe. » 

Avec WIWSPORT

Mosquée Centenaire : un voleur de chaussures condamné

la mosquée Centenaire, les fidèles ressentaient depuis plusieurs semaines une mystérieuse disparition de chaussures. D’apres l’Observateur, ce dimanche, un commerçant du marché Colobane a été démasqué, et la faute jugée par le tribunal des flagrants délits de Dakar en comparution immédiate : 6 mois de prison ferme pour vol dans un lieu de culte.

Moustapha Touré est un commerçant d’un genre particulier. Ce jeune homme ambitionne de bâtir son avenir dans le commerce, mais avec des méthodes peu orthodoxes. Pour alimenter son étal de chaussures d’occasion, il ne s’est pas rendu chez des fournisseurs classiques, mais dans une mosquée.

C’est un fidèle de la mosquée Centenaire qui a fini par le découvrir. Inscrit parmi les habitués, Moustapha avait pris pour habitude de voler des paires de chaussures laissées à la porte de la salle de prière.

Après chaque prière, il changeait de tenue et repartait discrètement avec une ou deux paires sous sa gandoura. Les investigations menées par les éléments du commissariat de la Médina ont permis de le coincer. Présenté en flagrant délit de vol, il a appliqué sa défense à travers le silence. Mais rien n’y fit.

Devant les faits, les fidèles lui ont demandé réparation symbolique, en plus de la poursuite judiciaire. Le procureur a requis six mois fermes. Le tribunal a suivi cette réquisition. Moustapha a été conduit à Rebeuss dans la soirée.

Interdiction des perruques et dépigmentation : La Direction du Grand Théâtre recule

Dans son communiqué, la direction générale a fermement tenu à rappeler que cette initiative n’avait nullement pour but de restreindre les libertés individuelles ou de porter atteinte à la dignité humaine. Il s’agissait, au contraire, de valoriser l’image professionnelle, culturelle et identitaire de l’institution à travers ses agents, dans le cadre spécifique de son fonctionnement.
 
Cependant, consciente des interprétations diverses suscitées par cette communication et soucieuse de préserver un climat de confiance, la direction générale a exprimé ses regrets quant aux malentendus engendrés. Elle déplore notamment que la note ait été sortie de son contexte initial, ce qui a pu générer une incompréhension ou un sentiment d’exclusion.
 
Réaffirmant son attachement indéfectible aux valeurs d’inclusivité, de dignité et de respect des personnes, la Direction générale du Grand Théâtre national annonce, sur instruction de sa tutelle, le retrait pur et simple de ladite note de service. 
 
Cette décision vise à garantir la conformité avec la législation en vigueur, notamment en ce qui concerne la protection des droits des femmes et des libertés individuelles.
 
Le Grand Théâtre national réitère son engagement à évoluer dans un cadre respectueux des droits humains et à rester un espace d’expression artistique ouvert, inclusif et représentatif de la richesse culturelle nationale.

Diabète : Comment prévenir coûte moins cher que guérir?

Avec  l’explosion des dépenses liées au diabète, la Cour des comptes tire la sonnette d’alarme. Dans un rapport publié le 8 juillet dernier, elle plaide pour un virage renforcé vers la prévention, l’éducation thérapeutique et une réforme du parcours de soins.

Alors que plus de 4 millions de Français vivent aujourd’hui avec un diabète, dont une majorité de type 2, la Cour des comptes alerte sur un système de prise en charge en péril. Malgré plus de 10 milliards d’euros, soit 5,3 % des dépenses totales, investis en 2023 par l’Assurance maladie dans le traitement de la maladie « les résultats sanitaires progressent peu », souligne Pierre Moscovici, président de l’institution. Il faut dire que si le budget a progressé de près de 35 % en dix ans, cela s’explique principalement par l’augmentation de l’obésité et le vieillissement de la population. En parallèle, le rapport pointe aussi les iniquités : les personnes les plus modestes sont près de trois fois plus touchées que les plus favorisées, avec des conséquences graves à moyen terme (complications cardiaques, rénales, ophtalmologiques…). En cause : un repérage souvent trop tardif, un manque d’accompagnement en amont, et une prévention encore trop inégale selon les territoires.

 

ALD à deux vitesses

Parmi ses recommandations phares dédiées à corriger les tirs, la Cour des comptes propose de réformer le dispositif des affections de longue durée (ALD) en créant deux niveaux de prise en charge. Le premier, déclenché dès le diagnostic, intégrerait des mesures de prévention adéquates comme l’activité physique adaptée, l’accompagnement nutritionnel et l’éducation thérapeutique. L’objectif : éviter ou retarder le recours aux traitements médicamenteux. « La mise en place de cette ALD a, évidemment, un coût supplémentaire d’investissement. Mais les derniers rapports des inspections centrales suggèrent qu’un tel investissement serait viable », estime la Cour. Le second niveau serait réservé aux patients nécessitant une prise en charge médicamenteuse, sur critères médicaux. Ce modèle pourrait également s’appliquer à d’autres pathologies chroniques où la prévention a démontré son efficacité.

Agir à la source alimentaire

Pour la Cour, la prévention reste un levier majeur. En ce sens, elle appelle aussi à renforcer les mesures gouvernementales concernant les « déterminants de santé ». Plus clairement, elle recommande un meilleur encadrement de la publicité pour les produits à faible Nutri-Score, ainsi qu’un élargissement de la fiscalité à tous les produits sucrés, et non plus seulement aux boissons. « Améliorer la prise en charge du diabète est une nécessité, mais agir en amont est primordial. Cela permet des économies considérables. Il faut donc intégrer les enjeux de prévention primaire », insiste Pierre .

Le Sénégalais Philippe Tine à la tête du laïcat ouest-africain désormais officiellement reconnu

Une première depuis sa création en 2008, qui marque un tournant décisif dans la valorisation des fidèles laïcs à l’échelle régionale.

Le 7 juillet 2025 restera une date symbolique pour les catholiques laïcs d’Afrique de l’Ouest. Pour la première fois depuis sa fondation, le Conseil Régional du Laïcat de l’Afrique de l’Ouest (CRLAO) a obtenu une reconnaissance officielle de la plus haute autorité épiscopale régionale : les Conférences Épiscopales Réunies de l’Afrique de l’Ouest (CERAO).

C’est Mgr Alexis Touabli Youlo, président des CERAO, qui a signé le document officialisant ce bureau élu en novembre 2024 à Abidjan, et dirigé par le Sénégalais Philippe Abraham Birane Tine, enseignant-chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Cette décision inédite, attendue depuis 17 ans, s’inscrit dans le contexte post-synodal porté par les recommandations du Synode sur la synodalité d’octobre 2024, qui plaide pour une plus grande reconnaissance des laïcs dans la vie de l’Église. « C’est un pas important vers la responsabilisation du laïcat. Cette reconnaissance donne du poids à notre engagement au service de l’Église et de la société », confie Philippe Tine, également président du Conseil national du laïcat du Sénégal.

Un loup soupçonné d’avoir tué un veau dans un enclos à Caveirac, aux portes de Nîmes

Quelques jours après les attaques de quatre brebis à Saint-Bauzély, d’un veau à Saint-Côme-et-Maruéjols et d’un bélier à Uchaud, un veau a été retrouvé mort ce samedi 25 janvier dans l’enclos d’une exploitation agricole à Caveirac près de Nîmes.

L’animal, qui venait de naître, pesait environ 25 kilos. “Sa mère l’a laissé quelques heures et il a été dévoré. Les os ont été déchiquetés. Il n’avait plus de côtes, les abats et les bouts d’oreilles ont été mangés” déplore l’éleveur du veau, Nicolas Borrego.

Une perte financière et morale

Une vétérinaire est venue faire des constatations. “C’est du gâchis parce qu’on n’élève pas des bêtes pour les donner à un animal”, s’emporte Nicolas Borrego. Installé depuis 2008, l’éleveur caveiracois possède environ 35 vaches de race limousine. “C’est la première fois que je suis victime d’une attaque de la sorte” reconnaît-il. La perte financière s’élève à un peu plus de 1.000 euros. “C’est surtout une perte morale. Les vêlages vont arriver et il va falloir que je protège encore plus les prochains veaux” précise Nicolas Borrego.

Comme plusieurs éleveurs de la Vaunage, Nicolas Borrego pointe du doigt le loup. “À un moment donné, il va falloir agir avec peut-être des tirs de prévention contre lui” conclut-il.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention