jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas

Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

Tous les 15 jours, retrouvez “Fair Play” sur votre site Actunet. “Fair Play” est un plateau de Mame Mbaye Ndiaye, qui place sous les projecteurs toutes personnalités interpellées par l’actualité du moment.

Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

TICAD 9 : Lutte contre la tuberculose au Sénégal, le Ministère de la Santé scelle un accord tripartite avec Carrefour Médical et Fujifilm

e Ministère de la Santé et de l’Action sociale a scellé au cours du TICAD 9 qui s’est tenu à Yokohama du 20 au 22 Aout 2025, un accord tripartite avec Carrefour Médical et Fujifilm. Cet accord vise à apporter des solutions innovantes dans le cadre des stratégies pour le dépistage systématique de la tuberculose par la radiographie mobile numérique.

C’est une nouvelle ère qui s’ouvre dans la lutte contre la tuberculose au Sénégal. Carrefour Médical et l’entreprise japonaise FUJIFILM et le Ministère de la Santé et de l’Action sociale ont signé à l’occasion de la TICAD 9, un accord tripartite qui vise à apporter des solutions innovantes dans le cadre des stratégies pour le dépistage systématique de la tuberculose par la radiographie mobile numérique.

Cet accord stratégique, marque une étape cruciale dans leur volonté commune de lutter contre la Tuberculose au Sénégal. Cette dernière demeure une préoccupation de santé publique avec une incidence de 92 cas pour 100 000 habitants en 2023.

Pour rappel, Carrefour Médical et Fujifilm ont été les précurseurs de la transition de l’analogie vers le numérique dans les services d’imagerie médicale au sein des hôpitaux publics sénégalais. Leur partenariat a également permis d’autres réalisations importantes dans le domaine de l’imagerie médicale avec un de parc de 500 équipements, répartis dans les différentes structures sanitaires au Sénégal contribuant ainsi grandement à l’aide au diagnostic.

Kolda : une fille de 2 ans échappe à kidnapping

Une tentative d’enlèvement avortée a eu lieu à Kolda (sud), le 24 août dernier, dans le quartier Sikilo. La police a été alertée d’un possible rapt visant une fillette de 2 ans, M. Ibrahima, de nationalité nigérienne. Le suspect, également de nationalité nigérienne, répondant au nom de Djibril Malick, âgé de 20 ans, a été interpellé et conduit au commissariat. Selon le quotidien Libération repris par Rewmi de ce mercredi 27 août, le mis en cause a ensuite été acheminé à l’hôpital régional de Kolda en raison des égratignures et des lèvres enflées qu’il présentait, après avoir été pris à partie par la foule qui a tenté de le lyncher. Une enquête approfondie est en cours.

Dr. Papa Demba Thiam, Economiste International : «On ne parle plus ni de comptes falsifiés , ni de dettes cachées , mais de problèmes systémiques identifiés »

Voici une erreur stratégique à ne plus commettre, sous peine de verser dans la fabrique de pauvreté au Sénégal. Passer au crible la déclaration de fin de mission du FMI (19-26 août 2025) me donne ce qui suit.

De nouveaux concepts-farces :

« Mauvaise déclaration », « problèmes systémiques identifiés dans le rapport de la Cour des comptes » et « passifs non divulgués ».

On ne parle plus ni de « comptes falsifiés », ni de « dettes cachées », mais de « problèmes systémiques identifiés » !

C’est un changement radical de langage, qui ramène le problème de l’évaluation du stock de la dette publique centrale à une simple affaire de système de comptabilité nationale.

S’il s’agit d’un « problème systémique », c’est qu’il a toujours existé. Alors, comment se fait-il que ni les organes fiduciaires (Inspection générale des finances, Inspection générale d’État, Cour des comptes, BCEAO, etc.) ni les missions du FMI et de la Banque mondiale ne l’ont jamais identifié, s’il affecte la solvabilité de l’État sénégalais ?

« Les autorités ont révisé le stock de la dette du gouvernement central de [74,4] % à 111,0 % du PIB fin 2023, principalement en raison de passifs non divulgués. »

Cela nous ramène aussi à un système de comptabilité, puisque les montants en question ne semblent pas avoir été « dissimulés » (ils ont été retracés dans d’autres comptes), mais auraient été « non divulgués ».

« À fin 2024, les statistiques révisées montrent une dette du gouvernement central atteignant 118,8 % du PIB. »

Ceci veut dire qu’en une année seulement (2024), la dette du gouvernement central se serait aggravée de 111 % du PIB à 118,8 % du PIB, soit 7,8 %. C’est énorme et très inquiétant !

Cela valait-il donc la peine de déclarer publiquement, en conférence de presse, des supposées « falsifications de comptes publics » pour :

  1. Entraîner les dégradations des notes souveraines de l’État ;
  2. Provoquer le blocage des décaissements des prêts du FMI à des taux concessionnels ;
  3. Faire peur aux autres créanciers et investisseurs ;
  4. Et finir par emprunter cher, à hauteur de près de 7,8 % du PIB sur une année ?

La réponse est mille fois NON, surtout que dans le même temps, des chaînes de valeur critiques ont été arrêtées, ce qui a ramené la croissance hors hydrocarbures à seulement 3,1 % !

Est-il cohérent et pertinent de faire dépendre le financement du développement du Sénégal d’une promenade de près d’une année dans les méandres procéduraux du FMI, pour espérer un programme avec cette même institution, comme si sa vocation était de financer le développement économique et social du pays sur des bases souveraines et endogènes ?

La réponse est mille fois NON !

J’ai donc le droit de rappeler que non seulement j’avais plusieurs fois mis en garde contre les résultats désastreux et prévisibles de toute cette aventure, mais encore que j’avais proposé des instruments de financement du développement économique et social du Sénégal totalement décomplexés de l’endettement public.

Par Dr. Papa Demba Thiam, Economiste International, Expert en Developpement Industriel Intégré par des Chaines de Valeurs, Thielle, Suisse.

Zeynabou Bilal, la femme de l’homme qui s’est immolé, parle

Dans un entretien avec L’Observateur repris par Rewmi, alors qu’elle se trouvait au chevet de sa fille à l’hôpital de la Paix de Ziguinchor, Zeynabou Bilal raconte l’enfer qu’elle a vécu aux côtés de Prosper Kénon, père de ses enfants. Elle décrit « un homme alcoolique, jaloux et violent ».

« Prosper était un homme jaloux, violent et il passait tout son temps à me battre », martèle la dame d’origine malienne.

Elle ajoute : « Il violentait aussi nos enfants. Il les envoyait constamment à la boutique pour lui acheter de l’alcool. Un jour, saoul comme un Polonais, il a jeté le téléviseur sur Omar, notre aîné. Je ne pouvais plus supporter ces violences. De guerre lasse, j’ai sollicité l’aide d’une amie pour qu’il puisse continuer sereinement ses études. Il y est depuis deux ans et poursuit tranquillement sa scolarité. »

Après avoir fui avec ses enfants, elle pensait les avoir mis à l’abri. Mais Prosper, en état d’ébriété, est venu les prendre de force à l’église.

« Il était ivre et a pris de force les enfants », raconte l’interlocutrice du quotidien du Groupe futurs médias.

Quelques heures plus tard, le drame s’est produit. Junior, âgé de 2 ans, a trouvé la mort dans l’incendie provoqué par son père. Sa sœur Khady, grièvement brûlée, est plongée dans le coma et lutte pour sa vie à l’hôpital.

Zeynabou Bilal, dévastée, insiste sur la douleur de la perte et l’injustice des rumeurs : « J’essaie d’être forte pour ma fille, mais j’ai besoin de soutien, pas d’insultes. Ce que j’ai vécu avec Prosper, seules mes enfants et moi le savons. »

Elle précise également qu’elle n’était pas mariée à Prosper, démentant les rumeurs selon lesquelles son ex-compagnon aurait agi par vengeance après qu’elle lui ait demandé le divorce.

Prisons du Sénégal : 15 267 détenus recensés dont 547 détenus en attente de jugement depuis 3 ans

nterpellé par les députés en ce sens, le Garde des Sceaux, a reconnu que les longues détentions provisoires restent un problème persistant du système judiciaire : « l’effectif carcéral est de 15 267 détenus au Sénégal à la date du 18 août 2025. On est en train de trouver les moyens d’y remédier. Déjà, on a commencé avec la détention en matière correctionnelle de six mois. »

547 détenus en attente de jugement depuis trois ans ou plus, soit 3,58 % de la population carcérale totale

Selon les chiffres communiqués par le ministre, 547 détenus sont en attente de jugement depuis trois ans ou plus, soit 3,58 % de la population carcérale totale. La durée moyenne des détentions dans le pays est actuellement d’un an. Toutefois, Ousmane Diagne a réaffirmé « l’engagement de son département à réduire ces délais et à améliorer la gestion des détentions, dans le cadre de la réforme en cours de l’appareil judiciaire. »

Un Centre national du casier judiciaire, dirigé par un magistrat, bientôt opérationnel 

Sous un autre chapitre, il faut noter que Sénégal s’apprête à mettre en service un Centre national du casier judiciaire, dirigé par un magistrat. Pour les citoyens disposant d’un casier vierge, la délivrance du document sera désormais digitalisée, a annoncé le ministre de la Justice, Ousmane Diagne.

Drame à Diourbel : un vendeur de pharmacie retrouvé mort noyé dans un bassin d’eaux pluviales au quartier Médinatoul

Ousseynou Ndiaye était un vendeur en pharmacie, à Diourbel. L’homme de 46 ans a malheureusement été retrouvé hier mort noyé dans un bassin d’eaux pluviales au quartier Médinatoul, vers les coups de 14 heures.

D’après les premières constatations, révèle ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce mercredi, la victime a été retrouvé allongé sur le dos, couvert d’un pagne de couleur rouge, alors qu’il portait un tee-shirt noire et jean kaki, mouillé à côté bassin. Mais aucune blessure, ni trace de sang n’a été trouvé sur son corps retrouvé sans vie. Si un témoin a confirmé que la personne avait été retrouvée noyée dans l’eau du bassin, il faut noter que la victime avait été repêchée de l’eau avant l’arrivée des sapeurs-pompiers sur les lieux.

Les constatations ayant pris fin vers 14h30, le corps de la victime a été transporté par les sapeurs-pompiers à la morgue de l’Hôpital régional Heinrich Lübke de Diourbel, pour les besoins d’autopsie, avant son inhumation.

Macron-Diomaye : Les coulisses d’une audience à l’Elysée

Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a eu un tête–tête avec Emmanuel Macron à l’Élysée pour un échange sur la revue des programmes de coopération bilatérale.

Le président Diomaye a été reçu à l’Élysée ce mercredi. Il a eu un petit-déjeuner de travail avec son homologue français Emmanuel Macron. Au terme de celui-ci, il a fait le point sur leurs discussions

«Je remercie le Président Emmanuel Macron pour l’accueil chaleureux à l’Élysée ce matin. Ce petit-déjeuner nous a permis d’échanger sur la revue du portefeuille de nos programmes de coopération et de réaffirmer notre volonté commune de renforcer la relation bilatérale dans des domaines tels que l’investissement, le commerce, la défense et la sécurité», a indiqué le chef de l’Etat.

68aee8cd3b91f 8A0R3ZqPaA

 

 

 

Les deux leaders ont réaffirmé leur volonté de renforcer le partenariat, en mettant l’accent sur les domaines de l’investissement et de la défense, dans un contexte de redéfinition des relations après le retrait des bases militaires françaises du Sénégal.

Nampalys Mendy est sur le point de rebondir en Angleterre

Libre de tout contrat depuis son départ du RC Lens, Nampalys Mendy est sur le point de rebondir en Angleterre. Selon les informations de Fabrizio Romano, le milieu de terrain sénégalais champion d’Afrique a trouvé un accord avec Watford, pensionnaire de Championship (D2 anglaise).

Le deal porte sur un contrat d’un an, assorti d’une option pour une saison supplémentaire. Le joueur de 32 ans doit passer sa visite médicale ce mercredi à Londres avant l’officialisation de son arrivée.

Après une saison compliquée à Lens où il n’a pas réussi à s’imposer dans la rotation des Sang et Or, Mendy va tenter de relancer sa carrière dans un club qu’il connaît bien de réputation. Watford, qui a souvent accueilli des internationaux sénégalais dans ses rangs, lui offre une nouvelle opportunité de mettre en avant son expérience acquise en Premier League sous les couleurs de Leicester City, avec qui il avait notamment remporté la FA Cup en 2021.

 

Combat Modou Lo-Sa Thiès : Premier face-à-face le 18 octobre à Montréal

La structure Albourakh Events, en collaboration avec Beuz Pro, internationalise la promotion du « combat royal » prévu le dimanche 5 avril 2026 entre Modou Lô (Ecurie Rock Énergie) et Sa Thiès (Ecole Balla Gaye).

Pour la première fois, les deux lutteurs se retrouveront le samedi 18 octobre prochain à Montréal (Canada), à l’occasion d’un face-à-face organisé en marge du duel Amanekh – Bakary Sakho.

Beuz Pro, dirigé par Ibrahima Faye, alias Beuz, organisera, le samedi 18 octobre 2025 à Montréal au Canada, l’affiche Amanekh – Bakary Sakho. Ce combat de lutte sans frappe s’inscrit dans une stratégie visant à exporter la lutte sénégalaise et à séduire un public international, en associant un gala au premier face-à-face entre Modou Lô et Sa Thiès. Cette confrontation royale, matérialisée par le promoteur Baye Ndiaye, se tiendra le dimanche 5 avril 2026 à l’Arène nationale et mettra aux prises deux figures emblématiques des Parcelles assainies et Guédiawaye precise le Soleil .

Depuis l’annonce de cette rencontre, aucun des deux protagonistes n’a encore pris la parole. Si le promoteur réussit à maintenir le suspense jusqu’au 18 octobre à Montréal, les amateurs de la diaspora assisteront à une véritable joute verbale. Sa Thiès, notamment, sait alterner entre calme et propos incisifs. Face à Eumeu Sène (5 mai 2024), il était mesuré, alors que lors de son dernier combat contre Zarco de Grand Yoff (22 juin 2025), il a su provoquer et déstabiliser son adversaire. Contre Modou Lô, il reste difficile de prédire sa stratégie verbale.

Le duel Amanekh – Bakary Sakho servira de cadre à ce premier face-à-face. Bakary Sakho, spécialiste des analyses pointues et souvent à l’origine de buzz sur les réseaux sociaux, affrontera Amanekh, un athlète reconnu pour sa ruse et sa technique. Les amateurs de lutte et d’arts martiaux mixtes (Mma) attendent avec impatience cette confrontation, qui s’annonce riche en émotions.

Tapha Tine et Franc, le choc des titans ficelé par Jambaar Productions

L’arène sénégalaise tient son choc. Le combat entre Tapha Tine, chef de file de l’écurie Baol Mbollo, et Franc, espoir confirmé de la Jambar Wrestling Academy, est désormais officiel. L’annonce a été faite par le promoteur Mansour Bâ, patron de Jambaar Productions, confirmant ainsi une rumeur qui alimentait depuis plusieurs semaines les débats autour de la lutte.

Après sa victoire éclatante sur Eumeu Sène, Franc avait publiquement affiché son ambition d’affronter le Géant du Baol. Une demande accueillie favorablement par Tapha Tine, qui voyait en ce duel une étape logique dans sa quête de revanche et de confirmation. Très vite, plusieurs promoteurs se sont intéressés à l’affiche, avant que les discussions ne se cristallisent autour de Jambaar Productions.

Ce duel s’annonce comme l’un des tournants majeurs de la saison. Invaincu et porté par une dynamique impressionnante, Franc rêve de s’imposer comme l’héritier naturel au trône des lourds. Face à lui, Tapha Tine, qui sort d’un revers douloureux contre Balla Gaye 2, veut prouver qu’il reste une référence incontournable et que ses ambitions de roi ne sont pas enterrées.

En toile de fond, le combat nourrit aussi l’espoir d’un face-à-face tant attendu entre Tapha Tine et Modou Lô. Ce dernier est engagé contre Sa Thiès le 5 avril 2026 dans ce qui ressemble à une demi-finale de la couronne. Pour les partisans de Tapha Tine, le duel contre Franc s’inscrit dans la même logique : franchir l’obstacle pour enfin croiser le roi des arènes sans prétexte ni report.

L’affiche est programmée pour février 2026. Elle promet de faire vibrer les amateurs de lutte, tant l’opposition de style et la rivalité grandissante entre les deux camps attisent déjà les passions. Entre un Franc déterminé à écrire sa légende et un Tapha Tine en quête de rachat, l’arène s’apprête à vivre l’un de ses plus grands rendez-vous de la saison.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention