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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

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Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

Saly Sarr se qualifie pour la finale du triple saut aux Mondiaux de Tokyo

La Sénégalaise Saly Sarr a brillamment validé son ticket pour la finale du triple saut aux Championnats du monde d’athlétisme à Tokyo. Avec un saut de 14,21 mètres, elle a terminé quatrième de son groupe de qualification (groupe B) et s’est classée septième au général, assurant ainsi sa place parmi l’élite mondiale.

Cette performance marque un moment clé dans la carrière de l’athlète, qui continue d’honorer les couleurs du Sénégal sur la scène internationale. Déterminée et persévérante, Saly Sarr a su se démarquer face à une concurrence relevée.

Elle sera de retour sur la piste le jeudi 18 septembre 2025 pour disputer la grande finale, avec l’opportunité de viser un résultat encore plus marquant.

Une pirogue de migrants échoue près de la mosquée de la Divinité à Dakar

Ce mardi matin, une pirogue transportant plusieurs dizaines de migrants a échoué au pied de la mosquée de la Divinité, sur la corniche ouest de Dakar. Alertée par les riverains, la gendarmerie est intervenue rapidement pour sécuriser la zone et porter assistance aux passagers, dont certains étaient en détresse et épuisés après de longues heures en mer. Les autorités n’ont pour l’instant pas communiqué sur l’origine de l’embarcation ni sur les nationalités des migrants, précisant que des enquêtes sont en cours pour éclaircir les circonstances de cet échouement.

Révision constitutionnelle au Tchad : un député propose un mandat à vie pour le président

Le débat sur la révision constitutionnelle a débuté ce lundi 15 septembre 2025 au Tchad avec un vote de principe portant sur l’allongement du mandat présidentiel et d’autres ajustements institutionnels. Au cœur des discussions, la proposition d’un mandat à vie pour le chef de l’État suscite déjà la controverse.

Lors d’une séance plénière à l’Assemblée nationale tchadienne, une première avancée a été enregistrée dans le processus de révision de la Constitution du 29 décembre 2023. Parmi les amendements envisagés figure le passage du mandat présidentiel du quinquennat au septennat, renouvelable.

Le député Tchoroma Mbang Woli est allé plus loin, estimant que l’organisation des élections présidentielles représente une lourde charge financière pour le pays. Il a ainsi proposé un mandat illimité, équivalent à une présidence à vie.

« Pour moi, on devrait donner un mandat illimité, la Présidence à vie au chef de l’État », a-t-il déclaré dans des propos relayés par Le Journal du Tchad, avant d’ajouter que « le pouvoir même est une émanation divine », tout en soulignant que « l’organisation même des élections coûte très cher ».

Mondiaux d’athlétisme : Louis François Mendy éliminé en demi-finale du 110 m haies

Louis François Mendy a été éliminé en demi-finale du 110 m haies ce mardi à Tokyo dans le cadre des championnats du monde d’athlétisme.

L’aventure s’arrête en demi-finale pour Louis François Mendy. Après s’être qualifié en terminant quatrième de sa série, l’athlète sénégalais s’est complètement manqué ce mardi et ne verra donc pas la finale.

Dans le couloir 9, Louis François a d’abord manqué son départ avant d’essayer de se rattraper pour au final stopper sa course après avoir heurté l’avant-dernière haie. Il termine ainsi dernier de la course qui a été remporté par Tyler Mason (Jamaïque – 13,12) qui se qualifie en finale au même titre que le japonais Rachid Muratake deuxième avec un temps de 13,17.

avec wiwsport

Gel des importations de banane : Une mesure qui tarde à se faire sentir

Une dizaine de jours après l’annonce du gel des importations de banane par l’Agence de régulation des marchés (Arm), les prix ne suivent toujours pas une tendance baissière chez les grossistes et les détaillants. Les consommateurs, eux, restent mitigés.

Les averses de la veille ont inondé, par endroits, la rue Sandiniéri, au marché du même nom situé juste après le rond-point Sandaga de Dakar. Les stands se succèdent dans un joli panache multicolore formé par les différents étals de fruits. Le marché Sandiniéri se spécialise dans la vente de fruits en gros comme en détail. Dans une des boutiques, de jeunes influenceurs ivoiriens font un shooting devant un étal de fruits exotiques artistiquement dressé. Juste à côté, Sadibou tient son commerce. Dans sa cantine, les murs disparaissent derrière des caisses dont certaines portent des inscriptions en arabe. À l’entrée, une table est remplie de bananes pour la vente au détail. Tout en rangeant son étal, Sadibou confie qu’il ne vend que ce fruit depuis qu’il est au Sénégal. « La banane est très prisée dans les marchés sénégalais, bien plus que n’importe quel autre fruit », précise-t-il.

Plus loin dans la même rue, un taxi-moto, garé devant une grande boutique, charge des caisses de pommes, de bananes et d’oranges. Des porteurs tournent autour avec l’indispensable pousse-pousse, dans l’espoir d’être engagés par les revendeurs en plein marchandage. Boubacar est un grossiste connu à Sandiniéri. « Boubacar », « Boubacar », l’interpellent ses clients de tous côtés, pendant qu’il tapote rapidement sur une grande machine à calculer, levant de temps en temps les yeux au ciel. Longue barbe, petit bonnet blanc sur la tête, il explique : « Les caisses de bananes sont livrées aux revendeurs des quartiers alentour comme Gueule Tapée, Fann, Médina, Fass… Je leur donne le kilogramme à 650 FCfa et ils le revendent à 1.000 FCfa ».

Pas encore de baisses du prix

Pourtant, après une baisse progressive du volume de bananes importées, l’Agence de régulation des marchés (Arm) a fini par annoncer, dans une circulaire, la suspension des importations de bananes, dans le but de promouvoir la production et la consommation locales et de soutenir les 8.000 producteurs nationaux. Le kilogramme, qui était vendu à 1.000 FCfa, devrait connaître une baisse de 20 % pour être cédé à 800 FCfa au détail et 450 FCfa en gros. Mais cette mesure, déjà en vigueur, tarde à être appliquée chez les revendeurs comme chez les grossistes. En effet, dans plusieurs rues de Dakar, le kilogramme de banane continue à se vendre à 1.000 FCfa. Une situation qui pourrait s’expliquer par la présence encore de bananes importées sur le marché, les stocks n’étant pas totalement épuisés. Or, si l’on se fie aux propos du directeur de l’Arm, Babacar Sembène, faire baisser le prix de la banane pour le consommateur est l’un des objectifs de cette mesure de gel des importations. Dans une interview récemment accordée au Soleil, il affirmait : « Si nous parvenons à passer de 1.000 à 800 FCfa le kilo de banane, c’est déjà une victoire pour le consommateur ».

Si les prix ne sont pas encore conformes à la mesure, la qualité, elle non plus, ne fait pas l’unanimité chez les clients. Résidente aux Maristes et fidèle consommatrice de banane, Penda Faye trouve que le produit local est bien plus délicieux que celui qui est importé, qu’elle compare à de la pâte à modeler. Cet avis n’est pas partagé par Issa, un Ivoirien rencontré au marché Sandiniéri, qui soutient que la banane importée est plus jolie, donc plus propre à la consommation. Cette affirmation, qui pourrait sembler relever d’une simple question esthétique, soulève en réalité une autre inquiétude : celle de la conservation. Souvent reconnaissable à sa taille et à ses points noirs sur la peau, la banane locale est plus difficile à conserver, selon les vendeurs. « La banane nous est livrée alors qu’elle est encore verte, mais elle mûrit vite. Il faut donc l’écouler rapidement, sinon on risque de subir des pertes. C’est pourquoi il fallait d’abord régler le problème de la conservation avant de geler l’importation de bananes… », explique l’un d’eux.

Problème de conservation

Boubacar est aussitôt interrompu par une cliente qui affirme vigoureusement que le problème est tout autre : « La conservation, les prix… c’est le problème des vendeurs. Mon problème à moi, c’est la diversité. Je suis restauratrice et la banane aloco est à la mode. Il me sera bientôt difficile de répondre à la demande de la clientèle si elle n’est plus importée. La banane plantain non plus n’est pas produite au Sénégal, elle vient de la Côte d’Ivoire. Il faut penser à cette diversité qu’ils vont ôter au marché ».

Dans son ambition d’atteindre l’autosuffisance en banane à l’horizon 2029, l’Arm annonce, dans sa circulaire, la mise en place d’un comité de suivi pour évaluer chaque semaine l’approvisionnement du marché, afin d’éviter toute rupture. C’est dans ce sens que Babacar Sembène, toujours dans l’entretien avec Le Soleil, avait annoncé la disponibilité d’une chambre froide de 700 tonnes au Marché d’intérêt national, où les détaillants pourraient aller s’approvisionner. Reste à savoir si le même suivi sera appliqué à la régulation des prix.

Divorce : Tomeka Thiam met fin son mariage avec Akon

La femme d’Akon, Tomeka Thiam, a officiellement demandé le divorce du chanteur et entrepreneur multi-platine, mettant fin à près de trois décennies de mariage. Selon des documents judiciaires récemment rendus publics, la demande a été déposée quatre jours seulement avant ce qui aurait dû être leur 29e anniversaire de mariage, le 15 septembre.

Thiam, restée largement discrète malgré la renommée internationale de son mari, a invoqué des « différends irréconciliables » pour expliquer leur séparation. Elle demande la garde légale conjointe de leur enfant mineur, mais a demandé que la garde physique lui soit conservée. De plus, elle réclame une pension alimentaire…

Ce divorce marque une évolution personnelle importante pour Akon, qui a toujours affiché ouvertement ses opinions non traditionnelles sur les relations et le mariage, s’exprimant souvent publiquement sur la polygamie et sa famille nombreuse. Pourtant, la fin de son mariage avec Tomeka est marquante non seulement par le moment choisi, mais aussi par la discrétion avec laquelle elle est restée discrète tandis qu’il bâtissait une carrière internationale dans la musique, les affaires et la philanthropie.

Pour les fans, cette nouvelle ajoute un chapitre très humain à l’histoire d’Akon, rappelant que même les icônes internationales à l’influence considérable rencontrent des difficultés dans leur pays. Pour l’instant, ni Akon ni Tomeka Thiam n’ont fait de déclaration publique au-delà du dépôt de plainte, mais les documents indiquent clairement que le couple s’oriente vers une séparation…

Passation de service au ministère de la Justice

La passation de service au ministère de la Justice s’est déroulée aujourd’hui dans la plus grande sobriété. Le ministre sortant, Ousmane Diagne, a remis le poste à son successeur, Yassine Fall, jusque-là ministre de l’Intégration africaine et des Sénégalais de l’Extérieur.

Mbour : son salaire insuffisant, le vigile vole le matériel de son Ong

Ancien militaire devenu vigile, J. B. S., chargé de la sécurité d’une structure spécialisée en alphabétisation et basée sur la Petite Côte, a volé le matériel de travail de son service, sous prétexte que son salaire est insuffisant pour couvrir ses besoins.

 

Une fois le matériel du service dérobé, l’ancien militaire se précipite pour le revendre à des clients qui s’activent dans le marché noir de Mbour. C’est ainsi qu’il va brader le lot de fauteuil type ministre à 25 000 Fcfa. Et les deux ordinateurs à 150 000 Fcfa. Cependant, conscient de la gravité de son acte, mais surtout des conséquences fâcheuses qui peuvent en découler, J. B. met subitement un terme à son travail de vigile. Il refuse catégoriquement de se rendre à son poste pour veiller sur la sécurité des lieux. Et cela, même après les nombreuses interpellations de sa patronne, revenue plus tard de Touba. Ne pouvant plus supporter les agissements de son gardien, cette dernière va finalement déposer une plainte à la brigade de recherches de Saly Portudal précise Pulse .

Interpellé par les forces de l’ordre, J. B. Sarr est arrêté, puis placé sous mandat de dépôt pour vol de matériel. Devant le président du tribunal d’Instance de Mbour ce jeudi, l’ancien militaire qui croupit depuis lors en prison, a livré sa version des faits, après avoir reconnu les faits. Il a dit au juge avoir vendu les fauteuils volés à 5. 000 Fcfa, l’unité. Alors que le prix unitaire est, selon le témoignage de son ex patronne, de 35. 000 Fcfa. Pour ce qui est des deux ordinateurs, le prix d’achat a été estimé à 1,2 million de FCFA. Acculé, le mis en cause s’est empressé de justifier le mobile de son acte. Il ne percevait, dit-il au juge, qu’un salaire mensuel de 50. 000 FCFA.

Une somme qu’il dit très insuffisante pour satisfaire ses dépenses et besoins. Il est vite stoppé et sermonné par le Procureur de la République qui n’a pas manqué de lui notifier toute sa responsabilité au moment de s’engager dans la signature de son contrat de travail. Finalement, J.B. Sarr s’est confondu en excuses. Sa famille a versé séance tenante un montant de 620. 000 Fcfa pour le tirer d’affaires. Elle s’est également engagée à payer dans un délai indiqué le reste de l’argent à l’Ong. Au terme des débats d’audience, le procureur de la République a demandé l’application de la loi. Reconnu coupable des faits, J. B. Sarr a été finalement condamné par le tribunal d’Instance de Mbour à 8 mois de prison assortis de sursis.

Nouveau Code des investissements : Ce qui change

Digitalisation, incitations fiscales, inclusion des petites entreprises : le nouveau Code des investissements soumis aux députés à partir d’aujourd’hui, lundi 15 septembre 2025, ambitionne de moderniser l’environnement des affaires.

Le projet de loi n°16/2025 portant nouveau Code des investissements, qui sera examiné par l’Assemblée nationale à partir d’aujourd’hui, apporte plusieurs innovations. Selon l’exposé des motifs du projet de loi que nous avons pu consulter, le texte prévoit l’élargissement des secteurs d’activités éligibles au Code, la digitalisation des procédures liées à l’octroi des avantages, la redéfinition du régime de protection des investisseurs et des investissements pour le rendre plus clairs et efficaces. Le nouveau texte prévoit également l’intégration des services de facilitation de l’accès au foncier pour les investisseurs potentiels, la promotion de la réalisation d’investissements dans les zones de l’intérieur du pays, conformément à la politique de territorialisation de l’investissement. Les autres innovations portent sur le renforcement des incitations non fiscales et l’accès à des facilités pour investisseurs enregistrés auprès de l’Apix, le renforcement du rôle de celle-ci (notamment dans la gestion des griefs et la prévention des conflits entre investisseurs et administrations publiques). Mais aussi la révision des seuils d’éligibilité pour le régime fiscal de droit commun afin d’inclure dans le champ d’application du Code, la petite voire la très petite entreprise. Autre innovation non négligeable : la mise en place de régimes fiscaux et douaniers dérogatoires, pouvant être complétés par des régimes incitatifs particuliers pour les investisseurs répondants à certains critères. Le nouveau Code des investissements devrait également prendre en charge des préoccupations liées à la promotion du contenu local, le développement du secteur privé national, l’investissement dans les secteurs prioritaires, la création d’emplois, les investissements durables, le transfert de technologie. Le texte renforce la protection des investisseurs étrangers, puisqu’il « garantit une égalité de traitement entre l’investisseur national et l’investisseur étranger dans des circonstances analogues ». Toutefois, précise le projet de loi, l’État se réserve le droit, « dans des circonstances financières, économiques ou industrielles particulières », d’adopter « des mesures exceptionnelles d’exclusion des investisseurs nationaux ou étrangers de certains secteurs jugés stratégiques ».

Parmi les avantages fiscaux qu’offre le nouveau Code des investissements, pendant la période de réalisation des investissements, l’investisseur bénéficie d’une suspension de la Taxe sur la valeur ajoutée (Tva) se rapportant aux acquisitions locales de biens, services et travaux liés au projet ainsi que l’exonération de droit de douane sur les équipements de production destinés à la réalisation de la phase d’investissement du projet. Et pendant la phase d’exploitation, l’investisseur bénéficie d’un crédit d’impôt pour l’investissement. Pour rappel, le dernier Code des investissements date de 2004.

Avec le soleil

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention