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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

Tous les 15 jours, retrouvez “Fair Play” sur votre site Actunet. “Fair Play” est un plateau de Mame Mbaye Ndiaye, qui place sous les projecteurs toutes personnalités interpellées par l’actualité du moment.

Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

Systèmes alimentaires en Afrique: Les chercheurs nourrissent l’avenir

Face à la progression inquiétante des maladies liées à la malbouffe, des chercheurs africains unissent leurs forces pour repenser les systèmes alimentaires et dessiner une feuille de route vers une nutrition plus saine et durable.

D’ici 2030, l’Organisation mondiale de la santé (Oms) prévoit que les décès causés par les maladies liées à l’alimentation dépasseront ceux causés par les maladies infectieuses en Afrique. Pour inverser ce pronostic inquiétant, l’initiative Cchefs (Catalyzing Change for Healthy and Sustainable Food Systems), qui réunit plusieurs institutions de recherche, vise à soutenir des systèmes alimentaires plus sains et plus durables en Afrique. L’objectif est d’accroître la compétitivité des aliments nutritifs et durables en Afrique. C’est dans ce cadre que se tient, à Saly, du 8 au 10 septembre, un atelier visant à définir une vision et une feuille de route pour la transformation du système alimentaire en Afrique afin de garantir une alimentation saine. L’atelier réunit plusieurs équipes de recherche en provenance de huit pays, financées dans le cadre de l’initiative Cchefs, ainsi que des organisations régionales et des partenaires au développement. Au Sénégal, deux projets de recherche-action sur les systèmes alimentaires sont mis en œuvre sous le leadership du Conseil national du développement de la nutrition (Cndn).

Il s’agit, pour le volet nutritionnel, du projet Renforcer les actions politiques fondées sur des données probantes pour garantir un environnement des régimes alimentaires sains et durables en Afrique de l’Ouest (Reper), piloté par le Laboratoire de recherche en nutrition et alimentation humaine de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Larnah/Ucad) et, pour le volet économique, du projet Agir sur les environnements alimentaires pour un accès universel à des régimes alimentaires sains au Sénégal (Auras), conduit par le Consortium pour la recherche économique et sociale (Cres).

Campant les enjeux, le Pr Abdoulaye Diagne, directeur exécutif du Cres, a expliqué que l’atelier de Saly constitue une étape importante pour consolider les acquis en matière de recherche et définir une vision et une feuille de route pour les cinq prochaines années. D’après Madiha Ahmed, cheffe de programme au Crdi, l’initiative Cchefs essaie de résoudre l’un des plus grands problèmes de société dans le monde : la malbouffe. Elle pointe la concurrence des produits malsains qui pousse les consommateurs à faire souvent de mauvais choix en matière d’alimentation. La recherche vise donc à éclairer le choix des décideurs.

Après cinq ans de mise en œuvre, l’initiative Cchefs a permis de déterminer les défis spécifiques à chaque pays et de comprendre comment la réglementation peut changer l’alimentation. « En cinq ans, on sait quoi faire et comment le faire ; ce qui est déjà un bon acquis ». À son avis, le Sénégal est un bon exemple en matière de collaboration entre chercheurs, gouvernement et société civile. La malnutrition est un défi énorme dans toute l’Afrique. « Il y a de plus en plus de personnes, y compris dans le monde rural, concernées par la malbouffe », dit-elle. Cofinancé par le Crdi et la Fondation Rockefeller à hauteur de 23 millions de dollars canadiens (environ 9,32 milliards de Fcfa), le programme Cchefs vise à recueillir de nouvelles données probantes pour les gouvernements et les autres intervenants des systèmes alimentaires. Il soutient notamment la recherche et les interventions politiques menées par les pays du Sud qui favorisent les changements des systèmes alimentaires afin de lutter contre la malnutrition sous toutes ses formes.

Taxer les aliments malsains ?

L’une des pistes envisagées par les chercheurs est l’utilisation potentielle de la subvention ou de la fiscalité pour encourager la consommation d’aliments sains. À en croire le Pr Abdoulaye Diagne du Cres, cette politique, déjà appliquée sur le tabac, donne un effet. « On constate que si on augmente de façon régulière le prix du tabac, la consommation recule. Donc, il faut des augmentations régulières corrélées au coût de la vie, parce qu’avec le temps les revenus augmentent et si le prix réel du tabac ne bouge pas, la consommation augmente. C’est valable aussi pour les aliments. Il faut que l’État fasse en sorte que les aliments malsains soient surtaxés », préconise le Pr Diagne.

D’autres pays comme le Kenya et le Ghana travaillent également sur des restrictions commerciales des aliments malsains, l’adoption d’une taxe spécifique sur les boissons sucrées, la labellisation ou encore l’amendement de la loi sur la santé publique pour prendre en compte ces défis.

Tanaff : Un homme de 40 ans arrêté pour avoir détourné la cagnotte de 97,5 millions son oncle…

Un émigré sénégalais, I. Kandé (40 ans), revenu d’Espagne pour des vacances à Tanaff, a été arrêté pour abus de confiance après avoir détourné 150 000 euros (97,5 millions F CFA) confiés par son oncle et compatriote, Sana Mballo.

Ce dernier lui avait remis la somme en avril 2025, avant son voyage au Sénégal, par mesure de sécurité. Mais une fois au pays, il n’a jamais récupéré son argent. Face aux enquêteurs, I. Kandé a d’abord nié, allant jusqu’à prétendre que la valise contenait de la cocaïne, avant de reconnaître avoir effectivement reçu l’argent. Il a affirmé en avoir utilisé une partie pour un chantier à Tanaff et a proposé de rembourser, mais son oncle exige que la justice suive son cours.

Vu la gravité des faits et le montant en jeu, l’affaire a été transférée du Tribunal de Sédhiou au Pool judiciaire et financier de Dakar, compétent pour traiter ce type de dossiers économiques.

Vous utilisez l’eau chaude du robinet en cuisine? Pourquoi il faut éviter cette erreur courante

Christophe Mercier Thellier, hygiéniste et auteur de “L’hygiène, c’est la santé!” met en garde contre l’eau chaude du robinet: rien ne vous assure qu’elle soit potable et dépourvue de bactéries. Mieux vaut donc éviter de remplir la casserole avec ou encore une bouilloire pour faire du thé…

Pour gagner quelques minutes en cuisinant des pâtes, vous tournez le mitigeur pour obtenir de l’eau chaude du robinet? Vous ne le saviez sans doute pas, mais ce petit geste du quotidien n’a rien d’anodin et votre santé pourrait en pâtir. Christophe Mercier Thellier, hygiéniste et microbiologiste nous met en garde contre ce réflexe qui semble nous faire gagner quelques minutes… mais en réalité pourrait nous faire perdre de précieuses années (ou occasionner une gastro dont on se passerait bien)!

Dans L’hygiène, c’est la santé! *, il traque toutes les petites erreurs et liste des conseils avisés pour vivre en bonne santé dans un intérieur propre et sain sans excès. Alors pourquoi faut-il se méfier de l’eau chaude du robinet? Il a répondu à cette question brûlante pour Notre Temps.

L’eau chaude qui arrive du robinet est-elle potable?

Pas forcément! Au risque de vous surprendre, Christophe Mercier Thellier appelle à la méfiance. “Est-ce que l’eau du robinet est toujours potable? L’eau froide, normalement oui. La commune s’engage à vous procurer une eau consommable et vous prévient s’il y a des pollutions chimiques.”

Mais pour l’eau chaude, c’est une autre histoire! Pour obtenir de l’eau chaude directement dans notre évier, il faut que l’eau froide soit chauffée dans un chauffe-eau, souvent un ballon, installé chez vous. Mais dans ce chauffe-eau, l’eau stagne, le tartre peut s’accumuler, voire les germes… “Certains ballons, vétustes, ne chauffent pas à plus de 50 degrés, or beaucoup de micro-organismes survivent à cette température, avertit le spécialiste. Et même à 60 ou 65 degrés, on trouve toujours des germes, dont des bactéries!”

Comment l’expliquer? “Certaines bactéries ont la capacité de s’entourer d’une coque qui leur permet de résister à de très fortes températures”, précise-t-il. Même quand on fait bouillir l’eau? Absolument, répond l’expert. “Même dans de l’eau portée à ébullition, on retrouve certaines bactéries qui peuvent provoquer des maladies.”

Deuxième problème: l’eau est potable quand elle arrive dans votre logement. Mais la commune n’est pas responsable de ce qui se passe entre votre compteur d’eau et le robinet de votre cuisine! Or, entre ces deux points, elle passe parfois dans un ballon mal entretenu, de vieux tuyaux, un robinet jamais nettoyé… Et l’hygiéniste d’inviter chacun à dévisser le brise-jet à l’extrémité du robinet et à le détartrer régulièrement. “Car le tartre est un agrégat de carbonate de calcium, de souillures, de micro-organismes…”

Conclusion? Si sur le papier, l’eau du robinet froide ou chaude devrait être potable, dans la réalité, le principe de précaution doit nous pousser à ne jamais ingérer cette eau chaude. “Car personne n’est en capacité de nous assurer qu’elle est potable”, résume l’expert. A moins de faire vous-même un prélèvement et de payer plus de 100 euros pour une analyse de l’eau dans un laboratoire. Inutile, nous assure Christophe Mercier Thellier. Mieux vaut adopter un bon réflexe: utiliser exclusivement l’eau froide pour boire au robinet, cuisiner ou se préparer un thé.

A quoi peut servir l’eau chaude du robinet?

Pour l’hygiéniste, la réponse s’avère simple: “c ette eau chaude du robinet est faite pour prendre sa douche et laver la vaisselle, mais sûrement pas pour être bue!” A bon entendeur…

Quels sont les risques pour votre santé?

Le risque, si vous buvez cette eau chaude, bouillie ou non, c’est de développer certaines maladies, notamment digestives. “Vous pourriez souffrir de nausées, vomissements, diarrhées si certaines bactéries attaquent votre appareil digestif, prévient Christophe Mercier Thellier. Ce qui peut accroitre le risque de déshydratation, notamment chez les plus vulnérables d’entre nous.

Deuxième risque: des pathologies pulmonaires. “Parmi ces bactéries qui survivent dans des conditions extrêmes et sont nocives, on va trouver les légionelles, responsable de la légionellose”, reprend-il. Une maladie rare, avec environ 2000 cas en 2023 en France, mais potentiellement mortelle.

Indemnité de départ, chauffeur… à quoi aura vraiment droit François Bayrou après sa démission?

François Bayrou aura tenu presque neuf mois en tant que Premier ministre, avant d’être renversé par un vote de confiance le 8 septembre 2025. Mais son poste lui permet de bénéficier de certains avantages.

364 députés sur les 577 que compte l’Assemblée nationale n’ont pas voté la confiance demandée par François Bayrou, entraînant la chute du gouvernement et la démission du Premier ministre. Après son passage à Matignon, certains avantages perdurent toutefois pour l’ex-Premier ministre. On fait le point.

Une indemnité de départ

Être Premier ministre ne donne pas droit à des indemnités chômage. Mais comme pour ses ministres, François Bayrou bénéficiera d’une indemnité de départ versée pendant trois mois, d’un “montant égal au traitement qui lui était alloué en sa qualité de membre du gouvernement”. Elle s’élève donc à 15 140 euros par mois pour le Premier ministre, et 9940 euros pour ses ministres.

Toutefois, cette indemnité n’est pas versée si l’intéressé recommence une activité rémunérée, comme des ex-ministres qui, élus députés en 2024, reprendraient leur place sur les bancs de l’Assemblée nationale. François Bayrou, actuel maire de Pau et président de la communauté d’agglomération Pau Béarn Pyrénées, ne bénéficiera pas de cette indemnité de départ.

Une protection policière à vie

Les Premiers ministres qui le souhaitent, en vertu d’une “tradition républicaine non écrite”, peuvent bénéficier d’une protection policière à vie, assurée par le service de protection du ministère de l’Intérieur.

François Bayrou n’est pas le seul à pouvoir y prétendre. En effet, les ministres des Affaires étrangères, de l’Intérieur, de la Justice et des Armées sont concernés. En outre, d’autres ministres peuvent en bénéficier si le ministère de l’Intérieur le juge nécessaire, comme les ex-ministres de la Santé Olivier Véran et Agnès Buzyn.

Pour François Bayrou, pas de secrétaire particulier

Par un décret du 20 septembre 2019, le Président de la république décrétait que l’Etat mettait “à disposition des anciens Premiers ministres, sur leur demande, un agent pour leur secrétariat particulier, pendant une durée maximale de dix ans à compter de la fin de leurs fonctions et au plus tard jusqu’à ce qu’ils atteignent l’âge de 67 ans”. François Bayrou étant âgé de 74 ans, il ne pourra donc pas en bénéficier.

Un véhicule de fonction avec chauffeur

Un chauffeur à vie. En tant qu’ancien Premier ministre, François Bayrou peut demander un véhicule de fonction avec chauffeur à vie, à condition qu’il n’en dispose pas déjà d’un dans un autre mandat parlementaire, d’élu local ou d’une fonction publique, spécifie le décret de 2019. Or, en tant que maire de Pau, il bénéficie déjà d’une voiture de fonction. Il n’en bénéficiera donc pas pour l’instant. Mais il pourrait en bénéficier s’il n’est pas réélu dans les différents mandats qu’il compte et qui offriraient une voiture de fonction.

Des avantages pointés du doigt, mais toujours conservés

Ces multiples avantages sont régulièrement pointés du doigt, alors que les différents gouvernements cherchent désespérément de l’argent pour réduire la dette. En janvier dernier, le Sénat avait voté un amendement au projet de budget 2025, visant à supprimer les avantages des anciens Premiers ministres et des anciens présidents de la République, qui ont été chiffrés à 2,8 millions d’euros (dont 1,6 pour les anciens locataires de Matignon en 2024, selon les services du Premier ministre). Un amendement qui a disparu en commission mixte paritaire. En avril, le député Charles de Courson a déposé une proposition de loi sur le même sujet. Celle-ci n’a pas encore été examinée. Et le gouvernement ne compte de toute façon pas y toucher. Interrogé par un député et un sénateur en mai 2025, les services du Premier ministre avaient déclaré: “Il n’est pas envisagé de réduire le dispositif de soutien mis en place auprès des anciens Premiers ministres qui ne représente qu’une très faible part du budget des services du Premier ministre”, soit 0,2% du budget de Matignon. Toutefois, ce chiffre ne tenait pas compte du coût de la protection policière.

En 2019, dernier chiffre publié, le ministère de l’Intérieur répondait que “le coût de la protection des anciens Premiers ministres s’est élevé, pour le service de la protection, à 2 802 903 euros.” Un chiffre qui a dû augmenter depuis, prenant compte des quatre Premiers ministres que la France a écumé en deux ans. Au total, les anciens Premiers ministres coûtent donc au moins 4,5 millions d’euros chaque année à l’Etat.

Dominique de Villepin est l’ancien Premier ministre qui bénéficie le plus des avantages. En 2025, l’Etat a pris en charge ses dépenses à hauteur de 207 000 euros. Jean-Pierre Raffarin, Lionel Jospin, Édith Cresson et François Fillon le suivent, avec environ 150 000 euros de dépenses chacun. Gabriel Attal est l’ancien chef du gouvernement qui a coûté le moins cher puisqu’il a cessé de bénéficier de ces avantages quand il a retrouvé son mandat de député.

Diabète, Hypertension, Cancer…: Les méfaits de la malbouffe

Les enquêtes réalisées ces dernières années par le Cres et le Larnah/Ucad font état d’une forte hausse des maladies non transmissibles (hypertension, diabète ou encore cancer), liées à l’alimentation. « Donc, il est extrêmement important de réfléchir à ce que nous mangeons et à ce qu’il faut changer dans nos habitudes alimentaires », explique le Pr Abdoulaye Diagne, directeur exécutif du Cres. Ces dernières années, le Cres a réalisé plusieurs travaux dans ce sens.

On peut citer l’Enquête sur l’alimentation au Sénégal, publiée cette année. « Nous avons cherché à avoir une liste exhaustive de tous les aliments qui sont consommés au Sénégal par les ménages, à comprendre la composition nutritionnelle de ces aliments en recueillant 18 000 données », renseigne le Pr Diagne. Ces résultats ont permis d’élaborer une table de composition des aliments et un livre de recettes où figurent une centaine de plats consommés par les ménages sénégalais. « Nous avons cherché à améliorer ces plats sur le plan nutritionnel, de sorte qu’on puisse allier le patrimoine culinaire sénégalais aux normes nutritionnelles afin d’avoir une alimentation plus équilibrée », explique le Pr Diagne, insistant sur la nécessité de sensibiliser la population sur cette question.

L’étude du Cres révèle par ailleurs que les Sénégalais ont un régime alimentaire riche en énergie (céréales), mais pauvre en légumes, fruits et protéines. L’autre constat est une consommation excessive de sel, de sucre et de matières grasses. Les chercheurs établissent une corrélation directe entre cette malbouffe et la forte prévalence de maladies non transmissibles.

Dakar : l’ambassade de Turquie victime d’un réseau de faussaires

Une opération menée par les éléments de la Brigade de recherches a permis, au courant du mois d’août, d’interpeller deux individus, Aliou N. et Moussa D., pour escroquerie au visa et de faux documents.

Selon L’Obs repris par Jdd, le premier qui serait le démarcheur, aurait escroqué plusieurs personnes en leur promettant des visas pour la Turquie. A partir de la plainte du directeur général du Centre de demande de visa de ladite ambassade à Dakar, ils sont arrêtés dans une agence située à proximité du marché Ndiarème (Guédiawaye), notamment avec des passeports, des cachets de l’ODCAV, de faux relevés bancaires, des NINEA et registres de commerce falsifiés. Abdoulaye G, le troisième larron, est en cavale et activement recherchés par les autorités.

Nommé Premier ministre, Sébastien Lecornu doit former un gouvernement et trouver un compromis sur le budget de 2026

Cette fois, l’attente pour la nomination d’un nouveau Premier ministre n’aura pas duré longtemps. Ce mardi 9 septembre au soir, à peine 24 heures après la chute du gouvernement de François Bayrou, l’Élysée a annoncé dans un communiqué qu’Emmanuel Macron avait désigné Sébastien Lecornu comme successeur du président du MoDem à Matignon.

Le chef de l’État “l’a chargé de consulter les forces politiques représentées au Parlement en vue d’adopter un budget pour la Nation et bâtir les accords indispensables aux décisions des prochains mois. À la suite de ces discussions, il appartiendra au nouveau Premier ministre de proposer un gouvernement au président de la République“, précise l’Élysée, laissant apparaître une nouvelle méthode dans la formation de l’équipe gouvernementale.

Maire à 27 ans, Premier ministre à 39 ans

Médias et observateurs s’accordent unanimement pour dire de Sébastien Lecornu qu’il est l’un des plus proches fidèles d’Emmanuel Macron. Membre de tous les gouvernements macronistes successifs depuis 2017, il a peu à peu gravi les échelons.

Secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire entre 2017 et 2018, il est ensuite devenu ministre chargé des Collectivités territoriales (2018-2020), puis ministre des Outre-mer (2020-2022) et ministre des Armées (2022-2025). À 39 ans, le natif du Val-d’Oise accède donc à la plus haute fonction gouvernementale, devenant le troisième plus jeune Premier ministre de l’histoire de la Ve République.

La carrière politique de Sébastien Lecornu est toutefois antérieure au macronisme. Militant à l’UMP (l’ancêtre des Républicains, LR) dès ses 16 ans, il s’est fait un nom dans la département de l’Eure, où il a grandi. Élu maire de Vernon en 2014 à seulement 27 ans, il est devenu président du conseil départemental l’année suivante, avec l’appui de Bruno Le Maire, autre grand élu de droite du territoire, dont il est proche.

Engagé dans la campagne présidentielle de François Fillon en 2017, il s’en est mis en retrait après les révélations concernant l’emploi fictif de la femme de l’ancien Premier ministre. Après l’élection d’Emmanuel Macron, il fait partie des figures montantes de la droite enrôlées par Édouard Philippe dans son nouveau gouvernement. Huit ans plus tard, il est l’unique ministre rescapé de tous les gouvernements de l’ère Macron, ayant connu six locataires de Matignon différents.

Au fil des années, Sébastien Lecornu a su se faire une place à l’ombre auprès du chef de l’État. Ce dernier a souvent loué son implication dans la résolution de la crise des “gilets jaunes”. On lui doit notamment l’idée du “grand débat national”. Son passage aux Outre-mer suscite moins d’engouement, voire des critiques comme sur le sujet de la Nouvelle-Calédonie.

Son passage au ministère des Armées est, en revanche, salué. Nommé en mai 2022, trois mois après le début de l’invasion russe en Ukraine, il a été en première ligne sur tous les sujets militaires et de défense, formant un tandem avec le président dont il a, semblerait-il, gagné la confiance, au point d’être nommé Premier ministre.

Comme pour ses deux derniers prédécesseurs, Michel Barnier et François Bayrou, la tâche s’annonce ardue pour Sébastien Lecornu, qui devra affronter une Assemblée nationale éclatée en trois blocs égaux, qui ne sont pas parvenus à s’entendre depuis les élections législatives anticipées de juillet 2024.

Son premier grand défi sera l’adoption du budget de la Nation pour 2026, qui a causé la chute du gouvernement de François Bayrou le 8 septembre, après que celui-ci a sollicité la confiance de la chambre basse, sans succès.

Signe d’un changement de méthode, selon le communiqué de l’Élysée, le chef de l’État a d’abord chargé Sébastien Lecornu de “consulter les forces politiques représentées au Parlement en vue d’adopter un budget pour la Nation“, avant de proposer un gouvernement “à la suite de ces discussions“.

Bon nombre de médias considèrent que cette nomination comme cette méthode font office d’ultime “cartouche” pour le président. En cas d’échec, il pourrait recourir, une deuxième fois, à la dissolution de l’Assemblée nationale.

 

Saly : un vigile jugé pour vol et agression contre son employeur

Prisoner holding metal cage in jail, no freedom concept

Un vigile de 50 ans, Abdoulaye S., comparaît devant le tribunal pour cambriolage et agression contre son employeur, Abdoulaye T., propriétaire d’un restaurant à Saly Portudal.

Selon L’Observateur, les faits se sont déroulés dans la nuit du 1ᵉʳ septembre. Alerté par son système de vidéosurveillance, le restaurateur a surpris son employé en train de dérober des œufs, boissons, cigarettes et lampes. Pris en flagrant délit, le vigile aurait attaqué son patron à l’aide d’un couteau avant d’être arrêté par la police.

À la barre, l’accusé a nié les faits, expliquant qu’il tentait simplement de sécuriser le restaurant à cause de la pluie. Mais le procureur, convaincu de sa culpabilité, a requis deux ans de prison ferme.

Le délibéré sera rendu le 16 septembre, 

Escroquerie immobilière « Omart City » : le parquet requiert 3 ans de prison contre Abdoulaye Mamadou Guissé

Le tribunal de Pikine-Guédiawaye a examiné l’affaire de la vaste escroquerie immobilière dite « Omart City », qui a fait plus de 3 000 victimes à travers le pays. Lors de la dernière audience, 200 nouvelles personnes se sont constituées parties civiles.

Le principal accusé, Abdoulaye Mamadou Guissé, président d’Omart City Sénégal, comparaît aux côtés de ses présumés complices : Pape Boubacar Camara, son directeur de cabinet, et Khady Faye, qui se faisait passer pour la tante du président Bassirou Diomaye Faye.

Ils sont poursuivis pour escroquerie, blanchiment d’argent et autres chefs d’accusation, après avoir vendu de faux logements sociaux à des victimes ayant versé entre 5 500 et 6 000 F CFA.

Le parquet a requis trois ans de prison ferme contre Abdoulaye Mamadou Guissé et deux ans contre ses deux complices présumés.

Le délibéré est attendu le 14 octobre, rapporte Libération dans son édition de ce mercredi 10 septembre.

Disparition inquiétante d’un élève de 8 ans sur l’île de Gorée

Ce qui devait être une journée de détente s’est transformé en drame pour la famille Diallo. Le dimanche 29 juin 2025, alors qu’ils passaient la journée sur l’île de Gorée, leur benjamin, Mamadou Chérif Diallo, âgé de 8 ans et élève à l’école Anne Marie Javouhey, a disparu dans des circonstances mystérieuses.

Selon sa mère, Ismatou Diallo, résidente de la Médina, le drame s’est produit vers 19 h, alors que la famille profitait de la plage :

« Quelques minutes plus tôt, il posait sur les rochers pour que je le photographie. J’ai détourné le regard un instant, et quand je me suis retournée, il avait disparu », confie-t-elle, encore sous le choc.

Les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver le jeune garçon.

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