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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

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Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

Bougar Diouf placé en garde à vue après son audition à la Cybersécurité

Le leader de l’Union des Panafricanistes Sénégalais (UPS), Bougar Diouf, a été placé en garde à vue ce vendredi après avoir été entendu par la division de la Cybersécurité. Selon les autorités, il est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles. Cette convocation fait suite à la publication d’un message polémique sur les réseaux sociaux, accusant le Premier ministre au sujet de la Casamance.

La Cour suprême suspend le processus électoral visant à remplacer Barthélemy Dias

La Cour suprême a donné suite à la requête introduite par Barthélemy Dias, qui demandait la suspension de la décision du préfet prévoyant l’organisation d’élections pour pourvoir à son remplacement. Ainsi, le processus électoral est provisoirement interrompu jusqu’au prononcé de l’arrêt définitif . Dans cet intervalle, aucune initiative relative à l’organisation d’un nouveau scrutin municipal ne pourra être engagée.

Afrobasket 2025 – Desagana Diop : « Les Maliens sont nos frères. Nous nous connaissons bien, nous partageons le même hôtel, mais une fois sur le terrain, c’est la compétition »

Les Lions de la Téranga ont validé leur billet pour les demi-finales après une victoire convaincante face au Nigeria (91-75). Dans une rencontre marquée par l’intensité et la maîtrise tactique, les Sénégalais ont su imposer leur rythme dès le deuxième quart-temps et ne jamais laisser les D’Tigers revenir dans le match.

En conférence de presse après le match, le sélectionneur Desagana Diop est revenu sur la victoire. « C’est une grande équipe du Nigeria que nous avons battue. Nous avions étudié leurs vidéos et nous savions qu’ils avaient un meneur, leur dépositaire de jeu. Nous avions un plan précis pour l’empêcher de s’exprimer, et cela a parfaitement fonctionné, Pape Moustapha en première mi-temps, Jean Jacques en seconde, sans oublier Branco.

C’est avant tout une victoire collective. Certes, le banc n’a pas beaucoup apporté aujourd’hui, mais ça arrive dans un match de basket. Ils avaient été déterminants lors du dernier match et nous savons qu’ils seront encore plus utiles en demi-finale. Depuis que j’ai pris les rênes de cette équipe, mon premier objectif était de créer une vraie connexion entre les joueurs. Aujourd’hui, on peut dire que nous avons réussi, mais le travail continue. Nous sommes conscients de ce qui nous a amenés ici, et maintenant que nous sommes en demi-finale, nous restons concentrés sur la suite, incha’Allah« , a declaré le technsien sénégalais.

aVEC WIW

 

CHAN 2025 – Souleymane Diallo : « Nous allons être prêts pour affronter l’Ouganda »

Le prochain défi des champions d’Afrique en titre sera donc de taille. Il s’agira d’obtenir le ticket pour les demi-finales face à l’Ouganda, premier de son groupe de quatre équipes et qui pourra bénéficier du soutien d’un stade plein. « Malheureusement, dans ce genre de compétition, on ne peut pas choisir une équipe plutôt qu’une autre. Une compétition de ce niveau met généralement face aux meilleures équipes d’Afrique, et l’Ouganda en fait partie », a précisé Souleymane Diallo.

Un autre défi majeur pour l’équipe sénégalaise concerne la récupération physique après le match difficile contre le Soudan, d’autant que les Lions Locaux ont joué chaque rencontre à une semaine d’intervalle depuis le début de la compétition. Le technicien sénégalais a tenu à rassurer. « Nous avons un staff expérimenté dans la gestion de la performance sportive. Nous avons dépensé beaucoup d’énergie sur le plan physique, mais le staff technique et médical a travaillé pour remettre les garçons en forme. Nous allons analyser toutes ces informations et essayer de les transformer à notre avantage. Nous serons très exigeants tant en phase offensive qu’en phase défensive. Inch’Allah, nous allons être prêts pour affronter l’Ouganda », ajoute-t-il avant de faire part de l’état d’esprit de ses joueurs.

« C’est une équipe toute neuve. Elle a décidé d’écrire sa propre histoire. Nous voulons aller le plus loin possible dans cette compétition, et pour cela il faudra bien sûr passer le cap de l’Ouganda. » Le Sénégal jouera ce quart de finale sans l’un de ses éléments clés depuis le début de la compétition, Mbaye Yaya Ly, expulsé lors du match contre le Soudan. « Il occupe une position stratégique dans notre organisation défensive, mais nous avons d’autres garçons capables de pallier son absence. La liste est bien équilibrée et nous proposerons un programme adapté pour maintenir notre solidité », a expliqué le sélectionneur. Enfin, Souleymane Diallo a adressé un message aux supporters. « Je veux dire à tout le peuple sénégalais que ce match est très important. Nous allons tout donner pour honorer le drapeau et répondre aux attentes de nos supporters. C’est la meilleure expérience que j’ai eue jusqu’ici. »

Mercato : Bayern prend contact avec l’entourage de Nicolas Jackson

Ces dernières quarante-huit heures ont été marquées par une accélération du dossier. Selon la presse anglaise, le Bayern Munich a pris contact avec Chelsea afin de connaître les conditions d’un éventuel transfert. Le club allemand, en quête de renforts après une saison marquée par certaines limites offensives, considère Jackson comme une option sérieuse pour renforcer son secteur. Sa polyvalence, capable d’évoluer dans l’axe comme sur les côtés, correspond parfaitement aux besoins identifiés par la direction bavaroise.

La concurrence reste néanmoins féroce. Aston Villa insiste avec force, Unai Emery ayant fait de l’international sénégalais une priorité pour son attaque. Newcastle United, de son côté, surveille attentivement la situation et n’exclut pas de se positionner dans les prochains jours.

À Londres, la tendance semble claire. Chelsea ne ferme pas la porte à un départ de son joueur de 23 ans. Malgré des débuts encourageants sous les couleurs des Blues, l’ancien attaquant de Villarreal fait face à une concurrence accrue, renforcée par les nouvelles recrues arrivées cet été. Une situation qui joue en sa défaveur et qui explique son absence du groupe retenu pour le déplacement sur la pelouse de West Ham ce soir, à l’occasion de la deuxième journée de Premier League.

AVEC WIW

 

Golf : un faux bailleur arrêté pour escroquerie à la location de 660 000 FCFA

Le commissariat d’arrondissement de Golf a mis fin aux agissements d’un individu qui s’adonnait à une escroquerie à la location.
Visé par quatre plaintes, le suspect utilisait un stratagème bien rodé :

  • proposer à ses victimes une chambre dans son propre domicile,
  • exiger un loyer mensuel de 60 000 FCFA accompagné de deux à trois mois de caution,
  • puis disparaître après avoir encaissé les sommes, en refusant de donner accès à la chambre.

Le montant total du préjudice est estimé à 660 000 FCFA.

Le mis en cause a été placé en garde à vue, et l’enquête se poursuit pour identifier d’éventuelles autres victimes.

Actes contre-nature : ce célèbre marabout renvoyé en Chambre criminelle

Après plus d’un an de détention et une succession de rebondissements judiciaires, Serigne Assane Mbacké et ses co-accusés, Khadim Samb dit Djimbory, Abdourahmane Lô, Ibrahima Badiane alias «Maître l’Ouest» et Baïdy Hamady Sow vont être envoyés à la Chambre criminelle de Dakar le 16 septembre prochain pour les faits d’acte contre-nature, traite des personnes, détournement de mineurs, corruption de mineurs au préjudice des jeunes garçons O. Diouf et T. Khaary.

Avant cette convocation, le dossier avait connu de nombreux rebondissements. Selon des sources de L’Observateur, Serigne Assane et Cie avaient été placés, presque en catimini, sous mandat de dépôt pour corruption de mineur, traitement en vue d’exploitation sexuelle et détournement de mineur. Seulement, rapporte L’OBS repris par Pulse, le dossier appelée le 16 juin 2024 devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar a avorté. Le Procureur a soulevé une exception d’incompétence, demandant le renvoi de l’affaire devant la Chambre criminelle. Le Juge avait suivi son réquisitoire. Depuis, ils se retrouvent pris dans les engrenages d’une instruction longue et tortueuse.
Les rapports sexuels avec les garçons mineurs
Conférencier religieux, Serigne Assane Mbacké «Khelcom» est soupçonné d’être le cerveau d’un réseau qui exploitait sexuellement des jeunes mineurs. L’affaire éclate grâce à une plainte contre X, déposée à la Division spéciale de cybersécurité par A.S. Diouf, dénonçant l’exploitation de son fils mineur par un réseau d’homosexuels. Ce dernier explique aux policiers que son garçon âgé de 16 ans, élève en classe de Seconde, serait en contact avec des homosexuels. Il a découvert l’affaire lorsqu’il a confisqué et vérifié le téléphone portable de son enfant. Entendu sur les faits, la présumée victime avait confirmé s’adonner à des actes homosexuels depuis les grandes vacances scolaires de 2021, il avait ainsi balancé les noms de ses partenaires. A l’en croire, il a été introduit dans le réseau par Serigne Assane Mbacké, domicilié non loin de la maison de son oncle à Guédiawaye, qui l’avait présenté à Baïdy. Quelques semaines après, ses «bourreaux» auraient usé de menaces pour le forcer à se déshabiller alors qu’il était l’invité de Baïdy.

Ce dernier aurait alors eu des rapports sexuels avec lui sous les yeux de Serigne Assane. Après l’acte, la victime qui s’est plaint de maux de ventre, a constaté des saignements. Pour le dissuader de révéler les faits, ses bourreaux l’auraient menacé de le faire passer pour un homosexuel, en plus de menaces de mort et de maraboutage. Depuis lors, le jeune élève affirme que Serigne Assane Mbacké le mettait souvent en rapport avec des hommes, soit par le réseau social Facebook ou par contact direct. Après O. Diouf, une autre victime de 17 ans, T.Kh, s’était aussi présentée à la police pour dénoncer Assane Mbacké.
Serigne Assane Mbacké : “Je souffre de pulsions sexuelles”
Devant les enquêteurs, Serigne Assane Mbacké avait nié les faits avant de se rétracter et d’avouer avoir abusé d’eux dans sa chambre à Guédiawaye. Pour se dédouaner, Serigne Assane Mbacké avait déclaré souffrir de pulsions sexuelles qu’il n’arrive pas à maîtriser. Ce qui, laisse-t-il entendre, expliquerait également sa consommation compulsive de vidéo pornographiques à caractère gay, remarquée grâce à l’historique de navigation de son téléphone portable. Le mis-en-cause a également confié aux enquêteurs, toujours pour justifier ses actes, avoir subi des actes pédophiles durant son enfance.

Gaza: l’ONU déclare officiellement la famine, qui aurait «pu être évitée» sans «l’obstruction» d’Israël

(240101) -- GAZA, Jan. 1, 2024 (Xinhua) -- People gather to get food relief in the southern Gaza Strip city of Rafah, on Dec. 31, 2023. The United Nations (UN) estimates that approximately 1.9 million people in Gaza, or approximately 85 percent of the total population of the strip, have been displaced since the conflict broke out, while some of them were displaced several times to escape Israeli attacks and search for safe refuge. "Almost half of the population are starving and spending full days without eating," the UN Relief and Works Agency for Palestine Refugees said in a press statement, warning that more people could die from famine if the conflict continues. (Photo by Rizek Abdeljawad/Xinhua) TO GO WITH Feature: Palestinians in Gaza hope to return to normal life in new year - Photo by Icon sport

Après des mois de mise en garde contre une famine dans le territoire ravagé par la guerre, le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), un organisme de l’ONU basé à Rome, a confirmé qu’une famine était en cours dans le gouvernorat de Gaza. L’IPC ajoute qu’elle devrait s’étendre aux gouvernorats de Deir el-Balah et Khan Younès d’ici à fin septembre.

La famine à Gaza, officiellement déclarée par l’ONU vendredi 22 août, aurait pu être « évitée si on nous l’avait permis. Pourtant, la nourriture s’accumule aux frontières en raison de l’obstruction systématique d’Israël », a accusé le responsable de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies, Tom Fletcher, lors d’un point de presse à Genève. « Cette famine va et doit nous hanter tous », a-t-il insisté.

 

L’ONU dénonce un « crime de guerre »

Le chef des droits humains des Nations unies Volker Türk a rappelé qu’« affamer des gens à des fins militaires est un crime de guerre », quelques minutes après l’annonce de l’ONU. « Nous ne pouvons pas laisser cette situation perdurer en toute impunité, a lancé pour sa part le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Nous avons besoin d’un cessez-le-feu immédiat, de la libération immédiate de tous les otages et d’un accès humanitaire total et sans entrave. »

Quelques heures auparavant, Israël avait menacé plus tôt de détruire la ville de Gaza si le Hamas n’acceptait pas la paix à ses conditions. Cela au lendemain du feu vert donné par le Premier ministre Benyamin Netanyahu à des négociations visant à libérer tous les otages restants à Gaza.

Le gouvernorat de Gaza représente environ 20 % de la bande de Gaza en superficie. Si l’on ajoute ceux de Khan Younès (29,5 %) et Deir el-Balah (16 %), on arrive à 65,5 %, soit environ les deux tiers de la superficie totale de la bande de Gaza. Plus de deux millions de Palestiniens s’entassent dans ce territoire pauvre de 365 km2, considéré comme le plus dense au monde, avant le début de la guerre.

Selon des experts de l’ONU, plus d’un demi-million de personnes à Gaza affrontent des conditions « catastrophiques », le niveau de détresse alimentaire le plus élevé de l’IPC, caractérisé par la famine et la mort. Ce chiffre, fondé sur informations recueillies jusqu’au 15 août, devrait monter à presque 641 000 d’ici fin septembre. La malnutrition chez les enfants de Gaza « s’accélère à un rythme catastrophique », constate également l’organisation. « En juillet seulement, plus de 12 000 enfants ont été identifiés comme souffrant de malnutrition aiguë, le chiffre mensuel le plus élevé jamais enregistré ».

Des pénuries de nourriture, médicaments et de carburant

L’ONU s’est aussitôt attirée les foudres d’Israël, qui a dénoncé une annonce biaisée « fondée sur les mensonges du Hamas ». « Il n’y a pas de famine à Gaza », a affirmé le ministère israélien des Affaires étrangères. Face à ces accusations, le responsable du Programme alimentaire mondial de l’ONU pour la sécurité alimentaire, Jean-Martin Bauer, a répliqué que « l’IPC est la référence absolue pour les analyses sur la sécurité alimentaire à travers le monde ».

Selon l’IPC, il s’agit de la détérioration la plus grave de la situation depuis le début de ses analyses dans la bande de Gaza. L’organe précise qu’une famine est en cours lorsque trois éléments sont réunis : au moins 20 % des foyers doivent affronter un manque extrême de nourriture, au moins 30 % des enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition aiguë, et au moins deux personnes sur 10 000 meurent de faim chaque jour. Toutes ces conditions sont désormais officiellement réunies.

Cette situation est le résultat de l’escalade du conflit ces derniers mois, qui a entraîné des déplacements massifs de population combinés à des accès restreints aux approvisionnements alimentaires causés par Israël. Début mars, Israël a totalement interdit l’entrée des aides à Gaza, avant d’autoriser fin mai l’acheminement de quantités très limitées, entraînant de graves pénuries de nourriture, de médicaments et de carburant.

La campagne de représailles militaires israéliennes sur la bande de Gaza a fait au moins 62 192 morts, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé de Gaza. Si ce dernier fait officiellement partie du gouvernement du Hamas, ses chiffres sont jugés fiables par l’ONU et régulièrement confirmés par des audits indépendants.

Décès de la députée Fanta Sall : « C’était une longue maladie, elle est partie se reposer…», son frère.

La classe politique sénégalaise est en deuil. L’honorable députée Fanta Sall a tiré sa révérence ce mercredi 20 août 2025, après une longue maladie, selon l’annonce faite par son frère. La parlementaire était alitée depuis plusieurs mois avant de s’éteindre dans la discrétion.

« C’était une longue maladie. Elle est partie se reposer », a confié son frère, ému.

Élue à l’Assemblée nationale, Fanta Sall s’était forgé une réputation de femme politique engagée, fidèle à son leader Macky Sall, et investie dans les grands débats nationaux. Sa voix portait des convictions fortes, souvent au service des causes qu’elle jugeait justes.

Sa disparition constitue une perte lourde, non seulement pour sa famille politique, mais également pour l’hémicycle et l’ensemble de la nation. Depuis l’annonce de son décès, de nombreuses personnalités, collègues et citoyens anonymes, témoignent leur compassion et rendent hommage à son parcours marqué par le dévouement et l’engagement.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention