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Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop
OMAR BLONDIN DIOP…
Aîné frère d’une Fratrie
Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).
Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.
Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.
De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.
Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).
Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.
Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.
Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.
Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.
EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.
La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.
La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.
Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…
Un gendarme de la garde présidentielle découvert mort
Triste fin de journée hier, lundi 24 février 2025, à Dalifort, où un gendarme a été découvert mort dans sa chambre, assure L’Observateur. Selon nos confrères, le défunt, qui vivait comme locataire au quartier « Ibou Ndao », également appelé « quartier 10 », était de service la veille, dimanche 23 février.
À sa descente de service, continue le journal, il avait regagné sa chambre et n’avait plus donné signe de vie pendant toute la matinée du lundi. Son épouse, qui a tenté en vain de le joindre au téléphone, a fini par alerter les voisins pour leur faire part de son inquiétude et leur demander d’aller vérifier. Elle était loin de se douter du drame qui s’était joué.
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Les voisins, la mine triste, ont fait un témoignage élogieux sur le défunt avant d’assister à l’arrivée de la police, venue procéder aux constats d’usage. Selon L’Observateur, les sapeurs-pompiers ont ensuite acheminé le corps sans vie vers une structure hospitalière pour les besoins de l’autopsie. L’Observateur ajoute que le défunt, originaire de la région de Fatick, était âgé de 30 ans. Sur les causes de son décès, seules les conclusions du médecin légiste pourront édifier sa famille, ses collègues et ses voisins, encore sous le choc.
Le PJF traque une proche d’Amadou Sall
Du neuf dans l’affaire Mamadou Racine Sy et Amadou Macky Sall, fils de l’ancien chef de l’État, qui figuraient dans le document transmis au Collège des juges d’instruction par le Procureur du Pool judiciaire financier. Seynabou Ndiaye, une proche d’Amadou Macky Sall est visée par le parquet financier.
A l’image d’Amadou Macky Sall et de Mamadou Racine Sy, Seynabou Ndiaye n’a pas encore reçu de convocation. Toutefois, elle pourrait être appelée très prochainement à comparaître devant le Collège des juges d’instruction, à l’instar des autres personnes visées dans le réquisitoire introductif du parquet, afin de connaître les faits qui lui sont reprochés.
Elle vole les 3 millions de son patron et les mise sur Parifoot,
Placée sous mandat de dépôt depuis le 19 février 2025, Nafi Diouf a été jugée hier, lundi, par le Tribunal des flagrants délits de Dakar nous dit senenws . L’étudiante et gérante d’un multiservices a comparu suite à une plainte déposée par son employeur, Moussa Diop, qui l’accuse d’avoir détourné la somme de 3 millions de FCFA des caisses de son établissement. Une somme qu’elle a entièrement perdue en misant sur des paris sportifs.
La collaboration entre Moussa Diop et Nafi Diouf fut de courte durée. Embauchée comme gérante, l’étudiante de 25 ans n’a travaillé que quelques jours avant d’être licenciée pour abus de confiance. Après avoir détourné 3 millions de FCFA, elle les a perdus en un instant en jouant au Pari-foot. Moussa Diop, qui avait pourtant foi en sa voisine lorsqu’il l’a recrutée, a vite déchanté. L’étudiante à l’Université Virtuelle du Sénégal (UVS) avait été engagée après avoir perdu son premier emploi dans un autre multiservices. « Un jour, nous nous sommes croisés et elle m’a confié qu’elle était sans travail. Je lui ai alors proposé de travailler avec moi et lui ai confié la gestion de mon multiservices », raconte-t-il à la barre.
Cependant, un jour, Nafi Diouf est arrivée à midi, alors que la boutique ouvrait à 9h. « J’ai immédiatement trouvé cela suspect. Elle avait une attitude étrange. Peu après, elle est repartie sans explication », se souvient Moussa Diop. Quelques minutes plus tard, la mère de l’accusée se présente à la boutique en larmes, expliquant que sa fille s’est mise dans une situation compliquée et qu’elle a été victime d’une arnaque. Mais la vérité éclate rapidement : Nafi Diouf a en réalité pris 3 millions de FCFA dans la caisse pour tenter sa chance aux jeux de hasard. À la barre, la prévenue reconnaît les faits sans pouvoir justifier son geste. Elle affirme toutefois avoir déjà restitué 1 million de FCFA à son employeur, qui réclame toujours le solde restant.
Le procureur a requis l’application de la loi pénale. Le tribunal, jugeant les faits établis, a condamné Nafi Diouf à un mois de prison avec sursis. Elle devra également rembourser 2,1 millions de FCFA à la partie civile pour réparation du préjudice subi.
Affaire Macky Amar et Cie: Le procès renvoyé au 3 mars prochain
Arrêté pour détention et usage de drogue, Mouhamadou Macky El Bachir Amar n’a pas déféré hier, à la convocation du tribunal des flagrants délits de Dakar. Il serait hospitalisé, d’après son avocat. Le juge a ainsi renvoyé le procès au 3 mars prochain pour sa comparution.
Déféré au parquet mercredi dernier, le fils du défunt homme d’affaires Ameth Amar avait bénéficié d’une liberté provisoire. Sa copine, Aminata Seck et son ami, Mamadou Lamine Diémé, poursuivis respectivement pour facilitation et offre ou cession de drogue, ont atterri en prison reprend rewmi.
Interpellée en premier, Aminata Seck aurait imputé la paternité de la drogue trouvée par devers elle à Macky Amar. Immédiatement, les enquêteurs ont effectué une descente à l’hôtel Terrou-Bi pour mettre le grappin sur ce dernier, pris en flagrant délit d’usage de drogue en compagnie de Mouhamadou Lamine Diémé.
New Deal Technologique : le Sénégal se lance dans une révolution numérique
Le président Bassirou Diomaye Faye a procédé ce matin, au Centre international de conférence Abdou Diouf, au lancement du New Deal Technologique, une stratégie ambitieuse visant à positionner le Sénégal comme une nation souveraine et prospère grâce au numérique.
Saluant les hôtes venus assister à cet événement, il a rappelé que ce projet s’inscrit au cœur de l’Agenda national de Transformation Sénégal 2050, qui ambitionne une société ancrée dans des valeurs fortes et tournée vers un développement inclusif et durable. Selon lui, la révolution numérique actuelle impose aux nations de redéfinir leurs priorités et d’investir massivement dans les nouvelles technologies pour garantir leur compétitivité et souveraineté.
En Afrique, malgré un dynamisme démographique et un vivier de talents, de nombreux défis persistent en matière d’inclusion, de développement durable et de gouvernance. Face à cela, le continent doit prendre le virage de l’intelligence artificielle et du Big Data en misant sur l’innovation et les technologies pour assurer un avenir meilleur à ses populations.
Le New Deal Technologique vise ainsi à corriger les inégalités socio-économiques, impulser la transformation digitale de l’administration et stimuler l’essor d’une économie numérique forte, avec des champions nationaux capables de rayonner au-delà des frontières africaines. Parmi les priorités figure la digitalisation des services publics, notamment la gestion du foncier, l’état civil dématérialisé, la télémédecine ou encore le e-learning. L’objectif est de mettre fin aux lenteurs et lourdeurs administratives en instaurant un guichet unique citoyen et une plateforme centralisée, facilitant l’accès aux services de base.
L’initiative repose aussi sur un accès universel à Internet, une identité numérique unique basée sur la biométrie et un programme d’incubation pour les startups, afin de favoriser l’innovation et d’accompagner les jeunes entrepreneurs. Cette modernisation permettra une administration plus performante, plus transparente et plus efficace dans la collecte fiscale, réduisant ainsi la corruption et l’évasion fiscale.
Pour soutenir l’essor de l’économie numérique, le Sénégal compte renforcer l’écosystème d’innovation en mettant en œuvre une Startup Act actualisée, en modernisant les infrastructures numériques et en instaurant un cadre législatif agile et adapté aux réalités socio-culturelles du pays. Une attention particulière sera accordée à la digitalisation de l’économie informelle, afin d’intégrer et d’accompagner les entrepreneurs individuels et les TPE.
La souveraineté numérique est également un axe clé du programme. Le Sénégal ambitionne de sécuriser ses infrastructures, de protéger ses données stratégiques et de limiter sa dépendance vis-à-vis des solutions étrangères. Cela passera par un appui au secteur privé et aux chercheurs pour développer des technologies locales adaptées aux besoins nationaux.
Un programme spécifique, IA et Digital Factory, sera mis en place pour faire du pays un centre d’excellence en intelligence artificielle, cloud computing, cybersécurité, réalité virtuelle, gaming et robotique. L’ambition est de permettre aux champions technologiques sénégalais de s’imposer sur la scène africaine et mondiale.
Enfin, le chef de l’État a instruit le ministre en charge du Numérique d’assurer un suivi rigoureux de cette stratégie à travers un cadre d’évaluation performant. Il a félicité les équipes ayant contribué à cette vision et invité les partenaires techniques et financiers ainsi que les investisseurs technologiques à accompagner cette transformation. Le Sénégal, a-t-il rappelé, offre un cadre attractif pour les investissements, avec un marché dynamique, une main-d’œuvre qualifiée et un cadre juridique renforcé pour protéger les données et stimuler l’innovation.
Ce New Deal Technologique se veut ainsi un moteur de progrès, non seulement pour le Sénégal, mais aussi pour toute l’Afrique, en faisant du numérique un levier d’opportunités et de développement inclusif.
Opération de sécurisation conjointe police-gendarmerie : 1 238 individus interpellés en un week-end
Selon les chiffres officiels, 527 individus ont été interpellés dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 février 2025, tandis que 711 autres ont été arrêtés dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 février 2025. Ces opérations, menées simultanément dans plusieurs zones sensibles, ont permis de démanteler des réseaux criminels et de renforcer la surveillance des axes stratégiques.
Saisies et mises en fourrière
En plus des arrestations, les forces de l’ordre ont procédé à la saisie de drogues et de pièces suspectes. Plusieurs véhicules et motos ont également été mis en fourrière, certains pour absence de documents en règle, d’autres suspectés d’être impliqués dans des actes délictueux.
Cette opération de grande envergure illustre la volonté des autorités d’intensifier la lutte contre la criminalité et d’assurer une présence dissuasive sur le terrain. Les forces de sécurité restent mobilisées pour garantir un climat de sérénité et prévenir toute escalade de l’insécurité.
Les enquêtes se poursuivent pour déterminer le degré d’implication des personnes interpellées et identifier d’éventuelles complicités.