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Mame Mbaye Ndiaye vous donne rendez-vous sur Actunet.net

Tous les 15 jours, retrouvez “Fair Play” sur votre site Actunet. “Fair Play” est un plateau de Mame Mbaye Ndiaye, qui place sous les projecteurs toutes personnalités interpellées par l’actualité du moment.

Portrait du Capitaine d’Équipe au Onze national- Omar Blondin Diop

OMAR BLONDIN DIOP…

Aîné frère d’une Fratrie

Omar Blondin Diop est né le 18 septembre 1946 à Niamey au Niger. Fils aîné de la  fratrie des onze à douze garçons dont le père, Ibrahima Blondin Diop, médecin de son état, et la mère, Adama Ndiaye, sage –femme de son état et sœur jumelle à Awa Ndiaye, sage femme également résidente à Bamako, sont tous trois originaires de Saint Louis du Sénégal. Le père est natif de Toukoto (Kita, République du Mali, ex Soudan français) et les mères sont nées à Siguiri (Guinée actuelle).

Aux termes d’études primaires et secondaires (Lycée Van Vollenhoven, actuel Lamine Guèye, Lycée Montaigne et Louis Le Grand à Paris), Omar est le premier Sénégalais reçu au concours d’entrée à l’École Normale Supérieure de Saint Cloud en 1967.

Élève-professeur en philosophie et sociologie à l’Université de Nanterre, il participe activement sur la ligne de front aux évènements, soulèvement populaire de la jeunesse et de la classe ouvrière, françaises, en Mai 1968 à Paris. En tant que membre fondateur de plusieurs groupes de réflexion dont le Mouvement du 22 Mars, il sera fiché et filé par la police française, puis frappé d’une mesure d’expulsion du territoire français en même temps que son camarade Franco Allemand, eurodéputé écolo actuel, Daniel Cohn-Bendit. Rentré chez lui au Sénégal, il œuvrera tout autant activement dans l’espace universitaire contre les coopérants français du corps enseignant et assistera efficacement le professeur Cheikh Anta Diop dans la constitution du Laboratoire Carbone 14 de l’Ifan où il était reçu stagiaire auprès du Professeur.

De retour à Paris en 1970, il poursuit la préparation de son agrégation à Saint Cloud, suite à la levée de la mesure d’expulsion par le Président Georges Pompidou, sur la demande formulée par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, Khalife général des Tidianes et exprimée au Président Senghor, ami de Georges Pompidou, président français. Il obtînt gain de cause. Mais cette préparation est interrompue par l’arrestation de ses frères, membres du groupe des incendiaires, dont Lopy (Mahomet) et Pape (Dialo), encore mineurs à l’époque. Motif : ils avaient tenté de saboter le cortège du Président Georges Pompidou, en visite au Sénégal en janvier 1971 et avaient incendié le centre culturel français (Actuel institut Léopold Sédar Senghor). Deux sentiments anti français bien exprimés par ce groupe dont les animateurs seront condamnés à de lourdes peines notamment deux travaux forcés à perpétuité. Le Tribunal spécial, ancêtre de la Cour de Sûreté de l’État, avait décidé ensuite de déporter les condamnés au Centre plénipotentiaire spécial de Kédougou, au Sénégal oriental. Indigné et choqué par la sévérité et la disproportion de ce verdict, Omar réunit quelques amis dont Alioune Sall dit Paloma et Samba Bathily, et ensemble ils décident de suspendre leurs études supérieures et de rentrer au Pays afin d’œuvrer à la libération des peuples et de leurs camarades emprisonnés.

Arrivés à Bamako, après un long périple d’entraînement et de conditionnement, à travers plusieurs pays traversés dont la Turquie, l’Érythrée, la Palestine, la Syrie, la Libye, l’Algérie, la Guinée Conakry, ils ne réussiront pas à regagner Dakar. Ils seront en effet arrêtés et placés en garde à vue par les autorités militaires maliennes du Cmln, sous la direction de Tiécoro Bagayogo, directeur de la Sûreté nationale. Sur la demande du Président sénégalais, Senghor, à l’occasion de sa visite officielle en novembre 1971 à Bamako, le Président Moussa Traoré affréter un avion par vol spécial pour les extrader pieds et poings liés sur Dakar, le mois suivant (décembre 1971).

Arrêtés et réceptionnés, Omar et Paloma seront jugés et condamnés à trois ans de prison ferme par le même Tribunal spécial, le 22 Mars 1972, les autres inculpés bénéficiant de sursis.

Plus tard, en cellule, victime de sévices et du comportement négrier de ses gardes pénitentiaires, Omar Blondin Diop trouvera la mort dans des circonstances mystérieuses jusque là jamais élucidées, dans la nuit du 10 au 11 mai 1973. Sur l’île de Gorée, dans la sinistre prison disciplinaire devenue aujourd’hui Musée préhistorique et où trône son portrait parmi les grandes figures de l’histoire contemporaine de l’Afrique noire.

Suite à son décès dont le certificat de genre de mort reste problématique pour l’État sénégalais, 44 ans après, le Ministre de l’Intérieur de l’époque, en la personne de Jean Collin, avait dans un premier temps refusé de rendre le corps à sa famille. Puis dans la précipitation, en présence d’un de ses frères et de voisins de la Médina, il sera inhumé au cimetière Abattoir de Soumbèdioune. L’autopsie qui avait été réclamée par son père docteur, et réalisée en sa présence n’a pas été concluante pour justifier de la version officielle du suicide donnée par le Gouvernement sénégalais.

Jusqu’à présent la controverse publique qui a d’emblée opposé sa famille au gouvernement sénégalais portant sur les circonstances de sa mort, perdure et s’amplifie depuis 4 ans, à l’occasion de la célébration des 40 ans de sa disparition. Son frère, le docteur Dialo Diop, mandataire de la famille, a déjà saisi officiellement les autorités compétentes pour une réouverture de l’enquête judiciaire par une police scientifique agréée. Depuis, aussi, ils attendent la réponse de l’État à requête officielle.

EN conclusion, la courte vie de ce digne fils d’Afrique, Sankara avant l’heure, plus radical que Nelson Mandela, Che Guevara dans le tempérament et plus qu’un Jean Paul Sartre et un Albert Camus réunis dans sa tête, a été riche et diverse. En témoigne son goût pour le Cinéma avec sa participation de La Chinoise de Jean Luc Godard, cinéaste français ; son goût pour la musique Jazz des Black Panthers et les sonorités afro cubaines d’Amériques, son goût pour d’autres civilisations sur lesquelles il est resté très ouvert. C’est ainsi qu’Omar a beaucoup lu, peu écrit, fait un deux films, a vu du pays en traversant maintes contrées et s’est fait plein d’amis partout dans le monde.

La trajectoire exemplaire de cet homme est faite d’ardeur à l’étude, d’ouverture d’esprit, de détermination pour l’essence de l’être, et d’abnégation dans la lutte de libération. Une telle simplicité ne se retrouvera plus tard qu’en Thomas Sankara, son cadet de trois ans (né le 21 décembre 1949). Avec un désintéressement prononcé dans les relations humaines, et surtout une honnêteté intellectuelle fort scrupuleuse qui allie sens de la générosité humaine et don de soi sans bornes. Né de parents sénégalais au Niger, à la fois Soudanais et Sénégalais, Nigérien et Guinéen, parlant couramment le bambara et le wolof, le français et l’anglais, l’allemand et l’arabe, Omar demeure le parachèvement de tout sentiment d’inachèvement perpétuel. Mais aussi, la source abondante d’une inspiration féconde pour la jeunesse insatiable de savoir. Une source inépuisable de praxis pour la Jeunesse africaine, présentement sur la brèche, à la recherche de modèles pour trouver par elle-même les réponses à ses questions légitimes face à l’échec des politiques sociales et néocoloniales des régimes en place qui semble-t-il, ne lui offrent aucune perspective crédible.

La reconnaissance des vertus salvatrices est une exigence des temps présents. Puisse ce portrait, reflet d’une existence qui a été brève comme une étoile filante, faisant beaucoup parler d’elle, laissant des traces sur les destinées individuelles, et passant rapidement comme presque de façon inaperçue et allant choir au fond de l’immensité de sa destinée à enfant prédestiné qui a traversé ce siècle en météorite. L’unité d’action dans sa lutte pour le panafricanisme, la praxis qu’il développait par sa pensée fédératrice d’énergies créatrices, ont fait parler de lui au-delà des frontières factices qui nous insèrent peuples et communautés de Nations francophones, anglophones et lusophones, qui sont partagés entre les musulmans, les chrétiens et les traditionnalistes. On ne doit pas accepter au sein de la nouvelle citoyenneté Cedeao, que les puissances étrangères dépècent le continent sous nos yeux en nous séparant en des micros États qu’ils soutiennent et renforcent en permanence, sans possibilité de leur rendre leur autonomie . C’est en cela que consistait le combat d’Omar Blondin Diop, pour qui «La Révolution n’a pas besoin de Chef suprême». Même si un seul nous suffit comme le diraient d’autres confessions, Omar était un roi qui marchait pieds nus sur les chemins de la connaissance. Il n’a laissé ni livre, ni épouse, ni enfant à l’âge de sa disparition. Il est reparti comme il était venu un jour du 18 septembre 1946. Frou! Comme l’oiseau migrateur.

Le glaive de la justice, une fois qu’il l’a quitté ne connaît plus de fourreau…

Santé : Le SAES décrète une grève de 72 heures

Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) a annoncé une grève de 72 heures, du lundi 24 au mercredi 26 février 2025, pour protester contre la violation des droits des familles des enseignants-chercheurs décédés et le non-respect des engagements gouvernementaux. Cette décision fait suite à une série de mouvements de grève précédents, notamment une grève de 48 heures les 18 et 19 février 2025, qui n’ont pas abouti à une résolution satisfaisante des revendications du syndicat.

Dans un communiqué , le SAES dénonce la non-réversion des pensions de retraite aux ayants droit des enseignants-chercheurs décédés, malgré l’élargissement de l’assiette de cotisation pour la retraite et l’introduction d’un régime complémentaire. Le syndicat souligne que cette situation perdure depuis plusieurs années, malgré les multiples alertes adressées au gouvernement.

En plus de la suspension des activités pédagogiques, le SAES appelle ses membres à interrompre les formations payantes et à cesser toute participation aux activités administratives et réunions, afin d’exiger l’application immédiate des accords signés avec le gouvernement et la reconnaissance des droits des familles des enseignants décédés.

 

Le syndicat avertit que cette situation pourrait avoir des répercussions sur les années académiques 2023-2024 et 2024-2025, et réaffirme son engagement à défendre les droits des familles des enseignants disparus. Le SAES invite l’ensemble de ses militants à se mobiliser pour exiger l’application immédiate des accords et la restauration de la dignité des ayants droit.

 

Cette nouvelle mobilisation témoigne de la détermination du SAES à obtenir satisfaction sur des revendications jugées légitimes, face à ce qu’il considère comme une inertie des autorités compétentes.

Peut être une image de trompette, saxophone, clarinette, flûte, hautbois et texte qui dit ’Autonome Dakar-Fann-Te Supérieur 825-24-06 Mot d'ordre du SAES Bureau national (BN) SAES, lumiére différentes assemblées générales (tenues mercredi 19 février différents campus), avec grande déception: continuelle des familles des enseignants- chercheurs chercheurs des dans l'Innovation (MESRI) d'adoption octobre 2024, Recherche décembre 2024, Sénégal engageant Gouvernement mandaté dés Décret synchrone, conséguent, mardi renvoient MESRI SAES décréte στόνε demandé pedagogiques (cours, participation 72H, les lundi militants soutenances, dégage années protocoles 2023-2024 Enfin, SAES informe liées aux conséquences sur découleront non-respect lance ainsi sera scellé afin restauration appe1 tous les militants pour илe 'application sans délai đu protocole forte Dakar, samedi février’

Incendie au marché arafat de Rufisque : 15 cantines détruites, dégâts considérables

Un violent incendie s’est déclaré dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 février 2025 au marché Arafat de Rufisque. Selon un bilan provisoire établi par les sapeurs-pompiers, les flammes ont détruit environ 15 cantines et de nombreux étals. Aucune perte en vie humaine n’a été signalée, mais les dégâts matériels sont considérables selon igfm .

Ce drame vient rappeler la grande vulnérabilité des marchés face aux incendies et souligne l’urgence de renforcer les mesures de prévention et de sécurité pour éviter de telles catastrophes à l’avenir. À noter qu’il y a trois jours, un autre incendie s’était déclaré dans un garage de mécanique à Diamniadio, provoquant la destruction de nombreuses voitures.

Aïda Samb, artiste chanteuse : Tisser l’histoire, chanter l’avenir

À la croisée des chemins entre tradition et innovation, Aïda Samb incarne l’essence même de la musique sénégalaise. Héritière du « xalam », elle magnifie cet instrument ancestral en le fusionnant avec des sons modernes, offrant au monde une expérience sonore qui traverse les âges. Avec une voix envoûtante et un timbre unique, elle transforme chaque chanson en un voyage. À travers son art, la chanteuse fait résonner l’histoire du Sénégal tout en traçant une nouvelle voie vers l’avenir de la musique africaine.

Le « xalam », ce fil sacré qui relie l’homme à l’invisible, murmure l’histoire du Sénégal. Dans sa musique, Aïda Samb est la voix qui fait résonner cet héritage avec une majesté rare. Dans ses chansons, il y a de la chaleur, de la profondeur, de la vie. Aïda ne se contente pas de chanter, elle vit sa musique. Elle ne se contente pas de mélodies, elle tisse des histoires. Aïda ne se contente pas de paroles, elle porte des messages universels. Dans chaque morceau, elle dévoile une part d’elle-même. Dans chaque parole, elle nous invite à la suivre. Dans chaque chanson, elle s’évade.

Aïda Samb, une professionnelle de la chanson, séduit par sa voix exceptionnelle. « Sa belle voix, c’est son instrument et elle maîtrise parfaitement les techniques vocales », témoigne Michael Soumah, expert musical, soulignant l’importance de la maîtrise vocale dans son art. Pour lui, il est essentiel de rappeler aux artistes musiciens qu’au-delà d’une belle voix, « il faut apprendre à chanter », un point qu’Aïda semble incarner pleinement par sa maîtrise des différentes techniques vocales.

Entre tradition et modernité

En ce qui concerne son style musical, poursuit l’animateur, Aïda Samba s’essaie à divers genres, allant au-delà de sa musique traditionnelle, où elle excelle, notamment avec le xalam. « On a pu la sentir se tourner vers l’Afrobeats, un autre domaine où elle a réussi à s’adapter tout en conservant l’essence de sa voix unique », ajoute M. Soumah. À l’en croire, la chanteuse peut s’adapter à tout style de musique et cela se vérifie aussi bien dans des genres modernes que dans des styles plus classiques.

Quant à la production musicale, il est évident qu’elle apporte une touche particulière à chaque arrangement. Ce timbre vocal, lorsqu’il est mélangé à des sons modernes, offre une richesse qui transforme chaque chanson en une expérience originale. « Ce timbre vocal, mélangé avec la musique moderne, donne l’originalité », insiste l’expert. Cela se reflète, d’après lui, particulièrement dans la manière dont la chanteuse parvient à fusionner l’Afrobeats originel avec des éléments contemporains, créant ainsi une musique qui résonne au-delà des frontières. Pourtant, comme l’évoque Senghor, il faut s’enraciner et s’ouvrir au monde », une philosophie que Aïda Samb semble appliquer à merveille, en offrant au public une musique nouvelle tout en honorant ses racines. Aïda Samb, petite-fille du légendaire et virtuose du « xalam » Samba Diabaré Samb, incarne un talent musical inné, façonné par un héritage prestigieux.

Héritière d’une tradition musicale ancestrale

Dès son enfance, elle prête sa voix aux rues de Mbacké où, en 2001, le comité pour la Scolarisation des filles (Scofi) l’engage pour sensibiliser les parents à inscrire leurs filles à l’école. Recommandée au directeur musical du label « Jololi », Kabou Guèye, par l’entremise d’un de ses oncles, elle signe avec ce dernier en 2004, tout en poursuivant son parcours académique à l’École des arts de Dakar.

Elle fait ses premières armes en tant que choriste aux côtés des plus grandes figures de la musique sénégalaise telles que le leader du Super Étoile, Youssou Ndour, Kiné Lam, Pape Diouf, Yoro Ndiaye et Abou Thioubalo. Sa notoriété prend un essor fulgurant lorsqu’elle intègre la formation « Fekke Ma Ci Boolé » de Youssou Ndour.

En 2009, elle lance son premier single, « What About Me ? », marquant ainsi le début de sa carrière solo. En effet, Aïda Samb, héritière d’une tradition musicale ancestrale, se distingue par une voix envoûtante et une présence scénique imposante, promettant un avenir éclatant dans l’univers musical. Mais c’est en 2012 avec « Sarabaa », son premier opus produit par Prince Arts, que l’alchimie opère.

Accompagnée d’instruments comme le « xalam », elle interprète des classiques de la musique sénégalaise. La scène la réclame. L’ovation des Kora Music Awards, où elle décroche le prix de la Meilleure artiste de musique traditionnelle d’Afrique de l’Ouest, cristallise son ascension. Ainsi, son timbre cristallin, tissé de lumière, enchante et emporte.

Le « xalam », un guide d’une expérience sonore unique

La chanteuse porte en elle l’essence même d’une musique qui transcende les âges. Le « mbalax», héritage d’un peuple, devient son souffle, sa signature. Issue d’une famille Gawlo, c’est aussi évident comme que le jour après la nuit que l’art circule dans ses veines (incompris). Aïda Samb n’a pas seulement hérité du « xalam », elle l’a fait sien, le modelant dans sa propre vision, où sa maîtrise du rythme et de la mélodie se forge. Le vent du succès souffle sur « Woyal Ma » (Ndlr : Chante pour moi), son second album, où la tradition se mêle à la sensualité du présent. Chaque note, chaque vibration, est une déclaration de maîtrise et de modernité. Dans son titre « Love », en featuring avec le chanteur Hakeem, Aïda transcende l’ancien pour embrasser l’avenir, une fusion parfaite entre l’élan du passé et la grâce du futur. Dans ses concerts, offrir un spectacle où la scène se fait théâtre de l’âme ; son leitmotiv. Ses mélodies, tendues entre l’ombre et la lumière, tracent des arcs entre les générations.

Musique sans frontière

Le « xalam », cette corde vibrante de l’histoire, et sa voix, incandescente, seront les guides d’une expérience sonore unique, où chaque note suspend le temps et chaque silence ouvre une brèche vers l’infini. Cependant, aujourd’hui, Aïda Samb, c’est l’art de l’équilibre entre tradition et innovation, entre le murmure des ancêtres et l’audace de la modernité. Elle incarne la relève, l’élégance d’une musique ancestrale portée vers les étoiles. Son nouveau single « Yow la », (Ndlr : C’est toi), une subtile alchimie entre l’héritage ancestral et la pulsation du monde moderne, sorti il y a trois semaines, est l’exemple le plus illustré pour mesurer l’évolution de sa musique qui navigue entre tradition et modernité. Dans la chanson, les rythmes et les mélodies, d’une profondeur mystique et authentique, ne changent pas. L’utilisation de percussions caractéristiques, de tonalités vibrantes et de chants ancestraux s’entrelacent habilement avec des arrangements modernes, où les influences de l’Afrobeats viennent parfaire cette fusion sonore. L’essence même de cette chanson d’amour, qui se veut universelle, réside dans l’émotion pure qu’elle transmet grâce à des nuances vocales précises et des arrangements soignés qui plongent l’auditeur et l’entraînent dans un tourbillon émotionnel. À travers ce single, l’artiste nous dévoile un art musical qui ne se contente pas de revendiquer une identité, mais qui réinvente et redéfinit sans cesse les contours d’une musique sans frontière.

Avec lesoleil

Diffusion de fausses nouvelles: Adama Fall sera présenté au Procureur ce lundi

Placé en garde à vue, ce jeudi 20 février 2025, pour diffusion de fausses nouvelles, le responsable politique au sein de l’Alliance pour la République (APR), Adama Fall sera présenté au Procureur ce lundi 24 février2025, selon BuurNews, repris par Senenews.

Après plusieurs tours d’horloge d’audition face aux enquêteurs de la Division des Investigations criminelles (DIC), le responsable politique au sein de l’Alliance pour la République (APR), Adama Fall, a été placé sous mandat de dépôt.

D’après BuurNews, cette convocation serait liée à l’une de ses déclarations sur une supposée affaire de trafic impliquant des candidats à l’emploi pour le Qatar. Cependant, après plusieurs heures d’audition, Adama Fall a été placé en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles., selon Abdoul Aziz Sall.

A rappeler que le Ministère en charge du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions a fermement démenti les allégations d’organisation clandestine de voyages vers le Qatar en échange de paiements illicites. Dans un communiqué, il dénonce une diffusion de fausses informations et se réserve le droit de saisir les autorités compétentes.

États-Unis -Ukraine : l’accord sur les minéraux bientôt signé ?

Sous pression de Donald Trump, le président ukrainien envisage de céder une partie des minéraux de terres rares de son pays aux américains.

Les fonctionnaires Ukrainiens et américains travaillent sur un projet d’accord entre les deux gouvernements, déclaration c’est de Volodymyr Zelensky vendredi sur le réseau social X.

Les États-Unis veulent accéder aux minéraux de terres rares de l’Ukraine. Et compenser le soutien militaire apporté à Kiev dans le contexte du conflit avec la Russie.

L’accord doit concerner également sur l’assistance future de Washington. Initialement, il portait sur 50 % des terres rares du pays.

L’Ukraine a longtemps tergiversé exigeant des avantages mutuels et de mesures solides en matière de sécurité.

Mais ça c’était avant. La signature du texte a été présentée comme ‘’ imminente par un conseiller du président Ukrainien’’ vendredi.

La pression de Donald Trump est sans nul doute passée par là.

Comment prévenir les migraines naturellement : remèdes maison et médicaments qui bloquent les crises

Conjoncture économique : Yoro Dia s’en prend au «pessimisme paradoxal des marchands de désespoir»

Sénégalais, n’ayez pas peur, souriez, soyez optimistes et confiants en l’avenir de notre grand pays promis à un avenir éclatant malgré le virus du désespoir que veut nous inoculer Pastef, après avoir insufflé le ressentiment dans le cœur de la jeunesse. C’est inéluctable, notre pays est appelé à devenir le pays le plus riche de la Cedeao, comme l’est la Suisse ou le Luxembourg. Nous serons bientôt le pays le plus riche de la Cedeao grâce à un certain nombre de déterminismes qui sont à la fois politique, géographique, historique et géopolitique. C’est juste une question de temps. Et le temps ne chôme pas. Ce que Pastef, qui a perdu un an, n’a pas encore compris. Donc, la mission essentielle de l’opposition, notamment celle du Shadow cabinet, est de voir comment rattraper le temps que nous allons perdre avec l’intermède Pastef.

Le discours pessimiste et désespérant de Pastef est paradoxal. Comment on peut être à la tête d’un pays pétrolier et gazier, qui a d’excellentes ressources humaines, qui a l’avantage comparatif d’être un ilot de stabilité dans sa région (comme la Suisse pendant des siècles), avoir une position géographique et géopolitique exceptionnelle, avoir le plébiscite des jeunes et avoir un discours aussi désespérant. Le Sénégal a tous les atouts et les déterminismes pour être une future Suisse, mais il lui manque le «facteur immatériel» qui explique, selon Peyrefitte, les miracles économiques des pays sans ressources comme la Hollande, le Japon, la Suisse. Sans des ressources comme le pétrole et le gaz, et grâce à ce facteur immatériel, Wade et Macky Sall, qui avaient une haute idée du rang du Sénégal, avaient réussi à faire d’un Sénégal indigent un Sénégal pré-émergent. Pastef dont l’arrivée au pouvoir coïncide avec les premiers barils de pétrole et le gaz, veut nous faire passer de l’émergence à l’indigence. Quel paradoxe ! Cela défie le bon sens économique et même le bon sens tout court. Les jeunes qui ont plébiscité Pastef se sont trompés de bonne foi, car Pastef leur a vendu le rêve de Dubaï avant qu’ils ne se réveillent au Venezuela.

Le «facteur immatériel» est dans l’exception sénégalaise qui, après avoir été l’exception politique, doit devenir l’exception économique car le seul problème du Sénégal est l’économie, il n’est ni politique ni institutionnel. Le facteur immatériel est aussi de dire aux Sénégalais que leur pays doit rester à l’avant-garde et non pas à l’arrière-garde avec les putschistes de l’Aes. En culpabilisant la richesse, Pastef veut l’égalité dans la pauvreté comme au Venezuela ou en Corée du Nord, les seuls pays qui ont encore les coopératives que Pastef veut réinventer plus de 30 ans après la chute de l’Urss. Avec les coopératives urbaines qu’il propose pour lutter contre le chômage des jeunes, Sonko s’attaque aux symptômes de la maladie et pas à la cause. Et le Dr Manhatir, qui a fait émerger la Malaisie, a démontré en bon médecin que le sous-développement consiste à s’attaquer aux symptômes de la maladie (lutte contre la pauvreté), mais pas à la cause (l’absence ou la faiblesse de la création de richesses). Par exemple, les Jakartas sont des symptômes de la maladie du chômage dont la cause est l’absence de création de richesses et d’industries. Aucun jeune ne rêve ou n’a l’ambition d’être Jakartaman. Et c’est la création de richesses qui fait défaut chez Sonko comme chez Maduro, qui culpabilisent la richesse, sèment la peur, le doute et l’incertitude, qui sont aux antipodes de la création de richesses, qui exige de la confiance et de l’optimisme. L’émergence, c’est quand le créateur de richesse ou l’entrepreneur devient le moteur du système, mais pas le fiscaliste.

La politique économique de Sonko rappelle la belle chanson des Beatles : the Taxman (le percepteur) où ils disent que même quand «tu fais une promenade, le percepteur va taxer tes pieds, quand il fait froid, il taxe le chauffage, quand tu as une voiture, il taxe la rue, et il veut que tu le remercies de ne pas tout prendre». Une économie centrée sur le percepteur, et pas sur le créateur de richesse, ne peut être performante. Au lieu de fouetter l’orgueil des Sénégalais comme Roosevelt, Reagan, Trump, Manhatir, Lee Kuan Yew l’ont fait avec leurs peuples, Pastef s’est engouffré dans la porte des lamentations, à la recherche perpétuelle d’un bouc émissaire comme Macky Sall, le Fmi, la Banque mondiale, Donald Trump, la France, et peut être bientôt le climat ou la planète Mars.

Avec un secrétaire d’Etat à l’encadrement du monde rural, les coopératives urbaines annoncées par Sonko, les magasins témoins et le recrutement des milliers de volontaires pour contrôler les prix, le Sénégal de Diomaye mooy Sonko a quitté la voie de l’émergence pour emprunter «la route de la servitude» dont parle le Nobel d’Economie Frederic Von Hayek. Hayek est cet économiste dont se sont inspirés Reagan et Thatcher pour lancer cette grande révolution conservatrice qui a freiné le déclin de la Grande Bretagne et redonné à l’Amérique sa grandeur avec Reagan en libérant les énergies, en redonnant confiance et le sens de la grandeur à leur pays.

Avec les marchands de désespoir que nous avons à la tête de l’Etat, le Sénégal ferme l’ère de la grandeur ouverte avec Wade. C’est pourquoi je prônais un demi-tour démocratique lors des Législatives, car les premiers mois de Diomaye avaient tous les symptômes de l’intermède de Morsi et des Frères musulmans à la tête de l’Egypte. L’Egypte fit demi-tour avec le coup d’Etat de Sissi, mais au Sénégal, une des plus vieilles démocraties du continent, le demi-tour ne peut être que démocratique. Comme on a raté l’occasion de faire demi-tour lors des Législatives, on a laissé les marchands du désespoir nous engager sur l’autoroute à péage du déclin et de l’indigence, après une folle chevauchée de Macky Sall vers l’émergence. On ne fait pas émerger un pays avec des économies de bout de chandelle sur les machines à café et en réduisant les hauts fonctionnaires aux Kfc, McDo ou aux sandwichs grecs quand ils sont à l’étranger. L’émergence, c’est le culte de la grandeur comme à Dubaï, où on est passé du dos de chameaux à une police qui patrouille en Lamborghini. Naturellement, sur le principe, on ne peut que se féliciter de l’effort de réduction de la dépense publique, mais là n’est pas la solution. La solution est dans la production de richesses. Et sur ce plan, l’échec est flagrant car l’économie se fonde sur la confiance que Pastef n’a jamais réussi à inspirer aux acteurs économiques.

En 1932, Roosevelt a sorti l’Amérique de sa crise économique la plus grave en redonnant confiance à un Peuple en proie à un doute profond. Le Président Diomaye et son Premier ministre ont réussi la prouesse de mettre dans le coma une économie en pleine croissance en semant la peur, le doute, l’incertitude. L’élection de Trump a relancé l’économie, fait bondir la Bourse parce qu’il vend la confiance, la grandeur, flatte l’ego du Peuple américain, comme Roosevelt ou Kennedy avec sa nouvelle frontière (amener les Américains sur la Lune alors qu’ils croyaient que le Pacifique était la dernière frontière), par contre, le Président Diomaye et son Premier ministre torturent tout un Peuple qu’ils bombardent de mauvaises nouvelles à longueur de journée.
Le Sénégal aussi a besoin d’une nouvelle frontière, d’un nouvel horizon, et c’est l’émergence économique. La Nouvelle frontière comme les urgences du pays sont économiques. Malheureusement, sur le plan économique, nous aurons 5 ans d’immobilisme comme le baobab que Pastef a choisi comme symbole de son projet économique. Sur ce plan au moins, ils sont clairs et cohérents.
Dr Yoro DIA
Politologue, ancien ministre

Questions d’actualité – Abdou Karim Sall à Ousmane Sonko :”Les réponses ne m’ont jamais satisfait, car il est allé au-delà des questions qu’on lui a posées”

Le député Abdou Karim Sall n’a pas mâché ses mots vendredi à l’Assemblée nationale, en s’en prenant vivement au Premier ministre Ousmane Sonko.

“Les questions au gouvernement sont des moments extrêmement importants pour la vie d’une démocratie. Malheureusement, nous avons vu un Premier ministre qui a manqué de sang-froid, car nous lui avons posé des questions qui fâchent, relatives à la situation du pays.” C’est en ces termes que le parlementaire Abdou Karim Sall s’est exprimé lors de son face-à-face avec la presse, à l’issue de la séance plénière tenue ce vendredi à l’Assemblée nationale.

Revenant sur les réponses du Premier ministre Ousmane Sonko aux différentes questions qui lui ont été posées, Abdou Karim Sall a affirmé être resté sur sa faim.

“Les réponses ne m’ont jamais satisfait, car il est allé au-delà des questions qu’on lui a posées, c’est-à-dire dans l’invective, les injures et même les menaces”, a-t-il déploré. Et d’ajouter : “Ce qui s’est passé, c’est que la majorité s’est arrogé huit questions, ne laissant dans un premier temps que deux questions pour l’opposition : une pour le groupe parlementaire Takku Wallu et une pour les non-inscrits. Finalement, à 1h30 du démarrage de la plénière, ils nous ont appelés pour nous dire qu’on pouvait rajouter une personne supplémentaire. Je trouve que cela manque de sérieux.”

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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