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« As face à la haine » : Abdourahmane Diouf reste droit dans ses bottes »

Malgré les critiques émises par certains responsables du Pastef, le Dr Abdourahmane Diouf, ministre de l’Environnement et leader du parti Awalé, reste fidèle à sa ligne de conduite. À l’occasion du quatrième anniversaire de son parti, célébré ce dimanche au CICES, il a réitéré son appel à l’apaisement et à l’unité nationale.

« Je lance un appel au consensus, au pardon et à la concorde », a déclaré le ministre, insistant sur la nécessité de dépasser les divisions et d’adopter une attitude constructive.

Le Dr Diouf, qui revendique sa liberté de pensée, estime qu’un pays ne saurait se bâtir sur la haine, la vengeance et le mensonge. Une position qui lui a valu de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, où les opinions se montrent partagées.

Des réactions contrastées en ligne

Sur Internet, certains internautes interprètent cette sortie comme une prise de distance du ministre vis-à-vis du gouvernement, voire une tentative de positionnement politique pour l’avenir.

D’autres, en revanche, saluent son discours d’apaisement, le considérant comme un appel à la sagesse et à la responsabilité dans un contexte politique souvent tendu. Pour eux, le ministre n’a fait que rappeler une évidence : la cohésion et la paix sociale sont la plus grande richesse d’un peuple.

 Fidélité à Diomaye Faye

Le leader d’Awalé a également tenu à exprimer sa gratitude envers le président Bassirou Diomaye Faye, soulignant la marque de confiance que ce dernier lui a témoignée en envoyant le ministre-conseiller Aldiouma Sow le représenter à la cérémonie.

« As moy Diomaye, Diomaye moy As », a lancé Abdourahmane Diouf avec un sourire, détournant avec malice le célèbre slogan des patriotes « Sonko moy Diomaye, Diomaye moy Sonko ».

À travers cette déclaration, le ministre a voulu réaffirmer à la fois sa loyauté envers le chef de l’État et son indépendance d’esprit, prônant une politique fondée sur le respect mutuel, la tolérance et le refus de la haine.

La dépouille de Cheikh Touré, jeune footballeur assassiné au Ghana, est arrivée à Dakar

La dépouille de Cheikh Touré, jeune footballeur sénégalais assassiné à Accra (Ghana), est arrivée à Dakar ce samedi 1er novembre 2025. Le corps du joueur de l’académie Esprit Foot a été rapatrié dans l’après-midi, après son atterrissage à l’aéroport international Blaise-Diagne (AIBD).

Sur place, l’émotion était à son comble. Sa mère, inconsolable, n’a pu retenir ses larmes, selon plusieurs sources concordantes.

Cheikh Touré s’était rendu au Ghana dans le cadre de supposés tests de recrutement dans un club local. Malheureusement, ce qui devait être une opportunité pour réaliser son rêve de carrière professionnelle s’est transformé en drame. Le jeune joueur aurait été victime d’un enlèvement suivi d’un assassinat, suscitant l’indignation et la douleur dans le monde du football sénégalais.

L’inhumation de Cheikh Touré est prévue ce dimanche à Touba, où famille, proches et acteurs du sport viendront lui rendre un dernier hommage.

Affaire Madiambal Diagne : l’ex-juge Ousmane Kane rappelle qu’interviewer une personne recherchée n’est pas un délit

Interrogé par L’Observateur, Ousmane Kane, ancien président de la Cour d’appel de Kaolack et magistrat à la retraite, s’est exprimé sur l’interpellation des journalistes Maïmouna Ndour Faye et Babacar Fall, brièvement arrêtés après la diffusion d’une interview de Madiambal Diagne, visé par un mandat d’arrêt international.

Selon le juriste, aucune disposition légale au Sénégal n’interdit à un journaliste d’interviewer une personne recherchée, dès lors que celle-ci n’est pas cachée ou dissimulée. Il précise que seules des poursuites pour recel de malfaiteurs ou complicité peuvent être envisagées dans certains cas précis, mais qu’une simple conversation ne constitue pas une infraction.

Pour appuyer son propos, Ousmane Kane cite deux articles du Code pénal sénégalais :

  • L’article 47, paragraphe 1, qui punit ceux qui fournissent habituellement un refuge à des malfaiteurs ;
  • L’article 47, paragraphe 2, qui sanctionne toute personne hébergeant quelqu’un qu’elle sait recherché pour un crime, dans le but de l’aider à se cacher ou à fuir.

Ces textes, souligne-t-il, visent l’aide matérielle et la dissimulation, non l’exercice du métier de journaliste. Il rappelle à ce sujet l’exemple du criminel français Jacques Mesrine, interviewé en 1978 par Paris Match alors qu’il était activement recherché, sans qu’aucune poursuite ne soit engagée contre les journalistes.

L’ancien magistrat met toutefois en avant l’importance de l’éthique et de la responsabilité professionnelle, citant le cas d’une journaliste du New York Times emprisonnée pour avoir refusé de révéler une source. Pour lui, le journalisme doit conjuguer liberté d’informer et sens des responsabilités.

Concernant l’affaire Madiambal Diagne, Ousmane Kane estime que cette polémique pourrait même bénéficier à la défense du journaliste devant la justice française, en soulignant les maladresses procédurales des autorités sénégalaises. Sans critiquer ouvertement le pouvoir actuel, il l’invite à faire preuve de plus de discernement et de rigueur juridique dans la conduite des affaires sensibles.

Oumar Youm salue la mobilisation du Front pour la Défense de la République et de la Démocrati

L’ancien ministre Oumar Youm a salué, ce samedi, la manifestation organisée par le Front pour la Défense de la République et de la Démocratie (FDR), une coalition rassemblant plus de 70 partis politiques.

« Quand le peuple décide de porter sa propre voix, il le fait avec dignité, respect et responsabilité », a-t-il écrit dans un post publié sur les réseaux sociaux. Poursuivant dans le même ton, il a ajouté : « Sans violence, mais avec détermination et conviction, le peuple parle et dénonce l’injustice de toutes ses forces. Seules la justice et la vérité sont les garanties d’un avenir crédible. »

La veille, vendredi 31 octobre, plus d’un millier de personnes avaient défilé dans les rues de Dakar à l’appel du nouveau front de l’opposition. Les manifestants réclamaient une amélioration du pouvoir d’achat des ménages et la préservation de la liberté d’expression, après une série d’arrestations jugées arbitraires dans les milieux politiques et médiatiques.

Alioune Tine appelle à la libération d’Ameth Ndoye et à une rupture avec les dérives démocratiques

Poursuivi pour offense à une personne exerçant les prérogatives du chef de l’État et diffusion de fausses nouvelles, Ameth Ndoye sera déféré au parquet lundi après la prolongation de sa garde à vue.

Le défenseur des droits humains Alioune Tine a exhorté les autorités sénégalaises à faire preuve d’ouverture et de clémence en mettant fin à la détention d’Ameth Ndoye. Selon lui, il est inacceptable que des citoyens soient emprisonnés pour leurs opinions ou leurs propos.

Il déplore une dérive inquiétante observée depuis plusieurs années : la judiciarisation systématique de la parole politique et l’emprisonnement régulier d’opposants ou de critiques du pouvoir. Pour Alioune Tine, cette tendance constitue une maladie chronique de la démocratie sénégalaise.

L’ancien président du Comité sénégalais des droits de l’homme invite par ailleurs les pouvoirs publics à mettre en œuvre les recommandations des Assises de la Justice, en particulier celles visant à renforcer les libertés fondamentales et les droits humains.

Il estime qu’il est temps pour le Sénégal d’engager une véritable rupture avec les pratiques du passé, en privilégiant le dialogue, la tolérance et le respect de la liberté d’expression des valeurs essentielles à la consolidation d’un État de droit fort et crédible.

Ousmane Sonko : du militant politique à l’acteur principal d’une série

 

Depuis quelques années, le leader de PASTEF, Ousmane Sonko, s’impose non seulement comme une figure politique au Sénégal, mais aussi comme le protagoniste d’une véritable série politico-médiatique. Chaque épisode, savamment mis en scène, captive l’opinion publique, alimente les débats, et divise le pays entre partisans passionnés et sceptiques désabusés.

 

Épisode 1 : Les 94 milliards et le coup d’envoi de la saga

Tout commence avec l’affaire dite des 94 milliards, un scandale foncier supposé, brandi comme la preuve du “système corrompu” qu’il prétend combattre.
Résultat : beaucoup de bruit, des déclarations incendiaires, mais aucune preuve concrète. L’épisode a servi surtout à asseoir l’image d’un justicier prêt à affronter les puissants, même si la réalité judiciaire, elle, n’a jamais confirmé ses accusations.

Épisode 2 : Les 6000 milliards du pétrole le scénario du complot

Vient ensuite le dossier des 6000 milliards du pétrole et du gaz sénégalais, où Sonko accuse l’État de brader les ressources nationales. Une fois encore, les chiffres et les faits s’entrechoquent, mais le discours reste le même : “nous sommes pillés”.
Ce thème, habilement choisi, flatte le sentiment nationaliste et alimente la colère populaire. Pourtant, derrière la rhétorique, aucune démonstration économique sérieuse ne vient étayer les affirmations.

Épisode 3 : Sweet Beauty le drame judiciaire à grand spectacle

C’est l’épisode qui a propulsé Sonko au niveau international. L’affaire Sweet Beauty, mêlant sexe, pouvoir et justice, a tenu le Sénégal en haleine. Les caméras du monde entier se sont braquées sur Dakar.
Mais au-delà du scandale, cet épisode a révélé une stratégie de communication redoutable : transformer chaque accusation en tribune politique. Le tribunal devenait scène, le verdict devenait scénario, et la victime autoproclamée se transformait en martyr du système.

Épisode 4 : Le compte de 1000 milliards la confusion économique

Dans cet épisode, le thème change mais la méthode reste la même : créer le doute, semer la méfiance, présenter des chiffres impressionnants, souvent sans fondement vérifié. Le but : entretenir l’image d’un “État voleur” et d’un “peuple spolié”.
Une fois encore, le populisme économique remplace la rigueur analytique.

Épisode 5 : La dette cachée avec le FMI et la Banque mondiale saison en cours

Le dernier épisode en date concerne la dette publique. Sonko et ses soutiens dénoncent une “dette cachée” négociée avec les institutions financières internationales.
Certes, le sujet de la dette mérite débat. Mais en faire un outil de propagande, sans explication sur les mécanismes économiques réels, revient à entretenir la peur et la colère plutôt qu’à proposer des solutions.

 

Une stratégie bien rodée : le populisme scénarisé

Derrière ces épisodes se cache une stratégie claire : occuper l’espace médiatique et mobiliser les émotions populaires.
Chaque crise, chaque accusation, chaque “révélation” devient un acte de communication calculé.
Sonko et ses partisans excellent dans l’art du spectacle politique un populisme de scène où les faits comptent moins que la narration.

Leur discours s’appuie sur des mots forts “système”, “corruption”, “trahison du peuple” mais reste souvent vide de propositions concrètes pour le développement économique, la gouvernance ou l’emploi des jeunes.

Épisodes à venir : le feuilleton continue…

Avec un tel scénario, inutile de douter qu’il y aura d’autres “épisodes” : la politique étrangère, la justice, ou encore la coopération internationale pourraient bientôt faire l’objet de nouvelles accusations spectaculaires.

Mais à force de vouloir transformer la politique en film, on risque de confondre le rôle d’acteur et celui de dirigeant.
Le Sénégal, lui, a besoin d’un leader réaliste et responsable pas d’un scénariste du chaos.

 

Omar Gueye
Sénégalais établi en Côte d’Ivoire

« Sonko dégage » : forte mobilisation de l’opposition pour dénoncer les dérives du pouvoir au Sénégal

Des milliers de Sénégalais ont manifesté ce vendredi 31 octobre 2025 à Dakar, à l’appel du Front pour la Défense de la Démocratie (FDR), une coalition regroupant plusieurs partis d’opposition et organisations citoyennes.

L’objectif de cette marche pacifique était de dénoncer les dérives du pouvoir, la hausse du coût de la vie et les atteintes aux libertés publiques. Une mobilisation qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes venues exprimer leur frustration et leur déception.

Drapeaux nationaux à la main et pancartes brandies, les manifestants ont réclamé plus de justice sociale et le respect des droits fondamentaux. Beaucoup ont exprimé leur colère face à la dégradation du pouvoir d’achat et appelé à des réformes urgentes pour soulager les ménages, durement touchés par la crise économique.

C’est surtout le Premier ministre Ousmane Sonko qui a cristallisé la colère des manifestants. Plusieurs d’entre eux l’accusent d’avoir trahi les espoirs de changement qui avaient accompagné l’élection du président Bassirou Diomaye Faye en mars 2024.

“Nous pensions que Sonko allait incarner la rupture, mais il s’est fondu dans le système qu’il combattait”, a déclaré un participant à la marche.

La manifestation, encadrée par un important dispositif sécuritaire, s’est déroulée dans le calme, sans heurts majeurs.

Pour de nombreux observateurs, cette mobilisation illustre un désenchantement croissant au sein de la population, face à un gouvernement perçu comme lent à traduire ses promesses en actes concrets.

Lors de son accession à la magistrature suprême, Bassirou Diomaye Faye était salué comme le symbole d’une nouvelle ère politique, prônant la transparence, la justice et la souveraineté nationale. Il s’était engagé à prendre des “mesures fortes” pour transformer le quotidien des Sénégalais.

Mais plus d’un an après, ces réformes se font toujours attendre, nourrissant un sentiment de frustration et de désillusion dans le pays.

Affaire Ameth Ndoye : la garde à vue du chroniqueur prolongée

La garde à vue du chroniqueur Ameth Ndoye a été prolongée, a-t-on appris ce vendredi de source proche du dossier. Le mis en cause devrait être déféré devant le procureur lundi.

Ameth Ndoye, journaliste et chroniqueur à SEN TV, avait été placé en garde à vue jeudi, à la suite de sa convocation à la section de recherches de la gendarmerie de Colobane.

Cette mesure intervient à la suite d’une autosaisine du procureur de la République, motivée par des propos jugés offensants à l’encontre du Premier ministre Ousmane Sonko.

Velingara : Des cas de Fièvre de la Vallée du Rift confirmés à Saré Ndiobo : le CRGE de Kolda en alerte

Les services techniques régionaux de l’Élevage, de l’Environnement, de l’Hygiène publique et de la Santé, membres du Comité Régional de Gestion des Épidémies (CRGE) de Kolda, se sont rendus hier, jeudi, à Saré Ndiobo, une localité située à un kilomètre de Kandiaye (chef-lieu de commune du département de Vélingara).

Cette visite fait suite à une alerte consécutive à la confirmation de cas de Fièvre de la Vallée du Rift (FVR) chez des chèvres.

Conduite par le Dr Mamadou Lamine Diallo, Directeur régional de l’Élevage de Kolda, la délégation a d’abord tenu une séance d’information avec les leaders locaux avant de présenter à la presse le plan d’action du CRGE, actuellement en attente de validation par le Gouverneur. Ce plan vise à intensifier les actions de sensibilisation, de traitement et de prévention afin d’éviter toute propagation de la maladie.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention