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Italie : un ouvrier sénégalais meurt dans un tragique accident de travail

Un ouvrier sénégalais âgé de 29 ans a trouvé la mort dans un accident de travail survenu ce samedi dans le nord-ouest de l’Italie, rapporte Libération dans son édition de ce lundi.

Selon les premières informations, la victime, dont l’identité n’a pas encore été révélée, a fait une chute mortelle depuis un échafaudage haut de 20 mètres, sur un chantier en construction.

Malgré l’intervention rapide des secours, le jeune homme a succombé sur place à ses blessures.

Les autorités italiennes ont immédiatement ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes du drame.

« La police routière italienne, la société gestionnaire de l’autoroute ainsi que les techniciens du service de prévention et de sécurité au travail de l’ADL (Agence locale de santé) se sont rendus sur les lieux pour procéder aux constatations », précise le journal.

Les investigations devront établir si toutes les normes de sécurité ont été respectées, notamment le port des équipements de protection, la stabilité du matériel et la supervision du chantier.

Ziguinchor : une prostituée nigériane arrêtée pour suspicion de transmission volontaire du VIH

La police de Ziguinchor a procédé à l’arrestation de B. D. Elohr, alias « Nelly », une ressortissante nigériane âgée de 23 ans, soupçonnée d’avoir voulu contaminer volontairement plusieurs hommes au VIH/Sida à travers des rapports sexuels non protégés.

Selon le quotidien Libération, qui a révélé l’affaire dans son édition de ce lundi 3 novembre, la jeune femme, installée à Ziguinchor depuis février ou mars dernier, exerce le métier de prostituée. Elle aurait été dénoncée à la police par une source anonyme ayant fourni des captures d’écran de conversations WhatsApp présentées comme des preuves à l’appui de ces accusations.

Des aveux partiels et un suivi médical confirmé

Au cours de son interrogatoire, « Nelly » a reconnu être porteuse du virus du Sida et avoir longtemps exercé dans ce milieu, notamment en Gambie, où elle aurait travaillé pendant deux ans avant de s’installer au Sénégal.

Elle a précisé être soumise à un suivi médical régulier au Centre de référence des IST de Ziguinchor, affirmant n’avoir manqué qu’un seul rendez-vous pour raisons personnelles. Une information confirmée par l’hôpital de Ziguinchor à la suite d’une réquisition de la police, selon Libération.

 

Des messages compromettants, mais des accusations niées

Confrontée aux messages WhatsApp évoqués par la source policière, la jeune femme a nié avoir voulu contaminer quiconque, soutenant qu’elle utilise toujours des préservatifs lors de ses relations avec les clients afin de « ne pas les exposer ».

L’enquête, ouverte par les autorités compétentes, se poursuit afin de déterminer la véracité des accusations et d’établir d’éventuelles responsabilités pénales.

Birkilane : le commandant Ndiaye grièvement blessé lors d’une attaque de bergers

Le chef de la Brigade de gendarmerie de Birkilane, le commandant Ndiaye, a été violemment agressé par un groupe de bergers qui auraient tenté de libérer l’un de leurs camarades arrêté pour meurtre, rapporte Libération dans son édition du lundi 3 novembre.

Selon les premiers éléments, les faits se sont produits alors que les gendarmes conduisaient le suspect vers la Brigade.

« Ils sont sortis des buissons comme des diables. Ils en voulaient particulièrement au commandant, ils voulaient le tuer pour récupérer leur camarade », a témoigné un témoin cité par le journal.

Le commandant Ndiaye aurait reçu plusieurs coups de machette, dont l’un, particulièrement violent, à la mâchoire. Grièvement blessé, il a été évacué en urgence vers le centre de santé de Birkilane, où il a été pris en charge par les équipes médicales.

 

Neuf assaillants maîtrisés, d’autres en fuite

Les éléments de la Brigade, présents lors de l’attaque, sont parvenus à maîtriser neuf des assaillants, tandis que d’autres ont réussi à prendre la fuite.

Les suspects arrêtés ont été placés en garde à vue, dans l’attente de leur présentation au parquet.

Une affaire liée à un meurtre à Fass Sy

Cette affaire trouve son origine dans un homicide commis le 30 novembre au village de Fass Sy. Selon Libération, un cultivateur, M. Dramé, aurait été égorgé par un berger, A. Bâ, à la suite d’une altercation. Le conflit serait né après que le troupeau du berger aurait envahi le champ du cultivateur.

Alertée par les cris, la population avait réussi à maîtriser le berger avant d’avertir la gendarmerie. Le commandant Ndiaye, informé, s’était aussitôt rendu sur les lieux pour constater le drame et procéder à l’arrestation du suspect.

C’est au cours du transfert de ce dernier que l’attaque contre le commandant a eu lieu.

Les mis en cause risquent de lourdes poursuites, notamment pour tentative d’assassinat sur une personne dépositaire de l’autorité publique, en plus d’autres charges en cours d’examen.

Mbacké : trois individus interpellés pour tentative de cambriolage

La Police nationale a annoncé l’interpellation de trois individus dans la nuit du 1er novembre à Mbacké, pour tentative de cambriolage.

Selon les services du Commissariat de Mbacké, les agents ont mis fin à une tentative de vol avec effraction après l’alerte donnée par la victime. Réveillée par des bruits suspects, celle-ci a surpris deux malfaiteurs en pleine action. Pris de panique, les individus ont pris la fuite, abandonnant sur les lieux une cisaille utilisée pour forcer l’entrée.

Les suspects ont été rapidement retracés et interpellés par les forces de l’ordre. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes des faits et identifier d’éventuels complices.

Ahmed Ndoye attendu ce lundi devant le procureur après sa garde à vue prolongée

Le chroniqueur Ahmed Ndoye est attendu ce lundi 3 novembre devant le procureur de la République, à la suite du prolongement de sa garde à vue.

L’analyste a été arrêté après une récente déclaration publique au cours de laquelle il a tenu des propos virulents à l’encontre du Premier ministre Ousmane Sonko.

Selon les informations recueillies, il est poursuivi pour offense à une personne exerçant les prérogatives du chef de l’État et pour diffusion de fausses nouvelles.

Cette affaire suscite déjà de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, où les avis sont partagés entre défense de la liberté d’expression et respect des institutions.

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