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Journée des accidentés… : L’Association nationale des accidentés du travail et leurs ayants droit du Sénégal déposent leurs griefs

Aujourd’hui 28 avril est célébrée la Journée des travailleurs morts, blessés ou handicapés au travail. Une occasion saisie par l’Association nationale des accidentés du travail et leurs ayants droit (ANATAD) du Sénégal pour mettre sur la table du gouvernement leurs revendications.

Ainsi, par le biais de Mamadou Niang, elle tire la sonnette d’alarme et alerte sur leurs difficiles conditions de vie.

«Les accidentés de travail ne sont pas contents. Ils sont perdus et savent plus vers qui se tourner», déclare-t-il.

Sur les ondes d’iRadio, le responsable de la communication et des revendications d’ANATAD se désole du mutisme de l’État.

«Toutes les directives et instructions que nous avons eues à donner aux ministres, aux chefs de cabinet n’ont pas été suivies. Il y a eu plus de trois conseils des ministres. Cependant, rien n’a été pris en compte. Ce que nous regrettons».

C’est pourquoi, poursuit-il, «nous leur demandons de penser à ces accidentés et handicapés qui sont désemparés, qui sont dans la rue en train de mendier. Sans oublier qu’ils sont dans l’attente d’une résolution depuis 2008», rappelle-t-il.

Par ailleurs, les membres de l’association et leurs ayants droit du Sénégal exhortent le président de la République  à penser à cette journée de l’accident afin de les aider dans la révolution de leurs griefs.

Bayern : El Hadj Diouf évoque la pression subie par Sadio Mané

Au Bayern Munich, Sadio Mané s’est signalé dernièrement par son altercation avec Leroy Sané. Mais avant cet accrochage, le joueur éprouvait de réelles difficultés sur le terrain à cause de sa méforme.

En effet, le Sénégalais n’arrivait plus à marquer depuis son retour de blessure. Il faisait régulièrement les gros titres des médias occidentaux, très peu satisfaits de ses performances.

Les journalistes avaient aussi tendance à lui rappeler très souvent sa mauvaise forme quand ils avaient l’occasion de l’interroger. Le Ballon d’Or africain leur promettait de renouer avec le chemin des filets.

L’ex-joueur de Liverpool est sur la bonne voie, puisqu’il a marqué samedi dernier face à Mayence en Bundesliga.

Pour l’ancienne star sénégalaise El Hadj Diouf, cette pression médiatique autour du joueur est tout à fait normale.

«Il sait ce qu’il doit faire et il va le faire»

«Vous savez, j’ai toujours dit qu’être africain est un handicap en tout. Moi, je ne qualifierais pas d’acharnement, mais je dirais plutôt de la pression. Ils (les journalistes) mettent la pression à Sadio Mané, et c’est normal, c’est un grand joueur. Ils attendent plus de lui. C’est un compétiteur. Il sait ce qu’il doit faire et il va le faire, et je ne me pose pas de question là-dessus», a déclaré El Hadj Diouf, convaincu que cette «forte pression» sur le joueur va «bientôt passer».

L’ancien Ballon d’or africain se confiait au journal “Source A”.

“Vive nos pères !”: au soir de leur vie, neuf tirailleurs rentrent enfin au Sénégal

Finir leur vie sereinement: neuf tirailleurs très âgés, qui ont combattu pour la France notamment en Indochine et en Algérie, se sont envolés vendredi pour un retour définitif au Sénégal, après une longue bataille avec l’administration française pour faire reconnaître leurs “sacrifices”.
 
Tous élégants en impeccables costumes ou en tuniques traditionnelles, portant avec prestance leurs médailles militaires, ces tirailleurs sénégalais avaient quitté à l’aube leurs studios de 15 mètres carrés dans un foyer à Bondy, en région parisienne, où ils vivaient depuis des années.
 
Certains se déplaçant très difficilement, leurs visages marqués par la solennité du moment, d’autres s’inquiétant d’un passeport laissé dans une valise, ils sont arrivés à l’aéroport dans un car affrété pour l’occasion.
 
Dans un pavillon spécial, ils ont pu attendre leur vol dans une atmosphère mêlant joie, recueillement et embrassades, en présence notamment de la secrétaire d’Etat aux Anciens combattants et à la Mémoire Patricia Mirallès.
 
“Vive nos pères !”, “Vive la France et le Sénégal !”, a-t-on entendu fusé lors des moments émouvants de photos de groupe ou d’échanges avec Mme Mirallès. “Vous allez nous manquer! mais la famille vous attend là-bas…”, leur a lancé la secrétaire d’Etat, très émue.
 
Ces tirailleurs ont combattu pour l’armée française principalement dans l’enfer de l’Indochine et de la guerre d’Algérie, et pour certains ont été déployés au Cameroun et en Mauritanie.
 
“Je suis très content de rentrer au Sénégal et de continuer à bénéficier des droits que j’avais en France; depuis 25 ou 20 ans, c’était dur pour nos proches de faire la navette, et pour notre âge aussi…”, a dit à l’AFP N’Dongo Dieng, 87 ans, portant ses médailles militaires sur une tunique moutarde.
Cela arrive “tardivement”, car “beaucoup de camarades sont morts avant de bénéficier de cette mesure…”, a déploré l’ancien combattant.
 
Ce retour a été rendu possible grâce à une mesure dérogatoire décidée par le gouvernement français, qui leur permet de vivre en permanence dans leur pays d’origine, sans perdre leur allocation minimum vieillesse de 950 euros par mois.
 
Une aide exceptionnelle finance aussi leur déménagement, leur vol retour et leur réinstallation.
Le vol Air Sénégal a décollé de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle vers 12h30 locales (10h30 GMT) et doit atterrir dans l’après-midi à Dakar, où est prévu un accueil par le ministre des Forces armées Sidiki Kaba.
 
Ces tirailleurs doivent en outre rencontrer vendredi le président Macky Sall, a précisé à l’AFP une source à la présidence sénégalaise.
 
 “Soulagement”
 
“Je suis extrêmement émue”, confie à l’AFP avant de prendre l’avion Aïssata Seck, présidente de l’Association pour la mémoire et l’histoire des tirailleurs sénégalais.
 
Petite-fille d’un tirailleur, elle a été la cheville ouvrière qui depuis dix ans a travaillé à leur reconnaissance, jusqu’à la décision d’Emmanuel Macron début 2023 d’annoncer cette mesure dérogatoire pour leur allocation.
 
“Le fait qu’ils puissent enfin rentrer chez eux, c’est un vrai soulagement et c’est l’aboutissement d’un très long combat” pour qu’ils aient “une fin de vie digne”.
 
Elle estime que l’Etat français “a fait ce qu’il fallait”.
Pour Claire Miot, maîtresse de conférence en histoire à Sciences Po Aix, “c’est une reconnaissance de leurs sacrifices au service de la France qui est extrêmement tardive car ce sont des hommes qui ont 90 ans, sans même parler des soldats engagés dans la Seconde guerre mondiale qui sont majoritairement décédés”.
 
Dans un franc sourire, M. Dieng confie souhaiter désormais “vivre tranquillement dans (son) village natal”. “Et comme j’aime bien les animaux, je vais continuer à développer mon cheptel, au milieu des miens”.
 
Le corps français des “Tirailleurs sénégalais”, créé sous le Second Empire (1852-1870) et dissous dans les années 1960, rassemblait des militaires des anciennes colonies d’Afrique. Le terme a fini par désigner l’ensemble des soldats d’Afrique qui se battaient sous le drapeau français.
 
Après les départs de vendredi, il reste encore en France 28 tirailleurs – tous d’origine sénégalaise -, dont plusieurs sont susceptibles de bientôt rentrer définitivement.
 
Selon l’historien Julien Fargettas, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, ils étaient plus de 200.000 lors de la Première guerre mondiale, 150.000 pour la Seconde, 60.000 en Indochine.
 
M. Fargettas, qui a organisé des rencontres entre ces tirailleurs de Bondy et des jeunes en France, souligne qu'”ils sont les représentants d’une époque, et la mémoire vivante des tirailleurs”.
Engagé volontaire dans l’armée française par tradition familiale, Yoro Diao, 95 ans, Légion d’honneur à la boutonnière, veut “se reposer” à Kaolack, dans le centre du Sénégal.
 
“C’est un jour très important pour nous, et mémorable!”, a-t-il confié à l’AFP avant de monter dans l’avion.
 
“Nos enfants et nos petits-enfants s’en rappelleront toujours… que papy est, ce jour-là, revenu de France très content”.

Affaire Sweet Beauty : Ousmane Sonko jugé le 16 Mai (RFM)

L’information aura certainement l’effet d’un séisme. Alors que son procès en appel pour diffamation est fixé au 8 mai prochain, Ousmane Sonko sera jugé le 16 mai devant la chambre criminelle. Cette fois-ci pour viol et menace de mort sur la masseuse Adji Sarr dans l’affaire Sweet Beauté, informe la Rfm. Nous y reviendrons…

310 cas de rougeole au Sénégal : Les précisions du Coordonnateur du programme élargi de vaccination

Actuellement au Sénégal depuis le début de l’année jusqu’à maintenant, au moins 310 cas de rougeole sont dénombrés. La pathologie est  un peu partout dans le pays.  Toutes les régions sont concernées, du moins selon le docteur Ousseynou Badiane. Le coordonnateur du programme national de vaccination interpellé sur la question suite à un cas signalé dans un district du sud du pays explique qu’à  chaque fois qu’un district notifie plus de 3 cas, en l’espace de 4 semaines, on considère que ce district est en épidémie parce que c’est une maladie qui fait l’objet d’une initiative d’élimination. 
 
Le docteur Badiane rassure tout de même pour ce qui est  des mesures qui sont prises, chaque fois qu’un cas est déclaré : “Nous faisons une investigation et une riposte autour du cas c’est-à-dire on recense tous les enfants qui sont dans la zone et qui ne sont pas à jour sur leur calendrier vaccinal pour remettre le carnet à jour. Autrement, il s’il agit  d’enfants  qui n’avaient reçu aucune dose de rougeole, on leur donne une dose. Ceux qui avaient une dose on leur donne la 2e dose. Cela permet de circonscrire rapidement les cas. Maintenant si les cas augmentent malgré cela, il  y a lieu de faire une riposte plus large qui pourrait concerner une zone où tout l’ensemble du territoire ». 
 
« La rougeole est une maladie qui a toujours existé au Sénégal donc chaque année il y a des cas. Ce n’est pas une maladie qui est éradiquée nous sommes à une initiative d’élimination c’est a dire l’amener à un seuil où il ne sera pas un problème de santé publique et le Sénégal n’a pas encore atteint ce seuil là », précise le coordinateur du programme national de vaccination.
 
 
Il y a eu beaucoup d’acquis dans la lutte donc une forte diminution des cas et presque une mortalité nulle. Mais le pays note régulièrement des cas. C’est ce qu’il faut savoir. Il faut aussi noter que depuis 2020, il y a une augmentation des cas. La situation  est liée à un contexte mondial de recrudescence de la rougeole à cause des baisses de couverture vaccinale liées en partie à la pandémie et aux fake news. Le docteur Badiane insiste sur le fait que la réticence par rapport à la vaccination  gagne du terrain un peu partout dans le monde. « Ce n’est  pas qu’au Sénégal ou en Afrique. En effet,  même les pays développés ne sont pas épargnés », explique-t-il. 

Omar Badiane Président Vision Républicaine .” Moustapha Diop a une gestion nébuleuse ,clanique et opaque avec des scandales de boulimie foncière”

Leader du Mouvement Vision Républicaine (VR), Omar Badiane n’a pas été tendre avec l’actuel maire de Louga.  D’après le lui ce dernier depuis son installation à lamaire de Louga, s’est inscrit dans une gestion nébuleuses non sans annoncer un combat pour la mise en place d’une délégation spéciale à  Louga.

Vous êtes Président du Mouvement Vsion Républicaine (VR) par ailleurs Conseil municipal à  la ville de Louga  et responsable politique de l’ Alliance pour la République.  Selon certaines indiscrétions vous êtes à couteaux tirés avec l’actuel maire de Louga Moustapha Diop . Qu’est ce qui se passe passe réellement  dès lors que vous aussi parlé de gestions nébuleuses de l’équipe municipale dirigée par Moustapha Diop, pouvez vous nous donner des illustrations concrètes sur ça ?

Je pense que je n’ai pas de problème personnel avec l’actuel Maire ; Mais il se trouve que Mr Moustapha Diop n’a pas pu porter et donner corps à la vision de son excellence le Président de la République Macky Sall  dans sa politique d’industrialisation qui est un facteur important pour le developpement de notre pays.    Depuis son accession à la tête de ce département Ministériel , aucune manufacture n’a même pas été créé pour répondre aux attentes de la jeunesse et des femmes en terme d’emploi. Il ne se focalise que sur de faux chiffres pour flouer son monde et dire qu’il crée de l’emploi.
Maintenant , s ‘agissant de la Municipalité de Louga , Mr Moustapha Diop a une gestion nébuleuse ,clanique et opaque avec des scandales de boulimie foncière. Et à ce titre ,nous allons nous battre pour qu’une délégation spéciale soit installée à Louga.

 Étant responsable de l’alliance pour la République  à  Louga, quelle est la particularité de votre rôle dans la coordination politique ?

Le Mouvement Vision Républicaine a toujours été une sentinelle pour son Excellence le président Macky Sall; mais surtout un organe de veille, d’alerte et de proposition  pour le parti.
En effet nous avons été l’artisan de toutes les grandes victoires éléctorales du parti à louga sans aucune reconnaissance à  notre égard toujours alors. Ce que ma base à louga n’a jusque là pas digéré.

C’est temps ci on voit que l’étau se resserre autour du Président Macky Sall avec l’opposition qui fustige une  troisième cabdidature sans compter la démission de Idrissa Seck au Conseil économique sociale et environnemental (Cese). Avec tout ça, pensez vous que  votre leader est t’il en bonne posture pour 2024?

Ceux ce qui parlent de troisiéme mandat sont dans leurs logiques mais pour nous il s’agit de deuxième quinquénnat .Mais bien sur que notre leader est en bonne posture au vu de ces réalisations et  que des sénégalais continuent encore de croire en sa vision et l’investir pour un deuxième quinquennat.  Nous considérons qu’il reste solution pour le sénégal .Pour moi  la démission de Mr Idrissa Séck est un non événement .

À propos du 3e mandat ou du 2e quinquennat  c’est selon.

Vous savez ! Je suis un homme libre et je fais partie de ceux qui ne croient surtout pas à cette question de limitation de mandat. Quoi que l’on veuille nous l’imposer aussi ; si tant est que  le Président s’illustre par ses réalisations sans commune mesure ( la politique de résilience économique du Sénégal face l’inflation mondiale qui a ébranlé des pays plus puissants et plus riches que le Sénégal   .

Aujourd’hui si vous devez parler de réalisations du Président Macky Sall vous nous direz quoi?

Sur le plan social beaucoup a été fait pour l’épanouissement des populations même si celles-ci restent insatiables car l’homme est un être de manque et en redemandera toujours . Vous voyez que les salaires de la fonction publique ont été revus à la hausse jusqu’à hauteur de cent cinquante mille francs.
Bref tout compte fait à propos du second quinquennat toujours, ça ne sert absolument à rien de s’agiter autour de ça car seul le peuple reste  souverain. Et ce n’est pas le peuple votant  qui est dans la rue comme on veut nous le faire croire.  On a vu  les réalisations avec PROMOVIL PUMA etc… pour lutter contre l’inéquité territoriale  par exemple.
Si le peuple le juge sur ses réalisations, son expérience d’homme d’État  en terme d’anticipation sécuritaire par rapport au cercle de feu qui nous entoure et sa vision pour un Sénégal émergent , ce même peuple là peut éprouver une satisfaction et l’investir à nouveau pour un autre mandat ; sachant aussi que la parole du Président n’est surtout pas au dessus de la constitution.  )

Nécrologie : Décès de Sokhna Daba Diallo, l’épouse de Serigne Mountakha

Le khalife général des mourides est en deuil, suite au rappel à Dieu de son épouse Sokhna Daba Diallo. Elle a tiré sa révérence ce jeudi à Touba.
 
La défunte femme de Serigne Mountakha Mbacké sera inhumée après la prière du crépuscule (Timis), sauf changement de programme.
 
Seneweb présente ses condoléances au khalife général des mourides et à la famille éplorée.

La BCEAO alerte sur un faux communiqué qui circule sur les réseaux sociaux

La Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a pris connaissance d’un communiqué frauduleux diffusé sur les réseaux sociaux donnant des recommandations aux établissements de crédit de l’UMOA sur les billets de banque FCFA endommagésLa BCEAO dément cette information et précise que ce communiqué n’émane pas de ses Services.Elle invite par conséquent les établissements de crédit, les médias et le public à une grande vigilance et à se référer aux seules voies de communication officielles de l’Institut d’émission.

A cet égard, elle rappelle que tous ses communiqués sont diffusés sur son site internet www.bceao.int, ainsi que, le cas échéant, dans la presse écrite et audiovisuelle des Etats membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA).La BCEAO se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires à l’encontre des auteurs et complices des actes et messages de nature à porter atteinte aux signes monétaires ayant cours légal dans les Etats membres de l’UMOA (Bénin, Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo).

La Banque Centrale rappelle au public que les signes monétaires endommagés de son émission sont échangeables à ses guichets ouverts dans les agences de chaque Etat membre de l’UMOA, et précise que les règles et conditions d’échange de ces valeurs demeurent inchangées.Elle encourage les populations qui détiennent des pièces de monnaie et billets mutilés, dégradés ou tachés à les échanger à ses guichets ou aux guichets des banques installées dans l’UMOA.

Enfin, elle précise que le service d’échange de billets est gratuit.

LE JOURNALISTE MOUSTAPHA DIOP FINALEMENT RELÂCHÉ : « JE CONSIDÈRE QU’ILS FAISAIENT LEUR TRAVAIL… »

Convoqué lundi dernier au comissariat central, le journaliste Moustapha Diop a été finalement relâché. « Je considère qu’ils faisaient leur travail. J’ai répondu à leurs questions selon les informations que je détiens », a-t-il déclaré. Nous allons y revenir…

Arriérés de salaire de plus de 200 milliards : Les travailleurs de la construction montent au créneau

Le Syndicat national des travailleurs de la construction et des BTP réclame des arriérés de salaire d’environ 200 milliards de francs CFA aux grandes entreprises telles que CDE, CSE et Eiffage Sénégal. 
 
En effet, ces travailleurs s’adressent directement au chef de l’État pour le privilège de l’expertise nationale et l’organisation du secteur. “Il résulte de l’état des créances de nos entreprises affiliées des arriérés de paiement d’environ plus de 200 milliards de francs CFA, rien que pour les entreprises telles que CDE, CSE et Eiffage Sénégal, compte non tenu des multiples PME et PMI à titre illustratif. C’est ce qui nous pousse à souhaiter une rencontre avec vous, Monsieur le Président de la République, pour vous expliquer à haute et intelligible voix la situation que vivent les travailleurs dans le secteur du BTP. 
 
Parce que vous avez affirmé partout ‘la patrie avant tout’. Alors, nous ne pourrions comprendre que l’autoroute Ila Touba, qui a été faite par les Chinois, alors que l’autoroute Ila Tivaouane qui se dessine aussi, vous avez l’intention de la confier à une entreprise de la Côte d’Ivoire pour un montant de 335 milliards, au moment où nos entreprises nationales qui vous ont accompagné et qui souffrent actuellement à cause de ces arriérés non payés sont laissées en rade. Cela nous semble inadmissible. 
 
À la limite, c’est tuer le secteur du BTP et affaiblir l’économie nationale. Alors, de vive voix, nous en appelons aux assises qui s’occupent de ce secteur avec toutes les parties prenantes pour parler de cette sécurité au travail, du respect des droits des travailleurs, du respect des normes nationales et internationales qui sont bafouées par les entreprises étrangères, en l’occurrence les Chinois qui font la pluie et le beau temps, au grand dam des travailleurs”, déplore Alassane Ndao, le secrétaire général du syndicat, sur les ondes de la RFM.
 
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention