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Me Moussa Bocar Thiam dans le viseur du Pôle judiciaire financier

L’affaire du marché controversé du Parc des Technologies Numériques (PTN) de Diamniadio continue de faire des vagues. Selon L’Observateur dans son édition de ce mercredi 17 septembre, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam, actuellement à l’étranger, est désormais au centre des investigations du Pôle judiciaire financier (PJF).

Cette enquête fait suite à un contrat de plusieurs milliards de francs CFA destiné à renforcer l’écosystème technologique du Sénégal, mais dont l’exécution n’a jamais eu lieu malgré le paiement intégral.

Dans le cadre de cette affaire, la police a procédé à l’arrestation d’Amy Samaké, ex-directrice de la Case des Tout-petits, et d’Hélène Ndoukité Diouf, actuelle Dage du ministère. D’autres hauts responsables ont également été entendus afin de faire toute la lumière sur ce dossier qui soulève de graves soupçons de malversations financières.

Le PJF pourrait convoquer prochainement Me Moussa Bocar Thiam pour l’entendre sur son rôle présumé dans ce marché controversé.

Convocation d’Alpha Oumar Sow : l’apériste dénonce une tentative d’intimidation

Le responsable politique Alpha Oumar Sow, membre de l’Alliance pour la République (APR), a annoncé avoir été convoqué par la Direction de la cybersécurité ce mercredi à 10 heures, à la suite d’une plainte déposée contre lui.

Ne connaissant pas les motifs exacts de cette convocation, M. Sow y voit une « tentative d’intimidation » en lien avec son engagement politique au niveau local.

Très remonté, il a déclaré qu’il ne céderait « ni à la peur, ni aux pressions », réaffirmant ainsi sa détermination à poursuivre ses activités politiques.

Scandale financier au PTN de Diamniadio : l’ex-directrice de la Case des Tout-petits et la Dage du ministère arrêtées

Dans son édition de ce mercredi 17 septembre, L’Observateur révèle que Amy Samaké, ancienne directrice de la Case des Tout-petits, et Hélène Ndoukité Diouf, actuelle directrice de l’administration générale et de l’équipement (Dage) du ministère, ont été arrêtées et déférées devant le procureur financier.

Quatre autres personnes seraient également impliquées dans cette affaire, selon la même source.

L’enquête, confiée à la Section de recherches (SR), fait suite à une mission de vérification interne initiée par les nouvelles autorités. Elle porte sur un marché de plusieurs milliards de francs CFA lié au Parc des Technologies Numériques (PTN) de Diamniadio, marché qui aurait été entièrement payé mais jamais exécuté.

Ce dossier, qui mêle suspicion de détournements de fonds publics et dysfonctionnements dans la gestion des marchés de l’État, pourrait déboucher sur une vaste opération de reddition des comptes.

Le régime de Diomaye imite-t-il Macky Sall : la Justice comme «arme politique» ?

Depuis avril 2024, le Sénégal semble glisser lentement mais sûrement vers une forme de «judiciarisation » « excessive » de la vie publique, où la justice devient non plus
un pilier de l’État de droit, mais un instrument de contrôle politique et idéologique. Le paradoxe est frappant : alors que le régime de Macky Sall était régulièrement accusé «d’instrumentaliser la justice » pour faire taire ses opposants, le parti Pastef, aujourd’hui au pouvoir, semblerait suivre une trajectoire similaire. En effet, un constat s’impose : Les journalistes, activistes, chroniqueurs, opposants et autres voix critiques font désormais les frais de cette justice qui, selon de nombreux observateurs, semble fonctionner « sur auto-saisine » du procureur. L’arrivée au pouvoir du Pastef a suscité beaucoup d’espoir, notamment en termes de rupture avec les pratiques jugées autocratiques du régime de Macky Sall. Mais les récents développements montrent que la transition s’est accompagnée d’une continuité « inquiétante ».

Lors du dernier remaniement ministériel, le choix de Yacine Fall et de Me Bamba Cissé, ex-avocat et fidèle de Sonko, respectivement comme garde des Sceaux, et ministre de l’Intérieur, renforce cette perception d’un pouvoir qui place ses hommes aux postes clés. Le Pastef, qui avait fondé sa légitimité sur la dénonciation de l’injustice et de l’impunité sous Macky Sall, semblerait aujourd’hui reproduire les mêmes schémas de répression, en les justifiant par le besoin de stabilité, de discipline, ou de défense des institutions. Le Sénégal est-il en train de devenir une République où l’on ne parle plus que le langage judiciaire ? Le juriste Amath Thiam a bien raison de poser la question. Une République où l’on gouverne par l’intimidation juridique, où l’on surveille, censure, et sanctionne toute divergence ? Si le Pastef veut réellement rompre avec les pratiques du passé, il devra restaurer la confiance dans l’appareil judiciaire, non pas en le politisant davantage, mais en le dépolitisant radicalement.

Blanchiment de capitaux : un cabinet de conseil et un réseau d’influence dans le viseur de la CENTIF

La Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF) a mis au jour un vaste mécanisme de blanchiment de capitaux impliquant corruption, trafic d’influence et association de malfaiteurs.

Tout est parti d’une information spontanée transmise par une cellule de renseignement financier européenne. Celle-ci alertait sur des transactions suspectes impliquant un cabinet de conseil, BETA, en relation d’affaires avec des entités sénégalaises.

Selon les premières analyses, plus de 1,5 milliard de FCFA, en euros, ont été virés depuis le compte d’une entité publique sénégalaise vers un compte bancaire appartenant au cabinet BETA, basé en Europe. Officiellement, ces fonds correspondaient aux honoraires de BETA pour ses prestations de conseil dans un litige opposant l’entité publique à une société étrangère.

Mais l’enquête de la CENTIF a révélé un circuit financier bien plus complexe. Une part importante des sommes perçues par BETA a été réacheminée vers le Sénégal, créditée sur les comptes d’une société dénommée GAME.

Or, GAME est dirigée par un chef d’entreprise très en vue, connu pour ses liens avec plusieurs hommes d’affaires, directeurs de sociétés nationales et autorités publiques. Un contrat d’apporteur d’affaires liait GAME à BETA, prévoyant des commissions équivalentes à 20 % des honoraires générés par le cabinet.

Cependant, l’analyse des flux financiers a mis en évidence des paiements largement supérieurs aux montants contractuels, laissant apparaître un système de rétrocommissions et de détournements de fonds, le tout sous couvert de prestations fictives.

Au terme de ses investigations, la CENTIF a conclu à l’existence d’indices graves et concordants de blanchiment de capitaux provenant d’actes de corruption, de trafic d’influence et d’association de malfaiteurs.

Le dossier pourrait désormais être transmis aux autorités judiciaires compétentes pour d’éventuelles poursuites.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention