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Une tentative de vol tourne au drame à Touba : Baye Kama perd la vie après une course-poursuite

Une scène tragique s’est déroulée dans la nuit à Touba, plus précisément au quartier Sam. Selon des sources de Seneweb, un individu s’est introduit vers 4 heures du matin dans un domicile familial. Alerté par des bruits suspects, le maître des lieux, Baye Kama, a surpris le visiteur nocturne dans la véranda.

Décidé à l’interpeller, le père de famille s’est lancé à la poursuite du voleur. Malheureusement, au cours de la course, il a violemment heurté un mur, se blessant gravement à la tête et au cou.

Avant de perdre connaissance, la victime a pu relater les circonstances de l’incident à ses proches. L’une de ses épouses a par la suite confié que son mari lui avait fait des confidences sur certaines dettes peu avant sa mort : il devait 100 000 francs CFA, tandis qu’une autre personne lui devait 260 000 francs CFA.

Malgré son évacuation rapide vers l’hôpital, Baye Kama a succombé à ses blessures, plongeant sa famille dans la douleur et la consternation.

Les syndicats d’Air Sénégal appellent à des mesures urgentes pour sauver la compagnie en difficulté financière

Air Sénégal au bord de l’asphyxie ? Alors que la compagnie vient d’être désignée transporteur officiel des Jeux olympiques de la jeunesse qui se tiendront en octobre 2026, les délégués du personnel de la compagnie nationale ont décidé de saisir les autorités. Dans une note rendue publique sur les réseaux sociaux, les syndicats alertent sur une crise financière et opérationnelle sans précédent, selon eux. Ils exigent des mesures urgentes pour sauver le pavillon national.

 

Une « dette financière colossale » de « centaines de milliards de FCFA » et des retards de salaire. Dans cette note, que le personnel d’Air Sénégal a choisi de rendre publique, les maux listés sont nombreux. Les délégués dénoncent des décisions « hasardeuses », comme l’achat de nouveaux avions opérés à l’encontre des recommandations d’un business plan ou encore le choix depuis le début de l’année de louer une dizaine d’avions avec équipage, une opération jugée coûteuse.

De son côté, la direction dément et parle d’un « travail rigoureux d’assainissement financier », faisant passer la dette de 118 milliards de francs CFA en juillet 2024 à 37 milliards en avril dernier après la suspension de trajets déficitaires, entre autres.

Autre problème pointé par les délégués du personnel : pour maintenir la liaison Dakar-Paris, la direction aurait loué un Boeing 777 âgé de 22 ans, dont les coûts d’exploitation seraient 30 % plus élevés. Ce qui est faux, répond la direction d’Air Sénégal, qui assure que cette location dure le temps que les 2 A330(neo) de la compagnie soient de nouveaux opérationnels.

Enfin, les délégués du personnel dénoncent une organisation d’entreprise minée par des nominations sans transparence. S’ils saluent la décision des autorités d’avril dernier de faire un audit complet de la compagnie, ils demandent à pouvoir rencontrer au plus vite leur ministre pour proposer des mesures de sauvetage de la compagnie nationale.

 

Avec Rfi

EDITORIAL : La presse se dresse contre le monstre

Il arrive, dans la vie d’une nation, que les masques tombent et que les discours sur la démocratie se fracassent contre la brutalité des faits. Le Sénégal vit ce moment. L’État de droit vacille, la liberté de la presse chancelle, et la machine répressive, que l’on croyait endormie, tente de reprendre la main. Avec fracas, et une froide méthode.

Mardi 28 octobre, les forces de l’ordre ont fait irruption dans les locaux de la 7TV, interrompant une émission en direct. Sa directrice, Maïmouna Ndour Faye, a été arrêtée sans ménagement, sous le regard impuissant de ses collaborateurs et de milliers de téléspectateurs. Le lendemain, c’est Babacar Fall, directeur de la rédaction de RFM, qui a été interpellé avec ses techniciens. Il a été relâché tard dans la nuit. Mais le signal envoyé est glaçant. Plus personne n’est à l’abri.
Comme pour parachever l’intimidation, les signaux de la 7TV et de la TFM ont été suspendus sans justification. Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), censé garantir la liberté et l’indépendance de l’information, s’est enfermé dans un silence assourdissant. Où sont passées les garanties procédurales, les droits de la défense, les principes mêmes de la légalité ?
Ces attaques surviennent alors que le secteur des médias traverse une crise économique d’une gravité sans précédent. Près de 400 entreprises au bord de la faillite, des arriérés de salaires atteignant parfois quatorze mois, des subventions publiques bloquées, des contrats publicitaires unilatéralement suspendus et des contrôles fiscaux démultipliés. L’objectif semble clair. Fragiliser pour mieux réduire au silence. Une presse à genoux économiquement est une presse plus facile à faire taire politiquement.
Mais cette fois, le coup de force a produit l’effet inverse. Face à l’arbitraire, la presse sénégalaise s’organise. Ce mercredi 29 octobre, dans les locaux du Groupe Futurs Médias, les organisations membres de la Coordination des Associations de Presse (CAP) ont décidé de créer le Front pour la Défense de la Liberté de la Presse (FDLP). Ce front, qui réunira toutes les organisations faitières et les personnalités du secteur, tiendra son Assemblée générale constitutive le samedi 1er novembre 2025, à la Maison de la Presse Babacar Touré. Ce sera un moment de la refondation d’une presse décidée à reprendre l’initiative et à défendre collectivement son indépendance.
À cette décision structurante s’ajoute une initiative symbolique forte, qui est l’opération “Anonymous”, prévue du 3 au 13 novembre 2025. Durant dix jours, nous sollicitons nos consoeurs et confrères, de ne citer ni montrer les autorités officielles dans leurs couvertures médiatiques. Les titres seront mentionnés, mais les noms et images occultés. Ce geste volontaire, pacifique et créatif, vise à rappeler que l’information n’est pas un instrument du pouvoir, mais un droit du citoyen.
Dans le même esprit, un sit-in a eu lieu ce jeudi devant les locaux de la 7TV, suivi d’un plateau spécial diffusé simultanément sur plusieurs chaînes nationales. Ces moments de communion professionnelle ont démontré que la presse sénégalaise sait faire bloc lorsque ses libertés sont menacées. Une marche nationale est également en préparation. Sa date sera rendue publique dans les prochains jours. L’objectif est de rassembler journalistes, techniciens, patrons de presse et citoyens autour d’une même cause. Celle de la défense de la liberté d’informer.
Car il ne s’agit pas seulement de défendre des confrères injustement arrêtés. Il s’agit de défendre un principe fondateur de toute démocratie : le droit de savoir. Sans presse libre, il n’y a ni débat contradictoire, ni responsabilité publique, ni démocratie réelle mais seulement une façade, un décor sans substance.
C’est pourquoi nous appelons solennellement toute la presse sénégalaise à dépasser les divisions, à refuser les querelles intestines et les calculs à courte vue. Les intérêts individuels ne peuvent justifier la compromission collective. Le temps n’est plus à la dispersion, mais à l’unité. Car ceux qui veulent faire taire la presse comptent sur nos fractures pour nous affaiblir. Nous leur opposerons un front uni, une solidarité sans faille.
Nous interpellons enfin les organisations de défense des droits humains (Amnesty International, Human Rights Watch, la Fédération internationale des journalistes, Reporters sans Frontières, Article 19) ainsi que la communauté internationale présente à Dakar pour le SIMA. Vous débattez de l’avenir des médias africains alors que, sous vos yeux, la liberté de la presse est bafouée. Votre silence serait incompréhensible et votre indifférence, une faute morale.
Le pouvoir dispose peut-être de la force, mais il n’a pas la légitimité. Cette légitimité appartient à celles et ceux qui défendent les libertés fondamentales, qui informent malgré la peur, qui refusent le silence des dictatures.
La presse sénégalaise a choisi de se lever. Elle n’a pas les armes, mais elle a la parole. Et tant que cette parole existera, la démocratie respirera.

Guy Marius Sagna tacle le groupe parlementaire de Pastef pour son manque d’initiative

Invité sur le plateau de Walf TV ce mercredi, le député Guy Marius Sagna a vivement critiqué le groupe parlementaire de Pastef, l’accusant d’inaction malgré les moyens financiers importants dont il dispose.

« Nous avons 10 millions de francs CFA par mois. En un an, le groupe parlementaire de Pastef n’a même pas réussi à déposer une seule initiative parlementaire », a-t-il regretté, pointant du doigt ce qu’il considère comme un manque d’efficacité et d’organisation.

Le parlementaire a rappelé la complexité du travail législatif, soulignant qu’élaborer une proposition de loi exige une réelle connaissance des procédures. « La matière législative, si tu ne l’apprends pas, tu ne peux pas la faire. Il faut payer des gens qui maîtrisent le sujet », a-t-il insisté.

Selon Guy Marius Sagna, cette inertie n’a aucune justification, d’autant plus que Pastef dispose de la majorité et des ressources nécessaires pour faire avancer des projets. « Notre groupe parlementaire a la majorité, il a de l’argent, donc il peut déposer n’importe quel projet de loi. Mais encore faut-il savoir s’entourer des bonnes compétences », a-t-il conclu.

La Cour suprême annule la contrainte par corps mais confirme la condamnation de Madiambal Diagne

La Cour suprême a rendu sa décision ce jeudi dans l’affaire opposant le journaliste Madiambal Diagne au magistrat Souleymane Téliko. Elle a prononcé une cassation partielle de l’arrêt rendu par la Cour d’appel de Dakar le 3 mars 2025. Cette annulation concerne exclusivement la contrainte par corps, qui permettait d’emprisonner le journaliste en cas de non-paiement des dommages et intérêts.

En supprimant cette mesure, la Cour suprême écarte donc la possibilité d’un emprisonnement lié au non-paiement des sommes dues. Toutefois, elle a confirmé le reste de la décision, notamment la culpabilité de Madiambal Diagne pour diffamation à l’encontre du juge Souleymane Téliko.

Le journaliste voit ainsi maintenue sa peine de trois mois de prison ferme, ainsi que l’obligation de verser cinq millions de francs CFA au magistrat. Les avocats de la défense, qui réclamaient une annulation totale de la décision, n’ont donc obtenu qu’une cassation partielle sans renvoi, mettant définitivement fin au débat sur la contrainte par corps.

Terres rares, droits de douane: Donald Trump qualifie de «grand succès» sa rencontre avec Xi Jinping

Près d’un millier de Chinois étaient présents pour accueillir leur président à la sortie de sa rencontre avec Donald Trump, rapporte notre envoyé spécial à Gimhae, Célio Fioretti. La foule était réunie devant l’entrée de la base aérienne militaire de Gimhae sous très haute surveillance policière pour ce sommet historique perturbé par la présence de quelques militants antichinois.

La discussion, elle, a duré un peu moins de deux heures. Le président Xi Jinping a annoncé quelques minutes avant le début de la rencontre que les intérêts chinois ne sont pas incompatibles avec ceux des États-Unis malgré d’importantes divergences. Mais rien de quoi décourager les deux pays qui sont parvenus, d’après Donald Trump, à s’accorder sur des dossiers importants, comme les semi-conducteurs ou encore le fentanyl, un puissant opiacé utilisé comme drogue aux États-Unis.

Le président américain Donald Trump a de son côté qualifié de « grand succès » sa rencontre avec son homologue chinois et a annoncé qu’il se rendrait en Chine en avril prochain pour de nouvelles discussions et négocier d’autres dossiers comme celui de Taïwan qui n’a pas été abordé lors de cette rencontre en Corée. « Je serai en Chine en avril et Xi Jinping viendra ici peu après, que ce soit en Floride, à Palm Beach, ou à Washington », a déclaré Donald Trump aux journalistes à bord d’Air Force One. « Nous avons finalisé de nombreux points » lors de l’entretien à Busan, a-t-il ajouté, qualifiant Xi Jinping de « dirigeant exceptionnel d’un pays très puissant ».

Terres rares, droits de douane, guerre en Ukraine…

Donald Trump a annoncé une réduction de 10% des droits de douanes visant la Chine liés au trafic de fentanyl ainsi qu’un accord d’un an, reconductible, sur l’approvisionnement en terres rares. Mais les précisions de cet accord devront être discutés plus tard entre Washington et Pékin.

Le président américain Donald Trump a également assuré que Washington et Pékin allaient « travailler ensemble » sur la guerre en Ukraine. « L’Ukraine a été abordée de manière très forte. Nous en avons parlé pendant longtemps, et nous allons tous les deux travailler ensemble pour voir si nous pouvons obtenir quelque chose », a-t-il déclaré aux journalistes à bord d’Air Force One. Xi Jinping va « nous aider, et nous allons travailler ensemble sur l’Ukraine », a déclaré Donald Trump.

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