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Les indispensables pour une détox naturelle

L’organisme élimine naturellement les toxines, mais un coup de pouce à base de plantes peut optimiser ce processus.

À faire

  • stimuler le foie avec des plantes drainantes comme le radis noir, l’artichaut ou le desmodium, en infusion, extrait fluide ou gélules ;
  • soutenir la fonction rénale avec des tisanes de pissenlit, de bouleau ou d’ortie connues pour être diurétiques, drainantes et dépuratives ;
  • aider la digestion avec une goutte d’huile essentielle de citron ou de menthe poivrée sur une cuillère à café de miel après un repas copieux ;
  • privilégier une alimentation légère en misant sur les fruits et légumes riches en antioxydants (betterave, brocoli, agrumes, baies).

À éviter

  • les excès alimentaires (alcool, sucres raffinés, plats industriels) qui surchargent le foie et ralentissent l’élimination des toxines ;
  • le stress chronique qui favorise l’inflammation et perturbe l’équilibre acido-basique de l’organisme ;
  • les toxines environnementales en limitant l’exposition aux pesticides, additifs alimentaires et polluants, grâce à une alimentation bio et une eau filtrée.

Sédhiou : Plus de 24 millions de fCfa dégagés pour l’amélioration des structures sanitaires régionales

Ce nouvel espace est une réponse concrète aux besoins des jeunes de cette localité. « Il va permettre de résoudre les préoccupations de l’adolescence qui est une phase de transition entre l’enfance et l’adulte et qui a beaucoup d’interrogations », a précisé de son côté Dr. Babacar Valentin Badji, médecin-chef du district de Goudomp.

La commune de Simbandi Brassou avait un espace dédié aux jeunes et aux adolescents, mais il était dans des conditions difficiles. « Aujourd’hui grâce à cet espace construit dans le cadre du projet Sansas, la préoccupation des jeunes de Simbandi Brassou sera bien prise en charge », a insisté le Dr Badji.

Il a encouragé les parents à inciter leurs enfants à venir chercher des connaissances dans cet espace qui a été doté de tout le matériel nécessaire.

Cet espace jeunes fait partie de tout un ensemble d’ouvrages sanitaires que l’ONG Solidarité Thérapeutique et Initiatives pour la santé (Solthis) a édifié dans la région de Sédhiou. L’organisation a construit deux mini-forages à Tankon et à Singhère, un logement pour les prestataires de soins dans le village de Boudié Samine.

« Des édifices qui marquent la contribution de Solthis dans l’amélioration de l’environnement de soin, mais aussi dans le renforcement de la qualité de santé dédiée aux adolescents, aux jeunes et à la population de Sédhiou en général », a souligné Christian Sambou, responsable de base de Solthis.

Sur ce, il rappelle que ces ouvrages d’une valeur de plus de 24 millions sont le fruit d’une collaboration avec l’ensemble des partenaires, en somme une mutualisation des forces pour atteindre les objectifs.

Mais, surtout pour Solthis, la réalisation des deux minforages contribue à garantir l’accès à l’eau. « L’eau est une ressource essentielle pour améliorer l’hygiène dans les services de santé. Mais surtout lutter contre les infections », a ajouté M. Sambou.

Les populations du village de Tankon ayant bénéficié d’un minichâteau d’eau ont remercié l’organisation pour cette installation aussi importante pour le quotidien de leur poste de santé.

Une aubaine pour les populations

« On est entouré par deux puits. Le premier s’appelle « Ranérou », cela veut dire eau blanche, donc il n’est pas potable. Le second est un ancien dépotoir d’ordures qu’on a récupéré pour en faire un puits sans que l’eau soit traitée », a témoigné Boubacar Bâ, secrétaire exécutif du conseil de développement sanitaire du poste de santé de Tankon.

« Nous étions obligés de sortir de la structure de santé à la quête de l’eau dans des puits profonds pour les pansements. Surtout les accouchements qui demandent beaucoup, il arrive que les agents se rendent à 3 heures du matin au puits à la recherche de l’eau », a embouché la trompette, Alphousseynou Kanté, infirmier chef de poste de Tankon.

Un peu plus loin, c’est une résidence qui a été construite pour les professionnelles de santé du village de Boudié Samine.

« Une aubaine », a assuré Faty Dia, en charge du poste de santé. « Nous vivions dans une situation précaire. Notre ancien logement suintait. On vivait sur le qui-vive dès que la pluie tombait, surtout en notre absence. Mais aujourd’hui, grâce à cette réalisation, on peut exercer notre travail sans pression », a-t-elle déclaré.

 

Le secret de la « renaissance » : un académicien chinois apporte des « miracles de vie» en Afrique grâce aux facteurs de croissance

 

Pourquoi la peau se cicatrise-t-elle spontanément après une blessure ? Pourquoi un gecko peut-il repousser une nouvelle queue après une amputation ? La réponse réside dans les facteurs de croissance. Dans le projet de réparation de plaies « Fusheng Zhongfei Xing », mis en œuvre en République centrafricaine depuis 2021, l’académicien Li Xiaokun, membre de l’Académie chinoise d’ingénierie, utilise la technologie des facteurs de croissance comme lien, forme des médecins africains, partage des techniques médicales et apporte l’espoir à d’innombrables patients africains.

avec le Soleil

5 réflexes contre le syndrome pieds-mains-bouche

Cette infection due au virus Coxsackie A16, à l’origine d’une éruption de petites vésicules et de fièvre, est plus impressionnante que dangereuse.

Andréas Werner, Pédiatre et président de l’Association française de pédiatrie ambulatoire (AFPA)

1. Pas de panique

Des grappes de petites bulles remplies de liquide laiteux apparaissent autour et à l’intérieur de sa bouche, sur la paume de ses mains, sur la plante de ses petons et parfois sur ses fesses ? Pas d’inquiétude, rassure le Dr Werner : « Il s’agit d’une infection virale courante chez les enfants en collectivité et connue pour se transmettre très facilement par les gouttelettes, la respiration et/ou le contact. Connue sous le nom de “syndrome pieds-mains-bouche”, cette maladie peut provoquer de la fièvre mais elle reste le plus fréquemment sans gravité ».

2. Prudence

L’infection dure en moyenne 5 à 10 jours et reste contagieuse tant que les bulles cutanées ne s’estompent pas. « Si le virus Coxsackie A16 touche particulièrement les enfants, il peut aussi contaminer les adultes et prendre chez eux une forme plus grave », précise le pédiatre. Une contagiosité qui appelle à la prudence : « Pendant toute la durée de la maladie, il faut éviter que l’enfant atteint soit en contact avec des personnes fragiles (nourrissons, personnes âgées, femmes enceintes) et respecter les mêmes gestes barrières que pour les autres maladies virales. »

3. Patience

Outre l’inconfort de la fièvre et d’éventuelles courbatures, le syndrome pieds-mains-bouche ne provoque pas de douleurs. Les vésicules, en revanche, peuvent démanger. Pour y palier, le Dr Werner précise qu’« il n’y a pas grand-chose à faire à part prendre son mal en patience. Le paracétamol suffit à faire baisser la température. En cas de démangeaisons, voire de prurit qui se développe souvent chez les enfants plus grands, le pédiatre peut prescrire un antihistaminique ».

4. Zéro irritant

Comme toutes lésions buccales, les vésicules qui se concentrent à l’intérieur et autour de la bouche supportent mal le contact avec les aliments, « surtout lorsque celle-ci est acide, souligne le médecin. Pour ne pas irriter davantage la zone affectée, mieux vaut éviter les fruits acides comme les agrumes et les kiwis. Les compotes et les yaourts passent toujours plus facilement. » Quant aux mains et aux pieds, la consigne est de bannir tout vêtement synthétique au profit du 100 % coton.

5. Lésions à l’air

Si les vésicules s’étendent jusqu’au siège, le Dr Werner conseille « de veiller à changer régulièrement la couche pour éviter la macération, facteur aggravant des irritations. Les bains restant possibles pendant l’infection, j’invite, dans la mesure du possible, à en profiter pour ne pas rhabiller le bébé tout de suite après. Plus les lésions restent à l’air, plus elles guérissent rapidement ».

Les HPV, virus universels parfois tenaces

La presque totalité des jeunes filles et garçons entrera en contact avec ces virus au tout début de sa vie sexuelle. Certains de ces papillomavirus (HPV), oncogènes, déterminent la survenue de cancers à l’origine de la totalité de ceux du col et d’une part non négligeable des cancers ORL, de l’anus, etc., mais aussi de verrues génitales. Un cancer ne peut toutefois se développer que si les HPV persistent sur place.

Souvent fugaces

« 90 % des personnes contaminées voient ces virus disparaître naturellement dans les années qui suivent l’infection », rassure le Dre Julia Maruani, gynécologue. On sait que le vaccin protège des lésions précancéreuses – et a fortiori des cancers – du col, des cancers de l’anus sûrement, des cancers ORL aussi, des verrues génitales.

Faut-il y croire ? Le préservatif protège aussi des HPV

À 70 % seulement… Il n’empêche pas la transmission des HPV véhiculés par les caresses, par les mains, par la bouche. Il ne protège pas non plus les zones non couvertes, comme le pubis. Mais toujours mieux que rien en cas de nouveau partenaire, d’autant qu’il prévient d’autres infections (à gonocoques, VIH, etc.)… et une grossesse !

Parfois tenaces

Femmes et hommes sont concernés, très jeunes quand ils les attrapent (la contamination est alors « muette »), moins jeunes quand l’infection, persistante, a permis l’apparition de lésions, habituellement une quinzaine d’années après. C’est pourquoi le dépistage d’un cancer du col se fait sur un test HPV, réalisé sur le col : sans HPV, pas de lésions et pas de cancer du col. Si l’on ne le détecte pas ou plus (après un premier test positif), c’est que le virus est en trop faible quantité (et donc plus dangereux) ou qu’il a été éliminé par le système immunitaire.

Idées reçues

Le test peut se positiver à nouveau plus tard dans la vie, même sans nouveau partenaire, les défenses immunitaires parfois débordées par une immunodépression (due à un stress intense, notamment). « Autrement dit, un test HPV positif n’est pas synonyme d’infidélité, le HPV en cause ayant été attrapé le plus souvent au premier temps de la vie sexuelle », insiste-t-elle. C’est d’ailleurs pour cela que la vaccination n’est proposée en France que jusqu’à un certain âge (voir encadré), la probabilité d’avoir déjà rencontré les virus et que le vaccin soit donc moins efficace étant trop élevée au-delà.

IST : les lignes bougent en faveur du dépistage !

Accessible depuis le 1er juillet, le kit Mon test IST permet aux femmes âgées de 18 à 25 ans de se dépister chez elles. L’autotest, livré à domicile, est pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie.

À juste titre, les autorités sanitaires s’inquiètent de plus en plus de la recrudescence des cas d’infections sexuellement transmissibles (IST) à chlamydia et à gonocoque, dans le pays. Au regard des chiffres relevés par Santé publique France, entre 2021 et 2023, les cas de gonorrhée ont, en effet, bondi de 59 % chez les hommes et de 46 % chez les femmes. Du côté des chlamydioses, la hausse atteint 10 % chez les hommes, au cours de la même période. En augmentation continue depuis le début des années 2000, il apparaît que ces infections à risques d’infertilité résultent en grande partie d’un usage insuffisant du préservatif chez les jeunes. « Même en l’absence de symptôme, il est possible d’être porteur d’une IST et de la transmettre », rappelle l’Assurance maladie dans son communiqué, en revenant sur l’importance du dépistage régulier. Dans ce contexte, depuis le 1er juillet, l’organisme offre aux femmes âgées de 18 à 25 ans, sans condition de ressources ni de symptômes, la possibilité de se dépister gratuitement à domicile grâce à un autotest.

Dépistage à la demande

Pour rappel, septembre 2024 inaugurait Mon test IST, un dispositif permettant aux moins de 26 ans de se faire dépister en laboratoire gratuitement, sans ordonnance, pour cinq infections sexuellement transmissibles : VIH, chlamydia, gonocoque, syphilis et hépatite B. À cette offre, s’ajoute désormais l’option autotest destinée à pratiquer, chez soi et gratuitement, un prélèvement de dépistage pour les infections à chlamydia et à gonocoque. En pratique, il suffit de se rendre sur le site mon-test-ist.ameli.fr et de répondre à un questionnaire d’éligibilité (âge, sexe, activité sexuelle récente, numéro de sécurité sociale). Une fois le kit reçu par voie postale, reste à effectuer le prélèvement vaginal, en suivant les instructions jointes, et à envoyer l’échantillon au laboratoire dans l’enveloppe préaffranchie fournie. Garanti confidentiel, un SMS est envoyé à l’intéressée environ cinq jours après (hors week-end et jours fériés) afin de consulter les résultats sur le site mesanalyses.fr.

Quelle prise en charge ?

Si le résultat s’avère positif, la jeune femme est contactée par un professionnel de santé. Elle bénéficie alors d’un traitement adapté, prescrit sans avance de frais, souvent à base d’antibiotiques. Si besoin, une consultation médicale peut être proposée. Autre étape clé : la notification des partenaires, essentielle pour éviter les recontaminations. Des outils d’aide à la notification sont mis à disposition pour faciliter cette démarche, souvent délicate à mener seule.

Les indispensables pour soigner une conjonctivite

Yeux rouges, larmoyants, qui piquent ou démangent… Comment calmer l’inflammation et éviter la contagion ?

À faire

  • laver soigneusement ses mains avant et après chaque soin pour limiter la propagation ;
  • nettoyer l’œil avec une compresse stérile et du sérum physiologique, toujours de l’intérieur vers l’extérieur ;
  • consulter un médecin pour obtenir si nécessaire un collyre adapté (antibiotique, antiseptique ou antihistaminique).

À éviter de

  • se frotter les yeux, ce qui aggrave l’irritation et propage les germes ;
  • partager serviettes, oreillers ou maquillage qui peuvent transmettre l’infection ;
  • porter des lentilles tant que l’inflammation persiste, pour ne pas aggraver la conjonctivite.
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